Quand une légende s'éteint...

Quand une légende s'éteint...

Post by Bonaparte - May 30, 2008 at 11:35 PM

Ambiance sonore ici

« Lorsque la terre ternit ses mains de souillon, la mer écume pour nettoyer ses sales besognes. Comme une maîtresse bienveillante, elle lèche chaque paroi, chaque berge afin de s’assurer que le mal n’est toujours que passager. »

Les pluies tombent depuis des mois. Tout se liquéfie, même la nature. Tout est dense, mouillé, triste et lourd. Même le moral des habitants d’Enrya. Les rues délavées sont glissantes, elles portent sur elles le vice et la douleur, et leur chemin mène à la mort. Ces rues remplies de sourires, de rires, de joies, de peines. Ces rues bondées de souvenirs, qui ont si souvent été visitées par ceux qui désormais ne sont plus. La rumeur de leur pas résonne encore dans la mémoire de ceux qui souffrent leurs départs. Et dans leur complainte, jamais ne meurt leur souvenir.

Le pêcheur emballait ses appâts avec son jeune fils. La journée avait été bonne. Leur sceau était rempli de poissons dodus. Il caressa la joue de son plus jeune enfant. Comme cet enfant était beau et vigoureux. Tout ce dont un père pouvait être fier. Ce pêcheur, qui en se levant, vit des débris humains flotter dans la rivière, en direction de la mer. Les restes d’un corps d’homme, découpés. L’enfant cria de frayeur, mais son père s’agenouilla, puis le rassura. Ils partirent ensemble pour repêcher les restes humains. L’enfant pleurait, le père aussi. Comment une telle cruauté pouvait-elle exister. Comment l’humanité pouvait-elle en arriver à un point de méchanceté si accrue. La mort dans l’âme, le pêcheur du Cercle de Pierre reconnu ces tatouages. Ceux de l’homme qui avait été si généreux envers lui et sa famille.

Les morceaux de cadavres étaient lourds, imbibés d’eau. Déjà, dans leur parcours, ils devenaient plus difformes. Mais ces dessins imprimés sur la chair, désormais morte, ne pouvait pas mentir. Le pêcheur et son fils traînèrent le corps décapité de Séphyr jusqu’à l’orée de la cité, où on s’enquit d’aller chercher gardes et familles, pour annoncer la terrible nouvelle. L’homme, qui avait découvert son compagnon de guilde, était à genoux, en pleurs, tenant contre son cœur, son fils tout autant bouleversé.

Ce corps, dont la tête demeurait manquante, survolait pour la dernière fois ces rues. Celles où il avait ri, et celles où il avait pleuré. Celles où il avait vu pour la dernière fois d’autres compagnons qui avaient eu le même sort que lui : la mort. Ainsi la rumeur fit son chemin, et les citoyens un à uns se mirent à raconter comment Séphyr de Sorgrad était mort : tel un héros.


Post by Thorvald, CdP - May 31, 2008 at 12:13 AM

Ce jour-là, du haut du mont Vaerdon, retentit un rugissement. Un hurlement de rage et d'émotion. On l'entendit jusqu'en Basse ville. Certains pêcheurs du port dirent avoir entendu un dragon rugir.

Thorvald était introuvable depuis la nouvelle. Certains disaient qu'ils l'avaient vu pleurer. D'autres qu'ils l'avaient vu briser de grosses pierres à coup de hache en hurlant. D'autres encore se taisaient, respectant le deuil de ce dernier et des autres...

Le barbare disparut pendant plusieurs lunes.

Il cherchait Heilayne.


Post by Aelynthya, Ind - May 31, 2008 at 12:35 AM

Elea apprit la nouvelle comme beaucoup de personnes : le bouche à oreille. Elle ne le connaissait que peu, les rencontres ayant été le plus souvent lié avec le roi des cauchemars.
Un frisson la parcourra en se ressassant ses souvenirs. Elle ne pu s'empècher de regarder tout autour d'elle, comme si elle craignait qu'on l'épiait ou qu'une présence inconnue était prêt d'elle. Le calme revenu, elle ne pu sempêcher de regretter le lourd chagrin que pouvait apporter la mort d'un être à ses proches. Le jeune Nathaniel et son épouse auraient de pesantes heures à franchir aujourd'hui et les jours à venir.

Silencieusement, elle leur souhaita de franchir cette étape en restant soudés.

