Lorsque le bien fait mal...

Lorsque le bien fait mal...

Post by Acturus Polymaro, Mort - January 28, 2009 at 7:42 AM

Depuis la sortie de l'hôpital, la routine avait repris pour Galius. Ronde, prière, entrainement, mission en vue de pourchasser le mal et leurs serviteurs, étaient maintenant chose courante pour le paladin maintenant fraîchement réhabilité. Il n'était d'ailleurs pas déçu de se retrouver, enfin, au temple au détrimant l'hospital Sainte-Élisa. Bien entendu, il ne gardait aucune rancure à Dame Taur'Amandil et Dame Minh Yu. Après tout c'était leur travail...

Cependant, l'envie de reprendre du service était plus forte que lui. Il n'avait vraiment pas l'impression de servire la volonté de Thaar en restant toutes ses journées coucher dans son lit et a se faire prendre en charge par le personnelle médicale. C'était plutôt à lui à de servire les autres pour avoir le sentiment d'oeuvré pour Thaar. Rester dans ce lit était, pour lui, le monde à l'envers.

Convaincu qu'il avait raison, et dans un certain sens, il avait raison, i désobéissait à la directrice, à la chef du laboratoire et même à son maître lorsqu'il sortait à l'exterieur à leur inssue pour chercher des indices en vue de capturer l'assasin. Il avait même risqué sa propre santé pour conduire, dans ses bras, une personne poignardé à plusieurs reprise par des brigand à Sainte-Élisa. Un geste qui certainement louable.

Comme il était naïf ce jeune guerrier! Bien entendu, les paladins étaient beaucoup plus loyale envers l'Inquisiteur qu'un simple vigile de l'Ordre. Non seulement la directrice était au courant, mais aussi la chef des laboratoires et bien sûr son prorpre maître.

Lui envoyant une lettre, pensant que l'Inquisiteur serait fière de voir aussitôt en service pour lui faire part de son rapport de patrouille. Mais l'effet... était plutôt... comment dire?... pas aussi bienfaiteur que le jeune paladin pouvait le pensé.

Son maître, lui envoya un simple missive en réponse à la sienne. Galius n'en fit aucunement un cas, car il était habitué à de telle réponse. Il pensait bien que, par mesure de sécurité, son maître voulait le voir en personne. Malheureusement pour, le jeune et insouciant, Galius, le mot est peu dire, ce n'était PAS par mesure de sécurité. L'Inquisiteur Brehan de Nogar avait à faire à son jeune élève encore une fois...

Une fois les deux hommes assis dans la grande salle de conférence, le ton était lancé. Brehan de Nogar ne semblait pas aussi fier de son élève qu'il, le jeune paladin, aurait espéré le voir. Aïe aïe aïe... son maitre ne semblait pas du bon poil aujourd'hui et Galius savait très bien qu'il allait passer un mauvais quart d'heure pour sa désobéissance. Avec l'allure du maitre, il se doutait trops bien que Brehan de Nogar avait été mis au courant de ses fugues durant son hospitalisation...

Un regard pensant des tonnes froudoyait son apprenti. Il semblait visiblement très faché et déçu que son élève ait désobéi à sa SEUL consigne. La phrase résonnait dans à tel point que Galius avait l'impression qu'elle marletelais dans sa tête la raison de son mécontentement. Un peu comme un adolescent qui acquière de l'assurance, Galius décida de tenir tête à son maitre. Bien qu'il conservait un profond respect et une grande admiration envers celui-ci, il lui exposait sa vision des choses. Il voulait montrer ce qu'il l'animait et les raison, très valable selon lui, de l'avoir désobéi.

Dans une débit de voix plutôt rapide, il lui exposait ses faits. D'un geste de frustration visible, son maître les rejetait de la main comme si cela n'était valide. À son point de vue, avec déception et une pointe de frustration également, le maitre n'acceptait pas que son jeune élève est manqué à une vertu paladine très importante.

Véritablement comme un adolescent et les bras croisé, Galius rechigna avec une pointe de frustraiton, lui aussi, car son maître ne semblait pas comprendre ce qu'il tentait de lui expliquer. La situation devenait de plus en plus tendu. La dispute ne devait plus être très loin... Les deux hommes, décidément, avait un désaccord flagrant.

Cela devait être indéniable à ses yeux, son jeune élève était motivé par un envie très louable et respectable. Cependant, il devait rager de voir autant d'insouciance, de manque de profondeur, de discernement et peut-être même d'un manque respect en lui. Galius, étant certain du bien fondé de sa désobéissant pour principe plus grand, questionnait encore en fois son maître.

C'est alors que celui-ci, en prenant une profonde respiration pour ne pas teinté son explication d'irritation face à la réaction de son élève, lui expliqua l'histoire de son hospitlatisation.

Ma consigne était que tu restes à l'hospital pour prendre du repos

Il lui répéta la raison de son mécontement flagrant pour martelé son point afin que son jeune élève le garde en tête. Il avait intérêt d'ailleurs...

Puis, il commença son explication avec un sérieux des plus glacial. Tout d'abord en lui rappelant la gravité de sa blessure et que par un seul faux geste, elle aurait pu s'aggravé et lui donner la mort en peu de temps. Ensuite, il lui raconta les circontances de son hospitalisation immédiat après l'attaque de l'assassin. Toujours avec se sérieux très grave, il lui expliqua que son coeur s'est arrêté de battre durant les opérations d'urgences pour le maintenir en vie. En d'autre mot, il avait succombé à ses blessure

...il était mort...

Pour lui sauver la vie, son maitre à fait l'Ultime prière sacrifiant une importante part de sa condition physique et même de son espérance de vie pour le ramené dans le monde des vivants!

À ces mots............ Galius ............ arrêta de respirer pendant un moment. Incapble de dire quoi que ce soit, incapable de réalisé la gaffe monumentale qu'il venait de faire.... son maitre se leva, en silence, ma main contre la poitrine et sorti de la pièce.

Toujours assis, sous le choque, Galius était entrain de réalisé, au même moment que sa repiration revenait graduellement, tout l'irrespect et le mal qu'il avait causé à l'homme qu'il admirait le plus à Systéria.

Pour le ramener à la vie, son maitre a compris la sienne et tout ce qu'on son élève trouvait à faire c'était de fuguer et de contre argumenté son maitre comme un adolescent ne saisisant pas pleinement la gravité de son geste.

Quelle honte, quelle irrespect quelle insoucience! Tout ses mots lui traversait l'esprit. Pour ce qu'il pensait faire le bien, il avait fait une terrible tord à une autre. Bien sûr, Galius ne pouvait pas le savoir, mais cette événement lui fit réalisé à quel point il lui manquait de la profondeur et du disernement dans le choix de ses actes... mais à quel prix?

Une simple banalité s'est vite transformé à une remise question fondamentale de sa pensé... Comment allait-il pouvoir être digne à nouveau de son maître? Comment pouvait-il se faire pardonner d'avoir été si irrespectueux envers un tel sacrifice? MAis surtout... comment allait-il pourvoir SE le pardonner....