À la recherche de sa mère défunte...
Post by Acturus Polymaro, Mort - December 29, 2008 at 8:14 AM
[Je tiens à m'exsusé pour ceux de qui les nom n'apparaissent pas. Je n'ai pas la mémoire des noms bien bien efficace...]
28 Décembre à 22h00
À la taverne le "coin chaud" tout était bien calme pour le nouvel acolyte de l'Ordre du soleil, Galius, Thormir. Il avait sur lui un livre ayant comme sujet le Royaume de Thaar selon le prêtre Talsélunde Second emprunté de la bibliothèque de l'Ordre, car les récents développement avait attisé sa curiosité. Pendant sa lecture, le Caporal Arntorn de la guilde des mercenaires l'intéroppu pour lui demandé de l'information sur les vas et viens d'une de ses recrus à la taverne. Cependant, étant plongé dans sa lecture, le monde extérieur était en seconde et peut-être troisième place dans ses priorités et fut contraint de réponse à la négative.
Quelques secondes après le claquement de la porte, une énorme déflagration fit tremblé les bouteilles sur le présentoir, fait sursauté Marcos qui était sur le point de s'endormir vue l'ennuis de la soirée et provoqua au sein de Galius une monté d'adrénaline fulgurante. Laissant en toute hâte sa soupe encore fumant et son livre à la page 107, Galius ouvra la porte vigoureusement pour entré de pied jointe dans une scène de bataille. Le caporal Arnton était légèrement enfoncé dans le mur de la bâtisse voisine vue la force de la déflagration et une femme aux cheveux rouges, la main tendu vers lui et encore fumant, se tenait à l'extrêmité. Galius était pourtant préoccupé par autre chose. UNe chose qui lui ressemblait à tout point de vue... son clône en personne!
Le caporale, se relevant à l'aide son épée et Galius fouillant dans son sac en toute hâte pour prendre arme et boulcier joignèrent leur force pour mettre à terre cet abobination de la magie sous les recommandement de l'acolyte de l'Ordre. Malheureusment pour les deux hommes, l'image démoniaque du Paladin était très agile et les couprs des deux guerriers fendèrent vivement le vent. Pendant ce temps, un magicien de la Confrerie Pourpre était venu prêté main forte et il engagea le combat contre la femme démoniaque. Bien qu'il ne fut aucunement touché, il constata son impuissant face à la force incommensurable de la démone. Son esprit vive avait déjà saisi l'issue du combat... un cuisant échec.
Le clône maintenant hors de porté, les deux guerrier, Galius et Arnton, entreprire à leur tour de combattre la femme une fois que le clone ne fut plus à porté de combat, car il s'était réfugié sur le toit de la taverne. Sous le regard désespéré du magicien les deux guerriers ne peurent en venir à bout. Voulant discuté à sa manière, la démon commença des incantions. Au dernier mot de celle-ci, Galius fut projeté en un éclair contre le mur de la taverne si violement qu'il s'est retrouvé à l'intérieur de celle-ci tout près du comptoir.
Encore sous l'adrénaline, Galius ne voulait pas s'avouer vaincu. Il se releva avec un volonté de fer, contrairement à son corps qui lui avait perdu tout espoir. En boitent, en titubant, à peine capable de supporté le fardeau de son épée, Galius sorta de nouveau à l'extérieur. Incapable de marché en ligne droite, Galius fit rencontre à nouveau avec à démone qui avait déjà entrepris la conversation avec le magicien et le Caporale. Elle leur fit savoir qu'elle voulait se rendre au temple pour en disposé comme elle lui plaisait. Par la même occasion, il blasphémait le nom de Thaar ce qui avait alimenté la rage de Galius!
Une rage qu'il n'avait pas ressenti depuis bien des années. La même rage envers le mal lorsqu'il avait lancé cette torche sur le foyer dédié à purifié sa mère. Sa mère, elle était maintenant devant lui! SA mère comrrumpu par le mal était revenu! Il l'a voyait, là devant lui en train de profané le nom de Thaar et son temple par la suite. Maintenant aveugle de tout bon sence et dans un cri de rage Galius tenta une attaque complètement désespéré. Dans on état, il avait levé à peine son arme contre la démone. Il lui suffit simplement de projeté lassement Galius de sa main droite.
PLus rien, il ne restait plus rien à Galius, même plus sa conscience... Dans son délire inconscient, il n'avait pas peur, il n'avait pas soif ni faim, car sa mère d'avant s'occupait de lui. Il l'a revoyait comme avant, charmante, attentionné, douce, tendre et serviable. Il n'avait rien sauf lui et sa mère d'autrefois. Des ses mots doux, elle lui dit qu'il n'était pas encore temps qu'il la retrouve. Elle lui rendit sa main tout doucement...
