un chemin sans retour...

un chemin sans retour...

Post by Natys Sephïos Thalindel - August 8, 2007 at 9:47 AM

Trevor :

Avant tout un ami, puis ensuite un fidèle Soldat, doublé d’un guerrier sans égal je te lègue ma petite richesse. Tout mon or, mes armures. Tu trouveras le tout dans une demeure que je te lègue, celle du port. Il y a beaucoup d’article pour toi, tu les as mérité. Tu as été un ami et bien plus encore, vie heureux, sert celui qui le mérite et aime Anna sans retenu.

Saevan :

Tu obtient ton Garde de Caporal, tu en es digne. Le geôlier te remettra les articles nécessaire à l’application de tes nouvelles fonctions. Tu es digne de l’armée, j’espère qu’Avec toi elle perdurera.

Xan’thiir ;

Père, je vous lègue mon repère et tout les artefact magique susceptible de vous servir. J’espère que vous êtes fière de moi, j’ai été honorés d’être votre fils, même dans la mort, je servirai celui qui m’a guidé. N’ayez crainte, je restera fier, malgré mon échec père…j’ai failli à ma tâche

Anar :

Je t’aime ma douce…je ne te l’avais jamais vraiment dit…maintenant tu le sais et jamais je n’avais oser prononcer ses mots pour quelqu’un d’autre… Prend ma demeure dans les cartiers Riche et profite en. Je ne t’oublierai pas peu importe ou je vais.. j’espère que tu te débarrassera enfin de Lolindir…c’est un poids pour toi et tes progéniture…Prend soin de toi ne m’oublie pas, j’ai échoué, une fois de trop

Puis Halik disparut…soudainement, sans laisser de trace…une seul autre missive avait été envoyé dans les cartiers de l’ordre…au Haut-Paladin Kalidor…

Sa vie achevait sans aucun doute il avait échoué...mais il lui restait une tâche pour se racheter face à son dieu qu'il avait déçu...


Post by Feu-Ange Noir - August 9, 2007 at 7:10 AM

Halik avait échoué une fois de trop…Il avait échoué oui…craqué….une sorte de rupture lui avait soudainement fendu l’âme. Cela devait arrivé, il y avait déjà plusieurs fissures en lui. Le messager de Yagshul, l’ange noir, Corbeau, Halik…il avait, avec le temps, mêler ses personnalités à un tel point...

Débutant comme misérable criminel il fut accueilli par Renard qui le nomma Corbeau. Son entraînement fut rude, son orgueil mutilé et sa personnalité changea. Il passa de vulgaire pilleur à Assassin de talent en quelques années, la réputation de Corbeau fit rapidement son chemin. Il était le bras droit d’un important dirigeant d’un groupe nommé La main Blanche. Il fit un peu d’or, s’établie et gagna un poste respectable dans l’armée. Halik et Corbeau était deux personnes distincte qui évoluait indépendamment pendant un temps. Riche, reconnu et connaissant beaucoup de succès, il passa ainsi ses trois premières années en Systeria. Caporal de l’armée et nouveau dirigeant de la main blanche il ne pouvait espérer mieux. Sa première faiblesse fut de perdre la maîtrise total de ses hommes … la main blanche tomba…des homme moururent…il avait échoué

Fissure…

Halik du se ranger un moment, il se concentra sur l’armée qui brillait sous son contrôle. Il continuait de pratiquer quelques activité illégal, un jour sa soif d’or le coinça…il échappa de justesse à l’emprisonnement, du quitter l’armée, la ville et se réfugier dans une grotte lointaine appartenant à un de ses preudo-ami qu’il manipulait si bien. Là il chercha un sens à sa vie, il fut réfugier en ce lieu aussi longtemps que ses vivres le lui permis. Il maudissait sa faiblesse, son incompétence… Encore…il avait échoué…abandonné l’armée et risqué sa vie inutilement pour de l’or…

Fissure…

Puis, quelque chose de nouveau, Yagshul vint le voir et lui accorda une chance de se reprendre…Ce rêve changea sa vie, il décida qu’à ce moment, il serait ferme, sans faille, il se montrait digne de son père et de son nouveau dieu.

Il refit surface, terrassa l’homme qu’il l’avait mit dans une tel situation lors d’un procès mémorable, son avocate était parfaite et le dossier si complet que personne n’aurait pu le condamner. Ensuite, il mit sur pied un culte, un culte qui resta discret mais qui tuait sans relâche. Il avait rassemblé assez de sang de Thaarien pour satisfaire la soif des dieux qu’il servait maintenant. Son équipe étaait sans faille, parfaite, idéal. Naquit l’ange noir, le messager de Yagshul avec pour seul but de servir son maître avec encore plus de fanatisme que le plus croyant des disciples de Thaar.

Halik menai à nouveaut deux viest. Deux vie emplie de responsabilité, de devoir, de risque. Leur seul point en commun était sa haine pour l’ordre. Autant dans l’armée qu’avec son culte il haïssait à mourir tout ce qui portait le moindre signe de l’ordre du Soleil, culte de Thaar. Puis vint le jour ou la fissure ultime se forma. Halik craqua, trop de poids trop d’ennemi, trop de risque. Il était devenu redoutablement puissant, redoutablement riche, mais il en portait trop, ses jambes allait fléchir, son mental flancher…

Fissure…

Halik craqua, il ne savait plus qui il était, ses vies multiples, ses changements récurant. 138 ans de vie, 138 de chaos et de désordre. Maintenant, qu’il servait Yagshul il n’avait plus droit d’être faible, plus le droit d’échouer ou de perdre le contrôle. Mais ce qui devait arriver arriva... il ressentit de l'amour. Il le renia, le refusa et tapis se sentiment au plus profond de son être continuant cette vie à un rythme effrénés, rien ne pouvait maintenant ralentir sa course et le ravin était prêt.

Yagshul lui confia une importante mission en rêve, une épreuve qu’il ne pu se résoudre à exécuter. Il ne pouvait tuer celle qu’il aime, même au nom de son tout puissant dieu, celui qui l’avait sauvé 3 ans auparavant, celui qui le guidait. Anar était la demi-elfe parfaite pour lui, mais elle n’avait pas ce qu’il fallait pour Yagshul, elle avait un cœur beaucoup trop pur, elle était sensible et ils étaient amoureux l'un de l'autre, c’était sa faiblesse et c’est pourquoi Yagshul lui demanda, toujours en rêve, de la tuer, pour se sauver lui, L'ange noir, le messager du Prince des Ténèbres. Il ne pu le faire… Son être était déjà fissuré de toute part, il avait trop souvent échoué, abandonné...maintenant il était trop tard, il ne tuerait pas Anar et ne renierait jamais son dieu, il subirait la punition adéquate…

Il lui fallut moins de 48h pour rassembler tout ce qu’il lui fallait. Ensuite, il laissa une note au gens qui avait de l’importance pour lui, non il ne les aimaient pas, mais il l’avait mérité pour leur fidélité.

