Au quartier Ods

Au quartier Ods

Post by Echo - May 3, 2007 at 11:39 PM

Depuis maintenant plus d'un an, le jeune couple avait aménagé dans cette grande maison dans l'espoir que la vie et le bonheur y reigne. Amenagé, decoré, protegé, l'orphelina ouvrait enfin ces portes pour y accueillir leur premiere pensionnaire.

Emaïlys avait toujours revé d'avoir une grande famille, entouré des personnes qu'elle aime. Son plus grand bonheur apres son mariage fut le fruit de l'amour qu'elle eprouvait pour son epoux, le petit Luvios. Petite maman protectrice, elle couvait son petit avec amour. Il ressemblait tant a son pere, charmant et sociable, on ne pouvait resister a ses grands sourirs. Costaux et curieux il ne fallait pas le laisser longtemps sans surveillante sans qu'il ne parte a la decouverte. On sentait qu'il allait bientot faire ses premiers pas, s'accrochant a tout les meubles il tentait tant bien que mal de se redresser. Comment ne pas etre fier ?

Ce climat etait enjolivé par des centaines de fleur, Emaïlys avait decouvert une passion pour les plantes. Depuis, Elle avait envahi l'atelier de son epoux dans des croisements de plus en plus sophistiquer.

Son plus grand plaisir etait de profiter de l'air printanier avec ces amours, assise sur la terasse a jouer de la musique, entourer de magnifique plante.

Depuis peu, sa petite nouvelle s'etait joint a eu. toute petite, elle ne faisait pas son age par sa sous alimentation. Les parents l'avait accueillit tel leur enfant, la securisant dans son nouvel univers.


Post by Léo Relt, ind - May 4, 2007 at 4:47 AM

Enfin elle avait des amis, un papa et une maman, presque comme dans ses rêves.

Des gens qui la câlinaient, qui la chouchoutaient, qui lui parlait autrement qu'à un numéro.

Maëlle souriait, ce qui ne lui était jamais arrivé avant. Elle mangeait à sa fin et parlait, oooh qu'est-ce qu'elle parlait. Se devait être ses années passées à se taire, à écouter sagement, à s'enfermer dans un monde à elle, ou un balais et un brin d'herbe devenant ses meilleurs amis.

La maison était vaste, le jardin était fleuri et un mélange d'odeur carressaient ses narines. Elle était heureuse... enfin heureuse...