La légende de Grosse Tête
Post by Gwargrim,AD - March 14, 2009 at 7:49 AM
La nuit s'était abattue sur la cité. Un pâle nuage camouflait les étoiles et la lumière de la lune. Un petit vent léger faisait chanter les feuillages des arbres de la forêt. Les fermiers, braves travailleurs, étaient tous rentrés chez eux pour se reposer d'une dure journée de labeur, ne laissant derrière eux que la symphonie des créatures de la nuit dans les forêts avoisinantes de la belle citée. Le calme plat règnait.
Une sombre silhouette s'élevait sur le bord de la petite oasis près de la basse-ville. Une ombre, un souffle, rien de bien visible dans les ténèbres de la nuit. Telle une brise, la silhouette était disparue le temps de le dire. Quelques craquement de branches et de pas rapide et visiblement agile laissaient présager que l'ombre s'était mise en route vers une quelquonc direction.
Durant ce temps, aux fermes, Fabien, un fermier banal, terminait sa choppe de bière tranquilement devant un petit reste de feu de foyer qui tirait à sa fin. Il était tard, il n'avait pas sommeil. Depuis une heure déjà il se caressait le menton, garnie d'une petite repousse de barbe, à rêvasser et à songer sur ce qui lui arrivait ces jours-ci. Il se posait des questions notamment sur la récolte de cette année. Allait-elle être meilleure que celle de l'année dernière? La réponse lui faisait peur avec tout ces maladies que les bêtes attrapaient soudainement. Quelle tragédie pour les fermiers de voir leur bêtes mourir de maladies inconnues. Reprenant finalement ses esprits, Fabien jeta les quelques goutes de bières de sa choppe sur le petit tas de braise dans le foyer, qui illuminait juste assez pour voir le vieux plancher de bois de la maison. Il se redressa et et alla retrouver son confortable lit. À peine venait-il d'enfiler son bonnet de nuit, qu'un horrible son se fit entendre de dehors. C'était un bœuf qui venait visiblement de se faire couiner. Le fermier prit d'un sursaut mit quelques instants avant de réagir et de bondir hors de son lit pour entamer sa course vers la grange. Probablement un loup se dit-il avec une grande naïveté.
Il prit solidement sa fourche qui était resté planté dans une botte de foin non loin de l'entrée de sa demeure et se dirigea vers la grange. Doucement il ouvrit la porte. Le pâle nuage qui camouflait le reflet de la lune s'estompa. Il jeta un regard inquiet à l'intérieur. Qu'elle mauvaise idée avait-il eu de se rendre sur les lieux sans torche pour l'éclairer d'avantage. L'endroit était si lugubre tout à coup, on aurait cru que toute la malveillance de ce monde était concentrée dans cette grange banal et normalement agitée. Mais Fabien pensait à ses bêtes en premier lieu. Doucement il entra dans la grange, brandissant sa fourche devant lui de sorte qu'il ne tombe pas face à face avec il ne savait trop quelle bestiole. "DEHORS SALE BÊTE PSSST" dit-il à voix à haute pour effrayer la bête, supposant encore que c'était le loup qui avait attaqué son bœuf. Quelques pas encore le rendit à coter de ce qu'il redoutait tant. Son bœuf gisant dans une marre de sang encore chaud qui reluisait du au reflet de la lune qui pénétrait dans la grange. Fabien s'agenouilla devant la bête égorgée.
Sa première réaction, bien malgré lui, fut de laisser s'échapper une larme, suivit d'un soupir. Pourquoi la vie s'acharnait-elle sur un pauvre et malheureux paysan tel que lui. Puis le temps d'une simple brise, une silhouette se dessina sur le mur du fond de la grange. Un ombrage, visiblement un homme constata le fermier, un homme armé qui plus est. Le vent dans le dos de Fabien avait disparue, il comprit donc que l'homme en question se trouvait derrière lui. Le malheureux baissa la tête, continuant de pleurer sa bête et maintenant, sa vie. Sachant que trop ce qui l'attendait désormais. D'un geste vif, la lame de l'homme mystérieux trancha la tête du fermier, le menant à la triste réalité qu'il avait accepté de force.