Une fois ses choses règlé, Halik quitta sur sa monture en direction des plaines nordique. Il emmena avec lui un peu de vivre, ses armes, son armure, rien d’autre.

quelques part dans la ville, sur une maison quelconque avait été laissé une note...

Maître, je vous quitte, une épreuve sans échappatoire m'attend. Je dois subir la punition adéquat.


Post by Agonie - August 9, 2007 at 7:22 AM

Passant prêt de la dite maison, il ne put s'empêcher de lire la note. Un sourire s'étira sur son visage.

"à tout de suite Disciple"

Déchirant l'obscurité au galop, la forme toute de mortine armurée quitta la ville, se dirigeant vers le nord

Plus jamais, il avait promis. Et pourtant, la dernière traque du Renard avait bien lieu. Le regard plongé dans le vide, il réfléchissait


Post by Natys Sephïos Thalindel - August 9, 2007 at 7:28 AM

Frrrrrr

Le bruit du vent faisait battre le tissu de la toge d’Halik dans le vent. Les plaines étaient froide et risqué, il devait les traverser, il savait que c’était quelque part ici que se jouerait son destin. Son armure était lourde, glacé et son cheval mort depuis de froid depuis déjà un bon moment. Plus beaucoup de nourriture, plus beaucoup de force, son voyage achevait. Pourquoi ici? Pourquoi son dieu l’envoyait-il dans cet endroit si repoussé, si reclus… Il n’avait plus de force, même s’il en avait tué plusieurs le prochain Throll de glace viendrait à bout de lui. Il s’arrêta au pied d’une falaise, sortie ses silex et étala les quelques branches qu’il pu trouver dans un même tas. Il alluma un feu, but, mangea et médita. Il était faible et n’arrivait plus à ce concentrer comme avant. Yagshul ne lui répondit pas, il le laissait à lui même, il devait trouver à quoi tout cela rimait ou il mourrait. Peut-être que c’étais ça…la mort? Mais pourtant…il savait que la mort serait une punition trop minime pour tout ce qu’il avait fait, il souffrirait, il en était sur, son incompétence lui coûterait bien pire que la mort.

Assied dans la neige, protéger du vent par la montagne il resta immobile, les jambes croisé, un long moment, très très long moment. Il ne trouvait pas de réponse. Ses derniers jours, sa perception avait changé. Il comprenait ses erreurs mieux que jamais, mais il était trop tard pour réparé, il ne lui restait qu’à se faire pardonner, qu’à prouver qu’il valait mieux qu’un aveugle de Thaar, mais comment?

Son amour pour Anar se transforma lentement en haine puis en regret. Son ami, son seul et unique ami était maintenant à ses yeux faible…fragile…Quant à son maître il le voyait plutôt comme un pathétique homme d’or qui avait eu peur et c’était retiré au dernier moment.

« quel abrutit d’avoir vécu toute sa vie dans la peur et avec comme seul motivation l’or… »

Puis plongé dans ses réflexions, il n’entendit pas arriver l’homme…


Post by Agonie - August 9, 2007 at 3:06 PM

La cavalcade avait été longue et tortureuse. Ses peaux de bêtes commençaient à être gelée et son nez coulait. Emmitoufflé dans ses vêtements, seules ses mains gantelées sortait pour tenir les rennes du cheval qui peut à peu s'essoufflait.

"A quel stade en es-tu Corbeau... Es-tu déjà à nous maudire? Ne va pas trop vite surtout... Pas avant que je ne t'ai trouvé!"

Les minutes devinrent des heures, le froid le gelait peu à peu lorsqu'enfin... la fumée, une délivrance, il le savait, c'était lui.

Descendant de sa monture, dégainant sa lame, il s'approcha avec lenteur, mais sa proie du jour ne l'entendrait pas.
D'un ton moqueur il lui lança :

"Toujours aussi nul pour te débrouiller en climat peu hospitalier... Tu es triste à voir Halik... C'est à peine si je voudrais te cracher dessus... J'espère que je ne t'ai pas trop fait attendre!"

S'accotant au mûr, il le fixait, les yeux presque clos par la fatigue et le froid, le souffle court, le dos légèrement courbé, il souriait.


Post by Feu, Arthas Menethil - August 9, 2007 at 6:11 PM

Il y était, la caverne des damnés, il y passa un bon moment, le froid était rude et dur mais cela ne l'empêchait pas de purifier cette caverne au nom de Thaar. Dans toute sa puissance il pourfendait les âmes maudites une a une tel un bourreau des damnés. Il usait des saints dons de Thaar qui lui fut donner pour augmenter la portée de son dieu dans ce lieu.

La caverne vint rapidement s'illuminée d'une lueure orangée telle une flamme, pyro l'attendait a la sortie, le vent s'était levé et le froid ne l'atteigniait pas mais Pyro lui, sa monture n'était pas du même avis...

Il se mit a galloper dans le froid tel une flamme ayant pris brasier dans le sol glacé, sa quête était achevée, la caverne nordique damnés était désormais purifiée...Pour le moment. Il gallopait aussi rapidement que Pyro le pouvait !

Puis, il s'arrêtant un moment, dans le froid et le vent, ornée de son armure de feu, illuminant les lieux, fixait de loin les formes près de la colline, sans les voirs distinctement, il resta un moment a les fixer malgré le vent et la neige diminuant sa plus grande visibilitée. Il tentait d'au moin percevoir si elles étaient mortes ou vivantes. Paraissant comme une flamme, il leva la main portant sa fidèle lame, sanctis au long de tout son bras, celle-ci illuminait visiblement de joie d'avoir pu déchirer la chaire corrompue au nom de Thaar.

Puis il partit aussi vite qu'il était passé, mais il se questionnait toujours sur ce qu'était ces formes, mais l'heure n'était pas au questionnement, l'heure était à la prière, retournez près de ses frères d'armes et de foi.

