"L'ambre d'argent" vers Brégunia
Post by Armika Recaedre, CP - April 2, 2008 at 5:58 PM
Le manoir était sans dessus dessous. Plusieurs coffres et sac trônait dans un coin du portique, les domestiques étaient envoyer aux quatres coins de la ville à la recherche de tel ou tel babiole, la jeune maitresse était nerveuse et encore plus dure qu'à l'habitude, ce qui est difficile dans les circonstances. Il lui arrivait même de réveiller les domestiques en pleine nuit parce qu'elle avait oublier une chose ou deux, ou simplement pour qu'il lui prépre un encas de nuit. Visiblement, se départ imminent la rendait nerveuse et même, que diront certains domestiques, hystérique. Mais quelle mouche l'avait donc piquer, elle n'allait tout de même que voir son père. Mais une des domestiques qui avait fouiller un peu dans le courrier de madame propageait la rumeur que celle-ci allait également rencontrer un prétendant. Et le mot prince avait effleurer ses lèvres et les oreilles de plusieurs roturier.
On disait qu'elle n'attendait plus que ses précieuses toilettes avant de s'embarquer sur le navire à quai. Un grands trois mats, au voile blanche comme la neige et à l'allure impecable, autant le bateau que l'équipage en soit. Visiblement, ils étaient payer cher pour cette traversé et jamais ils n'oseraient déplaire à sa grâce Recaedre.
La rumeur circulait également qu'elle n'apportait que Mathilda Aubegrise avec elle, sa dame de compagnie. Semblerait que d'autre serviteur lui serais fournit là bas. Étrange pour une dame de son rang, mais tous connaissait la haine des bréguniens pour les sytériens, sans doute était-ce la raison du peu de gens a s'embarquer avec elle, peut-être était-elle plus avertit qu'il n'en parraissait alors.
Post by Thomas Bolton, Emp - April 2, 2008 at 11:53 PM
Le Consul avait été rendre visite à la duchesse, quelque jour avant son embarquement. Les rumeurs qui se murmuraient dans les couloirs du palais étaient, semble-t-il, véridique. C'est du moins ce qu'elle lui avait dit. Chaque jour, il se renseignait pour savoir comment avançaient les préparatifs. Des lettres et des mots furent échangés. En catimini, certains membres de la Garde Impériale furent approchés. Tout ceci dans une extrême discrétion.
Le jour du départ, alors que les quelques individus qui voulaient rejoindre Posdrenia embarquèrent, Thomas ne se rendit pas au bateau pour saluer la jeune femme, étant occupés à d'autres tâches qu'il devait accomplir pour le Consulat.
Parmi les passager, trois hommes d'une carrure puissante, les muscles rendus saillants par un entrainement intensifs, grimpèrent la passerelle. Etaient-ils, eux aussi, de simple voyageur ? Mais oui, bien sûr ! Comment pouvait-on en douter ?
Quelque part, au palais, on attendait...
Post by Ophelie Demildor - April 3, 2008 at 2:43 AM
Un rêve devenu cauchemar. Nuits blanches et énervement, tout devant etre parfait, magnifique, et surtout a la hauteur de ses exigeances. Fesant preuve de toutes ces ressources et surtout son sens innées du stylisme, elle ageancait tissus et motif diverse pour créé les toilettes les plus exquise de la cours. Malgrés toute cette angoisse, elle prenait ce travail comme une opportunité. Si elle etait capable de satisfaire cette chipie de duchesse, les portes s'ouvriraient grandes pour elle ...
Elle fit l'inventaire a plusieurs reprise, s'assurait des moindres details avant d'envoyer une missive a la duchesse. Meme les bijoux avaient ete reflechi pour chaque toilette. Le pire moment allait arrivé..l'attente avant le jugement final.
Post by Armika Recaedre, CP - April 10, 2008 at 10:55 PM
Les toilettes étaient arrivé a bon part, la session d'essayage s'était fait rapidement, visiblement la duchesse trouvait cela ennuyant et surtout longet voulais s'en débarasser au plus vite, si et tant bien qu'un cheque de 20 000 pièces avait été remis à Crystelle plutot que le simple 10 000 pièces d'or qu'elle lui devait réellement. Elle n'avait pas mentit, elle savait être généreuse quand cela étais fait comme elle le désirait. Nulle va s'en dire que la jeune couturière va être mise en premier plan dans la noblesse, si la Duchesse elle même y fesait ses vêtements, sans aucun doute que les autres dame vont rapidement l'imiter pour être en vogue et surtout dans les grâces de la jeune noble.
Tout était fin prêt, l'embarquement se fît avec discrétion, un soir, lorsque le soelil se couchait et que tout le monde était atablée après une bonne journée de travaille. Étrangement, elle ne semblait pas vouloir se faire remarquer plus qu'il ne fallait pour le départ. Ce n'est qu'une fois le bateau amaré, bien installer à table avec le capitaine (comme le voulais la coutume) qu'elle jetta un oeil aux trois hommes bien trop bâtit pour être de simple domestique qui se tenait sur le bord de la porte. Elle n'était peut-être pas aussi sotte que tous le monde le croyait à la vue de ce regard. Quoi qu'il en soit, elle savait visiblement cacher ses émotions car le coup d'oeil fût bref et ne laissa rien paraitre, peut-être ne savait-elle pas après tout.
