Mythes et Légendes

Mythes et Légendes

Post by Natys Sephïos Thalindel - April 18, 2008 at 12:41 AM

L’alcool coulait à flot ce soir. J’étais, comme à chaque fois que mon équipage et moi nous apprêtons à partir, à l’auberge du Port. L’ambiance était à son comble, c’était notre dernier soir pour goûter à la chaire féminine avant de prendre le large pour plusieurs semaines. L’endroit était bondé de paysans et de pêcheurs venu festoyer pour diverses raisons. L’agente féminine était représenté par les prostitués du coin qui espéraient touché gros en cette soirée de festivité collective. J’étais pour ma part plutôt nonchalant. J’avais goûté à toutes ses catins presque aussi souvent qu’à ma femme, ce qui avait eu pour effet d’atténuer le plaisir qu’elles me procuraient. Bien que tous et toutes semblèrent passé un excellent moment je me contentais de discuter ici et là, question de faire bonne figure devant mes hommes. S’ils m’avaient vue dans un état ne serait-ce qu’un tantinet trop tendu à leur goût, ils auraient imaginé des choses complètement saugrenu quant à la nature de la cargaison que nous devions livré à Zanther le lendemain. C’est ainsi, les marins sont bien superstitieux et seul ceux qui savent s’élevé au dessus de ce genre de chose deviennent un jour capitaine. Je fais partie de ses hommes qui se sont élevé pour commander et non obéire.

Au fil de la soirée, l’auberge se vide tranquillement. Plusieurs de mes hommes ont payé une femme qu’ils ont emmené avec eux à l’étage afin d’assouvir leur désir de chaire humaine avant le grand départ. Cette folie leur coûtera sans aucun doute plus de la moitié du salaire que je leur verserai, mais les stupidités que les hommes peuvent commettre n’ont pas de limite lorsqu’il s’agit de tirer un coup. Lorsque j’eu terminé mon dernier verre et mis fin à la conversation que j’entretenais avec un des cuisiniers de l’auberge, je consentis finalement à me lever dans le but de monter à l’étage prendre un peu de repos. J’étais très fatigué, l’alcool n’aidait en rien et aucune des prostituées de l’endroit n’avait réussis à m’exciter suffisamment pour que je l’emploi le temps ne serait-ce que d’une nuit. Au moment précis où j’eu déposé mon pied sur la première marche de l’escalier menant à ma chambre, j’eu un moment d’hésitation. Très soudainement, un intense désir venait de naître en moi, si intense que je ne pouvais le contrôlé. Mon cœur battait rapidement, mais lorsque j’eu parcourut la salle du regard je dus constater qu’il ne restait plus une seule femme qui puisse, en échange d’or, calmer cette violente pulsion qui venait de surgir. J’ai tenté de reprendre mes esprits, jamais je n’avais eu une tel perte de contrôle au point d’en perdre pratiquement la tête, était-ce le vin que j’avais bue en trop grande quantité?

Une fois arrivé à ma chambre j’entrepris de me dévêtir dans le noir. Je n’eu même pas le temps de retirer ma veste que je sentis son souffle doux dans mon coup et ses mains froide dans mon dos. Plus que jamais, je voulais prendre cette femme et faire avec elle ce que j’avais fait avec tant d’autre. Cette pulsion incontrôlable qui me rendait bouillant m’intriguait, mais ce n’était pas le moment de songé à ça. Elle me retira mes vêtements sans même que je ne puisse la regardé. Une fois nue, elle me permis d’ouvrire les yeux. Quel fabuleuse créature… Une jeune femme dans la mi-vingtaine. Cheveux long et roux, yeux marron, corps délicat, svelte sans pour autant négliger des courbes généreuses. Ses seins étaient parfait, ses fesses bombé à souhait, sa silhouette m‘hypnotisait littéralement, je ne pouvais en décrocher mon regard. Elle était déjà nue, je n’eu besoin de faire aucun effort pour la prendre dans mes bras et la transporter jusqu’au lit. Cette sublime créature me laissa lui faire l’amour avec tellement de passion et d’envi que j’en perdait presque l’esprit. Jamais je n’avais été dans un tel état d’excitation. Elle semblait apprécier ce que je lui faisait, elle était tout simplement parfaite et offrait à l’homme tout ce dont il pouvait rêvé. C’est au moment de l’orgasme que ce doux rêve se transforma petit en petit en cauchemar. Nos corps tremblant avaient atteint leurs limites, il fallait laissé le plaisir atteindre son apogée. Ses ongles me déchirèrent le dos à un tel point que l’habituel plaisir que j'aurais dut ressentir se transforma aussitôt en une douleur lacérante. Je dus étouffé un cris de protestation et je sentis presque aussitôt le sang couler dans mon dos. Lorsque mon regard alla à la rencontre de son visage, j’aperçut, au lieux des délicats yeux marron de cette femme, un regard rouge qui avait quelques chose de démoniaque. Ses mains étaient couverte de mon sang et sa bouche délicate laissait maintenant voir deux longues canines prête à fendre la chaire. Je n’étais ni au bout de mes souffrances ni au bout de mes surprises. J’étais convaincu que j’avais trop bue, je voulus me lever, mais c’est avec une force qui avait quelque chose de sur-humaine qu’elle m’en empêcha. Son regard avait toujours cette lueur rougeâtre et j’apercevais maintenant sur ses lèvres l’esquisse d’un sourire qui ne présageait rien de bon. Elle porta sa main droite à mon coup et y planta ses ongles, la douleur si affligeante fut-elle me fit presque perde connaissance, le monde vacilla un instant devant mes yeux, puis la dernière chose que je sentis fut ma nuque qu’elle brisa de ses mains.