-La flamme se dissipa lentement dans le blanc de la neige nordique et immortelle, laissant ses traces à savoir qu'il fut passé par là.-


Post by Feu-Ange Noir - August 10, 2007 at 2:46 AM

Halik leva la tête et regarda Renard. Il prit un long moment et fini par se lever lentement, décoirsant ses jambes portant une main lente à son Kriss de mortine. Il prit ensuite son bouclier Noir comme la nuit et craqua son coup. Le vent Glacial lui fouettait le visage, un mélange de surprise et d'exitation lui faisait battre le coeur. Il se mit à réfléchir à une vitesse ahurissante.

" Que faisais Renard ici? son ancien Mentor...Oui...sans doute était-il l'épreuve ultime. À défaut d'avoir refuser de tuer la femme qu'il aimait, il devrait tuer l'homme pour qui il avait eu tant de respect, l'homme qui lui avait tout appris, un homme à qui il devait la vie... C'était dont sa, l'épreuve..."

- Pourquoi es-tu ici? Comment m'as tu retrouvé? Que me veux-tu?

Au loin, un lueur orangé passa lentement dans le décors, mais avant qu'Halik ne pu cligner des yeux pour s'assurer qu'elle était bien vrai, elle avait disparut, il reporta donc toute son attention sur Renard...


Post by Xan'thiir Telfyr, CP - August 10, 2007 at 3:09 AM

- Ou es-tu mon fils?
En position de médidation intense, des profondeurs de son repère, Xan'thiir ce concentrait durement. Toute son énergie était focuser pour retrouver l'esprit de son fils.

Un frisson lui parcourru l'échine
- Tu es dans un endroit de glace... mais pourquoi?

Un sentiment fut ressentit, celui de la honte.
- Pourquoi es-tu partis?

Un linge imbibé du sang de son fils, lui servait de focus. Il voyait de plus en plus clairement la scène qui entourait Halik.
*- Mon fils attention, cette homme est la pour te tuer... * Dit Xan'thiir, a voix haute, le son retentissant sur les parois rocheuses.

Son fils ne pouvait pas l'entendre, il ne pouvait pas le voir, ni ressentir sa présence magique. Il était impuissant...

Xan'thiir assisterait impuissant à la scène qui suivrait, peut importe le résultat. Il devait assister à la dernière épreuve de son fils...


Post by Agonie - August 10, 2007 at 3:38 AM

Il le fixa et sourit.

"Une promesse est une promesse jeune apprentit. Tu as eu le moment de déblocage complet, je suis venu atténuer tes souffrances. Tes plaintes sont parvenuent jusqu'à mes oreilles. Il est l'heure pour toi de payer pour tes crimes. Je suis la juste Lame qui de sa pointe transperçera ton coeur. Je suis le jugement, qui de son marteau d'Ebène t'écrasera sous tes erreurs. Trembles Corbeau, car il est l'heure pour toi de te défendre, tuer ou être tuer."

Il se mit en position de combat, son bouclier bien placé devant lui, le pas sûr, il avança vers lui.
"Respire profondément, profite de cet instant, ton épreuve commençe..."

Et il se rua sur lui...


Post by Natys Sephïos Thalindel - August 10, 2007 at 4:01 AM

- ne m'apelle plus ainsi! Corbeau est mort il y a longtemps, il est mort lorsque je t'ai surpassé Renard. Tu es t'es rangé et à tout abandonné. Tu ne me fais plus peur, tu es faible, l'élève à depuis bien longtemps surpassé le Maître.

Halik n'eu pas le temps de s'éterniser plus longtemps Renard fonçait déjà sur lui. Il le va son bouclier pour parrer le premier coup et riposta d'une habile feinte que Renard contra encore plus habilement. La tempête s'intensifiait, mais l'énergie déployé lors de ce combat fit oublier au deux adeversaire tout le reste, seul comptait le moment présent. Halik devait saisire cette dernière chance qu'il avait de se rattraper et Renard lui ne pouvait commettre de faux pas, rapidement il se rendait compte que ''Corbeau'' n'existait plus, il avait été remplacé par quelques chose de beaucoup plus puissant...

L'ange se déchainait, son voyage l'avait épuisé, mais il avait retrouvé toute ses forces dès le début de l'engagement. Les deux Kriss s'entre choquait avec une force et une rapidité Sidérante, ni l'un ni l'autre ne semblait avoir l'avantage, jusqu'au moment ou Halik perça le bras de son ancien Mentor, traversa la maille de son armure et lui fit perdre son bouclier. Il lâcha un crit de douleur sur le moment, mais dut vite se resaisir pour éviter d'être tué. Halik eu un sourire tordu sur les lèvre et repris ses attaques de plus bel. Renard devait changer de tactique, sans bouclier, à ce Rythme il serait tué par ce qu'il venait de qualifier de crachoire, il adopta donc un style beaucoup plus fluide, axé sur la vitesse et l'esquive.

Halik quant à lui remarqua se changement et décida de se défaire de son bouclier, pour tenir tête à son opposant, ce style de combat des plus meurtriers étaient aussi plus risqué, il savait qu'il devait se surpasser pour tuer son adversaire. En tête lui revint, plusieurs moments, humiliant, frustrant, des échecs, sa colère le rendait plus fort, plus puissant...

Les lames s'entrechoquèrent une fois de plus et s'immobilisèrent un moment, menant à une épreuve de force entre les deux hommes. L'ange regarda son ancien maître droit dans les yeux et prononça ses mots.

Puis, les adversaires se repoussèrent d'un même geste, épuisé, la respiration halletante.

Renard resta muet, l'air désespéré

Et Halik se rua sur Renard l'attaquant avec le peu d'énergie qui lui restait, Renard cèda finalement suite à un violent coup de pied au genou et roula dans la neige. Halik, ne se fit pas attendre il avait devant lui Renard, sans arme, à sa merci. Il leva son arme, un air soulagé sur le visage et juste avant d'enfoncé sa lame dans le corps de son adversaire, il leva la tête vers le ciel.

- Tout les infidèles paierons ainsi de leur vie! J'en fait le serment au nom de Yagsh...

Il n'eut pas le temps d'en dire plus, un gout âpre lui emplit la bouche, un liquide chaud coula sur son armure. Il baissa le regard, une dague planté au bonne endroit, dans la faille de sa cotte. Il tomba à genou...toute ses forces le quittait, le froit, la blessure et la fatigue allait avoir raison de lui.

Renard était là, allongé sur le sol et hocha négativement la tête.