L'émotion passée, elle réarbora sa bonne et joyeuse humeur habituelle. Décidément, cette elfe semblait vraiment frivole.


Post by Larme, FdC - May 31, 2008 at 1:45 AM

Ce matin la, la cité murmurait, un murmure dont on ne veut pas connaitre la portée, dont la fin fait frémir comme un songe insoutenable dont on se souvient encore le matin après que l'aurore ait remplacé le crépuscule. Seul les songes se terminent ainsi et l'aube n'arrive que trop vite caresser de sa douce lumière le monde qui s'émoit de nouveau. Depuis combien de temps la lumière n'a pas percé les nuages et la pluie désormais quotidienne de ce monde? Depuis combien de temps le monde ne s'émerveille plus du jour qui arrive comme pour marquer la fin d'une ère ?

Une fois de plus, la douleur des mots etait bien pire que celle d'une lame ou d'une flèche, une fois de plus le songe se fini en cauchemar et celui ci ne laisse sa place qu'à un autre.

Ce matin la cité murmurait, elle frémissait en prononçant un nom qu'elle connaissait bien, celui de Séphyr. Combien avait elle eu d'amis depuis son arrivée sur ce nouveau monde ? Deux, deux en tout et pour tout, la première avait disparu et elle ne l'avait jamais revue, le second venait de rejoindre ceux en qui il croyait.

Et elle dans tout cela, et Larme, elle traversa la cité sans même prendre le temps d'acheter ce pour quoi elle était venue, le pluie tombait à nouveau. Parfois, elle hydrate et permet la vie mais depuis quelques minutes celle ci était devenue brulante, si brulante que la Demie Elfe avait du relever son capuchon pour s'en protéger.

Avant même que son esprit puisse prendre le dessus sur de néfastes pensées, elle était hors de la cité, loin en direction du sud ouest, peut être même loin au delà du grand océan. Aucun son, aucune sensation ne parvenait jusqu'à elle, elle était de nouveau seule au milieu de la forêt, le seul endroit ou elle pouvait se sentir bien quoi qu'il arrive, pourtant ce jour, la forêt paraissait insipide et sans saveur.

Il ne faisait vraiment pas bon se lier d'amitié à quelqu'un, au final la solitude avait toujours été son meilleur allié, elle avait voulu essayer à nouveau de rejoindre la civilisation mais à quoi bon ? Voir ceux qu'on apprécie être happés par la folie du monde ? Naërith avait toujours eu raison : A vivre entouré, on laisse toujours des séquelles et des adieux déchirants.

De la ou elle venait, on organisait des cérémonies et l'on consacrait des tumulus aux défunts afin que ceux ci puissent retourner auprès de leurs ancêtres ... Cette fameuse pluie si brulante n'avait pas cessée et peu avant d'arriver près de son campement, la Demie Elfe lâcha un simple "Adieu" comme seule et unique prière, le seul mot qui passa de son esprit à ses lèvres ce jour la.


Post by Orth Usk,Mort - May 31, 2008 at 3:19 AM

(http://www.youtube.com/watch?v=MFnKAPNcqog)

Au moment ou les pêcheurs entra en ville, Orth revenait du palais. L'agitation au niveau de l'entré de la ville piqua sa curiosité. La pluie tombait a flot, comme depuis quelque temps, mais il s'y abituait tranquilement. D,une démarche lente et fier il s'avance vers la porte de la cité. D'une voix autoritaire, il demanda de laisser passé. Au moment ou il apercu la dépouille, une faiblesse le prit dans les genoux et un point au coeur le fit gémir, comme s'il venait de se faire lui même poignardé.

Ces vêtements, ces tatouages et tout ces traits...c'était bien ceux de...

D'un mouvement brusque, il quitta la ville pour aller vers la forêt. Dans un endroit calme,Installé sur une souche, il pensait; tous ces moments passé ensemble...Nathaniel...Heileyne...Pheobe...des moments si intenses...et si effrayant, mais tourné au ridicule...celui qui la fait entré dans la garde...celui qui l'a poussé a embrasser Amy...Celui qui le choisi comme Écuyer...l'être chère qu'il venait de perde...l'ami...le frère...

- Séphyr, par Vaerdon et par mon honneur, ton assassin sera retrouvé, et puni...

Il prépara son rituel de salue, puis avec ses connaissances shamaniques et son statue de Paladin de Vaerdon,il fit ses propres funéraille. Dans un rituel spectaculaire et unique en sont genre, il le salua.