La traversé fut, pas une fois ou presque la Duchesse ne voulait sortir sur le pont, au travers de tout ses marins empestant et empuantit par la maladie ou le scorbut, très peu pour elle. Elle ne manquait par contre pas de concocter a l'occasion quelques potions de toute sorte pour prévenir les maux des marins.
C'Est avec allégresse et une rapidité surprenante qu'ils atteignirent Posdrenia. Certiains marins disaient qu'ils avaient le vent dnas le dos, d'autre que la duchesse était une sorcière qui commandait aux esprits de la nature. À vraie dire, on ne pouvait pas réellement leur en vouloir, rester prisonnier sur ce bateau à longueur de journée avec pour seul amusement leur compagnon masculin et comme seul vue de l'eau, il est normal qu'avec le temps, il vient amusant d'inventer des ragots de toute sortes lorsqu'ils avaient des invités extraordinaire.
Armika elle, pensait plutôt qu'elle avait la faveur du très haut. Cela ne pouvait être qu'un signe positif à la visite qu'elle s'apprètait à faire en Brégunia. C'était de bon augure. Coucher sur son lit, elle grignotait avec plaisir des petites patisserie en lisant un livres d'alchimie lorsqu'elle entendit de sa cabine le marin du mat de misène crier.
-TERRE EN VUE, TERRE EN VUE.
*Ce n'est pas trop tôt pensa-t-elle en rangeant livres et patisserie et en déballant de la lourde caisse l'une de ses plus belle tenue. *
Post by Armika Recaedre, CP - April 22, 2008 at 12:33 AM
Le voyage vers Brégunia fût long et érpouvant. La Duchesse évitait de son mieux l'équipage du bateau qu'elle trouvait "vulgaire" et "sans intérêt", pour ceux qui la connaissait un tout petit peu, il n'y avait là rien d'étonnant. Une fois les amarres Larguer en Posdrenia, ce fut son père en personne qui vînt l'accueilir, avec se sourire niais, comme s'il portait cette fille en son coeur et qu'il était heureux d'enfin la revoir. Tous deux savait par contre que tout cela n'était qu'une mise en scène, une immense pièce de théatre assez convaincante pour tromper tout ceux qui en était spectateur. C'est avec le même sourire qu'elle lui répondit.
-Père! Quel plaisir de vous voir ici, cela faisait si longtemps. Mon coeur déborede de joie à vous voir ici sur le pont pour m'accueillir.
-Et vous ma fille. Quel belle femme êtes vous devenue. Je suis si fière de vous et de l'honneur que vous faites à notre famille.
Après quelques palabres vide de sens et d'intérêt, ils grimpèrent dans le carosse qui les attendaient pour les apporter au manoir El'Urhem. Le séjour fût plutôt de courte durée, Armika ne souhaitait pas s'attarder dans ce lieu austère qui lui rapellait tant de mauvais souvenir. Deux lunes étaient passés depuis qu'elle avait mis pied à terre. Chaqu'une de ses journées, une courte missive destinée à Thomas Bolton avait été envoyer par bateau. Première Importance, avait dit la duchesse en remettant une bonne somme d'argent au capitaine de chacun des navires. Elles devaient impérativement se rendre à bon port dans les plus bref délai.
C'est pas une journée plutôt ensoleiller que la petite caravene de cariole, de domestique et de quelques gardent s'ébranlèrent vers la cité et son royal palais.
Une fois arrivée, elle fût introduit à la fontaine principale par un garde, puis accueillit par la Comtesse de Veldur elle même.
Après lui avoir montrer ses appartements, et lui laisser le temps de se rafraichir un peu, les deux femmes se rencontrèrent enfin face à face. Quoi que les débuts de la discussion sonnèrent faux et on ne peu plus artificiel, les deux femmes se mirent rapidement d'accord que toute cette mise en scène n'était que peu utile et qu'il fallait mieux en venir au fait.
Ainsi, elles discutèrent de la mort prochaine du roi, de Tibérius l'héritier et de Lédipus, son frère qui possédait bien plus d'ambition. Le plan dévoilé, la Duchesse ayant accepter sa part du marché, il ne restait plus qu'à rencontrer leurs alliés ainsi que rencontré les princes. Sa mission était somme toute facile. Elle devait servir d'apât pour Tibérius et ainsi permettre à la comtesse et ses associés de le tuer, ainsi Lépidus deviendrait l'héritier légitime.
Mais pourquoi devenir Régente de Systéria quand elle pouvait devenir l'Impératrice de Brégunia?
Post by Armika Recaedre, CP - April 23, 2008 at 6:39 PM
Le plan germait dans son esprit. Oui, pourquoi un plutôt que l'autre? Cela ne serait sans doute pas si compliquer que cela de les berner tous. Et visiblement, sa premère rencontre avec le Prince Tibérius avait tôt fait d'attirer le regard de celui-ci vers sa personne. Pourquoi pas après tout? Elle était une belle femme, un titre honorable. Bien sur elle était veuve et avait déjà été marier, et puis? Sans doute réussirait-elle a trouver un filtre qui puisse réussir à lui faire oublier se détail, ou tout simplement de tomber amoureuse d'elle. Mais elle avait confiance en ses charmes, elle avait confiance en elle, et sans doute que la trahison de la comtesse pour le prince la mettras dans de bonne grâce vis-à-vis le prince. Elle n'aura qu'à demander ce qu'elle veut, et il lui obtiendra. Sans doute...