Post by Agonie - August 10, 2007 at 4:33 AM

"Crétin... C'est cela... Un véritable crétin... Tu ne comprends donc rien? Je n'avais aucune envie de te tuer... D'ailleurs, je ne t'aurais même pas blessé si l'opportunité m'était venue...

Tu es un sans honneur, un lâche... Inccapable d'éprouver de la loyauté envers quelqu'un... Le dieu que tu pries... lui aussi un jour tu lui feras dos... Je te laisse ici, comme le misérable que tu es.

Ton épreuve touche à sa fin... Voici l'ultime épreuve... Survivre.

Pourtant, je t'aimais bien...

Oh, pour ton information personnelle, si j'ai tout arrêté, c'est parce que j'ai une famille, des gens qui comptent sur moi, quelque chose à quoi me raccrocher.

Tu aurais pu avoir la même chose, mais tu as été trop égoïste...

Ton épreuve touche à sa fin... Voici l'ultime épreuve... Survivre."

Il tourna les talons et repartit par le même chemin d'où il était venu, une once de peine lisible dans les yeux, son bras déjà bandé pour ne pas que la blessure s'infecte. Sa dague elle, gisait encore dans le corps sans vie de son disciple... son ancien disciple...


Post by Feu Trevor - August 10, 2007 at 5:41 AM

Couché dans son lit à la demeure des Sorgrad, il songeait. Son ami, celui avec le quel il avait vécu tant d'épreuve était parti.. pour assurément ne jamais revenir. Il sentait le lien télépathique qu'il entretenait avec Halik dépérir. Il le sentait, il le savait, Halik, l'Ange Noir, Corbeau.. ils ne leurs restaient pas longtemps à vivre, peut-être étaient-ils déjà morts.. Un pincement au coeur le saisit, ses yeux s'embrûmerent.

- Je t'aurais accompagné n'importe où.. si tu me l'avais demandé. À deux nous saurions venu à bout de n'importe quelle épreuve, de n'importe quel ennemi. Si tu me l'avais demandé.. Tu es parti trop vite, vieux.. oui.. trop vite..Nous nous reverrons un jour.. dans un autre monde, dans une autre vie.. Adieu..

Il ferma les yeux et s'endormi, épuisé. Dans quelques heures, il se réveillerait, avec la femme qu'il aime à ses côtés.. Une nouvelle vie l'attendait.


Post by Anar Al Kazar, AdM - August 10, 2007 at 7:47 AM

Le froid qui glaçait sa peau, la neige tapant sur sa toge de rôdeur, son sang glacé et son regard perdue fixant l’immensité nordique qui s’étalait devant elle… Ce monde si aride, si loin de tout… Ce monde d’hiver éternel, pourquoi y était-il? Halik… Pourquoi? Elle se tenait immobile, droite comme une statue à la limite de la frontière qui séparait deux royaumes bien différents. Elle marcha vers l’auberge du Nord et y entra pour s’avancer vers l’aubergiste. Elle prise place sur un banc, l’aire maussade et froide comme ce monde.

-Bien le bonjour ma p’tite dame, qu’est-ce que ça sera?
-Mettez-moi dans un sac du lard salé, du fromage et du pain.
-Tout de suite!

L’aubergiste revint un moment plus tard avec un grand sac de vivre et Anar posa sur le comptoir une bonne bource d’or au grand plaisir du patron.

-Dite moi… Auriez vous vu passer un elfe noir ressemant? Grand, costaud, cheveux gris?
-Heum… Nop, pas du tout.
-Embêtant….

Anar prit son sac et marcha vers la sortie de l’auberge.

-Oh! Ma p’tite dame! Vous-allez pas dehors j’espère! Dit-il à la rôdeuse qui stoppa son pas mais ne se retourna pas. Vous el savez p’têtre pas mais y’annonce une grosse tempête de neige pour demain!

Anar rigola un moment, l’aubergiste haussa un sourcil de surprise.

-Je ne crins pas le vent, la neige ou le froid… Si je dois y mourir alors ce sera mon destin… Lança-t-elle en sortant d’un pas décider.

« Oui, mon destin… Celui que j’ai mêler au tien… »

Elle marchait dans la neige, tentent d’ignorer le froid et le vent. Toujours elle marchait, espérant trouver la trace de son âme sœur. Ses sens accrues la guidait en ce paysage dépourvu de chaleur et de vie. Oh il y avait bien un ou deux serpents de grâce mais quelque chose les empêchait de l’attaquer, comme s’ils voyaient en elle une fureur comparable à la leurs. Ils l’observaient passer, affronter ce qui serait pour elle, une terrible réalité. Elle savait qu’il était là, perdue. Elle ressentait Halik dans chaque coup de vent la fouettant. La tempête lentement se levait, elle devait faire vite avant que ses pas ne disparaisse à jamais. Elle chercha longtemps, elle chercha sans relâche quelconque pistes, une infime trace. Les heures passèrent, la rôdeuse ne perdait pas espoir et s’avait jurée qu’elle le retrouverait, qu’il soit vivant ou mort. La nuit tomba comme la mort, comme la guillotine. Elle était à bout de force mais continuait encore et encore, suivant son instinct de chasseur, suivant son cœur. Elle le trouverait, elle le savait et c’est ce courage qui la maintenant debout.

« Halik… où es-tu….? Pourquoi cette douleur, ce mal au fond de moi? Où es-tu!?»

Anar avait un lien très fort avec lui, c’est que qui lui avait permise de le suivre presque à la trace mais l’avait perdu de vue, au détour du chemin. Il était un être discret et difficile à suivre même pour la rôdeuse qu’elle était. Le traquer dans ce royaume blanc allait être ardu voir presque impossible. Il était là elle le savait et elle ne l’avait pas suivie pour le perdre une 2ème fois, ça non. Elle l’appela, cria son nom mais en vain, aucune réponse que son propre écho, la neige devenais de plus en plus épaisse a mesure que la tempête se levait. Mourir dans le froid? Jamais! Elle n’avait pas réussi à trouver sa trace, il était trop tard la tempête avait tout recouvert et s’il était mort, lui aussi. Elle prise place sur un rocher, observa le ciel puis au loin, se forçant à affronter le froid glacial. Elle pensa à Halik, au joie et au peine qu’il lui donna. A sa seconde vie qu’il lui avait offert. Elle tenta de ranimer le lien télépathique qu’elle avait avec lui, et tenta de se concentrer suffisamment pour qu’il entende sa voix. S’il était vivant, si ce lien pouvait être réanimer elle saurait ou il serait, avec exactitude. Elle se concentra avec force sur l’elfe noir et senti le lien revivre enfin.