- Au plaisir de ce revoir la haut vieu ...


Post by Thomas Bolton, Emp - May 31, 2008 at 12:40 PM

Thomas, une fois n’est pas coutume, se promenait sur les remparts. Une toque bien sommaire posée sur le haut de son crâne le protégeait de la pluie. Son regardait fixait les environs du palais, tantôt au sud, tantôt au nord. Son pas restait ferme, malgré son handicap, les quelques flaques d’eau ne l’empêchant pas d’avancer. Soudain, il s’arrêta. Ses yeux d’aciers se braquèrent sur le quartier du Cercle de Pierre, d’où il vit monter une colonne de fumée.

Quelques minutes plus tard, des pas précipités vinrent interrompre sa méditation. On se pressait vers lui sans se soucier de mouiller ses belles chaussures de fonctionnaire. Ce devait être monsieur Cressen.

« Ah, monsieur le Consul. Je vous trouve enfin. »

Le ministre ne se retournait pas, il continuait à fixer l’épaisse fumée qui s’élevait. D’habitude, les cérémonies étaient plus bruyantes. Là, il n’y avait que calme et sérénité.

« C’est au sujet de monsieur de Sorgrad. Il est mort. Un pêcheur a retrouvé son corps démembré qui flottait en mer. On l’a reconnu uniquement à ses tatouages, la tête est absente. »

Ah, c’était donc ça.

« Etonnante nouvelle, monsieur Cressen. Je pensais que le Maître-Rôdeur avait plus d’un tour dans son sac. »

Il songea à la tête manquante.

« Peut-être est-ce encore le cas. »

« J’ai préparé papier et encore, dans votre bureau, pour rédiger une lettre de condoléance, monsieur le Consul. »

Thomas hocha la tête et suivi son secrétaire vers un endroit sec où se réchauffer.

Certains n’avaient plus cette chance.


Post by Ariana Umbriel, OdS - May 31, 2008 at 4:54 PM

Dans la cité, tout était si calme. Il n'y avait pas âme qui vive au Coin Chaud, sauf son tavernier, l'air dépité. Dans les rues, les bonnes gens faisaient grise mine. C'était évident, quelque chose de terrible venait d'arriver.

Ariana se dirigea vers la basse-ville, et sur son chemin rencontra Kalidor, le chevalier blanc. Il n'ôta pas son casque pour lui dire de ne pas aller dans la basse-ville. Les paladins de sanguine... L'ange noir... Comprit-elle à travers l'écho de ses paroles.

Elle blêmit. Murmurant quelques mots de pouvoir, elle s'éclipsa dans la sécurité du Quartier Pourpre, ou l'atmosphère était tout aussi pesante. De l'autre côté de la rivière, elle vit monter une colonne de fumée épaisse et noire. Elle sentit l'odeur de l'air et compris. Un homme était mort, un homme du Cercle de Pierre. Et ils étaient en train de l'immoler pour l'aider dans son voyage, vers le repos éternel.

Lorsqu'un des aspirants du dortoir daigna prononcer le nom du défun, Séphyr de Sorgard, elle s'effondra à genoux. Les larmes roulaient sur ses joues, alors qu'elle restait là, au milieu de la pièce, silencieuse. Son regard fixait le néant.

Les idées se bousculaient dans sa tête. Des corrélations se formaient involontairement entre elles. Elle ne se souvenait que trop bien de leur dernière discussion. Il avait trop parlé, elle en était certaine. Un sentiment de culpabilité l'envahit, faisant rouler les larmes de plus belle.