Post by Natys Sephïos Thalindel - June 18, 2008 at 7:27 AM

Elle était là. À moins de cinq lieux devant nous. La grande tour de Medelia, plus vieille Cité-État de la ligue de Zanther. Nous marchions depuis des semaines en direction de cette ville et n’avions qu’un seul but, écraser le tyran Ibra’Hal II. Il nous fallait encore franchir une lisière de forêt épaisse et dense, mais avec un peu de chance, nous atteindrions Medelia au couché du soleil. Il faut savoir que la région est reconnu pour être peuplé de centaure et d’autre créature sauvage plutôt menaçante, moi et mes frères étions donc près en tout temps à essuyer un raid. Nous marchions en colonne, elle était environs large d’une 100e de soldats et longue de 2.000 hommes, oui, nous n’étions pas moins de 200.000 milles guerriers et nous nous apprêtions à marcher sur Medelia avec toute la rage qu’on nous avait appris à cultivé, nous étions assoiffé de sang et désirions la victoire plus que jamais.

Ce qui devait arriver arriva. Un raid de Centaure. Ils n’étaient pas nombreux, quelques centaines, mais leur mobilité était de loin supérieure à la nôtre, ils avaient l’avantage du terrain. J’étais très en avant, ce qui ne devait pas consister en un avantage en soit, mais les centaures avaient frappés en plein milieu de notre colonne d’homme, je pus donc survivre à cette première escarmouche. Des flèches fusèrent de toute part, les hommes chevaux armés de lance creusèrent un abysse de mort dans notre longue file de guerrier. Après plusieurs heures de combat, ils battirent en retraite, nous laissant dans un chaos sans pareil. Les généraux se dispersèrent afin de reformer les rangs et de réorganiser les troupes. Nous repartîmes, il n’était plus question de s’arrêter ou de faire demi-tour.

Lorsque nous sortîmes de cette forêt couveuse de mort, un silence lourd nous enveloppait, elle était là, Medelia…

Je fut paralysé par l’imposante cité qui se trouvait devant moi, la tour de Medelia était particulièrement gigantesque. On nous disposa de façon très méthodique, nos commandants semblaient habité par une détermination encore plus grand depuis notre arrivé, moi j’étais craintif. Medelia restait invaincu et elle ne craignait personne si ce n’était Brégunia elle-même. De plus, nous avions dut affronter les centaures, preuve que la cité nous prenait suffisamment au sérieux pour pactiser avec les sous races avoisinante.

Lorsque nous fûmes suffisamment nombreux à être sortit du bois, il allumèrent les torchent. Nous étions repéré, chose que nous n’avions pu éviter plus longtemps. Les cors de Médelia se faisaient maintenant entendre, ils étaient prêt et nous attendaient de pied ferme. Un pensée me traversa l’esprit, c’était d’avantage un doute qu’autre chose…Avions nous une chance ? Je ne sais pas comment l’ensemble des troupes se sentait. Le moral était-il sommairement bon? Dans mon cas, j’étais effrayer et je me sentais particulièrement insignifiant devant ses murs gigantesque, ébranler par la puissance de leur tambour de guerre et si peu armée devant cette légendaire cité.