C'est alors qu'elle pris la décision, l'air de rien, elle se présenta au pied du thrône. Elle ne savait vraiment pas quoi dire, alors elle improvisa. Ainsi, elle se pleignit d'une légère ennuie et proposa au prince une discussion pour échanger politique sur leur deux pays. Au fil de la discussion, elle réussit à glisser, ici et là, quelque bride à propos de la trahison. Glissant parfaitement sur cette situation, semblant même presque à l'aise, elle réussit à glisser dans la discution les principaux noms de ceux qui voulait sa mort. Le prince pourt sa part semblait nerveux, trop nerveux pour n'en laisser rien paraître. Une invitation discrète à sa chambre et quelques banalité plus tard, le prince s'en allait, nerveux comme un porc que l'on vient de piquer.
Merde ... le duc.
Hé oui. Le duc avait oublier d'être mentionner dans la liste potentiel d'ennemi. C'est ainsi qu'une fois dans ses appartements, il arriva en trombe, échangeant quelque mot et ressortant tout aussitot en vérouillant la porte derrière lui. Visiblement, elle allait être prise ici durant un moment. Et tout ce qu'elle avait en sa possession, c'était du poison.
-Ne t'inquiète pas Thomas... s'il arrive quoi que ce soit qui pourrait mettre en péril Systéria, je boirais le poison que j'ai toujours sur moi. Comme cela, Systéria ne se verra pas en mauvaise posture de par ma faute.
La conversation lui revenait encore et encore, accoter à la rembarde du Balcon, elle tournait et retournait le médaillon dans sa main. puis apercevant l'un de ses 'domestiques' au bas, elle décida de jouer le tout pour le tout. Retirant son alliance, elle la lança vers le garde avec un mot. Bolton. Souhaitons qu'il comprenne et que cela se rende à bon port... souhaitons surtout que Bolton comprenne. Qu'il comprenne de rester en Systéria, que Brégunia était un danger pour eux, et qu'on la retrouverait morte le lendemain, dans les appartemants qu'on lui avait prêter.
Après tout, elle était consciente des risques en s'ambarquant sur "l'ambre d'argent".
Post by Thomas Bolton, Emp - April 23, 2008 at 8:33 PM
Quelques semaines avant son départ pour Zanther, le Consul reçut l’alliance de la duchesse Recaedre. Un miracle que l’objet ait pu passer entre les mailles du filet et se rendre sans encombre jusqu’au palais de Cybelle. Debout dans son bureau, l’alliance dans sa main droite, il fixait le paysage verdoyant qui s’offrait à lui. Emprisonnée, il s’y attendait. Les souvenirs de leur discussion lui revenaient en mémoire. Elle n’avait pas voulu l’écouter et avait choisi d’agir avec bravoure. Ou peut-être n’était-ce que de la bêtise.
Oh, le message fut compris. Mais des événements complétèrent le voyage d’Armika. Les partisans de Lépidus ne cessaient d’interférer avec la politique de l’empire. Certes, le Consul réussissait à déjouer leurs manœuvres mais il savait qu’il y en avait d’autres, d’invisibles dont il n’avait même pas conscience. Aucune information, aucun renseignement qui pourrait lui être utile. Situation très peu pratique pour travailler correctement et avec professionnalisme. Thomas s’était rendu à l’évidence…
Le blocus du Seigneur de Noltembourg s’avérait extrêmement efficace. Le Saint-Empire disposait d’une richesse quasi-illimitée pour mettre au point ses plans. La Petite Sœur était désavantagée. Même les hommes de confiance que le Consul envoyait étaient incapables d’accomplir leurs missions. Rester derrière son bureau ne lui permettrait pas d’obtenir ce qu’il voulait. Il fallait juger de l’intérieur, peser les différentes menaces. Et si possible mettre fin à ces multiples interférences.
C’était périlleux. Très périlleux. Néanmoins, il ne fallait pas craindre le danger. Thomas avait conscience de son interchangeabilité, il n’était pas le seul à pouvoir gérer efficacement la diplomatie. Le Prince Consort et l’Intendant pourraient s’en occuper si jamais un malheur devait lui arriver.
Les risques… il en était conscient et les avait accepté.
Post by Armika Recaedre, CP - April 23, 2008 at 9:40 PM
Cela faisait bientôt une journée qu'elle était enfermer dans sa chambre, avec pour seule nourriture, les ingrédients qu'elle avait réussit à subtiliser pour faire un puissant poison. Elle s'était contenter de la racine de mandragore comme repas, mais c'était trop peu.
Ce ne fût qu'au midi de la journée suivante qu'elle entendis des pas dans l'escalier. Elle y avait déjà pensé. C'était la seule manière de sortir de cette prison, il faudrait qu'elle s'acquitte comme il faut de sa tâche.
Sortant son médaillon de son décolleté, elle l'ouvrit et trempa le bout de son petit doigt dans le liquide qui s'y trouvait. Après avoir réfléchit à deux fois, elle en appliqua une mince couche sur ses lèvres, juste assez. Espérons seulement que ce soit un homme qui monte, c'était plus facile de les charmer.
Et effectivement, ce fût un jeune blanbec qui apportait le repas. Prenant son courage à deux mains, elle commança à lui parler de tout et de rien, d'essayer de le retenir dans la pièce. Mais celui-ci la pris de court.
-Le prince Tibérius vous fait dire qu'il passera un peu plus tard, quand il ne sera pas surveillez.