La porte de la grange s'était refermée, laissant le bourreau et ses victimes seuls à l'intérieur. Quelques heures passèrent sans bruit, redonnant à nouveau à la nuit un peu de calme. Puis au bout d'un moment, un feu s'embrasa au beau milieu du choix d'à coter. Le feu ne se propageait pas, il restait bien au centre du champs.
Un jeune acolyte de l'ordre du soleil qui était faisait la ronde ce soir là, fut attiré par la lueur flamboyante du feu en direction des fermes. Tout juste sortie du sentier et arrivé sur les lieux, il stoppa sa course et posa son regard sur la plus effroyable vision d'horreur qu'il ait pu voir de sa vie. Un montage grotesque de bois, de corde et de clou tenait le corps d'un homme mort crucifier et complètement nu, dont la tête avait été tranché et remplacé par la tête d'un bœuf à cornes. Le tout était au beau milieu des flammes juste assez élevé pour ne pas prendre en feu. Aux cotés de ce sinistre décor, se tenait un homme vêtu d'une armure de métal sombre et d'un gros casque solide et reluisant du aux flammes qui illuminaient les lieux qui lui cachait le visage. En sa main gauche, il tenait une bible Thaarienne ouverte. De sa main droite, il déchirait les pages une à une pour les laisser tomber dans le feu d'un geste lent. L'homme visiblement auteur de ce crime odieux tourna la tête vers l'acolyte terrifié et poursuivit ses mouvements lents.
L'acolyte prit de panique tourna les talons et commença une course folle vers la ville pour alerter au plus vite ses supérieurs de l'abomination dont il venait d'être témoin. Pendant ce temps, le mystérieux agresseur s'en était allé, laissant qu'une simple note près de la scène du crime, sur un vieux parchemin. Un avertissement qu'il destinait aux prochains paladins de thaar qui viendraient témoigner de l'affreuse scène du crime.
Note:
Tremblez Paladins, fils du dieu soleil et perdez tout espoirs. Le Dieu sombre a à nouveau un champion. Un champion sanguinaire et sans pitié qui plongera à jamais ce monde dans les ténèbres et le chaos. Seule la mort sera une délivrance de son châtiment.
Post by Acturus Polymaro, Mort - March 14, 2009 at 8:50 AM
L’Inquisiteur malade, Galius, dans son for intérieur, était poussé par une ferveur sans borde. Son devoir l’appelait du plus profond de son cœur et de son âme. Le devoir lui ordonnait de pallier au manque d’un grand homme. Il donnait des ordres à droite et à gauche malgré son grade de Vigile. Bien entendu, il respectait la hiérarchie, mais ses suggestions étaient d’une clarté et d’une limpidité tels que tous se rallaient à son consensus. Les plus haut-gradés de l’Ordre avaient peut-être raison de pensé à nouveau qu’ils avaient devant eux un nouvel espoir, un nouveau chef droit malgré son passé récent. Une erreur pour en sortir encore plus droit!
Quoi qu’il en soit, Galius prenait à cœur chacun des dossiers mais aussi des manifestations des ombres malfamés et hérétiques. Lorsqu’il était en train de coordonner les efforts de guerre, enfin de sa guerre, tard dans la nuit, un templier vinrent le voir.
Vigile Thormir, on nous signale une autre manifestation d’un hérétique tout près des fermes à l’extérieurs des murs de la ville.
Galius inclina la tête fermement signifiant qu’il allait se préparer à la hâte et venir voir sur les lieu. Accompagné d’un clerc, de deux templiers et de trois vigiles, les forces du mal n’avaient pas intérêt à se mettre sur le chemin sinon elles seraient écrasé avant même de pouvoir demander de l'aide à leur misérable Dieu.
Les nuages s’étaient dissipés depuis ce temps afin que la lune éclaire les armures des six homme. Même durant la nuit, les hommes de la lumière rayonnaient. Au galop, ils se rendirent sur le lieu qui avait été indiqué par l’acolyte terrorisé. Le feu était déjà moins intense.
Bien qu’il n’était pas le supérieur de cette cohorte, il se comportait comme tel. D’un voix ferme démontrant de l’assurance il donna des ordres :
Templier Terril, Templier Fawarh, vérifiez le secteur et tâcher de trouver indice. Vigile Batilla, Vigile Fanya allez chercher une perche pour que l’on puisse descendre ce corps. Clerc Hull, vous et moi nous allons lui faire une sépulture descente!