C’est là qu’elle fit son apparition, la légendaire créature de Médelia, l’emblème de leur force et de leur courage, un puissant Griffon monté d’une Paladine de Vaerdeon redoutable.

Perché du haut d’une falaise, elle attendait sur son griffon l’ordre de passer à l’attaque, on voyait rayonner dans sa main l’instrument de notre mort, je perdis tout envi de combattre, j’aurait préférer me sauver, mais je n’avais aucune possibilité, j’étais simplement là, devant l’imposante tour de Médelia à attendre qu’une flèche me transperce, qu’une lance me perfore, qu’une lame tranche le fil de ma vie et si j’avais un peu de chance, je mourrais en héros, tué par la légendaire protectrice.

             ![](http://img147.imageshack.us/img147/7752/griphon19ag2.jpg)

Post by Natys Sephïos Thalindel - July 1, 2008 at 4:48 AM

À l’intérieur des murs de Medélia.

L’odeur de la guerre. Je la sentais. J’entendais les tambours de guerre ennemis, je voyais ce long serpent de feu sortant de la forêt, la tensions était palpable et j’avais dans la bouche un goût amer similaire à celui de la viande avarier. Une victoire n’est jamais acquise. Les troupes de Xerdonia n’étaient pas à prendre à la légère, je le savais. En tant que dirigeant de la glorieuse Medélia, je ne pouvais laisser paraître la moindre émotion. J’ai levé la tête et je me suis regardé dans le miroir. J’étais fière, j’avais l’air sage et j’avais toujours bien parut, l’âge ne m’avait encore rien ravis. Ma chevelure brune ne portait aucune cicatrice blanche, mon regard vert exaltait la confiance et les trait de mon visage, rien d’autre que l’expérience d’un homme mûr. Une fois que j’eu fini d’ajuster mon armure décoré d’un griffon en mortine (J’avais fais de ce griffon notre emblème pour honorer cette puissante créature mythique qui veillait sur ma ville depuis si longtemps), je sortis sur mon petit balcon. Il surplombait la cour arrière du palais, j’avais sous moi, plusieurs milliers de Soldats et ils étaient tous prêt à se battre. Le bruit des tambours de l’armée de Xerdonia se faisait plus fort, plus intimidant, un roulement de mort qui n’avait que pour but d’étouffer ce discours que je m’apprêtais à prononcer, d’étouffer tout élan de courage et d’anéantir toute lueur d’espoir. Je comptais bien faire fi de ce bruit, ma voix l’étoufferait et j’apporterais à mes troupes le courage et la motivation nécessaire. Médelia ne tomberait pas aujourd’hui. Il n’était pas envisageable que l’histoire se souvienne de moi comme du Tyran qui aurait mené la dernière bataille de cette glorieuse Cité-État.

Ma voix était forte, amplifier par une potion de résonance que mon fidèle alchimiste m’avait préparé. Cette voix échos, puissante et vibrante d’énergie eue l’effet désiré, j’avais l’impression d’être un dieu pour eux. J’avais régné pendant plus de 300 ans, j’étais vieux, un vieux demi-elfe qui ne pourrait plus dissimuler très longtemps les signes de l’âge. Je maudissais la faiblesse humaine qui m’habitait et je jubilais quand je pensais à cet élixir d’immortalité qu’on m’avait promis. Le prix que je devrais payer serait-il trop élevé ?

Des acclamations se firent entendre lorsque je mentionnai le nom d’Alana. Cette femme mystérieuse qui avait été choisi par notre protecteur ailé, cette paladine au pouvoir étrange qui montait notre mythique Griffon était un symbole d’espoir, de force et de courage pour notre Cité. L’évocation de son nom venait d’électriser mes hommes, c’était en quelque sorte mon as caché, je n’avais pas la certitude qu’elle serait à nos côtés cette fois, mais je devais l’espérer et me servir de cet atout pour motiver mes troupes, pour leur insuffler une détermination nouvelle, un moral indestructible.

D’autres acclamations encore plus violentes vinrent étouffer momentanément le bruit des tambours de l’armée ennemi qui s’installait au pied de nos murs.