La douleur, les cris et le rude mon de la réalité semblait encore loin. Mais extrêment vite, tout était revenu, la douleur, le gout de sang dans la bouche et les cries. Un homme tentait de réanimer Galius avec des compresses d'eau froide. Encore confu, Galius reprenait tranquillement ses esprits. Puis l'idée fixe revient. La démone, il devait détruire la démon! Sa volonté y éŧait encore très vive certes, mais son corps lui avait abandonné la bataille depuis longtemps. Se tordant de douleur il tentait de se relevé. Impossible, rien ne bougeait. Sous les recommandations de son soignant et du magicien, Galius tenta de se calmer. Le magicien tenta de lui soutiré de l'information, mais Galius était incapable de résonné et de formulé une idée clair. Pendant ce temps, la femme démoniaque avait déjà mis les voiles...
Le soignant de Galius, tenta de le résonné avec des paroles remplis de sagesse. Il y parvint avec ces mots: "Messire, un vrai soldat de la lumière sait lorsqu'il faut se reprendre, se reposé et reprendre le combat de plus belle demain". Sur cela, la rage et la colère s'estompait dans l'esprit de Galius qui prenait tranquillement conscience que la bataille était maintenant perdu mais que la guerre était très loin d'être terminé. Sous bonnes paroles, Galius décida de se rendre au temple pour faire son rapport.
L'aidant lui, fit le pélérinage avec Galius, car l'état du paldin était totalement execrable. Quelques minutes plus tard, les deux hommes était sur les marches du temple ou ils trouvère la chef par intérime de l'Ordre depuis le départ du commandant. Le magicien de la confrèrie était déjà sur place pour expliqué la situation.
Voyant son serviteur très mal en point, elle pris quelques instant pour y lancé un sort de soin...
Après tout ces événments, Galius avait un gout amère autre que son propre sang dans la bouche. Celui d'avoir perdu une autre fois sa mère au profit du mal. Cependant, un rayon de lumière perçait les lumières. Il avait maintenant un nouvel ami envers qui il avait une dette...
POur le restant de la soirée, Galius fit des patrouilles partout dans la vile jusqu'à épuisement pour trouvé le moindre indice qui pourrait lui permettre de combattre à nouveau la démone...
Post by Karthanis Tyr - December 29, 2008 at 5:46 PM
Karthanis entendit un énorme bruit à l'extérieur de la taverne Au Coin Chaud, et des voix qui s'élevèrent soudainement. Le breguenois décida qu'il valait peut-être mieux laisser les hommes de armés comme le soldat de l'Ordre du Soleil qui venait de sortir, s'en occuper.
Cependant les voix ne baissaient pas, et des bruits de lutte se firent entendre. Karthanis se risqua à l'extérieur, pour découvrir le soldat de l'Ordre qu'il avait vu sortir à terre, inconscient, et d'autres autour d'une femme à la posture désinvolte. Bien que conscient du danger, Karthanis se rapprocha de l'homme à terre et le traîna plus loin pour l'asseoir en dehors de la zone où l'affrontement pouvait se redéclencher. En épongeant le front de l'homme inconscient, celui-ci repris ses esprits, tandis que la femme et ses adversaires s'étaient éclipsés.
On vint plus tard signaler au soldat de l'Ordre du Soleil que la femme risquait de causer des dégâts au quartier de l'Ordre, si bien que Karthanis dut soutenir l'homme blessé jusque la-bas. Par chance, une prêtresse put lui venir en aide une fois arrivés.
Karthanis prit ensuite congé, car le combat qui risquait d'arriver n'était pas pour lui.
Post by Acturus Polymaro, Mort - December 31, 2008 at 4:12 AM
Titre: Une défaite amère
(encore une fois désolé, j'ai pas la mémoire des noms :S)
Les efls noire, Galius ne les apprécies pas du tout. Cependant, ils les laissaient tranquille lorsqu'ils ne cherchaient pas les ennuis avec lui. Cependant, un parmis eux se démarquait passablement des autres. Cela avait début en d'après midi. Ne sachant pas trops qui avait commencé le manège; Galius en dévisageant l'elf noir ou bien l'elf noir en narguant l'ordre du Soleil, le deux hommes s'envoyèrent des "politesses".
Jusqu'au moment ou l'elf noir proposa de faire bataille dans l'arène publique de la ville. Ah, c'était donc la chance à Galius de fermer le bec à ce petit prétentieux et à ses remarques désobligeantes envers Thaar. Galius, ne pouvais toléré que l'on se moque de Thaar le tout puissant de cette manière.
Confiant d'avoir la force de Thaar à ses côtés, Galius entreprit quelques échauffements avant de combattre. Puis, le signal était donné. Galius fonça comme un lion et il était certain de pouvoir mettre à terre son adversaire d'un seul coup de masse. La volonté et la force y était très grandes, cependant, l'elf noir s'avérait très expérimenté et agile en plus. Il évitait chacun de ses coups.