Idiote... il était de mêche avec le bon prince. Quoi faire? Ils discutèrent un peu, la duchesse tâchant de savoir de quel côté était vraiment se jeune homme. Et avec le temps qui passait, elle ne sentait presque plus ses lèvres. Elle savait de quoi elle devait avoir l'air. Celle-ci ayant pris la couleur de la neige, nervuré de veine très bleu. Et en plus, elle fesait peur au jeune homme. Elle devait se débarasser des reste et s'administrer un léger anti-poison avant qu'il aille le temps de se propager plus loin. C'était l'avantage des lèvres, le poison se dirigeait ensuite très lentement dans le corp. Et même les medecin avait de la difficulter a comprendre d'ou venait le mal quand il partait d'un endroit aussi incongru que les lèvres. Il aurait simplement fallu le retenir un peu, l'empêcher de sortir, attendre que le poison fait un peu son effet, et à l'aide de sa dague, l'entailler légèrement pour le poison s'infiltre avec plus de force. Mais trop tard... elle n'arrivait pas a prendre sa décision, et qui sait, peut-être que ce jeune homme était vraiment un allié. Elle devait prendre le risque de pourrir dans sa cellule encore quelques temps.
Un peu avant l'heure du souper, ce fût le baron Nolthembourg qui lui rendit une visite. Visiblement il avait la rage au corp, il était sans doute là pour tuer la duchesse. Mais elle le prit de court. Quoi de mieux que de semer le doute dans l'esprit des plus faibles et des plus impulsifs? De toute maniere, qu'avait-elle à perdre ? Alors elle se mit à broder autour des paroles de Linelle. Puis l'achevant en imitant la voix de la comtesse:
-Nolthembourg? Il n'est qu'un caniche bien dresser. Aussitôt qu'on siffle, il remue de la queue et arrive au pied. Bon chien. Il a un rôle a accomplir, une fois qu'il en aura finit, il se retrouveras au même endroit que père et fils, un pied dans la tombe!
Bien sûr, c'était exagérer les paroles de la comtesse, mais après tout, c'était en partie la vérité. Malhonnète, mais légale comme tactique.
Mirkan revient dans la soirée pour apporter le souper. Il lui rapporta une histoire d'elfe noir qui sait sauver en prenant otage la comtesse, il semblerait que Nolthembourg soit lier directement à cet incident. Comment la haîne peut aveugler les gens, les esprit faible était plutôt facile a manipuler.
Et puis... à sa grande surprise, alors qu'elle avait décider de prendre le poison la soirée même, Linelle de Veldur en personne vînt dans sa chambre. Elles échangèrent quelques paroles hypocrites sur la necessité de la protection de la duchesse et de ses valets, et du bonheur que ce séjour donnait autant à l'une et à l'autre, et finalement, du problème qui fesait lieu à présent.
-Quelle belle attention d'avoir attendue que je suis présente avant de trahir les vôtre. Ce Duc à de la suite dans les idées, il va s'en dire. Je fait bien évidemment la proie parfaite. Mais vous savez comme moi que je suis loin d'être idiote. Pourquoi vous aurais-je trahis en ommetant de mentionner le Duc? L'on m'a pourtant dit qu'il était encore tès proche de ses majestés. En tant que bras droit de l'empereur, sans doute serais-ce la première personne que j'aurais nommer. C'est plutôt idiot. Mais bon, vous faites ce que vous voulez.
Mais vou savez, je crois que vous feriez mieux de laisser passer l'une de mes missives outre le palais. Le conseil impéraile m'a autorisé à venir en ces terres a condition que je les tenais régulièrement au courant de ce qui s'y passait. Si Bolton ne reçois pas rapidement l'une de mes missives, je crains que de vouloir annexé Systéria est déjà un plan que vous devrez oublier.
*C'est alors qu'elle la laissa écrire une missive, de banalité. Elle parle de la pluie et du beau temps, du plaisir d'être rentré à la "maison" et combien elle est désoler d'avoir oublier de lui écrire, mais la vie au chateau et si 'prenante'. En tout cas, rien de bien alarmant et tout des plus banale. Resteras à savoir combien de temps devra t'elle encore rester ici. Mais la duchesse avait bien décider d'avorter sa mise à mort, ou du moin, la retarder. Linelle lui avait bien fait savoir qu'elle pourrait être encore utile, alors, la possibilté qu'elle s'En sorte encore vivante était très probante. *
Post by Armika Recaedre, CP - April 25, 2008 at 6:37 PM
Le temps commençait à être long dans sa prison, bien sur, c'était là une prison confortable, mais le but était le même que les cellules sordides qui se trouvait dans les catacombes soit. Elle ne manquait de rien, se faisant monter trois repas par jour par le jeune Miran, vin, repas exotique, tout était bien sur délicieux, mais comme à son habitude, la Duchesse ne faisait que grignoter à peine son repas, et toujours après l'avoir renifler, tâter et gouter du bout des dents. Même la plus idiote des personnes auraient pu se rendre compte que se manège n'était que pour vérifier que rien n'était empoisonné. Après tout, elle était prisonnière, comment savoir s'il ne voulait pas la tuer dans un 'accident' comme ils souhaitaient le faire avec le prince et l'empereur?
C’Est à l’heure du souper qu’elle en apprit un peu plus sur ce qui se passait au palais. Le jeune Miran n’était jamais vraiment bavard, sauf à de rare occasion, et celle-ci en était une. Il cognait à peine avant d’entrer, et cette fois-là, la duchesse lui fit remarquer.
