La fin d'une vie ...
Post by Lucius Sombreval - April 12, 2007 at 12:36 PM
Les bas quartiers, aprés l'incendie.
La sueur ruissele sur son visage, d'un geste vif de la main il l'essuie.
Il regarde autour de lui, des visages crasseux de poussieres, lavé par des larmes .
La melodie des lamentation, le cris du d'esespoir.
Assis devant lui ,une famille pleure sa maison perdue, leur seul bien, une batisse de bois.
Leur seul richesse.
Devant lui une petite fille lovée dans les bras de sa mére, tenant dans ses bras les vestiges d'une poupée de chiffon.
Ses pas continuent de marquer le sol de leurs traces, les ruels s'entremelent le chaos régne, pret de lui deux hommes ce battent pour une cuillere d'acier brunie de cendre.
Une lame derappe, une groge s'ouvre, du sang ruissele sur un corps crasseux, pour atterir sur un sol crasseau et mourir dans une terre arride.
Depuis que Silvius est nais on lui à appris une seule chose: « Un homme, un bras, une épée et un coeur juste pour la guider ».
Mais que pouvez son épée face à tant de tristesse et de misère, sa lame pouvait elle sauver ces gens?
Il ne le savait pas.
Longtemps il avait appris à combattre le mal, l'arme au point, on lui avait appris le courage, ne reculer devant nul dangé, nul mal.
Pourtant la misere de ces gens lui faissait peur, leur douleur le faissait reculer, il ce sentait impuissant face à ce combat.
Ne pouvant supporter ce mal d'une nouvelle nature il décida d'aider la populace a porter ce fardeaux, mais ce ne fut que lorsque sa cape fut brunie par la suie, que lorsque son visage fut noir de cendres que le peuple de la basse ville accepta de ce meler à lui.
Il partagea leur douleur, mangea leur pain , porta un peu de leur maux.
Et il compris enfin, il comprit la colere qui habitait leur coeur, le chant de l'injustice qu'hurlaient ces gens, ils n'avait plus rien à perdre, ces gens ce sentait perdus.
Perdus...
Perdus comme les pensées de Silvius qui ne céssait de raisonner dans sa tête, alors que ses pas le ramenérent vers le monastére, alors qu'en haute ville, le rire des gens raisonnait comme un carillon, mais pour lui ce carrillon annoncé le deuil et la mort.
Que pouvait donc une épée face a cela, une épée pouvait elle leur apporter la lumiere pour eclaircir leurs visages?
Allongé dans la pelouse du jardin du monastere, il regardait la famille face à lui, le sourire au lévre pour un morceaux de pain et un toit offert, ses yeux ce perdait sur les trais de leurs sourire dessiné sur leurs joues, il ce sentais en harmonie avec lui même presque qu'heureux.
Non sa lame n'aurait pas pus offrir ce sentiment d'harmonie qui l'habitait, il ce leva, et retourna en moyenne ville, les auberges étais pleine, les gens ce renplissait le gossié, les rires faissait contraste aux pleurent qu'il avait entendus toute la journée.
Non dans cette salle il n'y avait pas plus de gens vertueux, dans cette partie de la ville il y avait autant de brebies égarée et non pour le moment il ne pouvait rien faire.
Il sortis de sa chambre du temple.
Prépara un paquetage pour plusieurs jours, habillé d'une simple toge ,il quitta les murs gris de systéria et ce dirigea vers le vert des bois.
Ses pas le menérent vers les Pics venteux, ultime frontiere entre son village est systéria.
Il étais revenus à son point de depart, car aujourd'hui tout devait changer, il sortit sa lame de son fourreau, et ce tailla le poigné.
« Thaar mon pére accepte cette offrande en pardons à mes pechets,
Que le sang noir de mes actes,
Laisset la place au renouveau,
Car j'en fais le serment ,
Cette chaire est la derniére que ma lame embrassera. »
Il prit ensuite un bandage et pansa sa plaie, son sang rouge ruisselait sur la pierre grise, tandis que le vent glacial lui giflait le visage.
Silvius pris la garde de son épée en enfonça la lame profondément entre deux pierres, ensuite il sortis sa dague et s'assis en tailleur, doucement il commença à couper chaque méches de ses cheveux d'or, jusqu'a ce que dans son crane le soleil ce reflétent, puis la lune.
Il resta là, assis en tailleur, fixant sa lame, son passé ,ses actes , 10 jours et 11 nuits, avant de tomber inconscients...
Post by Lucius Sombreval - April 30, 2007 at 10:37 AM
Scenes2
Des sueurs froides me coulaient sur le visage.
Des sons assoudissants envellopaient mon esprit.
Un liquide froid coulait dans ma gorge.
Je me rendormis.