« Qu’est-ce que tu-crois toi… Halik?… Tu te crois lâche? Faible? Tu devais donc partire pour payer de ta vie tes erreurs? La mort ne t’apportera rien, non, rien du tout. Tu crois que j’ai passé ce pacte avec toi pour te voir ruiner ma vie? Pour que tu me détruises? Tu crois que tu es débarrasser de moi? Pauvre de toi, je ne te lâcherai jamais, tu m’entends, Halik? Je ne connaîtrai aucun repos tant que je ne t’aurai pas retrouvée. Halik! »

Et à chaque mot, Anar mettait de l’ampleur au signal de sorte à le réveiller.

« Tu es lâche … Oui, c’est vrai que tu l’es. Et tu te laisse mourir comme un crétin. Tu ne te bats pas pour ta vie, tu te bats parce que tu es stupide. Mais qui est plus stupide entre toi et moi mon ange? Toi qui va au bout du monde pour mourir ou moi qui te cherche? »

Soudain, Anar leva la tête rapidement, elle ressentait une présence négative autour d’elle, elle se retourna et tombas face à face avec un énorme serpent des glaces, il la fixait de son regard mauvais. Elle le fixa de même, puis sourit.

**-Que me veux-tu toi? Mon frère? Laisse-moi… **

Le serpent lentement ouvrit la gueule, les crocs dégoulinant de bave. Anar soutenant ardemment le regard du serpent géant puis après un moment, l’immense reptile d’un hochement de tête pointa le nord. La rôdeuse se tourna vers la direction que le serpent lui montra et vu au loin une faible lueur clignotante. Qu’était-ce? Elle grimpa sur la montage, le vent y était étrangement moins fort. Elle avance à pas de loup jusqu’à ce que la lueur devienne plus forte, plus visible. Et au moment où elle posa son regard sur ce qui était un feu, elle aperçu dans la neige une grande forme noire, étendu. Son cœur se serra fortement, elle ressenti en elle une terrible douleur à la poitrine. Oui, c’était lui, elle en était sur, c’était lui! Elle sauta en bas de la montagne, atterris non-loin de lui et s’approchant lentement à quatre pattes. Son visage se crispa, elle venait de mettre la main sur une grande flaque de sang glacé, elle regarda ses doigts, puis Halik. Elle le retourna sur le dos et vu la blessure. Lentement elle sera l’elfe noir contre elle, observant son visage froid comme le marbre. Était-il vivant, mort? Elle était trop geler pour pouvoir sentir le cœur de l’elfe noir. Elle enfouit son visage au creux du cou d’Halik, le serrant contre elle.

« Voilà donc la fin, la mort qui nous sépare… Étais-ce ce destin, qui nous unissait? Étais-ce un destin de haine ou d’amour? Halik… Moi non plus, je ne pourrai t’oublier, non… jamais… »

Une larme coula de long de sa joue, une larme brûlante de colère et d’incompréhension. Tenant le corps de l’elfe noir entre ses bras, le serrant fort de plus en plus alors que sa peine l’immergeait. Elle posa sa main ardente sur la dague qui avait tué son âme sœur et d’un geste rapide, furieux elle l’arracha de sa chaire. Elle allait la garder, comme dernier souvenir de celui qu’elle avait su aimer malgré tout. Un souvenir pour que sa colère ne meure pas, pour qu’elle se rappelle à tout jamais ce qu’elle était devenue, à cause de lui…


Post by Agonie - August 10, 2007 at 5:01 PM

Galopant, déchirant la nuit des bruits de sabot sur la neige, comme un craquement soudain à chaque foulée de son cheval. La vertes plaines de Systéria lui fesait déjà regretter son geste.

Levant les yeux vers le ciel, il vit le visage des gens qu'il aimait. Halik surtout, qui comme à son habitude, prennait son air frustré.

D'un coup, il se mit à rire, continuant à galoper, il savait que son disciple méritait le temps qu'il lui avait offert. Le doute lui, persista...

"Est-ce vraiment la vie à laquelle j'aspirais... Mon amour, puisses-tu pardonner mes actes, mes fautes, j'ai failli à ma promesse."

La plaie saignait abondemment, la tête lui tournait, partant doucement sur le côté, il tomba de sa monture au galop.
Allongé sur le sol, il souriait, malgré la douleur qui l'endormait.
La main tendue vers le ciel, il marmonnait.

"Thaar... Puissiez-vous m'offrir la miséricorde. Clémance pour l'homme qui toute sa vie s'est voué à l'ombre... Pardonnez moi pour mes pêchers car ils étaient tentations, car ils étaient tourmant..."

Faible, il se releva, titubant jusqu'au camp gitans, il se traîna sur les derniers mètres jusqu'à sa caravane, leur caravane. Le bras tombant, il s'endormit comme une masse, caressant entre ses doigts l'étoffe que portait jadis sa femme et la dague que la deuxième femme de sa vie lui avait offert, le métal chaud de celle-ce le bordant vers le royaume des rêves. Faiblement, il s'exclama...

"Halik... Mon ami, mon frère, à très bientôt..."

et il s'endormit...


Post by Lili - August 10, 2007 at 5:59 PM

Un sursaut, un événement qui peut réveiller une bête peu importe où elle dormait. Un lien si fort qu'il se rompt, d'un seul coup. La bête ne pu que se lever et faire les milles et un pas dans son antre. Aucun son ne lui parvenait, mais pourtant, elle savait.

Cauchemard éveillé. La démone se mit à briser les souvenirs qui lui restaient, colère, angoisse. Depuis trop longtemps elle avait été endormie et plusieurs personnes cette nuit là rêvèrent qu'ils étaient observés, constemment épiés, d'une façon malsaine et obsessionnelle. Les transformations ne s'étaient pas répétées depuis bien longtemps, rien ne l'avait provoquée non, jusqu'à ce jour.

Puis la bête gronda...

" IIIImmmbéciiiiiillle.....!!!"

Elle vociférait, seule avec elle-même, perdant le contrôle de son sang démoniaque.

Les multiples marques à son corps s'agitaient, traquaient, sans même avoir à bouger, le tout ne durant qu'un très court moment, jusqu'à ce que la violence de son éveil ne la rendorme. Un lien aussi vite renoué qu'il fut rompu. Oui, comme à chaque fois qu'ils s'étaient croisés, depuis.