-Non mais, l’on ne t’a jamais appris à frapper avant d’entrer à quelque part?
-Je… pardonnez moi Duchesse, je ne voulais pas vous déranger.
-Regarde autour de toi… penses-tu vraiment que tu me dérange? Je suis enfermée ici toute la journée avec pour toute compagnie des livres ennuyeux d’histoires d’amour. Là n’est pas la question.
*Puis c’est avec un soupir d’exaspération qu’elle se dirigea vers le repas qu’il déposait sur la table. *
-Tu sais Miran, il va falloir que tu apprennes à t’endurcir si tu veux survivre à la cours Briganne. Allez raconte moi un peu ce qui se passe dans le palais.
S’en suivit une discussion sur la Comtesse qui ne parle plus beaucoup avec le Baron, ils sont en froid il paraitrait. Parfait, cela veux dire que le plan marchait un peu. Le duc ne les approche plus non plus, ou très peu. Le prince ayant mis une barrière invisible entre eux et lui, il est normal que le bras droit de l’empereur en fasse autant. Et puis, cet étranger Zantherien qui visite le palais et qui pose beaucoup de question. La Duchesse balaya se fait de la main, les étranger ne l’intéressait pas, surtout les Zanthérien, peu importe pourquoi il était là. Mais le jeune Miran lui, semblait plus que nerveux de cet homme trop curieux. Puis, il lui annonça que le prince serais la cette nuit…si tout ce passait comme prévu.
Se fût ensuite la visite du Baron qui la déstabilisa. Debout près de la rambarde, droite, les mains poser sur le bord du balcon, la duchesse regardais les jardins tout au bas. Quand la voix s’éleva dans son dos, elle eu un léger tressaillement. Rester près du balcon faisait d’elle une proie facile. Suffisait de la poussé et faire croire à un accident et s’en serait finit de sa vie. Mais néanmoins, elle ne bougea pas, restant droite et dos à lui. Elle n’était que trop consciente de sa présence et de sa vie qui ne tenait qu’à un fil. Sa voix, quoi qu’un peu incertaine se voulait assurer.
-Elle a vraiment dit un « chien »?
-Un « chien bien dressé »
*Les jurons étouffés dans son dos lui fît battre le cœur plus fort. Serrant un peu plus ses mains sur le bord pour les empêcher de trembler. Puis dans une grande inspiration, elle tenta de calmer ses tremblements et se retourna vers la chambre. D’un pas assuré elle traversa le tissu qui servait de rideau et s’accota un moment au cadre. *
-Vous savez comme moi que vous valez plus que cela. Vous êtes un homme de cœur et de tête. Je connais les hommes dans vôtre genre. Vous savez ce que vous voulez, et vous ne dérogerai pas de vôtre route. Vous êtes fort, vous êtes sûr.
[i ]Sa voix prenait un peu plus d’assurance à chaque phrase, se faisant plus forte, plus empreinte de sincérité. Elle s’approcha de lui en quelques pas flottant, ses pas raisonnant à peine sur le plancher de pierre. Puis elle posa une main douce sur son avant bras, refermant un peu les doigts pour montrer son soutient.
-Elle se joue de vous, et vous n’êtes pas homme à vous laisser faire. Vous valez mieux que cela Alexandrin.
Elle avait utilisé délibérément son prénom pour donner plus de force à son discours. Sa main descendant légèrement jusqu’à sa main, son corps se faisant plus près du sien.
-Ils ne sont rien sans moi, ils n’arriveront jamais à rien si je ne suis pas des leurs.
-Je le sais, et vous le savez.
*D’une main chaleureuse, elle vient dégager l’une de ses mèches de cheveux, faisant tarder sa main sur sa joue et son cou. *
-Vous devez vous affirmer Alexandrin, vous devez lui montrer que vous n’êtes pas le bon chien qu’elle voit en vous. Vous devez vous élevez, vous devez montrer quel homme vous êtes, et s’il le faut, vous devez l’éliminer si c’est là la seule façon de montrer que vous n’êtes pas un chien.
*D’un pas il se détourna et partit vers la porte. *
-Je dois y penser.
Et il sortit aussi rapidement qu’il était entré. En coup de vent. C’est avec un long soupir de soulagement que la duchesse accepta ce départ. Ses mains tremblaient, des larmes apparaissaient au coin de ses yeux. Puis elle se redressa avec un grand respire, tentant de se calmer et de prendre le dessus. Jamais elle n’aurait cru devoir aller aussi loin, et manipuler avec un tel soin un homme. Tout cela la rendait nerveuse et peu sûr d’elle, mais avait-elle d’autre choix?
Un seul coup d’œil à l’extérieur la fît reprendre ses sens. La nuit tombait, elle devait se préparer. Étendant ses toilettes sur son lit, elle prit soin d’en choisir une qui mettrait ses yeux et son teint en évidence. Le prince allait sans doute arriver bientôt, elle devait bien paraître. Elle était prête depuis un moment déjà, tournant en rond dans le petit espace quand elle entendit les bruits à la porte. Elle se figea, retenant son souffle sans même s’en rendre compte, observant la silhouette qui se glissait à l’intérieur de la chambre. Encapuchonné, elle ne savait pas trop ce qu’elle devait faire, ni à qui elle avait à faire. Mais une fois la capuche abaissée, elle n’eut plus de doute. C’Est avec une révérence polie en soufflant un « votre altesse » à voix basse qu’elle l’accueillit dans ses appartements.