Des rêves plus fous les uns que les autres, des cris, des pleurs, des chants, des visages transformés par la peur et la terreur.
Mes yeux s'entre-ouvirent, mes sens doucement ce reveillerent, humidité , moiteur, une drôle d'odeur de soufre, l'odeur ce fit plus forte, une ombre grandit pour cacher le peu de lumière diffusée par une chandelle.
Quelle drôle de silhouette. Suis-je encore en train d'halluciner?
Longue et effilée, un tissu sombre et épais, les mains cachées par des gants de cuir, un visage caché d'un masque d'argent, les yeux protégé par des cercles de verre, des levres dessinées dans un masque d'argent ainsi que son nez.
Sa respiration était forte, tandis que doucement il me passait un linge humide sur le front.
« Tu n'es pas comme les autres.
Tu n'es pas comme moi, les Dieux ne doivent pas beaucoup t'aimer pour avoir guidait tes pas en pareil endroit.
Rendors toi tu as encore besoin de force »
Et je me rendormis.
Une heure, un jour, plusieur jours?
Je ne sais.
Mais un matin je me suis reveillais.
Ma barbe était plus longue , mes cheveux étaient plus longs, et devant moi ce monde me parrut plus clair.
J'étais allongé sur une pierre froide, garnie de paille, autour de moi se trouvait un petit laboratoire, des fioles dépossées sur des étagères grossières de bois, des liquides fumants, rouges, verts, bleus qui se mettaient à boullir, des livres superposés , poussiéreux, mis sur le sol.
Et cette étrange odeur de soufre, ... Je me levai, mes muscles étaient endoloris, mes pas étaient lents.
Des bruits de pas en approche, la silhouette réapparut, cette étrange silhouette de mes rêves.
« Ainsi tu es debout, plus tôt que je n'avais prévus, tu es resistant, mais assis toi donc, bien que cela fasse un temps que nous nous somme rencontré, il serait peu étre temps de faire connaisance ».
Post by Lucius Sombreval - April 30, 2007 at 9:19 PM
Scenes 3
"Prenez place, dit-il en désignant un siège de la main.
Ca fait quoi ? Dix jours que vous êtes là? je pense qu'il est enfin temps de faire connaissance.
Je me nomme Ephaistos, et je suis, ... enfin, j'étais le plus réputé des médecins de Groenenbourg
" Veuillez recevoir tout ma gratitude pour votre Aide Ephaistos.
Je ne nome Sylvius Sulivane Vigile de l'odre du soleil"
L'homme ce joigna les mains, et ce courba vers Silvius.
"Si vous êtes un homme de foi et si il y a bien un endroit ou elle doit être mise a l'épreuve c'est ici.
A quelques lieues, de la pire tristesse, des pires malheurs, ici ou la vie s'éteint plus vite que la flamme d'une bougie. Je tente de maintenir cette flamme mais je ne suis pas si puissant que le dieu que vous priez.
Et les bras me manque, je ne pourrai bientôt plus compter sur les miens.
Si vous avez plus de compassion que le dieu que vous priez alors aidez moi, sinon partez, qui pourrait vous en vouloir?"
La tristesse était palpable dans la voix de l'homme, sp, regard quitta le mien,et il ce resressa.
« Malgré ce blasphème, je ne peux vous en vouloir car vos actes prouvent à quel point vous êtes un homme bon, je vous aiderais à porter votre fardeau, car c'est ainsi que je suis fait.
Mais quel est donc ce mal inconnu dont vous parlez ?'
« C'est un fléau,une sorte de maladie, mais elle ne se soigne pas avec les moyens habituels.
Les animaux comme les rats la transporte partout sur leur passage, elle ce transmet également comme un rhume, le seul moyen de ce prévenir de cette maladie est la combinaison que je portes.
Je recherche depuis des mois aprés un reméde, mais mes recherches sont veinent, mais je sens que j'approche au but, en attendant j'aide les pestiférais qui repoussait par le village, maintenant parler est une chose, certaine choses ne peuvent s'apprendre que lorsqu'ellessont vécues »
Ainsi, après avoir enfilé une combinaison comme celle d'Ephaistos, les deux hommes entamèrent une longue matinée de marche, ils parvinrent au village du malheur. Constatant que la réalité était pire encore que ce qu'il avait imaginé la veille, Sylvius ne pu s'empêcher de ressentir de la tristesse profonde.
Cette tristesse qui plane dans l'âme de chacun des souffrants de ce lieu maudit.
Cette tristesse, aucune combinaison ne peut l'arrêter.
Une vieille dame édentée posa son regard sur Sylvius. Ce dernier posa la caisse aux pieds d'Ephaistos et se dirigea vers elle.