Enchainée dans ces lieux où elle restait tapise, retombant dans cet état de béatitude, elle s'éveillerait sans doute à nouveau, bientôt. Car lorsqu'on éveille la bête une fois, elle ne se rendort que très brièvement...


Post by Feu, Arthas Menethil - August 10, 2007 at 6:27 PM

Le froid, il ne s'en souciait pas, sa fidèle armure lui protègait de la majoritée des intempéris, mais ce qu'il redoutait était le mal détenu dans le nord, il sentait quelque chose se passé, un mal qu'il n'avait jamais senti dans ces terres reculées et vide de vies. Il s'y attardait un instant, continuant de galloper dans les neiges immortel, il du se trouver un habrit.

Ce nord avait quelque chose qu'il n'aimait pas. Il tomba nez a nez avec un temple en ruine...Un temple ? Dans le nord ? Hé bien, Thaar était avec lui ! Il y emmena Pyro afin qu'il s'y réchauffe un instant. Il trainait un grand nombre de vivre et Arthas ne mangait que peu, il passait la majoritée du temps a prier Thaar. L'Écho de ses prières se fit retentire un instant dans les montagnes, puis dans les plaines eneigées.

Il réouvrit les yeux seulement lorsqu'un bruit d'impact se fit retentire.Qu'était-ce ce bruit ? Des combats ?! Impossible...Nul ne vie ici ! Ces terres sont peut-être mortes mais elle reste tout de même mortes de vie et d'âmes...

Arthas était des plus intrigué, il grimpa au sommet de la montagne à la quelle acceuillait le temple. Le vent soufflait, il n'y voyait rien, mais il s'efforcait d'y habituer sa vision malgré la neige encombrante. Les bruits l'aggaçait, non pour l'avoir extirper de sa prière pour Thaar mais il avait piquer sa curiositée.

De l'aide... Peut-être ont-ils besoin d'aide ? Je déteste ce genre de situation ! La neige me cache tout !...Un feu...OUI ! Un immence feu ! Cela pourait peut-être attirer l'attention ?

Le vengeur se dirigeat de nouveau dans le temple abandonné, y cherchant table, chaises et vieux livres ayant aucun rapport avec la divinitée Thaarienne, après tout...C'est peut-être de l'aide qu'il leurs faut mais il ne faut pas négliger les saints documents pour autant malgré leurs états. Il traina donc toutes ces découvertes sur le haut de la montagne du temple les déposant et empilants un a un afin qu'ils puissent tenir.

Torche en main, il fixait un instant les débris accumulés, visiblement songeur du résultat. Il ne savait pas si se serait ennemi OU allié, mais qu'importe... Il faut aider même les âmes en peines ! Alors il y jetta sa torche et dans une explosion le feu jaillit d'entre les neiges, reflettant sur l'armure qu'il portait. Les flammes dancait et montaient malgré le manque d'oxygène dans ces terres, ce qui surpris le vengeur un instant.

Reste plus qu'a voir si un résultat se fera...

Il resta un moment devant le feu, fixant l'horizon à l'affut de tout signe de vie avant de retourner dans le temple pour poursuivre sa prière.

Puisse la lumière de Thaar éclairer ces terres oubliées et réconforter les coeurs blessés


Post by Feu-Ange Noir - August 10, 2007 at 10:13 PM

Étendu, entre la vie et la mort, il souffrait. À peine quelques minutes après que Renard soit partit, il sentit venir près de lui quelqu'un, mais, inconscient, il ne pu ouvrire les yeux ou même bouger l'un de ses membres, il avait l'esprit tourmenté tellement d'émotion lui venait de toute part...Belle...Anar...Renard. Les liens télépathique se rompaient les uns après les autres, seul son père n'osait pas l'abandonner avant qu'il ne soit complètement mort...

Il eu l'impression que quelqu'un le touchait, que quelqu'un lui venait en aide, mais sans succès... Il ne pouvait répondre au doux contact de sa bien aimé qui pleurait sur son corps.

<<Ai-je été à ce point stupide?>>

Il remuait sans cesse cette pensé...

<<ai-je été à ce point aveugle>>

<<Pourquoi... d'où vien tout ce doute, cette agitation..?>>

Confus, il ne savait plus, il ne se souvenait plus pourquoi il avait choisit ce chemin jadis. Richesse, puissance, contrôle... Voilà pourquoi...C'étais la raison de vivre de Corbeau. Après un temps tout ceci lui avait semblé si éphémère... Il avait vécu dans le luxe, goûté au pouvoir et exerçait son contrôle dans plusieurs sphère d'influence... Il s'en lassa vite, c'étais fade, sans intérêt, Vide.

Heureusement que Yagshul lui avait montré le vrai chemin. Le chemin de la puissance, la vrai puissance, celle de décider qui doit vivre et qui doit mourir. Il avait oeuvré pour le Prince longtemps, luttant contre la suprématie de Thaar et la faiblesse du peuple. Il avait crue, pendant longtemps, que c'étais son destin, le chemin qu'il devait suivre. Puis, vint le jour ou le doute naquit en lui. Il a douté…douté de son dieu qui lui avait jusqu’ici tout donné ce qui importait : Puissance et protection. Il avait tellement eu peur de ce doute... Un sentiment engendré par la faiblesse qu’il savait n’être plus digne de son dieu.

Puis lui était venu cette vision ou il devait tuer celle qu’il aime. Il refusa. Pendant un moment il craignit tellement la colère de son dieu qu’il cessa toute méditation, tout sommeil jusqu'à ce qu’il tombe de fatigue. Sa deuxième vision en fut une de colère, de hargne. Il avait vue les plaines glacé et il avait ressentit la colère de son dieu. Il avait cru que l’ultime épreuve l’attendait, là, dans cet endroit qu’il avait vue en rêve, dans ce désert de Glace… C’est pourquoi il s’y rendit, prenant bien soin de léguer tout ses biens à ceux qui le méritaient.

Quel erreur, il était venu ici dans l’espoir de se racheter, il voulait se prouver à lui ainsi qu’à son dieu qu’il n’était pas le faible que toute sa vie il avait craint d’être. Puis était arrivé Renard, son ancien Mentor.