-Mon propre frère, je n’arrive pas à y croire.
- Par Thaar, ouvrez-vous les yeux votre altesse. Lepidus est avide de pouvoir et avide de l’étendre par delà les mers. Pardonnez-moi mon impétuosité, je n’ai pas le droit de vous parlez ainsi.
-Je sais depuis longtemps que je dois éliminer mon frère, mais je croyais…
S’en suivit une longue conversation, ou le duc fût dénoncer, le besoin de sauver Brégunia, cette belle patrie ou il ferait si bon y vivre si le peuple n’y était pas diviser autant.
Mais bien sûr, en ma qualité de narrateur, j’éviterais la plupart de ses passages puisqu’ils sont confidentiels et que je ne peux risquer qu’ils tombent entre des oreilles indiscrètes. Pardonnez-moi cher lecteur, mais c’est le lot de tous les narrateurs d’être censuré de temps à autre. Donc je reprendrai mon récit quelques minutes avant que le prince Tibérius quitte la Duchesse.
-Vous verrez, au moment voulu, vous serez à mes côtés près du trône quand cette traitresse sera apporter loin d’ici.
-Mais je… Votre altesse… croyez moi, je ne fais pas cela pour le trône, et vous savez, quand je disais de trouver la bonne, j’étais sincère, et je ne crois pas être la femme pour vous. Il y a longtemps que je crois avoir rencontré mon bon à moi. Sauf votre respect vôtre altesse… vous êtes un très bel homme, mais Brégunia n’est pas pour moi, même si je serais prête à tout pour le sauvegarder.
-Pardonnez moi Duchesse, je crois que vous avez mal interpréter mes paroles, je disais à mes côtés au sens figurer. Ce n’est pas une demande en mariage.
*C’est le visage rouge qu’elle répondit. *
-Que je suis sotte, j’aurais dû m’en douter… je… pardonnez-moi.
Puis c’Est avec un léger rire gêner qu’ils se laissèrent
Peut-être qu’une amitié venait de naître, une amitié encore timide… mais nul ne pouvait en douter.
Post by Armika Recaedre, CP - April 29, 2008 at 7:29 PM
*Le temps filait à vitesse de tortue. Aussi dorée soit sa prison, elle restait tout de même une prison. Sauf Miran qui passait à des heures précises pour ses repas, rare était ses visites. Cette soirée là ne dérogeait pas à la règle. 7 heures tapante, et Miran frappait à la porte. Timidement, mais il y frappait tout de même, puis entra, accompagner de son fidèle plateau repas. *
-Le bal est demain Madame. Vous croyez que vous serez prête? J'ai promis au prince que je vous protègerai, mais je ne vois pas comment alors que je ne sais même pas me servir d'une épée.
- Elle approcha un peu de lui, un sourire au lèvre vint lui glisser le revers des doigts sur la joue avant de se retourner vers son plateau *
-Comme tu es mignon Mirkan, mais je n'ai pas besoin d'être protéger. Tu sais, le très haut trace pour nous notre destiné. Si la mienne est d'aller le rejoindre après le bal de demain, alors je l'accepterai comme tel. Nous n'avons pas à décider à sa place.
Puis, elle goutta du bout des lèvres les légumes qu'elle venait d'embrocher sur sa fourchette, juste après les avoir sentit avec peu de grâce. Le bal approchait, on était jamais trop prudent. Mais elle décida malgré tout de laisse le plateau là, sans y toucher.
Puis elle se dirigea ensuite vers la bibliothèque en fesant signe à Miran d'attendre un moment. Retirant plusieurs livres, les empilant sur la table d'à côté, elle s'empara d'un objet qui émis un léger reflet métallique à la lumière. S'approchant de son pas flottant, elle lui tendit la dague en lui présentant le manche.
-Tu as jusqu'à demain soir pour apprendre à t'en servir, fait s'en bonne usage. Garde le cacher, personne ne doit la voir si tu veux garder ton effet de surprise. Derrière ta cape, glisser dans ta ceinture, cacher par ton chandail. Elle doit être accesible rapidement, la rapidité prône sur la précision, n'oublie pas cela.
-Oui Madame la Duchesse, je serai prêt pour demain, c'est une promesse.
-Tu es un bon garçon Mirkan, le prince est chanceux de t'Avoir à ses côté, tu fera un bras droit fidèle. Mais il te faudra apprendre à masquer tes émotions sur ton visage, et encore plus dans tes yeux. Il faudra enduricr ton coeur. Les émotions sont les faiblesses de l'homme, ne l'oublie jamais. Si je m'en sors vivante demain, sans doute reviendrais-je pour t'enseigner l'art de la subtilité et celui de survivre à la cours Briganne!
C'est sur ses mots que Miran partit, non sans avoir gouter le repas et avoir affirmer à la Duchesse que celui-ci était exempt de poison.
Ainsi, elle s'approcha un peu plus pour gouter, mais c'Est avec une grimace de dégout qu'elle repoussa le plateau un peu plus loin. C'est en se versant un verre de vin qu'on frappa a nouveau à la porte. Décidemment, les appartements de la duchesse étaient populaire cette soirée là. Après un froid "entrée" elle se retourna pour voir qui entrait dans la pièce.
-Vous avez raison, des deux c'est à moi de dominé.
-Je vous sert un verre de vin mon cher Baron?
