l'inévitable cycle de vie

l'inévitable cycle de vie

Post by Phoebee de Sorgrad, AD - February 18, 2008 at 9:55 PM

Courbature, humeurs changeantes, anxiété, qu'elles sont les joies de l'enfantement déjà ? Probablement donner la vie, un sacrifice sous plusieurs formes. On restraint ses activité, ses déplacements, on fait attention a ce que l'on mange et au exces malgrés les envie diverse gastronomique. On s'adapte du mieux qu'on peut a cette condition passagere. On subit les humeurs de la futur maman et s'efforce d'etre toujours comprehensif. On ravale ses envies ou commentaires tachant de ne pas agraver la situation. On conclu par des heures de souffrance qui semblent interminables.

Depuis une semaine, elle se sentait fébrile. Elle avait un besoin de bouger de sortir, ne réussisant a rester en place uniquement quand son epoux l'y forcait. Profitant d'un moment de soliture, elle prit le chemin du parc un livre a la main. Elle se mi a l'ombre pres de la fraicheur de l'etang pour atténuer ses bouffé de chaleur du au temps lourd d'humidité. Elle ouvrit son ouvrage ancien et tentant de lire. Elle avait peine a tenir en place ou a se concentrer. C'est en se recueillant et tentant de faire le vide qu'une douleur aigu la prit par surprise. Le livre tomba et elle se recrocvilla sur elle-même. Apres quelques secondes, le bas de son kimono trempé, elle réussit a reprendre son souffle. Elle soupira dans un sentiment de libération meler d'angoisse. Elle fit le vide dans son esprit pour trouver son lien psychique, la douleur l'avait surment fait paniquer...


Post by Malek, ind - February 18, 2008 at 10:21 PM

Au milieu de la forêt, la déflagration psychique le fit relever la tête de son gros tas de buches fraîchement coupé. Il fallait dire qu'évacuer le stress ca avait du bon parfois, surtout pour la musculature.

Voilà plus de 8 mois qu'il encaissait non sans broncher et se plaindre, il perdait parfois patience mais s'éfforçait de rester un appuis pour celle qu'il aimait plus que tout au monde plutôt qu'une gêne ou une source d'ennuis en plus. Ses nuits étaient courtes, mais il l'avait déjà vécu ca... Il savait qu'il se devait de l'aimer et de s'occuper d'elle, il lui laissait parfois de l'espace, pour qu'elle se retrouve, mais une grossesse selon lui se fesait à deux et il n'était jamais loin...

La deuxième déflagration et le massage d'aide lui firent prendre la route de la citée à toute allure, enjambant en pleine foulée les fougères et hautes herbes, son agilité lui était des plus utiles pour se frayer un rapide chemin vers sa douce. Son souffle se fesait régulier, chaque foulée le rapprochait un peu plus de l'amour de sa vie qui avait besoin de lui.

Il passa les portes de la ville en trombe, plus rapide encore qu'un félin certains auraient pu dire. Il ne se posait plus de questions, le chemin se dessinait devant lui presque comme une coulée d'aquarelle, il passa devant le Coin Chaud sans saluer personne et arriva enfin au parc, le souffle court, l'inquiétude lisible dans ses yeux. Il se précipita vers sa femme et à la vue de l'eau, il fut prit d'une part de joie mais aussi d'inquiétude.

"Si tôt!" se dit-il...


Post by Nathaniel de Sorgrad,ADM - February 19, 2008 at 2:43 AM

Par la fenêtre du Manoir Sorgrad, on pouvais voir une tête faire les cent pas.

Le jeune Nathaniel attendait sa maman et son papa, seul...depuis un moment.

Normalement, il revien de son cour et il trouve ses parents, mais pas aujourd'hui...

il commancait a avoir peur...


Post by Phoebee de Sorgrad, AD - February 19, 2008 at 2:57 AM

*Elle marchait lentement dans le parc pour faire passer sa nervosité. Apres l'avoir contacté mentalement, il lui avait intimé de rester en place, ne pas bouger. C'etait plus facile a dire qu'a faire ! Elle écoutait le chant des oiseaux et le vent dans les arbres, cherchant le calme en elle. Ce ne fut pas le cas de Sephyr, qui arriva en trompe, le souffle court. Elle tenta de le rassurer du mieux qu'elle pu mais une contraction vint tordre son visage de douleur. Il alla aussitot vers elle pour lui offrir son support tendit que ses jambes faiblissaient sous la douleur. Quelques minutes s'ecroula avant qu'elle retrouve sa lucidité. *


Post by Malek, ind - February 19, 2008 at 3:46 AM

Sans perdre une seconde, il l'a prit dans ses bras et s'en alle la porter jusque chez eux, le pas detérminé et un peu plus rapide qu'à l'habitude, porté par l'envie qu'elle soit au mieux, il fesait de grand foulée, animer par beaucoup d'inquiétude.