Galius, n'abandonnait pas, de tout ses forces il continua le combat malgré les coups de lance qui perforaient son corps. Au bout de quelque secondes à peine, le combat était déjà terminé. Galius, déposait un genou à terre et sa masse lui servait de béquille. L'elf noir avait gagné.
La rage commençait à bouillir... Bien entendu, l'elf noir très content de sa victoire, s'est permis d'être très arrogant envers lui ce qui avait pour seul but d'éprendre de l'huile sur le feu. En boitant et en utilisant son bouclier comme support, le jeune paladin alla s'assire pour se reposé un peu et prendre revange. Après une pière dédier à Thaar pour lui demandé la force nécéssaire de terrassé son adversaire, il était prêt à nouveau.
Empoignant son bouclier et son épée solidement, il se mit en garde avec une détermination inébranlable. Le signale était donné à nouveau. Le jeune paladin fonça comme une fusé sur l'elf noir qui se moquait bien de lui et de son dieu. Le premier coup atteignie son but. L'elf cria de douleur et Galius était satisfait. Voyant que le Paladin était beaucoup plus vigoureux, il décida de passe à un niveau supérieur. L'elf noir utilisa une technique tout à fait stupéfiante aux yeux du paladin. Il apparaissait et disparaissait à répétition. Galius ne pouvait qu'à toute les fois frappés dans le vide avec force et détermination malheureusement, sans touché pour autant son adversaire.
Bang, ici et bang là. Tout à l'heure dans son dos pour un coup de lance et maintenant sur son flanc pour un coup de dague bien placé. La rage montait toujours... elle était bientôt à ébulission. Quelques secondes plus tard et plusieurs gouttes de sang versé, le nouveau membre de l'Ordre inclina le genoux incapable de combattre encore une fois. Essouflé et en sueur, il ne pouvait pas concevoir de perdre encore. Retournant à son banc la tête basse, il devait enduré une fois de plus les moqueries de l'elf noir qui devenait de plus en plus agacantes.
La rage était prête à explosé, une phrase de plus et s'en était terminé de la raison du jeune paladin. L'efl noir n'avait pas peur du dangé... BANG!!!!
ASSEZ!!!!!!!!!! Le paladin, encore incapable de se battre saisi uniquement son arme. Il regardait l'efl d'un regard plus noir que sa peau. Il allait VAINCRE cette fois-ci et ce, avec la force de Thaar le tout puissant.
Pendant ce temps, un homme de la guarde impérial tentait de soyé ses blessures pendant que Galius s'obsitnait à gagné ce combat. Dans un cri de rage pur le paladin fonça pour une troisièeme fois sur l'elf noir. Un coup au bout, un deuxième et un troisième! L'Elf ne pouvait s'empêcher de crier de douleur cette fois-ci. Cependant, cela ne satisfesait pas le Paladin maintenant entré dans la folie. Il voulait le voir MORT pour toute les moqueries faites à lui, à l'Ordre et à Thaar.
Cependant, l'elf n'était pas dépourvue pour autant. Il s'avait se battre et bien en plus! Il passa au troisième niveau. S'éclipsant à plusieurs reprise pour arrivé dans le dos de Galius, qui lui tenta désespérément de touché à nouveau l'elf, il envoya une slave de coups de dague dans le corps.
Soudain, la rage de jeune paladin s'estompa tout d'un coup. IL n'était plus capable de respiré et ses musques lui faisait extrêment mal qu'il n'était à peine capable de supporté son corps. Cette fois-ci, les deux genoux par terre, le paladin était défait pour la troisième fois....
Il était complètement consterné par la situation. En pleure et en colère, il n'arrivait pas à comprendre sa défaite tout en frappant le sol de ses deux mains.
-" Pourquoi? POURQUOI!!!, Pourquoi Thaar ne me donne tu pas la force de vaincre mes adversaires qui se moque de toi? Je me dédis corps et âme pour être le meilleure serviteur de la lumière qui soit. POurquoi suis-je incapable de vaincre cet efl noire qui s'insurge contre ta volonté!"
Se relevant remplie honte et d'amerture, il ne regardait même pas le caporale Arntor qui venait d'airrvé pour prendre conscience des événements. Galius était complètement vidé mais surtout attéré, consterné et détruit par la situation...
Décidément, cette défaite était difficile pour ce pauvre Galius...
Il entra chez lui pour prier et trouvé réponse à cette question: pourquoi?
édit: Merci Karthanis pour ta contribution, j'invite aussi les autres joueurs, témoin dans les récits à faire leur contribution question d'enrichir le tout. Ne vous étonnez pas si le récit n'épouse pas "exactement" les événements. Je déforme un tout petit peu pour que ça soit plus littérale. J'espère que vous ne m'en voulez pas trops pour cela. Et finalement, je ferai un effort suplémentaire pour me remémorer des noms des personnages! Merci de vos commentaires/suggestion/contribution
Post by Acturus Polymaro, Mort - January 2, 2009 at 4:00 AM
(Contrairement à mes autres postes, celui-ci est inventé, ce n’est pas un récit de ce que Galius à vécu. Cependant, il est vrai que le Paladin s’entraine avec son confrère Vanestin Drex.)
