Un vie qui était idéal
Post by Echo - June 2, 2007 at 11:27 PM
Une vie idéal mais a quel prix ?
Dès son arriver a Systeria, a la mort de son grand père, Emaïlys rêvait d’une chose, se marier avec un valeureux serviteur de Thaar pour fondé une famille, être heureuse. Aujourd’hui, elle ne pouvait rêver de mieux; un époux attentionné et aimant, un fils en santé et adorable, une grande demeure débordante de vie avec l’orphelinat. Était le prix a une vie parfaite? Depuis la naissance de Luvios, elle n’avait oser en parler mais, elle avait cette douleur. Tout les matin elle allait prier Thaar pour la soulager mais cela n’arrangeait rien. Ses taches s’accumulaient et les enfants lui prenait de plus en plus d’énergie. Malgré cela, elle voulait être a la hauteur pour supporter son époux dans toute ses taches, la cuisine, ses plante, les enfants, le ménage et tout ce qu’Elle devait faire. Elle semblait amaigrit et plus faible, ayant du mal a soulever son beau garçon de 1 ans. Une matinée, elle sentait cette douleur a sa poitrine plus aigu encore, elle trouva la force pour se lever. Matheo etait parti tôt comme chaque matin et elle ne pue que penser a lui. Elle se dirigea vers le berceau de son fils encore endormi. Elle s’agenouilla pour le regarder entre les bareau, se sentait trop faible pour se soutenir debout. Alors elle chantonna une douce berceuse qui se transforma lentement en priere, demandant a Thaar de prendre soin de son fils, de son epoux, de la petite Maelle…. Un instant un sourit apparue sur ces levres..
-Papy..regarde comme il est beau…
Se fut la fin de la douce servante a la voix d’or….
Post by Mathéo Balgor, AdC - June 3, 2007 at 2:48 AM
Ce matin là, Mathéo s’était levé tôt, il avait moult choses à faire dont continuer le cercueil de l’Archevêque. Comme a son habitude, il embrassa sa douce qui dormait doucement près de lui, et son fils, son petit ange. La journée s’annonçait rude surtout avec la pille de dossier qu’il avait à feuilleter. Maelle, la petite orpheline qu’ils avaient recueillit et qui était déjà levée à jouer avec ses poupées lui sauta au cou et lui souhaita une belle journée. Un matin bien ordinaire, pour le Paladin…
La journée se passa sans embûche, la ronde qu’il avait fait c’était dérouler sans trop de problèmes, qu’un voyou et une vieille femme désagréable. Du moins, rien de trop grave pour lui. Puis il eu le conseil des guildes ou Mathéo fit bonne impression, pour tenter de corriger ses erreurs. Il savait que s’il faisait l’idiot, se serait fini du Paladin Balgor, il devait donc faire de son mieux pour prouver qu’il était encore digne de son titre. Ce qu’il fit heureusement avec toutes les bonnes intentions du monde. Le tout se déroula bien et le retour à la maison s’amorçait, il était épuiser et affamer. Il entra chez lui et s’effondra sur le divan, mains à son visage. Il remerciait le ciel d’être jeune pour supporter physiquement 9 heures de marche, 2 heures de conseil des guildes ainsi que d’innombrable dossier endorment. Il s’assoupit un moment, ayant fermé les yeux, la maison était tellement calme, tout portait à croire que sa douce était sortie avec les enfants pour se promener. Mais après plusieurs minutes passer à somnoler, les cris pressant de Luvios retenti et Mathéo s’éveilla en sursaut ainsi que Maelle. Il s’étira puis monta pour aller s’occuper de son petit ange, peut-être qu’Ema était parti faire des sources?…
C’est une fois dans la chambre qu’il vu sa douce, assise au sol, contre les barreaux du berceau. Il l’observa un moment, curieux.
-**Ma douce? **
Il s’en approcha lentement pour constater qu’elle avant les yeux ouverts et fixait Luvios, elle ne dormait point.
-Emaïlys? Luvios pleure… et….?
Mais elle ne répondit point. Mathéo fronça les sourcils et mis genoux au sol pour observer sa femme. Il la tourna lentement vers lui, et porta son regard inquisiteur dans les yeux froid et vitreux de sa douce.
-Em……a…???
Il comprit alors qu’elle n’était plus là, sa douce, son amour venait de le quitter mais comment? Comment était-ce possible, elle qui semblait si… Puis dans sa tête un déclique se fis, il se rappelait combien sa douce avait perdu de pois, combien son teint était devenu blême et sa peau froide. Il se rappelait n’avoir rien dit, croyant que c’était qu’un rhume ou une simple baisse d’énergie comme il avait souvent. Alors c’était une maladie? Un Mal? Comment avait-il pus êtres aveugle à ce point? Comment avait-il pus ne rien y comprendre… Comment? Pourquoi? Il fixait son visage si froid, si blanc et ses yeux glaciaux. Un pincement au cœur lui pris, il sentit ses entrailles se déchirer et son âme tomber dans un gouffre sans fin, une émotion qui lui paru des heures. Il sera Ema contre lui, il ne pus retenir ses larmes et Luvios qui pleurnichait n’arrangea rien. Le Paladin éclata, c’était plus fort que lui et quand il cria le nom de sa douce par rage et pleure, la petite Maelle compris que sa famille, toute nouvelle, n’allait plus l’être.
Un bon moment passa, Mathéo fini par calmer ses émotions, un homme qui pleure, chose inconcevable pour lui. Il se devait d’être fort, il se devait de se relever oui mais pourtant, il ne le fit pas. Il pris le corps d’Ema et la posa sur le lit et lui fermi les yeux. Elle était encore si belle… Il passa sa main sur la joue de la défunte puis sur ses lèvres.
"O… mon amour… Pourquoi me quitter… si… tôt… Nous étions si heureux pourtant… Si… heureux…"
Il quitta le corps de sa femme pour prendre Luvios dans ses bras, le consola. Le pauvre poupon n’avait sans doute rien mangé de la journée et Maëlle n’avait pas accès aux chambres du haut. Il pris un drap de satin blanc puis recouvrit celle qu’il voulait pour l’éternité, celle qui l’avait quittée trop tôt. Il descendit à la cuisine pour nourrire son fils des plus affamer ainsi que Maelle, sans un mot, sans une seule parole, il en était incapable et chaque seconde était un combat sans merci pour ne pas laisser paraître son émotion. Quand ils eurent fini de manger, Mathéo pris dans ses bras Luvios et par la main Maelle pour les amener aux vestales du temple, sans même un mot. Personne ne comprenait ce qui arrivait au Paladin d’habitude si bavard. Il se montra même froid envers Maelle et les vestales. Il se dirigea vers le bureau de Évêque Carmacil d’un silence de mort pour en ressortire qu’un long moment plus tard.
On racontait dans les quartiers qu’après la visite à l’Évêque, que Mathéo est quitter le quartier, sans même se retourner, habiller en civile. Nul ne savait où il allait, personne sauf l’évêque aurais pus savoir. Il partit tel un itinérant, ailleurs mais où? Personne ne le savait…