Au bout d’un moment, les Vigiles avaient descendus les corps alors que les flammes avaient considérablement baissés en intensité. L’'un des deux Vigiles lui remis un parchemin qui émanait à lui seul un si grande force maléfique qui en fit grimacé de dégoût le Vigile Thormir.
Il s’approcha du feu pour mieux le lire.
Tremblez Paladins, fils du dieu soleil et perdez tout espoirs. Le Dieu sombre a à nouveau un champion. Un champion sanguinaire et sans pitié qui plongera à jamais ce monde dans les ténèbres et le chaos. Seule la mort sera une délivrance de son châtiment.
Saleté d’hérétique! dit-il à la fin de la lecture. Devant toutes les manifestations de l’ombre, c'est ce juront qui sortait de sa bouche plus souvent.
Il referma son poing solidement pour en faire souffrir le parchemin lui-même et le purgé du mal de cette façon. La fureur dans ses yeux était nettement plus intense que le brasié qui déclinait au fil des minutes.
Il jeta le papier chiffonné dans le feu afin de le purifier.
L’air grave, la mâchoire crispée par sa ferveur bouillonnante, il se dit à lui-même
Tu te méprends gravement sale hérétique du Dieu noir. À toute les victimes que tu feras, ma ferveur en sera décuplé. C'est toi qui trembleras lorsque mon bras sera guidé par Thaar lui-même afin de te rendre justice de toutes tes atrocités. Tu finiras comme ce parchemin…
Il pris un pause pour bien peser lourdement chacun de ses mots
Écrasé de ma main et purifié par le feu divin.
Se retournant, encore plus convaincu d’arpenter le chemin de la Lumière, il retourna aider ses confrères.
Post by Yriel Asuryan, AdM - March 15, 2009 at 5:12 PM
Un sourcil arqué et la tête tournée vers la bouteille de whisky vide entreposée sur les planches de l'armoire, le Chef d'Etat Major Karl Franz poussa un long soupire avant de reporter son attention sur son bureau et l'épais dossier qui le garnissait.
Voilà des jours qu'il n'avait pas quitté le château à cause de ce foutu nuage toxique et les rares fois où il parvenait à trouver un mage compétent pour le faire sortir, il ne pouvait guère passer plus d'une heure à l'extérieur sans que ses obligations le rappèlent à l'ordre. Il ne s'en plaignait pas, il avait choisit cette responsabilité et il s'en tirait plutôt bien.
C'est cependant toujours avec une certaine satisfaction qu'à chaque fois que sa porte retentissait pour annoncer l'arrivée d'un garde impérial et de nouvelles fraiches il s'écriait avec une anxiété modérée
"Entrez, entrez !"
Brogok Barbedepierre, écuyer de l'Etat Major était probablement le seul nain de la Garde Impériale. La carrure d'un gorille et la démarche qui va avec, sa longue barbe finement trèssée était garnie de nombre d'anneaux de différents métaux précieux destinés à la maintenir disciplinée. Les individus se connaissaient de longue date et c'est ainsi que d'un simple signe de la main, Karl Franz fit comprendre au nain qu'il pouvait prendre place, il n'y aurait pas de salut pompeux ni de formules de politesse.
"Alors, quelles nouvelles m'apporte mon dévoué écuyer ?"
Karl Franz aimait à narguer le nain et celui-ci lui rendait bien, évidement, ils devaient désormais se tenir à leurs rangs mais lorsqu'ils étaient à deux, les vieilles habitudes de l'époque où ils étaient tous deux hors la loi reprennaient le dessus.
"Quand est-ce que je passe chevalier hein ?"
"Tu me le demandes cinq fois par jour. Ce sera fait bientôt t'en fais pas, Al'Kazar sait que tu vaut au moins cinqu hommes, mais il n'a pas envie de faciliter la tâche aux hommes de confiance que j'ai fait venir à la Garde Impériale.
Alors dis-moi, qu'est-ce qui t'amène ?"
En quelques minutes, le nain avait expliqué à grand coup de formules originales et de jurons ce que les gardes de différentes factions avaient pu découvrir dans la grange d'une ferme en dehors de la ville.