Puis, sous un dernier tonnerre d’acclamation, je me suis retirer pour rejoindre mes généraux avants de passer à l’action. Almaël, mon fidèle bras droit et ami, vint me voir et me fit avaler une nouvelle potion qui atténua les effets de résonance de ma voix. C’était un homme doué, il était bon de l’avoir à mes côtés et j’avais foie en ses talents de mage et d’alchimiste. Depuis que nous avions découvert un possible élixir d’immortalité, nous travaillions sans relâche pour nous procurer les ingrédients nécessaires à son élaboration. L’étrange mort du capitaine Varmas, nous avait forcé à embaucher un nouveau Capitaine pour sillonner les mers à la recherche de plusieurs ingrédient insolite. En plus d’avoir perdu un bon capitaine, sa cargaison avait été volée, ce qui me ralentissait considérablement. Il n’était pas aisé de trouver un artefact de cette qualité sur Enrya, je doutais même que quelqu’un puisse accomplir ce que ce cher Varmas avait réussi. Que Thaar ai son âme.

Combien de temps me restait-il ? Les effets de l’âge s’accélérait à une vitesse anormal, si le mythe qui m’entourait se dissipait, je perdrais une certaine emprise sur mon peuple, on louangeait ma jeunesse éternelle et il était hors de question qu’à cause de cette dégénérescence physique nouvelle qu’on se mette à douté de ma force et ma vivacité. Almaël interrompu la cours de mes pensées.

Nous étions maintenant devant une énorme porte en chêne que j’ouvris avec toute la force dont j’étais capable. Ce fut une entrée réussite, on me remarqua et tous se mirent au garde à vous en ma présence. Après de brève salutation, nous nous assîmes pour étudier la question, l’heure était à la guerre. Si les prochains jours m’étaient bénéfique, j’écraserais l’ennemi. La stratégie élaborée par mes stratèges, la puissance de nos effectifs et la position dans laquelle nous étions nous était favorable. La ligue s’en verrait affaiblit, mais je n’avais pas d’autre choix. L’issue d’une bataille n’est jamais prévisible, nous nous devions être aussi parfait que par le passer.

Aucun homme et même aucun elfe n’avait été si prêt de devenir immortelle et je ne laisserais pas Xerdonia prendre mon pays et encore moins l’éternité d’existence qui s’offrait à moi…


Post by Natys Sephïos Thalindel - July 3, 2008 at 4:00 AM

Son corps était absolument sublime. J’adorais faire l’amour à Enesta. Ses courbes étaient généreuses, sa poitrine abondante et ses lèvres savaient trouver les endroits qui me faisaient frémir. Nous étions seul, à l’abri sous les arbres d’une des nombreuses forêts de la terre des sages. Jeune. Libre. Tellement d’innocence et de naïvement. Son corps chaud et doux se frottait contre le mien à un rythme modéré, j’appréciais chaque mouvement comme si il s’agissait du dernier de mon existence. La forêt était plongée dans un silence enivrant, nous étions les seules âmes qui vivent à des kilomètres.

Dans une étreinte aussi passionné et puissante, jamais nous n’avons entendu approché les braconniers. Enfin, peut-être avons-nous fini par percevoir leur présence, mais il était déjà trop tard et mon arc n’aurait pas suffit. Ils sont tombés sur nous très rapidement. Ils m’ont mis hors d’état de nuire sans trop perdre de temps et ont violé Enesta. Elle en est morte.

Ce qu’ils voulaient ? Je ne sais pas. La terre des sages regorge de mystères et de trésors. De l’écorce de nos arbres à l’eau de nos oasis tout ici à quelque chose de magique. De la poudre de fée ? Possible, mais s’aurait pu tout aussi bien être de l’écaille de dragon vert ou du crin de licorne.

Je sais maintenant que les dieux ne sont pas toujours aussi bons et justes qu’ils ne le prétendent. Depuis ce jour, je me suis promis que plus jamais je n’aimerais plus d’une nuit. Dérogé à cette règle est trop risqué, je ne veux plus souffrir ce que sa mort m’a infligé.

Enesta, que je t’aimais. Tu incarnais la douceur et le rêve. Ludique, souriante et profonde. Un regard d’azur, des lèvres de soi, une chevelure couleur de sang et un corps voluptueux. Tous ses moment passé à rêver, tous ses moments passé à s’aimer. Je t’avais offert mon cœur et mon âme simplement parce que j’en avais eu envi, tu n’avais rien demandé, rien exigé. Nous étions amoureux, c’était simple et pure. J’aurais aimé te faire un enfant, j’aurais voulut vivre avec toi, aussi long puisse être l’existence d’un elfe, mais ses braconniers ont mis fin à ce rêve et aujourd’hui, je jure devant la trinité de venger ta mort.


