La fissure de son armure
Post by Dune, Ind - August 13, 2007 at 2:03 AM
Sa voix s’élevait au gré de la brise, sa musique douce embaumait l’aire que le parfum des fleurs accompagnait. Ses doigts long et fin sur les cordes de son luth comme sur la ficelle de sa vie jouait une mélodie lente et triste. Son seul publique était la nature, belle nature qui s’étendait par-delà l’auberge de l’indépendance. Elle s’était assise sur un des bancs qui jonchaient la galerie. Elle pleurait silencieusement son chagrin pour le ciel noir, les étoiles et l’astre de lumière dorer, la lune…
Dune, beaucoup la connaissait comme étant une charmante et douce personne ayant pour passion la musique. C’est vrai que la musique occupait une grande place dans sa vie, elle n’aurait jamais voulu faire autre chose que de jouer de son luth. Même quand elle était pauvre, elle se refusait de travailler car pour elle ses mains ne méritaient que de pincer les cordes de son luth et de sa harpe. Que de parcourir la peau de ses tambours. Que de faire tinter les cymbales de ses tambourines. Jamais toucher la terre, toucher les ordures ou tout autres travaux manuels pour quelqu’un de son rang lui aurait convenu. Mais qui était-elle en faite? A part la compagne d’Argon le terrible criminel que tous rêvaient de tuer? A part cette femme venue du désert avec son frère le Caporal Saevan? Qui était-elle vraiment? Elle cessa de jouer de son luth pour regarder le firmament noir du ciel. Elle repensa étrangement à son frère. À cette phrase qu’il disait à Dune quand elle ne savait plus quoi faire. Il lui disait d’une voix certaine « Si tu ne sais pas où tu va, regarde d’où tu viens. » Elle repensa au désert, à sa famille et à son père mourant. Elle n’avait pas oser le dire à Saevan encore. Le devrait-elle? Devrait-elle dire à son frère que le père qu’il déteste se meure peu à peu à cause de ses enfants disparus? Que le chagrin l’emporte? Elle connaît la haine de son frère pour leur père et s’il advenait à mourir, cela signifierait la totale liberté pour les deux jeunes Kazar. Être sauver de la tyrannie de cet homme faisait sourire Dune.
Son sourire ne dura pas longtemps, ses pensées vinrent par l’engloutir et elle se surprise à penser à son passé. Pourquoi toujours ce passé si triste? Elle repensa à son premier amour, Cedlyn qui la trompa trop souvent et à l’enfant qu’elle portait et qu’il lui avait fait perdre d’un trop plain de chagrin. Elle pensa à Alphonse, ce goujat qui avait décidé de rester libertin malgré la foi qu’elle avait en lui, qui ne l’avait jamais cru quand elle lui avait dit qu’un démon l’avait violer. Lui qui la délaissa de façon affreusement douloureuse. Halik vain ensuite dans sa mémoire, celui qu’elle avait aimé une nuit d’un amour intense, celui qu’elle avait perdu aussi vite qu’il était venu. Puis elle eu la douce image d’Argon, son visage souriant et ses cheveux de neige. Cet homme, celui qu’elle voulait pour toujours. Enfin le bon, celui qui l’aimait vraiment et qui ne l’aurait jamais abandonné. Pourquoi lui? Pourquoi maintenant? Pourquoi sa vie qui semblait enfin calme et douce redevienne un cauchemar? L’éternel tourment qui ne meure jamais? Ne serait-elle donc jamais heureuse? Cette pensée la fit éclater en sanglot, couvrit son visage de ses mains, elle craquait. Son cœur était déchirer de toute pare, elle n’en pouvait plus de cette vie lourde, de cette vie sans but et d’errer jour après jour après jour… continuellement. La même rengaine, la même routine, la même histoire se répètent jour après jour après jour… continuellement….
Elle sera son luth contre elle, après un moment. Elle ne savait pas comment rejoindre Argon, elle ne savait pas où était son frère, elle se sentait seule dans les ténèbres. Proie facile, trop facile. Son regard se porta vers la lune. C’était la seule vision qui pouvait la réconforter. Même Argon rendait son cœur mourant tant il avait été décevant. Dune se sentait si faible, si loin. Le néant de sa vie n’avait donc aucune fin? Que la mort pensa-t-elle… Que la mort…
Post by Dune, Ind - August 16, 2007 at 4:32 AM
Le loup du destin
Le noir, le néant… tout autour d’elle, prenaient de plus en plus de place. Le visage de son bien aimé aura été la dernière vision qu’elle aura eu de sa misérable vie… S’enfoncent vers le dernier repos, son âme quitta son corps et son existence insipide prit fin… Mais ce n’étais pas un malheur, au contraire.