"Triste sort effectivement... Les citoyens isolés sont toujours les premiers à pâtir des trouffions qui cherchent à se faire une réputation. Aucun doute qu'il s'agit encore d'un illuminé qui se prend pour le messager d'un dieu et qui va se mettre à tuer des poules et des clochards en se faisant appeler par un surnom ridicule.
Le corbeau noir, la flatulence furtive..? Je me demande à quoi on aura droit cette fois-ci."
"Tous les corbeaux sont noirs..."
"Oui oui, c'est ce que j'ai dit... Enfin il va quand même falloir s'intéresser au cas de cet imbécil, ça ne devrait pas être difficile de mettre la main dessus une fois qu'il aura les couilles de s'attaquer à quelqu'un qui sait se défendre où à intervenir dans l'enceinte de la ville. Mais bon d'ici là... L'aigle ne chasse pas les mouches comme on dit.
Dis au garde en faction à la porte d'aller rechercher deux bouteilles dans la réserve."
Post by Thomas Bolton, Emp - March 15, 2009 at 9:52 PM
Monsieur Cressen attendait. Il avait pour habitude de le faire en face de son supérieur qui examinait de nombreux dossiers. Cette fois-ci, néanmoins, le Surintendant n’était pas là. Quelque chose disait au secrétaire particulier du premier ministre qu’il ne tarderait pas à se montrer. Et soudain, un « poc » sonore retentit et un mage pourpre fit son apparition, tenant le marquis par le bras. Ce dernier chancela légèrement mais s’aida de sa canne pour se stabiliser.
« Merci bien, Germain. Vous pouvez disposer. »
Le mage s’inclina et quitta le bureau alors que Thomas commençait son entretien avec le fonctionnaire qui patientait depuis déjà quelques minutes.
« Je ne me ferai jamais à la magie, Cressen. »
« Je vois cela monseigneur, je vois cela. », dit-il d’un ton neutre, un léger sourire sur les lèvres.
« Quelles nouvelles ? »
Le secrétaire déposa une pile de dossier devant le ministre et commença une brève description des informations nouvelles.
« Vous avez reçu une lettre de monsieur Mélanèse. Il aimerait obtenir des informations sur la Garde Impériale. Je suppose que la réponse sera négative, néanmoins j’ai pensé que monseigneur aimerait en faire l’argumentation. »
« Exact. L’Ordre du Soleil a-t-il changé d’avis une énième fois au sujet du monastère ? »
Un petit ricanement sortit de la bouche du secrétaire.
« Non, monseigneur. Mais en parlant de cela, un nouveau criminel égocentrique est apparu en ville. »
Le marquis haussa un sourcil, braquant son regard gris sur le fonctionnaire.
« Et quel est l’apparent motif du crime ? Culte sombre, gloire personnelle, simple violence gratuite ? »
« Culte sombre, Votre Seigneurie. Comme presque toujours. Il se revendique nouveau champion, à ce que j’ai cru comprendre. »
« Ah, intéressant. Quel est le compte, actuellement ? »
« Oh, nous en avons environ… une demi-douzaine de déclarés, monseigneur. »
Les deux individus échangèrent un sourire malicieux et retournèrent à leurs occupations…
Post by Gwargrim,AD - March 18, 2009 at 9:45 AM
Par un bel après-midi ensoleillé, quelques jours à peine après l'incident, on put voir un homme encapuchonné et vêtu de vêtements sombres. Il trainait non loin de la réputé taverne de Khaz'Burn. Les gens intrigués par ce mystérieux personnage jetèrent quelques regards discrets vers l'individu louche. Semble-t-il qu'il ne leur donnait aucun signe d'intérêt quelconque. Sa présence donnait tout de même une certaine crainte à ces curieux. Que venait-il faire là? Qui était-il? Les questions étaient murmurés ainsi dans la taverne entre les habitués de l'endroit.
Le visage de l'homme était masqué par un foulard tout aussi sombre que ses habits. Décidément il ne tenait pas à se qu'on voit son visage. Après un petit moment de détente? De réflexion? personne ne saurait vraiment le dire, l'individu se leva et prit la sortie en direction de la caserne de l'ordre du soleil qui se situait non loin de là.