Poussant la porte du Chateau , il courru la poser dans le lit, Nath suivait en se demandant quoi. Bien que son fils soit petit, il le savait débrouillard.

"Bonhomme, tout va bien aller, va vite me chercher une bascine pleine d'eau chaude et des serviettes. Dès que tu remontes, je file chercher Bolton!"

"Dacc Papa!"

L'enfant se mit en route directement sans poser une seule question. Se voulant rassurant, il passait sa main dans les cheveux de sa femme, l'autre main s'affrêtant à la débarasser des couches de vêtements en trop.

"Ne t'en fais pas mon amour..." lui disait-elle

*"Je n'ai pas peur, tu vas faire ca comme une chef... J'ai confiance en toi mon ange" *

Il posa un baiser sur son front et en attendant que son fils revienne, il préparait la chambre à reçevoir Bolton.

Nath apparût dans l'escalier avec une petite bascine en mains, Séphyr s'était lui-même chargé des serviettes. Il laissa son fils avec sa mère non sans leur offrir à tout deux un baiser.

"Occupes toi de Maman bonhomme..."

Il courru jusqu'à la demeure de Bolton dans le quartier de l'Ordre et tambourina à la Porte en hurlant.

"Ma femme va accoucher! Messire Bolton, j'ai besoin de vous au Chateau de Sorgrad!"

Puis il se remit à courir en direction du château où sa femme avait déjà commençé le travail. Il retroussa ses manches et commença les premiers massages et les diverses respirations avec elle, espérant que Bolton puisse arriver à temps


Post by Orth Usk,Mort - February 19, 2008 at 7:11 AM

Orth qui passais par la, Vu Sephyr qui courrait.

Il le suivi jusqu'au Chateau, et l'assistat du mieu qu'il puisse.

Le temps devenais long, ils esperaient la venu du prete Bolton au plus vite...

Orth prennait soin du petit pendant que Sephyr s'occupais de Heily.


Post by Thomas Bolton, Emp - February 19, 2008 at 8:08 PM

Thomas Bolton fut interrompu en pleine lecture. Se relevant de la chaise austère de sa chambre, près de la cheminée, il attrapa sa canne et s’avança jusqu’à la porte pour y découvrir un jeune garçon dont le visage lui était familier. Il écouta le discours du jeune garçon et hocha la tête, fixant sur le fils de Séphyr un regard inexpressif.

- Laisse-moi le temps de prendre le nécessaire. Fais appeler une carriole, je n’irais pas bien vite avec ma blessure.

- Oui m’sieur, pas de problème.

Une vingtaine de minutes plus tard, un véhicule déboulait en manquant de se retourner dans un virage près du domaine du comte et de sa femme. Thomas en ressortit, appuyé sur sa canne du côté droit et avançait en boitant jusqu’à l’entrée principale où l’attendait un des serviteurs. Il ne lui accorda d’ailleurs aucun regard et se dirigea jusqu’à la chambre de la comtesse. Une fois sur place, il annonça à Sephyr :

- J’ai fait aussi vite que j’ai pu dans mon état. Votre fils vous attend en bas pour régler le chauffeur qui m’a conduit ici. Je dois m’occuper de votre épouse et je ne souffrirais aucun dérangement, Votre Grandeur.

Le docteur referma les grandes portes et se plaça près d’Heilayne pour la saluer. Il lui posa de brèves questions, assimilant en silence les différentes informations qu’elle lui fournissait. Se dirigeant vers sa sacoche il sortit différents ustensiles, dont certains étaient des prototypes.

- Vous allez respirer rapidement et profondément, comtesse. Il est primordial que vous poussiez quand je vous le demande et que vous arrêtiez quand je vous fais signe. Attelons-nous calmement à cette tâche délicate, voulez-vous ?

Retournant au pied du lit, il inspecta avec une rigueur toute professionnelle, le visage inexpressif, le sexe de la jeune femme. L’accouchement ne fut pas une mince affaire, heureusement qu’il n’y eut pas de complication. A un moment, Thomas eut un doute, il pensait qu’il allait falloir ouvrir, au risque d’en perdre un sur deux, mais Heilayne était beaucoup forte qu’il ne le pensait.

