La traque

La traque

Post by Natys Sephïos Thalindel - May 18, 2007 at 9:35 AM

Depuis un bon moment, Halik était sur les pistes de Kalidor. Depuis le moment où il c'étais évadé, celui-ci avait une valeur moyenne de 10 000 écu. Trop peu pour Halik et les risques que cela impliquait. Maintenant qu'un homme les avaients engagé, lui et les autres mercenairs, pouvaient allé chercher jusqu'a 30 000 écu supplémentaire. Le jeux en valait la chandelle.

Halik quitta dont la caserne habillé de son vieux linge de civil. Il se rendit a l'auberge de l'indépendance où se trouvait un bon contact à lui et récoltat les informations nécéssaire.

Un homme avait déjà sur lui un sérieux doute. Halik enquêta donc sur cet homme. Après un bon moment, il découvrit l'endroit où il habitait et connaissait peu à peu les habitudes de celui-ci.

Après encore quelques jours d'étude et de recherche, Halik fini par savoir exactement ou il frapperait et quand. Maintenant il lui restait à décider si il frappait seul, rapidement et silencieux ou s'il frappait de masse avec ses collègue de l'armé....


Post by Natys Sephïos Thalindel - May 19, 2007 at 6:26 PM

La traque s'arrêta net sec, Kalidor s'étant fait prendre par les pourpres...


Post by Feu, Arthas Menethil - May 19, 2007 at 7:59 PM

L'on raconte que Kalidor reposait désormais en cellule de l'ordre et qu'en effet il fut aussi traquer par les pourpres mais aussi par certains membres de l'ordre.


Post by Gannd Auréalis , OdS - May 20, 2007 at 7:04 AM

Un évènement hors du commun fut rapporter par un mendiant en basse ville. Kalidor aurai réussi une fois de plus a s'évader des geôles. Cette fois-ci se fut celle des Paladins. Détermination ou folie déterminait cette fougue avec laquel il persistait a fuir , personne ne semblait pouvoir le savoir .


Post by Feu Hanzo, AdM - May 20, 2007 at 12:03 PM

Le Consul se frotta les mains et envoya une missive a Arthas.


Post by Feu, Arthas Menethil - May 20, 2007 at 6:15 PM

Dans son bureau, les paladins pouvaient entendre un crie de rage de la part d'Arthas en frappant d'un poing ferme son bureau.

COMMENT?! COMMENT À T'IL FAIT ?! C'EST IMPOSSIBLE ! IL Y A DEUX GARDES À L'AFFUT !

Puis il fixa un bon moment la missive sur son bureau, plissant ensuite le regard sur cette dernière, il se leva et regarda par la fenêtre.

Visiblement, le vengeur n'était pas de très bonne humeure de savoir cette nouvelle.