La nuit était bien là, quand au détour du chemin, elle vu son amour. Elle lui fit ses adieux, sachant que dans quelques heures à peine, elle mettrait fin à ses propre jours. C’était une décision longuement méditer, elle savait qu’Argon allait y survivre parce qu’il était fort. Son amour était grand et fort, il allait en guérire vite elle le savait. Ses adieux fait, il restait les trucs plus technique à faire, son testament. Elle partie donc vers le campement gitan dans le but de laisser a Saevan une clé de sa caravane. Elle possédait bien des vêtements et une petite richesse qu’elle entassait depuis qu’Argon l’avait prise sous son aile. Mais quand Dune arriva à la hauteur du pont, de grand yeux de feu s’ouvrit devant elle. Elle s’arrêta nette, de terrible grondement l’alerta, des grondement de loup affamé. Il s’avance vers elle, et quand il sorti de l’ombre de l’arbre, Dune comprit que ce serais cette mort là, qui l’attendait. Elle recula lentement, très lentement mais le loup grondait de plus en plus fort. A coter de la petite femme qu’était Dune, il semblait immense, le poil hérisser, la bave coulante et le sang perlant dans ses yeux dément. Elle comprise qu’il avait en tête de la tuer et elle se mise a courir. Elle coura, coura a en perdre halène, le loup a ses trousses. Les gardes tentèrent de bloquer le loup mais d’un bon prodigieux, il sauta par dessus eux. Il se rapprochait de plus en plus vite, pour sauter sur la grande statue de la place des vertus. Dune se retourna pour le regarder. Il grondait toujours avec fureur. Elle savait qu’elle ne pourrait lui échapper, il n’avait rien d’animal, il était démoniaque, posséder par un esprit de mort. D’un terrible bon, il sauta de la statue pour s’abattre sur Dune. Sa tête heurta le sol le loup lui mordit le cou avec férocité.
Des pas se firent entendre, proche d’elle. Un homme arriva et attira l’attention du loup, il laissa Dune, à moitié morte sur le sol pour venir gronder avec l’intrus. Il s’apprêta a bondire avec rage quand une énorme boule de feu frappa le canidé de plain fouet, le tuant sur le coup. L’homme s’approcha de la femme au sol, c’était Argon. Le choque fut énorme pour le mage. Il savait que sa douce le quitterait mais si rapidement? Trevor sur sa monture arriva peu après, et vain soigné les blessures de Dune. Elle ouvrit les yeux sur Argon, refusant de boire l’eau lui étant tendu. Elle lui sourit, un filet de sang coula sur ses lèvres. Elle posa sa main sanguinolente sur la joue de son amour pour marmonner l’endroit ou elle fut attaquer. Puis murmura sans voix un « je t’aime » pour fermer les yeux à tous jamais. La vie là quitta enfin.
Trevor posa son corps inanimé sur un des lit de l’infirmerie de la moyenne ville. Les gens passant lui dire adieux, ses connaissances sachant qu’elle y était, virent un étrange sourire sur ses lèvres, un visage serein. Elle était morte heureuse, peut-être parce qu’elle ne souffrirait plus jamais? Martyre, Dune, celle qui venait du désert, la rose des sables venait de se flétrire et mourir en laissant derrière elle, 20 ans de survie. 20 ans de blessures. Elle ne se souciait plus de rien, car c’était fini, enfin fini. Ce qui adviendrait de son corps maintenent, celà ne regardait que les vivant. Enterrer ou non, qu'ilporte, libre, enfin libre. Elle attendrait Argon au paradis de Thaar, dans le grand jardin. Elle serait assise sur une pierre et jouera de la lyre divine pour qu’il la retrouve, le moment venu…
Post by Feu, Arthas Menethil - August 16, 2007 at 5:18 AM
C'est elle emmener la au temple, et que son corps soit préservé pour son enterrement.
Le vengeur était assissté de deux jeunes acolytes qui prirent soin d'enrober le corps de la jeune femme meurtrie par les morcures d'un voile de tissu aussi blanc que neige. Ils l'emmenèrent au temple la ou le corps poura se faire nettoyer et refermer les plaies avant d'enfin pouvoir la laissée reposer dans un cercueuil. La ou elle poura y reposer éternellement.
Il va s'en dire que le vengeur était plus que confus face a la situation. Comment un loup avait-il pus déjouer les défence Mercenaires, pourpre et de l'ordre en même temps ? C'était a rien n'y comprendre...Décidément c'était pas un loup ordinaire celui-là..
Post by Argon Zombalèze, Banni - August 17, 2007 at 1:16 AM
Argon pris se soir la de fureur, se fit pratiquement remarquer.. Argon même aujourd'hui pleurait encore la perte de sa belle.. Il se demandait si sa couverture venait d'être rompue, se rapellant de sa fuite devant Arthas qui était sur le point de dégainer quant il demandait l'identiter de l'homme.. Trevor, l'avait-il deviné? Tant de question qui sont pour le moment sans réponse.
Pris par une furie incontrolable, prèt des forêts le vent soufflait plus fort qu'a l'ordinaire, une fois le vent qui cessa, plusieurs meutes de loup gisait sur les routes ou dans les forêts, se coup-ci le carnage était immense à comparer le premier qu'il avait fait.. Une cinquantaine de loup de toute sorte gisait mort la ou il était, la plupart n,ayant eu le temps de réagire.
Argon toujours cacher se baladait en ville, par désespoir, la tête toujours basse dans son déguisement.. Il se sentait seul, si seul.. Sa seul raison d'être venait de disparaitre..