Après trois heures de travail seulement, les grandes portes de la chambre se rouvrirent sur un docteur Bolton parfaitement habillé, sans une goutte de sueur sur le visage, toujours aussi immuable. Ca alors, comment avait-il fait ?! D’un geste du bras, il invita le comte à pénétrer dans la pièce.

- Félicitations Votre Grandeur, c’est une fille.

Laissant le couple à sa joie, Thomas rassemblait ses outils pour les ranger dans la sacoche, en retrait…


Post by Phoebee de Sorgrad, AD - February 19, 2008 at 8:31 PM

Le travail devenait long et penible et toujours pas de nouvelle du pretre. On l'avait vetu d'une robe de lin qui etait vite devenu humide par sa sueur. Des mèches de cheveux coller a son front, elle tachait de se souvenir des conseils de son premier accouchement.

Ce fut avec soulagement qu'elle entendu les voix etouffés, etait ce enfin lui..? Il commenca par chasser son epoux et s'enferma avec elle. D'abord inquiete puis insulter, les emotions passaient trop vite dans son regard pour en dessiner une seule sur son visage. Elle se contenta de le fixé et repondre a ses questions. Les souvenirs de sa premiere experience la hantait et hesita dans faire part, elle avait besoin d'etre rassuré...

Elle lutta avec acharnement et orgueil devant cet inconnu,focalisant toute sa volonter sur son enfant a venir. Dans les dernieres minutes, elle cru qu'elle allait perdre conscience mais les encouragement du pretre sur l'avancement lui donna l'energie de se donner corps et ame. Elle ne realisa pas lorsqu'elle entendit des pleures, lorsqu'elle senti une petite boule bouger sur elle.... tout etait flou.


Post by Malek, ind - February 20, 2008 at 2:28 AM

L'attente fût affreusement longue, faire les 100 pas dehors de la chambre tenant dans ses bras son fils, il avait peur, cette peur se mêlait à de la joie mais les cris de sa femme ne lui inspiraient pas confiance, mais il devait y faire face et rassurer son fils qui le martelait de question à propos de l'état de sa mère.

La porte s'ouvrit, enfin la délivrance... Il s'engouffra dans la chambre avec Nath pour voir son bébé, une petite fille, celle qu'il attendait depuis plus de 8 mois. Une enfant magnifique endormie sur un femme d'exception. Des larmes de joies coulaient et s'engouffraient au creu de ses joues. Un regard amoureux sur sa femme et Nath qui part en trombe poser sa tête sur le ventre de sa mère pour regarder sa petite soeur.

Séphyr s'approcha doucement de son aimée lui offrant un amoureux baiser encore salé. Le couple se regardait les yeux brillants, s'échangeant par le regard toute leur fierté et leur passion. Il 'agenouilla prêt d'elle et chuchota très lentement :

"Bienvenue au monde petite Phoebee..."

Le reste de la nuit se passa dans une ambiance familiale pleine d'amour. Séphyr lavait avec beaucoup de tendresse sa fille puis sa femme alors que Nath se demandait s'il devrait partager ou non ses vêtements.

Le sommeil prit finallement part intégrante de la famille de Sorgrad et tous ensemble dans le même lit déjà lavé et propre ils s'endormirent.


Post by Orth Usk,Mort - February 20, 2008 at 2:35 AM

Orth rassurait Sephyr durant l'accouchement, lui qui venais d'assité a celui de l'impératrice...il commancait a en connaite pas mal...

Quand le Prête eu fini, Orth laissa la famille a leur bonheure, Felicitant biensur le couple, puis conduisa le pretre hors de la demeure. Un carosse l'attendait déjà.

-Merci Sieur Bolton, Un bref signe de tête courtois


Post by Thomas Bolton, Emp - February 20, 2008 at 11:47 PM

Thomas avait terminé de rassembler ses ustensiles qu'il ferma dans un claquement sec. Il ne prit pas la peine de saluer le couple qui, de toute façon, était bien trop occupé à admirer le nouveau-né.

Agrippant sa canne, il redescendit les escaliers d'un pas mesuré, faisant attention où il mettait les pieds. Il croisa le demi-orque qui le raccompagnait au carrosse et salua ce dernier d'un signe de tête on ne peut plus courtois.

Grimpant dans le véhicule, sa main osseuse aux longs doigts referma la petite porte. Il était temps de retourner à ce bon vieil ouvrage...