Post by Andréus Alphage, UdB - May 31, 2008 at 5:18 PM

Journal d'Andréus Alphage

Avant-hier: C'est étrange. Voilà une semaine que Systéria à accueilli pour un nouveau temps mes pas. Durant cette courte période, je n'ai rien eu à coucher dans ce journal... Les gens ici semblent fadent, et ayant perdus goût à tout. Sans doute les plaies frappant la ville, donc actuellement une pluie incessante charriant des ossements, y est pour quelque chose. Et quand j'essaie d'en discourir avec certains, tous me répondent la même chose "nous ne pouvons rien y faire, il faut juste attendre". Je ne peux me résoudre à pareille conclusion, cela va contre ma nature. Si tôt que j'aurai retrouvé mon poste au sein de la Confrérie, j'entamerais un large projet afin de découvrir l'origine et le but de ces manifestations. Car l'expérience le prouve : tout fait, toute réalisation, de quelque nature qu'elle soit, poursuit un but qui, parfois, nous échappe en premier lieu.
Pourtant aujourd'hui, j'ai rencontré une personne qui m'a semblé trancher avec les autres. Un homme avenant, aux bonnes manières ayant connaissance de l'étiquette. Ce dernier m'a dit travailler en bibliothèque, et nous avons profité d'une profonde discussion pour visiter cette dernière. Je dois dire qu'il a raison, la bibliothèque impériale est imposante, grande. Une chose m'a cependant marquée. Il m'a, alors que nous ne nous étions jamais croisé, proposé son poste d'assistant bibliothécaire... J'en ignore la raison, mais sans doute trouverais-je réponse dans les prochains jours.
Il ets tard a présent, et mon hôte me fait signe qu'il me faut éteindre la faible flamme qui me permet de coucher ces mots. Demain, j'entamerai mes quêtes.

Aujourd'hui : Quel malheur. Je n'ai la force d'exprimer tout ce qui se passe. La population a l'air effondrée. Nous avons appris ce matin, à la taverne du Coin Chaud, par un bambin galopant, que cette chère personne qui m'avait tant marquée, et sans doute l'une des rares avec qui j'eusse une discussion profonde, est décédée. Il avait l'air tant enjoué à vouloir me montrer les chemins de la nature. J'en reste coi... Sans doute trouverais-je, plus tard, les mots qui se prêtent à la situation.


Post by Elrog Minh Yu - Mort - - May 31, 2008 at 5:30 PM

Tout comme les bateaux en provenant de Systéria, le vent apporta les nouvelles sur l'archipel. Les rumeurs vinrent à s'écrasèrent comme les vagues sur la falaise au pied du Domaine Minh Yu. Séphyr de Sorgrad était mort, très vite les coursiers firent leur besogne, avertir le maximum de personnes en un minimum de temps. L'on vint déranger Le Seigneur Minh Yu occupé à regarder une représentation de théâtre No pour venir lui avertir de la triste nouvelle.

Aussitôt il fit interrompre la scène et se mit à rédiger une lettre, les acteurs eux se retirèrent dans leurs appartements, toutes les festivités du jour furent annulées. Elrog se fit apporter un kimono blanc et le passa à sa taille.

Assis sur la terrasse donnant sur un jardin, il regardait le jour tomber, pour tout le monde le jour tombe un jour. Il paraît que l'on ne doit pas craindre la mort, que c'est le réveil d'un rêve et le début d'une nouvelle vie, c'est cependant une chose très triste. Il commanda un haiku nommé « La chute du Dragon » pour l'envoyer à la famille du défunt, On le chanta tout en brûlant de l'encens au coté des ancêtres.

Ciel très nuageux
Eclairs et tonnerre
Dragon au repos

La Litanie fut répétée dans tous les temples du domaine et bien au dela, se rendant peut être par des chemins détournés à la source de la nouvelle.


Post by Phoebee de Sorgrad, AD - May 31, 2008 at 5:59 PM

Quelque chose c'etait rompu en elle, un lien intime et fort. Les sols se déroba sous ses pieds et perdit son souffle. Les yeux grand ouvert et vide elle fixait le ciel. elle resta ainsi sous la protection de son ostard pendant un nomber d'heure ? ou de jour indeterminé...


Post by Halik Telfyr, l'Ange Noir [Mort] - May 31, 2008 at 11:16 PM

Bien installé au comptoir d’une des nombreuses tavernes de la basse, l’ange buvait un petit verre de Vodka. Ses yeux sillonnaient la pièce à l’affût de la moindre anomalie. On lui louait depuis son retour récent, des habitudes frôlant la paranoïa. Soudain, ses oreilles captèrent une bride de conversation qui méritait son attention…

-\tL’ex-Comte et Protecteur du cercle Séphyr de Sorgrad est mort !

Halik se leva et s’approcha discrètement de la table des concernés. Il maîtrisait le camouflage comme personne, il ne lui fut donc pas difficile de passer inaperçu.

-\tDans quelles circonstances ? demanda l’un d’eux.
-\tOn ne sait pas trop, c’est encore flou, mais y’est mort, je le sais de source sûr !