-Non. Je dois lui faire savoir que je ne suis pas qu'un pion.
-Dominé qui Alexandrin? Et vous le savez tout autant que moi que vous n'êtes pas un pion... vous êtes au moin un cavalier.
-Je vais lui faire voir qu'elle n'a pas le contrôle, elle ne s'en sortira pas aussi facilement.
-Pourquoi avez vous participer à ce complot Alexandrin, que vous avait-elle promis de si grand pour vous embobiner si facilement?
-Elle ma promis la Régence d'une des province Briganne, tout ce que je devais faire, c'est faire marcher mes hommes sur Systéria.
-Comme je suis idiote... elle ma promis pour ma part la régence de Systéria. Qu'à t'elle a gagner elle? Et le duc? Vous savez ce qu'il a à gagner dans tout cela? Il ne peux avoir rien de plus la régence d'une province, et encore, son titre primaude sur les régents...
-Je ne sais pas ce qu'il a à gagner, je ne cotoie pas le duc, c'est la comtesse qui s'en occupe. C'est ce qu'elle m'avait dit pour vous aussi... qu'un pion.
-Que l'on est idiot d'être tomber dans le panneau mon cher Alexandrin. Dire qu'on ne regardait que le pouvoir que nous pouvions gagner. Souhaitons que les très haut puisse nous pardonnez cette faute immanquable. Vous êtes un homme bon Alexandrin, je le sais.
Le prince est au courant, je lui ai dit que vous étiez dans le noyau de la rebellion. Mais... je lui ai aussi dit que vous aviez été apportez la dedans contre votre gré. Si vous aidez Tibérius à garder sa place, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour que vous puissiez garder vos titres et honneurs, et que votre nom ne soit pas mélanger à cette acte de traitrise./color]
-Merci Armika, je vous revaudrai cela. Même des pions peuvent tuer la reine, il ne faut pas sous-estimer leurs forces et leur capacité.
D'un signe du doigt, elle lui demanda de l'attendre là quelques instants. Disparaissant derrière le rideau qui menait à l'alcôve de son lit, l'on pouvait entendre farfouiller dans un sac. De retour dans la pièce principale, une longue chaine d'ou pendait un médaillon entre les mains. Elle le lui tendit avec un léger sourire.
-Qu'est-ce que c'est?
-Il était pour moi, mais il vous sera sans doute plus utile à vous, Thaar à d'autre dessein pour moi. Il se dévisse sur le dessus. C'est un poison puisant, une seule goutte suffirait à tuer un orc.
-Mais la bête que l'on à a éliminer est bien plus féroce qu'un orc, dit-il avec un sourire au lèvre
Puis avec un léger rire d'Armika, plus détendu, plus franc cette fois-ci
-Alors mettez s'en deux!
-Si jamais je m'en sors vivante, vous pourrez venir me rejoindre en Systéria et m'épouser!
-En compagnie de tout ses barbares? Non merci!
-Ils ne sont pas si barbare que cela quand on apprend à les connaitre.
C'est dans cet atmosphère plus détendu qu'ils se quittèrent en se souhaitant bonne chance pour le lendemain.
Post by Armika Recaedre, CP - April 29, 2008 at 8:06 PM
Tout cela était trop étrange. Deux pions et deux reines et un roi. En locurence la Veldure et Brougx, et bien sur Lepidus. Qu'avait-il réellement à gagner?
Bien sûr, le Prince Lepidus gagnait le trône, ça personne ne pouvait en douter. Veldure pour sa part pouvait très bien gagner Systéria... mais elle l'avait promis à Armika. Alors qu'avait-elle a gagner à part un titre? La couronne peut-être? Ils semblaient bien proche le prince et elle.
Mais Brougx sans ce cas? Duc, intendant du royaume, à peine au dessous du roi et de l'Archevèque. Que voulait-il de plus? Il avait un veto sur les régents de provinces, et était le conseilller de l'empereur. Quoi demander plus pour un homme de sa situation, il avait sans doute atteint le maximum qu'il pouvait.
Il fallait trouver les alliances et le mésalliance dans tout cela, sa vie était en danger. Normalement une étincelle devait s'allumer. Traçons le chemins sans oublier les spéculations concernant chaque personne.
1-Brougx n'est pas réellement en alliance avec la comtesse. Il rapporte tous les faits et geste a Tibérius. Il est en fait son allier à lui. Un espion somme toute. Mais pourquoi prendre part à cette masquarade alors qu'il est visiblement l'un des décideurs dans cette rebellion? Il devrait se faire petit dans cette alliance avec la comtesse ... mais l'alliance est grosse comme un éléphant dans une fontaine. Alors quoi?
2-Le duc et la comtesse compte renverser le pouvoir de Tibérius une fois celui-ci sur le trône. Vous vous imaginez, un homme du peuple sur le trône. Il sera appuyer du peuple, et par l'église qui suivra le peuple. Quoi demander de mieux, surtout s'il a graisser plusieurs pattes. C'st une possibilité, surement la seul si le duc n'est pas en alliance avec Tibérius.
3- Et la comtesse elle... Se serait-elle faite promettre un mariage par Lépidus? La couronne Brégunienne, quoi de plus beau. Sans doute est-ce la raison pourquoi elle est si tenace dans l'éxécution de son plan. À moin que ce soit l'option deux pour elle... ce qui serait beaucoup plus compliquer. Mais sans doute que pour elle, cette option est la meilleure.
