Un boulot d'envergure

Un boulot d'envergure

Post by Thalkehr Stornaar, AdM - November 3, 2008 at 9:29 PM

Déjà plusieurs semaines avaient passés depuis la fin du règne de Mala. Depuis cet évènement tournant dans l'histoire de Systéria, la ville n'avait pas encore retrouvé son calme. Plongée dans l'obscurité pour des jours, il était impossible d'effectuer la coupe de bois et d'entamer la reconstruction de la basse-ville qui avait été la cible principale de la tyrannie de Mala.

La lumière étant revenu, on entendait la voix des Mercenaires et Miliciens qui travaillaient de pair, claironné par le chant des supérieurs qui encourageait leurs hommes à travailler d'autant plus fort, d'être fiers de leurs accomplissements et de montrer ce qu'ils avaient dans le ventre.

C'est dans la structure, l'organisation et la discipline propre à l'Armée que les supérieurs s'assuraient de respecter les exigences émises par la Fraternité du Chêne. Si une visite de ces derniers s'imposaient, il était dans l'intérêt de l'Armée d'éviter les infractions majeurs.

Sous le bruit des haches, on entendait la voix des quelques 300 hommes qui chantaient en choeur les hymnes de l'Armée. La coupe avançait ainsi à d'un pas impressionnant et efficace, alors que des chariots artisanals transportaient, sous le regard rempli d'espoir des citoyens l'aisés, les buches vers la basse-ville où allait bientôt être entamée les procédures de reconstruction.


Post by Thalkehr Stornaar, AdM - November 5, 2008 at 9:21 PM

Les jours passaient et le travail se poursuivait. Jusqu'à ce jour, le Fraternité du Chêne ne s'était pas beaucoup mêlé de la récolte de l'Armée. De toute façon, celle-ci tirait à sa fin alors que la majorité des travailleurs étaient désormais transférés à l'étape de le construction.

Des abris de fortune, très peu luxuseuses mais offrant une protection contre la pluie et le vent, étaient mis en place pour loger les victimes qui n'avaient pas d'endroit où dormir. On y avait installer des lits de camp et des couvertures de laine, empruntés à l'approvisionnement de l'Armée.

La priorité était de reconstruire les bâtiments offrant des biens et services essentielles tels que les soins et l'alimentation. Une fois ces édifices remis en fonctions, les membres de l'Armée tendaient la main aux habitants de la basse-ville dans la reconstruction de leurs demeures. Le bois ayant été extrait de la forêt et transporté jusqu'à la basse-ville était réparti également parmi les citoyens.

De l'aube jusqu'au Crépuscule, les travaillers s'acharnaient au bien être des gens de la basse-ville. Le reconstruction avançait à un rythme effarant et la situation s'approchait davantage de l'époque antérieure à Mala. Encore quelques jours et l'Armée pourrait se retirer alors que tout serait stabilisé.


Post by Garibald Adalard, Ad - November 5, 2008 at 10:00 PM

La Fraternité avait offert au contraire se qu'elle pu. Seulement contrairement à certains elle ne semblait pas nécessairement apprécier être vu comme une Guilde voyante, sans pour au tant afficher ses couleurs à chaques bonnes actions faite. Elle se contentait de peu et de se qui lui revenait sans faire excès.

Depuis que les flammes de la basse-ville avaient ravager demeures et familles, la Fraternité avait mis à dispositions depuis longues dates de carioles procurant nourriture et rafraichissement aux démunis. Tout en invitant ceux n'ayant plus de temps à prendre un logis pour la nuit ou les mauvais temps dans le quartier même. Ceci, continuait dès lors jusqu'à aujourd'hui.

Par ailleurs, des volontaires s'efforçaient de même dans la forêt à surveiller les mercenaires, voir s'ils tenaient en compte les règles émis par la Fraternité pour la coupe de bois. Bien entendu, d'autres s'efforçaient à bûcher. Certes, en moins grands nombres mais suffisament pour être considérer.

C'est ainsi que l'on voyait peu à peu les rayons du soleil éclaircire le sol dans la forêt qui fut jadis dense. Le gros du travail allait être à venir pour cette Guilde qui ponctuait une grande partie de ses ambitions à la protection de la nature.