Ses blessures n’étaient pas encore cicatrisées que Galius quittait l’hospital dans laquelle il fût pris en charge par Sarä Taur'Amandil Balgor. Maintenant capable de levé son arme, cela était suffisant pour reprendre son entraînement avec son compagnons d’arme, Vanestin Drex.
Une fois qu’il l’aie rejoint au temple, l’acolyte Drex ne pu s’empêcher de le questionner à propos de tout ses bandages professionnellement posés. Galius se contenta simplement de réponse qu’il avait faillï devant le mal encore une fois. Cette phrase était dite avec un pincement et une pointe de colère.
Voyant l’état encore précaire de son élève, Messire Drex hésita de donné son accord pour poursuivre l’entraînement. À la réponse de son confrère, Galius insista et prirait son entraineur de continuer son entrainement même dans son état. Avec un air plus sérieux et sévère, Vanestin averti son élève que l’entrainement sera extrêmement plus exigeant et dur qu’auparavant. Dans ce cas, il voulait s’assuré de la pleine conscience lors de la réponse de son élève. D’un simple signe de tête, Galius voulait cette entrainement.
Crie de douleur, volonté de fer, sueur et sang, tout cela étaient nécessaire pour réussir les défis qu’imposait son entraîneur. Entraînement du corps, survie en forêt, prière continue, combat au corps à corps et séence de lecture de texte complexe sur le Royaume de Thaar, tout y passait. Messire Drex était fière de voir avec quel force Galius passait au travers malgré ses blessures. Cependant, quelques choses clochait à ses yeux…
Messire Drex eux sa réponse lors d’une séance d’entraînement de corps à corps. Bien que les combats étaient courtois et respectueux, l’acolyste Vanestin avait le dessus étant donné son expérience de combat et ses techniques. Galius en faisait pareil lorsqu’il s’avouait vécu, car la force de son adversaire était encore nettement supérieure à la sienne. Cependant, l’entraîneur en voulait plus de son élève. Il ne voulait plus entendre cette phrase : « Je crois bien messire que vous avez gagné cette manche, félicitation ». Il voulait forcé la limite de son élève pour son propre bien.
C’est alors qu’il s’est mit à le provoquer volontairement. Au départ, Galius était confus et surpris de l’attitude de son entraîneur. Voyant que cela ne fonctionnait pas, il se permit de le frapper au visage déloyalement. Encore surpris, Galius a reproché le coup déloyale de son entraîneur.
Vanestin Drex : « Croyez vous que le mal se bat loyalement lui? ». À ses mot, Galius se releva avec détermination. Son entraîneur lui lança un petit sourire satisfait de le voir encore combatif après la défaite qu’il venait juste d’avouer. Galius se battait bien, cependant Messire Drex avait relevé sa technique d’un cran de plus. Après quelques minutes, Galius était en sueur, ensanglanté et hors de combat sur le sol. Il n’en pouvait plus, il disait qu’il avait tout donné.
Vanestin l’avait prévenu qu’il allait être exigeant et que l’entrainement allait être plus dure et demanderai un dépassement de soi inimaginable. C’est pourquoi il provoqua encore son élève.
Vanestin Drex : « Ce n’est pas avec cette attitude que vous allez vaincre le mal. Si vous abandonné ici c’est votre affaire, vous serez défait contre le mal » dit-il sur un ton presque insulté de voir l’abandon de son élève. « Mais sachez que le mal s’en prendra à vos proches, vous amis et même moi par la même occasion »
À ses mots, Galius tomba rapidement dans un état semi conscient. Des rapides images de son passé loin ou proche venait se placé entre ses yeux et lui. Sa mère criant de douleur sur le bûché, l’humiliante défaite contre l’Elf noir qui riait de lui sans aucune réserve de son sort, et finalement sa sordide agression par un agent du mal. Ces souvenirs était suffisante pour servir de clef pour ouvrir la porte qui retenait la rage refoulé de Galius qui bouillonnait depuis un bon moment.
Il se leva d’un trait avec son arme en main et fonça avec rage sur son adversaire maintenant aveuglé de tout raison. Surpris de l’attitude de son élève, Messire Drex tenta de parer le puissant coup du paladin fou avec son bouclier. Sans être totalement prêt et sous la force de l’impact le bouclier fut projeté un peu plus loin dans l'arêne. Ne comprenant pas l’attitude de son confrère, il engagea le combat sans son bouclier. À son tour, Messire Drex devait pousser sa limite pour ne pas tombé sous le coup de son élève enragé. L’acolyte Vanestin avait encore le dessus mais pas pour très longtemps à ce rythme.