Pour ce qui est du Baron de Nolthembourg et de la Duchesse Recaedre, il est évident qu'ils ne sont des pions qui devait être éliminer par la suite. Sans doute que toutes les questions et les intrigues serait mise à nue le soir même, durant le bal.
Post by Armika Recaedre, CP - April 29, 2008 at 10:20 PM
Les préparations allaient de bon train. Au début de l'après-midi, Miran avait apporter une grand broque d'eau à la duchesse pour qu'elle puisse faire sa toilette. Le tout était agrémenter de savon à la violette et d'une crême de lait de chêvre pour l'hydratation. Visiblement, ils prenaient soins de leur prisonnier dans le palais. Nue au milieu de sa chambre, elle prit son temps, une fois seule, pour se débarbouiller et de se sustenter de l'eau encore bouillante. Comme cela faisait du bien de sentir cette chaleur brûlante sur sa peau, on se sentait si vivant dans c'est temps là.
Se savonant , elle prit un soin particulier de ne pas oublier la moindre parcelle de son corps. Elle n'avait certes pas l'habitude de se laver seule, toujours accompagner d'une femme de chambre, mais elle n'était pas totallement dépourvu tout de même. C'est ainsi qu'elle prit plus de deux heures pour se savonner et se mettre propre.
Ensuite, elle se crêma le corps conscencieusement, massant chaque parcelle de sa peau pour bien faire pénétrer l'hydratant, c'était important pour un teint de lait et une peau douce comme celle des bébés. Plus qu'une touche de parfum à la Lavande, et elle était prête pour s'habiller.
Légèrement décourager par les vêtements qu'elle avait étendue sur le lit, elle aurait du en apporter d'avantage, elle prit au moins une bonne heure à se décider sur la toilettes aproprié. La verte émeraude. Elle ferait ressortir ses yeux, les rendant plus éclatant. Châle de soie moiré, gants de la même étoffe, collier entièrement d'or et d'émeraud, diadème discret mais éclatant. Elle était parer pour le bal, dans ses plus beau atour, elle risque de rendre jalouse toute femme s'y présentant. Nulle doute qu'elle allait attirer l'oeil, comme elle le faisait toujours.
Post by Armika Recaedre, CP - April 30, 2008 at 11:33 PM
Le bal était terminé, moyennant une petite somme d'argent, toutes la petite troupe systérienne trouvère une place à bord du premier bateau marchand qui se rendait à Systéria. Une autre petite bourse glissa entre les mains du capitaine quand Armika lui demanda sa cabine pour le voyage ainsi que la tranquilité d'esprit que personne ne viendrait la déranger. C'est ainsi qu'elle passa tout le voyage, enfermé, refusant de voir quiconque, grignotant à peine ce qu'on lui apportait. Les commentaires allaient de bon train sur le pont du navire infesté de marin peu habituer à la compagnie féminine, surtout de ce type là. On la traitait d'enfant gâté mais l'on se posait surtout beaucoup de question sur sa robe de bal -qui devait couté une fortune selon certains- taché de sang sêché. Mais le capitaine avait tôt fait de disperser les curieux et de réprimander quiconques osaient s'atarder trop longtemps sur le sujet. Visiblement, il avait été payer d'un bon montant. C'est le dernier jour seulement qu'elle se décida enfin à sortir. Ayant entendu les marins crier que la terre était en vue, elle s'était ressénérer dans sa cabine avant de décider d'affronter le monde à l'extérieur, avant d'affronter Thomas.
Ainsi, une fois sortit, elle se rendit d'un pas assuré vers la proue, visiblement le tangage du bateau ne la dérangeait que peu. Accoté à la rembarde, ses mains devenue blanche à force de la serrer, à force d'essayer d'empêcher ses mains de trembler comme des feuilles d'automnes au vent.Elle l'avait sentit s'approcher. Elle savait qu'il était juste derrière elle, et pourtant, elle n'osait pas esquisser un mouvement, de peur...de peur de quoi? Elle laissa la main se poser sur son épaule, se raidissant à se seul contacte.
-Ne regrette pas, ne regarde pas en arrière, Armika
C'est d'une voie chargé d'émotion mais qui se voulait distante qu'elle lui répondit en se retournant.
-Facile à dire pour toi, Brégunia n'est pas ta terre natale.
-Mais Brégunia n’est plus ta patrie, désormais. Systéria te révèrera pour ce que tu as accompli là-bas
-Avais-je vraiment le choix
-Oui, tu as eu ce choix quand les intrigants de la Cour travaillaient à te rallier à eux. Tu aurais pu choisir ta terre natale, mais tu t’es finalement rangée aux côtés de Cybelle. Tu l’as fait, en toute connaissance de cause
Elle secoua légèrement la tête, le bateau accostait. Faisant fit des hommes qui se tenait sur le pont, de ceux sur le quai, elle reprit son expression hautaine, froide et distante qu'elle avait à son habitude. Mais ses yeux réflétaient tout autre chose, la peur, la mélancolie, la tristesse peut-être, qui sait? Elle passa outre tout ses gens, ne prenant même pas la peine de répondre aux salutations de la garde, à leur question sur sa robe taché de sang. Elle fila droit au manoir, fesant taire les domestiques une fois a l'intérieur, et ordonnant d'une voix très froide de changé l'eu du bain pour de l'eau chaude et de préparer son lit. Elle ne souhaitais voir personne jusqu'à ce qu'elle décide du contraire.