Halik n’avait pas besoin d’en entendre d’avantage, il quitta la taverne et se rendit près de son lieu de prière habituel. Une petite statuette, des ossements et du sang d’hérétique étaient disposés dans une pièce sombre et crasseuse. L’ange laissa tombé sa cape à capuchon sur le sol derrière lui, il pris une dague dans une main, son chapelet de Yagshul dans l’autre. La dague fut trempé dans une petite fiole de sang et déposé devant la statut du dieu sombre.

-\tMaître des Ténèbre, Père des Vices et Prince sombre de l’autre monde, je te fais requête. Moi l’ange noir, bras de ta colère et messager des abysses te demande en échange du sang que j’ai versé en ton nom, d’offrir la place qui revient à l’âme corrompu du Renard. Punis le, fait le souffrir comme il le mérite pour sa trahison et sa faiblesse, mais épargne lui le tourment éternel qu’il mérite.

Halik prononça quelques paroles en drow, frotta le chapelet qu’il tenait entre ses mains et maintint plusieurs minutes de silences par la suite. Il se leva et revêtit sa cape d’un air serein.

- C’est la dernière chose que je puisse faire pour toi ancien mentor, je regretterai longtemps l’époque ou nous combattions côte à côte…


Post by Astara Nazgaroth, InD - June 2, 2008 at 6:55 PM

Tifania entra dans la bibliothèque. Elle avait comme d,habitude la joie au visage, et un doux sourire signe d'innocence aux lèvres. Elle allait comme d'habitude, lire des ouvrages de toute sorte comme sa soif de connaissance le veux.

Elle ouvre le premier livre, commence à le survolé, mais elle connaissait déjà pas mal tout le thème sur quoi était écrit ce livre. Alors elle se leva, et alla en chercher un autre. Retournant s'assoir, elle commença à lire quelque chose qu'elle appréciait vraiment, un livre sur la magie musicale. C'est alors que en trompe, un homme de la confrérie pourpe entra, celui qui lui servait souvent presque de valait, car il adorait s'occuper de l'enfant, si avare de connaissance. Il alla vers tifania presque en courrant:

"Dame tifania !! Dame Tifania !! C'est horrible !!! Vite vite je dois vous parlez !!!
-Oh allons Réginald revient plus tard je lis un livre très interressant..
-Non non non surtout pas, c'est très important !
-Qui a-t-il ?"

Dit-elle sans détaché le regard de son livre.

"Le père de celui que vous aimez, Séphyr de Sorgrad, il est mort assassiné !!!"

Tifania se leva d'un bond, en échappant son livre. Son regard s'emplie rapidement de larmes. Elle avait passé beaucoup de temps avec Séphyr et sa famille, elle les adoraient maintenant... Et là, PAF il fallait qu'il y arrive quelque chose. Tifania sentit ses bras tombé son coeur se chambouler.

"Mai..snif snif Mais.. c'est... Impossible ?"

Tifania sans même ranger de livre rien, entra chez elle rapidement... Son oncle était absent... Elle passa facilement une journée complète dans sa chambre à pleurée. Elle devait affronter son deuil... Elle passerait à travers, mais Nath lui... Elle allait devoir sérieusement l'épauler.. Il adorait tellement son père...


Post by Nathaniel de Sorgrad,ADM - June 2, 2008 at 9:48 PM

Cela fesait maintenant quelque jours que la Famille avait appris la triste nouvel. Le manoir se vidait, Heyleine restait introuvable. Nath bien que le chagrin très grand, s'occuppait de sa petite Soeur. Il était l'homme de la maison maintenant, son père lui répétait souvent qu'un jour il devra grandir d'un coup...il n'avait pas vu ce jour venir aussitôt...

Le vent soufflait fort, Pheobe pleurait, non pas parce qu'elle se rendait vraiment conte de la mort de son père, mais surtout a cause que sa mère la laissait seule longtemps. Le soir tard, quand la petite dormait, Nath essayait de communiquer mentalement avec son père. Il se disait que... si la trinitée avait été bonne avec lui, il la laisserait peut-être lui parler...

Entre deux larmes, il prononcais un nom, celle avait qui il aimerait partager sa crainte et sa peine...Tifania...


Post by Enochinn, Ind - June 6, 2008 at 12:44 PM

Protegé de tout par l'étreinte de sa mère, c'est au cercle de pierre qu'il appris la triste nouvelle. Protegé de tout mais pas du chagrin naissant de son coeur. Un silence, tel l'éloquance des morts, glacait son regard d'un mirroir de larmes incompletes.