A la confrérie Pourpre
Post by Agonie - June 8, 2007 at 2:36 AM
"Cours, encore et encore!"
Le baton de Sorcier d'Argon en main, le "Légionnaire" fuyait, encore tâché du sang du mage-bibliothécaire sur les mains.
Il était entré, laissé des preuves évidente d'effraction tel que des outils de crochetage dans les portes, certaines serrures plus forcées que d'autres.
Il l'avait! Enfin! Une prime qui venait à point dans ces temps difficile.
L'ombre quitta le quartier pourpre, prennant soin de brûler les vêtements de Légionnaire une fois dans sa tannière.
"Cours Renard... Encore et encore"
Post by Argon Zombalèze, Banni - June 8, 2007 at 4:05 AM
Quant Argon appris la nouvelle.. Il fumait de rage.. Ont avait pus l'entendre hurlé sa rage de loin, une collone de feu immense fut appercut de même, ont racontais que les vêtements qu'il portait à se moment la avait été complement carbonisé..
Il ragait et maudissait certain membre de la confrérie..
Les paroles de l'homme se firent entendre par un petit groupe de gitan qui ramassais des branches non loin:
Argon : - J'avais donné ma confiance à la Confrérie!! Et il a fallu que l'Ancien donne mon baton à une femme qui à l'intention de m'accuser d'un meurtre quand par hasard le meurtre s'était produit à ma première emprisonnement de la Confrérie!! Je ne saurai le tolhérer! Je vais devoir avoir une conversation avec l'Ancien une bonne fois pour toute..! Ils vont voir que c'est pas de la rigolade.. Ce faire voler.. Qu'elle bande d'idiot.. Il se font voler dans leur trésorerie! Il change les clefs et pouf encore en train de se faire voler ceux la!!
Ont racontais qu'Argon était hors de lui en apprenant la nouvelle.. Certainne personnes racontais que celui-ci était rendu accro à la puissance que la Baton lui apportait..
Post by Mundus, près de Thaar - June 8, 2007 at 10:52 AM
Mundus entendit la nouvelle et pesta. De grosses veines apparaissaient à ses tempes désormais lisses et imberbes.
- Incompétents et flargorneurs. Ca ne doit pas continuer comme ça. Les imbéciles !
Post by Anonymous - June 8, 2007 at 3:49 PM
On avait pu voir la colère de l'Ancien alors qu'il se déplaçait vers la Confrérie. Visiblement, il était de mauvais poil.
Post by Cassandre D'Estré, Cp - June 8, 2007 at 9:50 PM
Des coups pleuvaient contre la porte extérieure de la demeure, mais cela n'était rien comparé aux cris et grognements de rage qui se faisaient entendre. Le sommeil ne pouvant lutter face à cet affront au silence, la jeune femme ouvrit les yeux.
La chambre plongée dans le noir laissait présager que le jour ne s'était pas encore levé.
A tâtons elle enfila sa robe de chambre en soie, puis jouant avec les trames du réel, elle tissa de sorte que la flamme d'une bougie s'allume. De sa démarche nonchalante et élégante elle se dirigea vers l'entrée. Elle ouvrit pour se trouver nez à nez avec l'économe rouge de colère à tel point qu'elle le cru sur le point de faire une crise d'apoplexie.
- Un meurtre ... UN MEURTRE D... DDAans notre ACADEMIE !!!!!
- Un mort .... Calmez vous ou vous allez vous aussi y passer.
- Le vieil homme prit le temps d'inspirer un bon coup puis se remit à parler.*
- C'est un scandale, il faut que vous veniez .... je ne sais pas par où ils sont entrés.
- Et les légionnaires ?
- L'homme éclata de rire.*
- Les quoi ?? Vous plaisantez pas un seul dans le quartier... il y en a bien un dans les sous-sol mais il garde ... enfin bon. Faut pas compter la dessus.
- Il fallut quelques minutes à la magicienne pour se vêtir et suivre l'Econome. En chemin ils croisèrent deux jeunes apprenti portant une marmite d'un air renfrogné.*
- Je vois que votre passage en cuisine vous plait. Mais laissez cela, et suivez nous. On aura besoin de vos bras pour portez quelque chose.
Les deux garçons se regardèrent et d'un commun accord lâchèrent ce qu'ils portaient. Rien ne serait pire que de travailler aux cuisines.
Le groupe traversa l'esplanade de l'Académie sans rencontrer âme qui vive. Seul le vent et le chant de quelques oiseaux nocturnes semblaient dire qu'il y avait encore de la vie en ces bâtiments.
La porte de la bibliothèque était fracturée. Au second étage se trouvait le corps sans vie de Gayle. Des flaques de sang coagulés tachant le planché à plusieurs endroits. Les signes de lutte étaient visible, tables renversées, chaises éparpillées.
Se penchant sur le corps Cassandre remarqua les nombreux coup de couteau, ainsi que la grande entaille béante au niveau de la gorge. Une odeur douçâtre émanée des plaies.
- Du poison ..*
Se tournant vers étudiants elle leur ordonna de descendre le corps au laboratoire d'autopsie. Puis avec l'économe elle fit le tour du batiment. Ils purent découvrir que de nombreuses serrures avaient été forcées. Dont celle de la petite porte cachée du fond. C'est en arrivant au premier qu'elle vit la porte de son bureau entièrement défoncée. L'intérieur ne présentait pas mieux, les bibliothèques jetaient au sol, ses papiers et documents disséminé dans toute la pièce.
Il fallut de longue heures pour faire l'inventaire de ce qu'il manquait. Elle y passa son temps jusqu'à sa rencontre avec l'ancien.
Post by Cassandre D'Estré, Cp - June 9, 2007 at 1:19 AM
La Chercheuse observa l'Ancien se détourner et repartir. Peu de temps après des légionnaires envahirent les couloirs et se positionnèrent aux entrées.
La jeune femme, le visage impénétrable, quitta les lieux à présent bien protégés.
Post by Cassandre D'Estré, Cp - June 12, 2007 at 1:27 AM
La nuit était sombre. Le vent faisait voler sa cape. L'embruns au doux parfum d'iode caressait son visage tandis qu'elle se perdait dans la contemplation de la lune.
Malgré son apparence impassible, la tension lui nouait les membres. Tant d'espoir et de recherche.
Un sourire sans joie vint flotter sur ses lèvres. Bientôt elle l'aurait entre ses mains.
Un mouvement dans son dos, une présence à ses cotés. Un homme .. peut-être, il fait noir à présent et la lune n'est pas encore levée. De plus une grande capuche voile son visage, seul les yeux scintillent doucement. La silhouette lui fait signe de la suivre.
Le lieux est sordide, l'odeur des étales de poissonneries imprègne l'air. La batisse tombe en ruine, des plaques entière des murs sont recouvert de moisi.
Sans un mot on lui tend le précieux objet. Elle l'observe longuement faisant courir ses doigts dessus. Puis avec précaution l'enveloppe.
La transaction est presque fini sous peu elle devra en payer le prix. Sur le chemin de retour, le poids de l'artefact se fait ressentir.
Arrivée à l'Académie elle reste un long moment immobile regardant la porte de la batisse. Puis finalement se dirige vers une des nombreuses salles secrètes.
Y dépose le baton. Sous peu l'Ancien recevra une missive de sa part. Stipulant que l'artefact perdu est retrouvé et qu'ayant failli elle a déshonoré la Confrérie. Elle se retire donc laissant à d'autre le soin et l'honneur de poursuivre.