Post by Natys Sephïos Thalindel - September 7, 2008 at 5:23 AM

-\tQuelles sont les nouvelles Générals Dugraal ?
-\tElles sont bonnes conseiller Almaël. Les Envahisseurs ont été repoussé avec succès, les pertes sont limité de notre côté mais nos alliers les centaures ainsi que les mercenaires du sud demandent redevances.
-\tPayé les et je ne veux pas qu’ils ne s’attardent trop longtemps sur nos terres, particulièrement ses mercenaires.
-\tTrès bien, mais il y a autre chose.
-\tParle librement Antoine.

Il inclina la tête légèrement. J’avais employé son nom au lieu de son grade, c’était un honneur non négligeable que je lui faisait.

-\tLes mercenaires du Sud veulent une compensation. Leurs pertes sont énorme et ils disent que ce n’était pas ce qui avait été « prévu ».
-\tÀ la guerre comme à la guerre, une victoire n’est jamais acquise, ils n’auront rien de plus que ce qui avait été entendu.
-\tSauve tout le respect que je vous dois grand Mage, je crois qu’ils ont vue clair dans notre jeu. Nous les avons considéré comme de la chaire à archer, je crois qu’ils n’ont pas apprécié. D’un point de vue strictement militaire, ils sont campé au porte de la cité et afin d’assurer la continuation de nos relations avec les mercenaire du Sud, je crois que nous devrions acquiescé à leur exigence qui sont plus qu’acceptable.
-\tQuelle sont-elles?
-\tIls nous demande une 100e de femmes pour donner naissance à de nouveau mâle.
-\tVider nos cachots de toutes ses prisonnières et ce soir même, rendez-vous dans les bas quartier et enfermé toutes les prostitués que vous trouverai. Nous les offrirons demain matin au Mercenaire.
-\tOui Maître.
-\tDispose maintenant, j’ai à faire.

Il s’inclina de tout son long, signifiant ainsi sa soumission à ma volonté et se retira. J’avais maintenant un conseil d’après guerre auquel je devais assister aux côtés de notre Tyran Ibra’hal. Sa s’annonçait corsé au vue de la précarité de la situation. Nous ne pouvions pas si facilement lancer un assaut contre Xerdonia, la ligue de Zanther avait survécu à l’Empire Brégunien uniquement en raison de l’alliance qu’avait signé les diverse cité-État, si je prenais le contrôle de cette ville par la force, je n’aurais probablement plus assez d’homme avant longtemps pour tenir tête à l’empire Bréunien. D’un autre côté, Médélia ne pouvait laisser impunément fuir ses traître. D’où la délicatesse de la situation. J’étais toujours vêtu de ma toge de guerre, la bataille avait été rude et les hostilités venaient tout juste de se terminer. J’étais épuiser, j’avais jeté et contré tellement de sortilège… Je me dirigeais néanmoins d’un pas vif vers la lieu où avaient été convoqué les généraux. Sur mon chemin, comme à son habitude, m’attendait le Tyran Ibra’Hal.

-\tSeigneur Ibra’Hal.
-\tAlchimiste Almaël, quelles sont les nouvelles ?
-\tJe viens tout juste de communiquer par télépathie avec le délégué de l’académie que nous avons envoyé sur le bateau.
-\tEt puis ?
-\tIls ont trouver la Poudre de fée.

Une lueur venait de percer les ténèbres, après des semaines de combat, finalement, un peu de bonheur recouvrait le visage du Seigneur de Médélia.

-\tNous avons donc tout les ingrédients ?
-\tOui, il ne manque que le Calice dans lequel nous devons versé la potion. J’ai terminé de déchiffré les formules, il ne me reste qu’à évaluer adéquatement les risques et à définir si possibilité d’effet secondaire il y a, mais cela me sera plus aisée lorsque j’aurai tout en ma possession.
-\tLe navire est-il loin ?
-\tDeux jours si les vents lui sont favorable.

Il semblait trop pressé, je trouvais l’attitude de mon vieil ami Ibra’hal étrange lorsqu’il s’agissait de ce maudit élixir…j’aurais peut-être dut m’abstenir de lui faire part de ma découverte à propos de cette élixir lors de mon retour de Systéria. Cette histoire avait quelque chose qui ne présageait rien de bon, je devais consulter les étoiles…

-\tNous en reparlerons Almaël.
-\tOui mon Seigneur, ne soyez pas trop pressé, vous n’avez rien perdu de votre jeunesse encore, enfin, rien qui ne soit visible pour vos sujets.
-\tJe me sent vieillir Almaël, je ne veux plus attendre.
-\tJe comprend Seigneur…