Voyant qu’il pourrait perdre le contrôle du combat, si celui-ci continuait encore quelques minutes, Drex décida d'utilisé une technique encore secret à Galius pour mettre un terme à la folie du guerrier de la lumière assombrie par sa rage. Galius tomba sur le sol faisant un nuage de poussière.
Essoufflé et effrayé, Messire Drex venait de survolé un profond traumatisme de Galius à ses dépends. Traînant d’abords son compagnon de combat vers le banc, il tenta, ensuite, de lui reprendre conscience en lui passant un linge humide dans la figure. À son réveille, Galius ne se souvenait de rien…
Post by Acturus Polymaro, Mort - January 6, 2009 at 11:09 AM
Titre : Une sombre destiné qui se dessine pour l’acolyte Galius
5 janviers 2009
La journée s’annonçait grandiose pour l’Ordre. Enfin… c’est ce que pensait Galius. La journée de la rédemption, de la victoire et du salut éternel pour l’existence, maintenant troublé pour le jeune homme, celle de l’Ordre et du dieu divin Thaar la tout puissant. Faisant les derniers préparatifs, le jeune paladin avait la ferme intention de vaincre cette fois-ci la démone. Il présentait que cette journée sera la bonne… Pauvre Galius, sa haine envers la démone lui enlevait tout bon sens…
Déjà, son impatience se faisant sentir lors de la discussion de groupe avant que l’expédition commence. Tappotant du pied, picottant la table de réunion et mordillant sa lèvre inférieure, il sentait que le temps pressait. Il avait l’impression que toutes ses mises en place étaient une perte de temps. Que le moment de vengeance en l’honneur de Thaar s’éloignait. Enfin, le signal fût lancé et les troupes furent lancées dirigé par le nouvel inquisiteur, Messire Nogar.
Dans une sombre grotte, les troupes de la lumière trouvèrent leur objectif. Cette mystérieuse caverne cachait en soit un donjons des plus particuliers. S’entraidant, faisant preuve d’ingéniosité et de réflexion, c’est tout la troupe qui était gagnante et par le fait même Galius aussi. Ce travail d’équipe a été la clef durant tout le donjons et Galius en était fière d’en faire parti
Malheureusement pour le groupe, il perdait progressivement un allié et un ami… L’échos de la démone se faisant entendre dans les sombres couloirs. La rage, la haine et la colère montait toujours d’un cran en Galius. Voyant ses compatriotes, s’entraidé, se félicitant pour leurs bon coups et accourant de un à l’autre lorsque le besoin s’en faisant sentir, Galius comprenait qu’il y’avait quelques chose qui ne tournait pas rond en lui.
Bien qu’il ne le concevait pas encore tout à fait, il voyait que son attitude ne ressemblait pas à celui de ses comparses. Ils étaient bien sûr, vif, alerte et fraternel, mais contrairement à lui, ils semblait serin et calme malgré la situation tandis que le jeune paladin devenait énervé, impatient et colérique…
Le cours de sa réflexion fut bien vite interrompu lorsque le groupe fût attaqué par des créatures démoniaques. Par la suite, ils firent rencontre d’une autre démone dégageant une aura maléfique plus grande que la femme aux cheveux rouges. Seul la présence de la démone ailé, prisonnière dans une cage, était une provocation pour ce jeune paladin impétueux et imprudent. Il était incapable de résonné maintenant, car la démone emprisonné à tôt fait de l’insulté ce qui le rendit encore plus en colère. Cependant, ce n’est pas cette démone que Galius cherchait, bien qu’il aurait voulu la terassé également, mais c’était plutôt la femme aux cheveux rouges. Il était borné à cette idée : La combattre à tout prix.
Pendant ce temps, il ne s’était pas rendu compte que la démone encagée avait lancé un vicieux dilêmes aux groupes qui aurait des conséquences graves sur l’avenir. Son idée était là et en plus, il l’a sentait... elle était proche…
Le groupe prit sa décision et le paladin rappeler à l’ordre par son chef. Il lui restait une pointe de loyauté, mais la barrière était sur le point de lâcher. Peu de temps après le rappel et la décision du groupe, le mur au fond de la pièce fut détruit par une explosion où en sorti la démone tant voulue par le jeune paladin. Crak… tout avait cédé. Bien que la démone ne ressemblait en aucun point à sa mère, la blessure elle était bien ouverte et aucunement cicatrisé. Aveuglé sur tout le plan, même celui de la réalité, il fonça sur la démone encourager de son cri de rage.