Aveuglément j’ai tenté de le tuer…Un ami, un frère d’arme…quel erreur… Anar…je ..je l’ai abandonné…Elle m’aimait je l’aimais…si seulement j’avais la force de lui parler…

Puis une violente douleur lui déchira la poitrine lorsqu’elle retira la dague. Il aurait hurlé, mais son état de faiblesse ne le permettait pas. Ensuite, il se sentit tomber lorsqu’Anar se leva pour quitter l’endroit. Si seulement elle avait su…elle aurait pu le sauver, mais dans cet état, la tempête l’achèverait sans aucun doute.

Il se rendait compte de ce qu’il avait fait…il avait vécu plus d’un siècle à servir une cause obsolète, sans aucun but, il avait gaspillé plus d’un siècle de vie…

Avant de sombrer dans l’inconscience total, il ressentit un énorme chagrin et se dit que si en avait eu la chance, il se serait racheter… Corbeau, l’ange, le messager… Aucun des trois n’étaient Halik…en fait, ils avaient berné Halik, il l’avaient mené à sa perte.

Au bord du gouffre...je suis maintenant seul, totalement seul...


Post by Anar Al Kazar, AdM - August 11, 2007 at 2:20 AM

Elle l’avait laisser là, seul, dans la neige, pleurant la mort de cet être. Elle fit quelque pas, 2 ou 3 mettre, pas plus et s’arrêta. Et s’il vivait toujours? Non, impossible, il était complètement geler, comment aurait-il survécu? Et il semblait s’avoir suicider, il voulait donc mourir… Si elle le sauvait, il lui en voudrait? Elle se retourna pour le regarder, le vent avait cesser mais la neige tombait encore… Elle ne pouvait pas le laisser là, non, elle ne pouvait pas… Elle revint contre lui, incapable de le laisser. Elle regarda la dague, couverte de sang puis la blessure.

-Je ne suis pas du genre à laisser aucune chance Halik….

Avec les dernières forces qui lui restait, elle passa ses bras sous ceux de l’elfe et le tira vers la montagne ou une petite grotte allait le protéger du vent et de la neige. Elle tenta d’allumer un feu avec des bouts de branches, qu’elle avait trouver ci et là. Elle se disait que sa pourrait servire de repas si les vivres venait à manquer. Elle en fit un feu, entourer de roche et posa Halik à coter, il était simplement glacial, si froid qu’on aurait dit qu’il appartenais a ce monde de glace.

-Pourquoi as-tu fais ça Halik? Te rentrer cette dague dans le ventre? Pour te purifier de quel pécher mon ange? Tu n’as rien à te reprocher…

Elle lui retira son armure, qu’elle plaie c’était! Le froid avait geler le sang et l’entaille étaie belle mais les organe vitaux avaient été toucher. Elle n’avait pas de quoi le recoudre sur elle, elle tentait de rester forte. Bientôt la chaleur devenait douce, le feu avait fait fondre la neige autour et un sol de roche apparaissait peu à peu. Tout ce qu’elle pouvais faire était de laver sa plaie avec de la glace fondu et de cicatriser avec une braise. Elle s’exécuta donc pendent que la plaie étais encore geler. Elle nettoya rapidement et cicatrisa ensuite. La plaie était belle, elle était fière de son travaille et pensait qu’elle devrait peut-être donner son nom comme infirmière. Après tout, 90 ans de voyage lui on donner une bonne base en soin. Anar pleurait encore, quelque larme et combattait avec fureur ce sentiment de chute qu’elle avait. Plusieurs heures passèrent, Anar le veilla un moment. Maintenant qu’ils était réchauffer, elle aurait pus regarder si son cœur battait encore. Mais elle avait peur de découvrire le contraire. Si une chose qu’Halik lui avait apprit, c’était bien d’être froid, sans émotion. De mettre de coter nos sentiment, c’est ainsi dans l’Armée. Le froid n’est pas que physique il est aussi dans le cœur et l’âme. Doucement, elle plaça sa main sur le cou d’Halik et tenta de savoir s’il vivait toujours. 3 secondes passa, rien, 6 seconde passa, rien… Mais à la 10ème seconde, elle perçu un très faible battement. Il vivait donc? Était-ce le cœur d’Halik ou alors un battement de son propre cœur? Comment savoir? Anar était si désespéré.

-**Je n’ai pas la force de nous traîner tout les deux jusqu’à l’auberge du nord, elle est très loin et moi très faible… Les barbares ne m’aiderons pas et il y a sûrement personne autour…. Et le temple oublier est entourer de serpents, t’y laisser serais te donner ton arrêt de mort… Sans parler des trolls autour et des harpies… **

Elle posa le sac de vivre a coter d’Halik. Le vague à l’âme. Elle savait qu’elle devait partire, le laisser. Même si elle ne le voulait pas. Attendre, attendre quoi? Attendre après lui… après la douleur qui la rongeait? Elle posa son regard sur la plaie qui semblait prête a recevoir un tissu. Elle vain entourer tout le torse d’Halik avec des bandages, pour le protéger. Si seulement elle aurait su la magie, arcanique ou divine, elle aurait pus soigner les lésions intérieur. Elle avait peur qu’il face une hémorragie interne. Comment faire? Au moins, le principale était soigner. Elle ne pouvait plus rien d’autre pour lui. Elle le veilla encore un peu puis se leva lentement, après avoir pris soin de le couvrire d’une couverture de laine chaude. Elle resta un moment devant l’entrer de la petite caverne, regardant au loin. La neige avait cesser de tomber et tout semblait calme enfin.

-Pardonne moi Halik, moi aussi j’ai échouer… J’ai échouer si souvent que je ne les compte plus…Si tu l’ignorais, ma pire erreur fut commise il y a 50 ans… Dans la forêt de Malbois… Mon âme fut maudite par la forêt elle-même… Je savait que peu à peu je deviendrait un monstre, je savait que peu à peu de serait ce que je suis présentement… Je savais oui je savais… Mais pourtant je ne suis pas venu mourir dans le nord pour autant… Et… Hum?

Son regard se posa sur un nuage de fumer qui perçait le lointain, venant du temple oublier. Il y avait donc quelqu’un dans cet univers de glace? Des barbares peut-être? Possible… Elle regarda Halik un moment.

-Je suis peut-être folle mais c’est pour toi que je fais ça!

Rapidement elle se mise à sourire vers les ruines et quand elle fut à la hauteur des arbres elle s’y cacha pour observer qui se trouvait dans les ruines. Elle observa longuement puis constata que c’était un membre de l’ordre.

-Hein! Un paladin? Ici?? Non je rêve…

Anar se concentra sur lui de toute ses forces, essaya de le contacter par télépathie. Elle essaya de lui dire qu’un homme était gravement blesser non-loin, qu’il faillait suivre la fumée.