"Est-ce que vous allez ..." Il s'interrompit, comprenant l'inutilité de cette question. Puis il repris, ... "Puis-je faire quelque chose pour vous soulager
?"
La vieille dame lui répondit tant bien que mal, ses paroles, imperceptibles et incomplètes ne pouvaient être comprises que par elle.
Mais de son doigt, elle indiqua un petit livre. En l'examinant, Sylvius comprit qu'il s'agissait des recettes de cuisine préférées de la pauvre dame.
Parmi ces recettes, celle d'un mélange de pain et de raisins. Sylvius emporta le livre avec lui.
Posant son gant sur l'épaule de la vieille dame, il lui dit " je vais voir ce que je peux faire" et il empocha le grimoire.
Silvius ne prennait deja plus attention à la dame, le décor aux alentours étais bien trop désolant, pour penser à quoi que ce soit.
En avancant un peu plus dans le campement, ses pas devait enjamber les voiles blanc qui recouvrait les cadavres, constratant avec la noirceur de leur pieds qui en resortait, pointant vers le ciel comme voulant donner une ultime priere
Chaques pas menaient de plus en plus vers le desespoir.
Les guidants vers un barraquement, Ephaistos entra le premier, la lueur du soleil transperçait le toi, pour caresser les visages rougis, des occupants allongé sur leur lit de pailles.
L'acchimiste ce pencha vers le premier d'entre eux, et sortis de sa saccoche de cuir une fiole jaunatre.
Il retira le bouchon, et versa la moitié du contenus, doucement, dans la bouge du malheureux.
Il répéta la scénes pour chaques occupant.
Silvius resta la patiament.
« Il est temps d'aller au village Silvius, il nous faut des ingrédients »
Post by Lucius Sombreval - May 1, 2007 at 12:58 PM
Fin
Et c'est ce qu'ils firent...
Pour atteindre le village, la première étape, était un mur très haut qui empêchait les pestiférés d'atteindre les bonnes gens de ce dernier qui pour rien au monde ne voudraient même poser un regard sur ceux qui jadis furent leurs frères et soeurs.
Ephaistos montra à son assistant la brèche la plus facile pour franchir le mur. Le seul problème est que cette dernière, étant connue des gardes du village, n'était jamais laissée sans protection.
Silvius posa sa main sur l'épaule d'Ephaistos:
« Ne serait il pas mieux de retirer nos combinaison?
Les gens de ce village pourrait paraitre surpris. »
« J'aie toujours eus l'habitude d'emprunter les couloirs sombre pour faire mes emplettes, et les gens que je cottoies sont habitués.
Mais il est vrai que tu n'es pas obligé de passer par les mêmes routes, tu peux la retirer , rejoins moi chez l'herboriste je te présenterais. »
Le paysage semblait ici tout différent, comme si ce mur étais une frontière, entre la mort et la vie.
Ici les gens riait, des enfant courrait , poussant un cerceaux avec une morceaux de bois, des charriots remplis de bois passé, des veilles personne était assis sur un banc de bois regardant ce tableaux de la vie, tout comme Silvius.
Les routes étais large et poussiéreuse, au coin d'une rue il aperçut une vitrine remplie de droles de choses comme Silvius avait vus chez Ephaistos.
Il ce dirigea vers la boutique, et en poussa la porte.
Il vit son nouvel amis, en compagnie d'une charmante jeune femme.
« Je te pressente Coralie, la fille de Palensort, tu a dus le voir au campement.
Elle nous aides généreusement par gratitude pour notre travail.
Coralie, voici Silvius Sulivane, un vigile de l'ordre du soleil, je l'aie cueillis sur la montagne.
Il m'aide à soutenir ces braves gens oubliaient de tous, les chemins de la foi sont parfois impénétrable. »
« En effet Ephaistos, j'aie déjà supporté une première fois vos blasphèmes ne testais pas trop ma patience.
Thaar soit loué de notre rencontre, et de l'aide que cela peut apporter, je ne peux vous demander d'adhérer à mes convictions mes tachait tout de même de les respecter.
Tout comme je respecte votre grandeur et votre bonté de coeur ».
Un sourire marquait le visage de Silvius, et son regard alla rejoindre, celui de Coralie.
« Il est rare de trouver des bras courageux, pour aider la misére, c'est un plaisir de faire votre connaissance et vous serez toujours le bienvenus en ces lieux »
Elle donna à Ephaistos une paquet de cuir, et ils sortirent de la boutique.
« - Avant de rejoindre le campement, j'ai une affaire à régler ici. Vous pourrez m'attendre à la brèche ou au campement.
- Je vous fait confiance Silvius, retrouvons nous au campement, pour ma part, j'ai des potions à préparer. »
Silvius passa par chez le cuisinier du village pour prendre possession d'une commande qu'il avait faite. Le gâteau au raisin semblait avoir pris possession de toutes les odeurs de la rue, les gens affluaient vers les lieux attirés par la curiosité et la gourmandise.