Bien que Galius ne le réalisait absolument pas, il faisait une grave erreur en se battant avec une telle haine. Bien entendu, il perdait toutes techniques en fonçant de la sorte, mais aussi sur le plan moral, ce qui l’assombrissait de jour en jour. Inconsciemment, Galius s’écartait du chemin de la lumière. La cause en était fort simple. Il avait camouflé le fait qu’il n’avait pas pardonné à sa mère ce qu’elle est devenu par un serment de combattre le mal. Il était en colère contre celle-ci. De ne pas avoir su combattre le mal, de s’être laisser emporté de cette manière. C’est pourquoi, devant toutes les forces maléfiques, Galius rageait. Il ne supportait pas tout les êtres incapable de se battre contre celui-ci, de s’avoir laissé emparé de la sorte pour devenir ce qu’ils sont maintenant. Plus l’aura maléfique était forte, plus il enrageait… Ironiquement, Galius tombait lui aussi, tranquillement vers ce chemin.
Cependant, rien n’était perdu à Galius. Les bonnes intentions, la foi en l’Ordre, en Thaar le tout puissant et le bienfaiteur et en les 9 préceptes de la religion Thaarsienne étaient encore présents. Mais pour combien de temps encore? La voix de la guérison se dessinait peu à peu devant lui, mais arriverai-t-il à la trouver à temps? Seul Thaar le sait.
Le résultat du combat fut très prévisible. Le paladin couché sur tout son long, couvert de sang et de brûlure. À son réveil, ses compatriotes étaient là pour le ramener dans le monde conscient. La rage était encore là, mais beaucoup moindre puis disparue soudainement. Aidez de la jeune recrue, Messire Léo il fut conduit à l’hosptial de Ste-Élisa pour une deuxième fois en peu de temps. Il allait bien sur recevoir des soins médicaux avec professionnalisme. Encore une fois, le jeune paladin fou n’avait aucun souvenir du moment où il a entré dans sa folie meurtrière jusqu’à son réveil. De plus, un goût extrêmement désagréable avait envahie sa bouche et sa gorge. Cela lui provoqua plusieurs haut de cœur à son réveil et durant son pénible voyage de retour… La démone se jouait-elle encore de lui?
Dorénavant, tous les membres de l’Ordre présent on peut voir que Galius avait un sérieux problème. Ils avaient parmi eux, un être profondément troublé et qui avait besoin d’une aide sérieuse. Pendant la nuit, Galius ne trouvait pas repos, enfin pas avant un moment. Il n’avait que le goüt de pleurer. C’est ce qu’il fit d’ailleurs, comme si son âme tentait, inconsciemment, de rejeté le mal qui s’emparait de lui. Le jeune acolyte ne comprenait pas son envie de pleurer. Cependant, il voulait retrouver sa mère d’autrefois. Comme elle lui manquait en cette nuit! Il désirait ardemment la retrouvé, d’y faire un acollage chalheureuse, d’entendre à nouveau son rire si particulier, de la voir rayonnante et surtout de lui dire qu’il l’aimait de tout son cœur…
À bout de force, Galius trouva un sommeil plus ou moins réparateur. Le jeune Paladin allait bientôt se trouvé à la croisé des chemins entre la lumière et la pénombre. Lequel allait-il emprunter. Personne, et peut-être ni Thaar pouvait le savoir…
Post by Acturus Polymaro, Mort - January 11, 2009 at 10:12 AM
L’aveu
Depuis un bon moment, le temps était calme pour Galius. Même qu’une routine s’installait depuis la journée de l’expédition. Ayant pris connaissance de ce qu’il s’était passé durant son inconscience dans le donjon, il se mit à faire des lectures pour remonter les traces de la démone. On aurait dit qu’il avait changé de carrière pour passer d’un guerrier de la lumière à un magicien érudit.
Pendant ce temps, il reçut une missive de l’inquisiteur. Il lui demandait de se présenter à son bureau dans la caserne. Au premier abord, le jeune paladin ne s’inquiétait pas, il pensait même que cela allait être un bon moment pour y faire part de ses recherches.
Cependant, l’ambiance, une fois la porte refermée, était tout autre. L’inquisiteur pesait de tout son poids avec son regard sur l’acolyte qui commençait à se douter de quelques choses. Au départ, l’inquisiteur fait un rappel de son bon travail, cependant l'atmosphère n’était pas du tout propre à des félicitations.
L’inquisiteur lui rappelait son manque de contrôle qu'il a fait preuve pendant la rencontre avec la démone inférieure. L’idée de le renvoyer de l’Ordre était là. À ces mots, Galius commençait à paniquer. Dans cette état, il tentait de convaincre maladroitement l’inquisiteur de le garder au sien de l’Ordre. Cependant, l’argumentaire du jeune homme ne plaisait pas à Messire Nogar. Bientôt, le jeune paladin imaginait le pire et ses émotions s’amplifiaient... Tout à l’heure un stresse énorme et maintenant en sentiment d’échec qui était capable de lui soutirer des larmes. Il retenait son trops plein d’émotion du mieux qu’il le pouvait.