« Toi, qui es de l’ordre » Lui dit-elle. « Lève toi! Un homme est blesser gravement au pied de la montagne. Aide le… Suis la fumée qui flotte au loin… Il a besoin de toi…»

A bout de force, elle s’écroula au sol, incapable de se concentrer d’avantage. C’était là tout ce qu’elle pouvait faire pour Halik. Elle ferma les yeux, elle avait besoin de dormir un peu avant de reprendre la route et de rentrer à Systeria. Elle se mise en boule. Cacher par la multitude d’arbre. Elle espérait que l’ordreux puisse le soigné avant qu’il soit trop tard…


Post by Feu, Arthas Menethil - August 11, 2007 at 2:50 AM

Il était là près du brasier immence a contempler les environs afin de percevoir le moindre signe de vies possible en cez terres oubliées. Il ne gelait pas non...Pas dans son accoutrement et sa fière armure, il se fesait plus qu'impatiant mais il résistait...Pour son dieu

Puis soudainement...Il l'entendit...La voix...Il regarda nerveusement autour de lui, il était confus un instant, même désorianter, il ne savait pas d'ou cela venait... Mais qu'importe ! Il y allait !

Il saisit les reines de sa monture et y grimpa rapidement. Désormais nourrie et réchauffé, pyro fonca a vive allure. Le feu s'embrasait toujours au temple, tel un phare de réconfort pour les gens perdus mais pas pour longtemps... La route semblait longue, il chercha dans tout les recoins de la plaine se rappelant de suivre la fumée telle qu'indiquée.

Enfin ! La fumée ! Il y était, il bondit au bas de sa monture et entra doucement dans la grotte ou y reposait Halik. Il le regarda un moment, visiblement confus de la situation et ... De l'homme qu'il avait trouvé ? Que fesait-il ici ? Surtout...A moitié mort ?

Bon sang... Le caporal est en un mauvais état...M'bon...Allons y ...

Il se pencha vers l'homme agonisant tout en retirant ses gants de pyrolithe et les posa à côté. Il débuta un long rituel divin dans le seul but de finaliser les soins de la plaie qui lui semblait immence ! Mais il s'y mettait...

Obsu Vulni, lumeros Thaara, verminite sperectous, sanctis !

Un long raie de lumière sainte envahie la plaie dans le but de finaliser les soins apporté par seul Thaar savait ! La plaie se refermait lentement au complet et il s'attardait sur les autres blessures apparantes qu'il pourait être visible sur le corps du Caporal.

Déja une heure avait passé et tout était finalisé à ses yeux. Il contempla un instant le résultat puis sourit a la vue de tout cela. Il se leva en ramassant ses gants au passage, il s'apprètait a quiter quand il s'arrêta un instant. Il se retournit et fit un mince sourire en coin tout en aggripant sa dague de pyrolithe cachée a sa ceinture.

Lentement, sur les paroies de la caverne, il y traca une immence croix Thaarienne, question de faire sa marque de visite et il y inscrivit au bas...

Thaar t'a souris dans ce mauvais moment Halik...

Et finalement, il repartit vers la citée, pour continuer ces besognes habituelles étandonné que sa mission dans le nord était terminée, il n'y voyait plus l'interet de s'y attarder


Post by Xan'thiir Telfyr, CP - August 11, 2007 at 6:10 AM

- Comment osent-ils aller contre la volonté de Yagshul?!
Xan'thiir fou de rage à l'idée que son fils soit sauver par un serviteur de Thaar, réalisa qu'il ne lui restait qu'une chose à faire. Maintenant plus que jamais il devait réalisé ce pourquoi il était venu sur Systéria... Tué son propre fils.

Il prit rapidement un vieu grimoire qu'il avait tenu secrètement sur lui toute ces dernières années. Il s'en était servit souvent... mais depuis que la matrone mère lui avait volée ses pouvoirs, il avait du tout réapprendre... Ces pouvoirs, ses sortilèges, ses rituels...

Xan ouvrit le grimoire fait d'ossements divers et de peaux suspectes. Puis vers le milieu, trouva une section qui était destiné à accomplir le destin d'Halik. Des pantagrammes et autre symboles runiques, basé sur les conceptes de la nécromancie y était inscrits. Elle parlait de morts biensur, un rituel destiné à séparer l'âme et le corp, lorsque ce dernier était sur le point de mourir. Seul un nécromancien d'experience pouvait réaliser ce rituel sans problèmes.

Tout en prononcant les premières paroles, tenant le sang de son fils dans la main droite bien haute, en guise de focus.
- Halik Telfyr, que ton âme aille vers Yagshul. Qu'il prenne ton âme et la punisse comme bon lui semble...
Il enchaîna aussitôt avec une fureur dans les yeux que nul serviteurs du mal n'aurait osé imaginer avoir. Les flammes de l'enfer eux même semblaient s'ouvrir derrière le Nécromancien qui continuais d'incanter...

Le grimoire bien placé sur le socle devant lui. Xan tenait une dague de cérémonie consacré au rituel de sacrifice. Beaucoup de sang y avait coulés.

- Que la volonté de Yagshul soit faite !!!

La dague perfora l'air comme une flèche glissant vers sa cible. Pour que le rituel soit complet, il devait y avoir un sacrifice de sang. La dague alla perforer la main droite tenant le focus qui devint rapidement ensanglanté par le sang du nécromancien qui ne vascilla que légèrement sous la douleur.

Le corp d'Halik en subis immédiatement les conscéquences. Tout débuta par une convulsion violente. Yagshul lui même glissa ses griffes pour prendre l'âme du pauvre Halik. Une combustion spontanné du corp débuta alors. Dans un merveilleur feux verdâtre, la putréfaction déchira d'un coup la peau et les muscles du corps dans une symphonie de craquements mortels.
Des plaies ainsi créer, s'échappa une flamme noir, qui se transforma en une étincelle brillante. Puis disparu.
Le corp, lui, fini sa combustion pour ne laisser que des cendres et une odeur de pourriture comparable à celle laisser par les liches...

Xan laissa tomber la dague, ferma le livre de sa main intacte et serra de sa main encore ensanglanté le tissu qui contenait le sang de son fils.

Il ce dirigea alors vers une cage remplis de rats, après en avoir écorcher un, il aspira la force vital de ce dernier pour guérir sa blessure. Étrangement, il y eu une cicatrice à l'endroit ou la dague avait pénétré...