Il tendit une bourse bien pleine au chef qui le regardait souriant.
«- Je vous en prie, je n'en ferai rien. Cette recette est fantastique, si vous me permettez d'en faire le commerce, je vous offre cette préparation.
- Grâce vous soit rendue, c'est avec plaisir que j'accepte. »
Chargé alors d'un panier très lourd, il s'en retourna au camp.
Pendant que le soigneur préparait les potions, Silvius lui, commençait à réunir tout les malades dans l'hopital de fortune.
Il éclaira ce dernier avec des bougies achetée au village, pour rendre ce lieu eclairé et plein de joie.
Les gens attendait patiament discutant entre eux.
Lorsque qu'à l'entrée de la porte un vieil homme grisonnant à la mine jaune pâle lui faisait veint les rejoindre, et ce rapprocha de Silvius.
« Cela fait déjà quelques jours que je suis certain que le mal me ronge et je pratique sur moi également les soins que je prépare.
La combinaison ne me sert plus à rien c'était uniquement pour vous protéger que je la portais. »
Les mots dit il s'assit dans l'assemblée une lueur d'espoir brillant dans ses yeux.
« Benissons Notre Seigneur, Thaar tout puissant, pour le jour où nos chemins ce sont croisés, cr je vous le dis mes fréres nous ne sommes plus seules.
Bénisson cette nuit, qui sera une nuit de joie et d'allégresse. Nous l'appellerons la nuit des lumières et en cet instant ,nul priées, nul plainte ,nul douleur ne ce fera entendre, car aujourd'hui est un jour de fête »
Il sortit du panier ce drôle de dessert rebaissé par le pâtissier « Pudding », tout en chantant un air connus d'ici, accompagné à la flute par une charmante jeune fille au yeux claire et au cheveux ambre
La nuit ne fut que chants, poésies, rires, Silvius avait trouvé contre tout espoir un moyen d'éclairer leur ténèbres, nullement par l'épée mais juste par le chant et le bonheur d'être ensemble, il comprit enfin ou devait aller son chemin...
La nuit étais déjà bien avancée et cela faisait un temps que Silvius n'avait vus Ephaistos, il sortis donc de la scène, et partis à sa recherche, il le trouva dans sa caverne, allongé, un morceau de papier chiffonné à la main:
« Mon cher ami,
Si vous lisez ces quelques lignes, c'est que la maladie a remporté cette bataille.
J'ai pris la peine de m'asseoir un moment et de réfléchir avant de faire ce que je me devais de faire.
La maladie qui nous détruit peut être vaincue, d'une façon très simple mais a un tel point délicate qu’à la moindre erreur, le patient risque la mort, le sang qui est en nous est souillé par un animal si petit qu'il est invisible à l'oeil nu. J’ai effectué un grand nombre de prélèvements de salive, de sang, de cheveux, j’ai établi des comparaisons de réaction d’une personne à l’autre. Après plusieurs jours de recherche, j’ai fabriqué une potion qui se trouve dans le coffret que vous trouverez à mes pieds.
Mon ami, mon fils, je me rappelle vous avoir dit que Votre Dieu ne devait pas vous aimer pour vous faire atterrir en ces lieux. Maintenant, je suis certain qu'au contraire, vous étiez son envoyé pour nous aider. Grâce à vous, si jamais mon antidote ne fait pas l’effet désiré, je sais que vous chercherez une personne qui pourra étudier ma formule. Elle n’est pas une réussite totale mais la base de mon raisonnement est juste.
Alors je vous le demande, du plus profond de mon cœur. Faites vite et sauvez nos enfants de ce fléau. »
Le souffle court, Silvius tomba à genoux, ferma les paupières de son amis, et dessina avec son pouce le symbole de Thaar sur son front.
Il trouva prêt de lui un coffret en bois qui semblait avoir servi de nombreuses causes. A l’intérieur de celui-ci, des fioles d’un liquide ocre jaune, et accroché au couvercle, un parchemin enroulé.
Silvius resta la un instant, puis retourna à la fête après avoir fait une priées d'adieu, il annoncerait tout cela demain , demain il serait encore temps.
Les temps, le temps à vite passé, et c'est impuissant que Silvius recueillit le dernier souffle, du dernier malade, il aurait t'en voulut faire plus ...
Il n'avait pus ce résigner à partir en les abandonnant, maintenant que tous étaient partis, il pouvait regarder devant soit, il fit un paquetage, contenant le petit coffret de bois, et des parchemins qui ont appartenu à son amis de sciences.
Puis retourna vers Systeria, oui ce fut la fin d'une vie, mais le début d'une autre....