La sanction semblait évidente pour l’inquisiteur envers l'acolyte. Cependant son esprit vif présentait un profond malaise en lui. C’est alors qu’il commençait à le questionner sur son passé. Au première images de son histoire, le torrent était maintenant trop fort, le jeune guerrier de la lumière versait des larmes devant son chef. Quelle honte pour se guerrier fier...
Cependant, dans ce moment d’humilité, l’inquisiteur avait droit à la pensé la plus pur de Galius. Ironiquement, c’est ce qu’il voulait entendre. Au travers de ses larmes coulant sur ses joues, son regard incapable d’affronter celui de Nogar, il dévoilait son terrible secret. La mort de sa mère, sa corruption par le mal, la naissance de sa haine contre celui-ci, son désire d’acheter le salut de sa mère en parcourant le chemin de la lumière avec archarnement. Tout y passait.
L’Inquisiteur avait maintenant une preuve tangible du bien fondé du jeune Galius. Mais justement, il était jeune et c'est pourquoi il avait encore de la difficulté à maîtriser ses émotions et surtout sa haine envers le mal. Ayant un air plus compatissant, Messire Nogar l’invitait à le regarder à nouveau et à reprendre ses esprits. Il avait maintenant raison de voir un si grand potentiel en ce jeune homme.
C’est alors, que l’atmosphère changea complètement. L’acolyte n’était plus.. il était bel et bien maintenant Vigile de l’Ordre! Le jeune Vigile, désormais, ne trouvait pas les mots pour remercier son chef. De plus, l’inquisiteur le prenait sous son elle. C’était là un honneur des plus grands pour Galius! Ses larmes était maintenant séché et un grand sourire s’affichait sur son visage.
À la sorti du bureau, le jaune paladin était maintenant des plus léger. Il ne portait plus seul le poids son passé, il avait l’impression d’avoir fait un pas de plus sur le chemin de la lumière mais aussi celui de concrétisé davantage l’achat du salut de sa mère défunte.
Rien maintenant, en tout cas, pour cette journée ci, ne pouvait assombrir son âme. Par contre, d’autre surprise l’attendait. La démone, elle n’avait pas donné son dernier mot. Tout juste avant sa mort causé par Asraxoliel, elle lui avait versé une malédiction? Dans la bouche… Mais cela, personne ne l’avait dit encore à Galius, pas même son nouveau maitre…
Bien des surprises l’attendait encore…
Post by Acturus Polymaro, Mort - January 12, 2009 at 8:48 PM
Depuis un bon moment, Galius était de moins en moins présent dans les quartiers de l'Ordre. À telle pointe, qu'il n'était pas au courant des "événements étrange" qui se sont produit dans ceux-ci selon les dires de l'elfe noire, membre de la confrèrie pourpre. Cependant, il était toujours là pour les rencontres importantes et assisté du mieux qu'il pouvait l'inquisiteur. Ceux qui l'avait dernièrement croisé pouvait visiblement remarquer une fatigue flagrante dans ses yeux.
En effet, Galius passait la plus grande partie de son temps dans la bibliothèque impériale ou bien encore dans les archives. Il s'acharnait sur la lecture des ouvrages historique, culturelle, de science fiction ou bien de légende pour trouver la moindre piste qui pourrait être utile. Une grande motivation de terasser se mal et cette démone lui permettait de passé parfois deux nuits blanches consécutives à lire des livres et des parchemins. Cependant, cette archarnement avait un prix et sa santé physique commençait à se déteriorer...
Il n"était plus rare que les autres membres puisse voir Galius, la tête contre ses livres en train de ronflé. Le pauvre, il s'épuisait. Tout ce travail et cette archarnement allait-il porter fruit? Seul le temps pouvait le dire.
Post by Acturus Polymaro, Mort - January 17, 2009 at 10:27 PM
De sage paroles
En milieu d’après midi, Galius cherchait à se distraire, car sa recherche n’avançait plus et pour la prochaine étape, rien n’était de son ressort. Regardant par la fenêtre et pensif, il aperçue son maître quitter le temple. À la course, il le rejoint pour l’accompagner dans ses devoirs mais aussi de profiter de sa sagesse et de ses connaissances.
Son maître avait raison d’être fière de lui. Galius s’emblait guérit de sa rage, car il paraissait beaucoup plus serin, fier et confiant. Était-il réellement guérrit? En fait, cela faisait longtemps qu’il n’avait pas rencontrer une force maléfique d’une extrême puissance face à face. Cela ne l’empêchait pas de poursuivre ses recherches avec détermination.
Quoi qu’il en soit, il accompagna son maître dans ses devoirs. Marchant côte à côte dans les rues de systéria, les deux hommes faisait rayonné l’Ordre et les défenseur de la lumière comme jamais. Les deux hommes avait un charisme et non prestance tout à fait hors du commun. L’Ordre ne pouvait que s’en porter mieux.
D’abord, l’inquisiteur Nogar amena son jeune élève vers l’écurie impériale ou il lui écrivit la scène de bataille avec la nécromancienne. Ce n’était pas réellement la scène qui préoccupait le maître mais plutôt le rapport de force entre la pénombre et la lumière.
-« Souvient toi de ceci, jeune élève : Peut importe l’obscurité qu’il y’a, la lumière finit toujours par l’a percée et éclairer la vérité »
Ses mots sonnaient comme une vérité de plus limpide pour le jeune paladin. Le jeune paladin était sur la voie de la lumière et cette parole lui semblait élémentaire. C’est pourquoi l’inquisiteur y mettait encore de l’emphase. Galius, lui, en était certain du plus profond de son âme.
Un peu plus tard, les deux hommes se trouvèrent tout près du statut au centre du principal chemin de Systéria. Encore une fois, le maître s’arrêta un moment pour contempler celle-ci. Encore une fois, il instruisait son élève de sage parole sur la lumière.
-« Peu importe dans les sombres moments, garde la foi, continue sur le chemin de la lumière et Thaar t’aidera de sa puissance divine. »
Le jeune vigile était d’accord à tout point de vue avec ces affirmations. Cependant, après plusieurs sages paroles, un petit doute se mit à résonner dans sa tête. Pourquoi, depuis sa rencontre, son maître lui lançait-il des phrases sage certes, mais aussi évidentes selon son jugement?
-\t« Maître, puis-je vous demander pourquoi vous me dites toute cela, avez-vous
l’intention de me quitté bientôt? »
Son maître le regarda avec un air paternel et lui dit : « Je ne sais pas le moment lorsque Thaar me rappellera près de lui »
Sur le coup, la réponse était satisfaisant pour son jeune élève. Cependant, Galius ne pouvait se l’expliquer. Il avait un autre sentiment qui surgissait. Comme si quelque chose d’important allait se produire avec des conséquences irréversibles. Il avait l’impression de voir toutes ses paroles de sagesse comme un avertissement…
Est-ce de l’angoisse non justifié? Seul Thaar le savait… Cependant, le jeune paladin admettait qu’il avait encore besoin de son maître. Il s’avait qu’il n’était pas prêt. Messire Nogar qu’en a lui, pouvait voir un très grand potentiel envers son jeune élève.
Galius avait un très grand respect et une profonde admiration pour son maître. En aucun cas il voulait le décevoir. Cependant, il y’avait encore de grand défi qu’il l’attendait. Seul Thaar pourrait savoir s’il sera en mesure de les surmonter…
Galius retourna donc à ses lectures persuadé qu’il allait bientôt trouvé réponse à ses questions. Il avait le pressentiment qu’il était sur le point de trouver les dessins de la Démone et surtout… son point faible.
Post by Acturus Polymaro, Mort - January 26, 2009 at 10:38 PM
Le temps était extrêmement long pour Galius... enfermé dans le mur de Sainte-Elisa. Parfois pendant le nuit, il pouvait entendre cette vieille folle crier du sous-sol de l'édifice. Mais ce n'est pas cela qui le mettait en rognre. Lui, il était cloué à son lit sous la directive de Dame Minh Yu tandis que son assassin, lui était libre, parcourant les rues de systéria. C'était vraiment le monde à l'envers.
Il fallait une véritable coalition pour affronté la volonté de partir à sa recherche mais aussi de poursuivre son combat contre cette démone. Son maitre, l'inquisiteur Nogar, Dame Minh Yu, La directrice Adjointe Dame Taur'Amandil et sa consoeur Florence Berger se ligait contre lui pour qu'il reste et prennent du repos. Il se souciait plus de sa santé que lui même. La volonté de Galius était trops souvent pas en accord avec les limites de son corps...
Cependant, cela ne l'empêchait pas de sortir en douce lorsque tous étaient partis. En effet, il a osé prendre une marche à l'extérieur, aller prendre un thé au coin chaud et même jusqu'au temple aller chercher ses effets personnelles. Bien sur, il restait en contacte avec ce qu'il se tramait en ville. Bien qu'il n'était pas capable d'agir physiquement pour faire le bien, au moins il pouvait prier de son lit pour les personnes qui ont besoin de l'aide de Thaar.
Trois jours était maintenant passé. Il était temps pour lui de retourner faire son devoir de Paladin de l'Ordre. C'est pourquoi il écrivit à la responsable de sa "prison", Dame Minh Yu, pour lui demandé son congé. Si cela lui était accordé, le mal n'avait qu'a se tenir, car l'homme allait sortir de l'hopital encore plus déterminé.
Lorsque le chat n'est pas là, les souries dansent. Maintenant, elle ne danseront plus, mais elles devront courrir pour leur vie...