Il se mêla à la foule, de sorte que les gardes à l'entrée de la caserne ne le remarque pas facilement. Une fois rendu tout près d'eux et bien rassuré qu'il ne se ferait pas remarqué, il mit sa main dans son sac et en sortit un corbeau mort sur lequel était attachée une petite note. Il le lança discrètement vers les gardes et tourna les talons aussitôt le cadavre de corbeau lancé. Il poursuivit sa route vers la moyenne ville.
Les gardes intrigués et dégoutés prirent la bête morte et remarquèrent la petite note. La curiosité poussa ceux-ci à la lire.
Note: GALIUS
Post by Acturus Polymaro, Mort - March 18, 2009 at 9:34 PM
En fin d’après midi, le Vigile de l’Ordre du soleil, était en route pour la caserne afin de compléter de la paperasse qui prenait du retard. Du retard en effet, car Galius était occupé à organiser la Grande Messe et terminer l’enquête sur le Vigile Auréalis. Une fois ces deux choses complétés, il pu se concentrer sur l’archivages des nouvelles recrues qui se présentaient à la caserne.
Comme à son habitude, il salua le garde à l’entrer de la caserne avec un coup ferme et fier sur le torse. Le garde en faisait tout autant.
- Alors Vigile, Avons-nous trouvé la moindre trace qui pourrait nous conduire au Vigile Fardoche? Cela fait quand même trois mois que nous sommes sans nouvelle de lui.
Comme il pouvait s’en douter, le Vigile ne pouvait pas apporter de réponse clair au sujet de son confrère. Malgré cela, il lui fait un signe de tête ferme. Lorsque le Galius mit ses mains sur la porte afin de les pousser, le garde poursuivit
Euhhm, Vigile Thormir, nous avons reçus une note pour vous… une sombre note. Le vigile arqua le sourcil l’air intrigué à la première vue.
- Une sombre note vous dites?
- En effet Vigile, vous devriez demander à l’intendant de la prison, il l’a conserve pour vous.
-Qui m’a donné cette note?
- Je l’ignore monsieur, elle a été tirée de la foule. Je n’ai pas pus distingué la personne avec précision…
Sur cela, Galius fronça les sourcils, toujours intrigué mais sévère et sérieux.
Merci Vigile, soyez vigilant dorénavant!
Il hocha la tête fermement avant de reprendre sa lancé vers l’intérieur
À la seconde qu’il mit le pas à l’intérieur de l’établissement, l’indentant de la prison se leva pour accueil le Vigile. Inhabituelle de cet homme qui restait assis pour saluer les passant. Définitivement, quelque chose d’étrange s’était produite.
Après quelques paroles, l’intendant pointa le corbeau mort sur son bureau avec une note sur celle-ci. Galius pris le lugubre oiseau mort et il pris un moment pour lire le mot. Galius…
Il sourcilla légèrement en lisant son simple nom. Puis, étrangement un faible sourire l’air satisfait s’esquissa sur son visage. Il remercia l’intendant et entra dans la caserne ou il était seul pour le moment. Il détacha la note de l’animal mort avant de le jeté par la fenêtre.
Seul, toujours avec ce faible sourire :
Enfin, ces forces du mal font preuve de moins de lâcheté! Ils s’en prennent directement à moi et non plus à une personne innocente personne sans défense. Soit! Qu’ils viennent!
Puis en effaçant se sourir statisfait pour laisser place à un air sérieux, sévère et convaincu. Que Thaar m’en soit témoin, j’aurais tôt fait de faire couler leur sang noir sous le coup ma lame. Leur destiné sera scellé lorsqu’il expulseront leur dernier souffle à mes pieds, vaincu par la volonté de notre Divin Seigneur!
Il fit quelques pas vers le foyer. Il jeta le papier dans le feu regardant son nom se faire purifié du mal qui avait osé l’écrire. L’air irrité maintenant
Montre toi sale hérétique, que l’on en termine avec toi…
Post by Thalkehr Stornaar, AdM - March 18, 2009 at 11:17 PM
La veille, au Coin Chaud, la nouvelle s'était rendu à Thalkehr par les soins du Garde Barbedepierre et de la Première Classe Meliamne. Un champion, disait-on. Un représentant du culte sombre, enchirissaient-ils. Déjà, de nombreux individus, voilés par l'utilisation d'un alias se manifestaient comme étant l'ultime représentant du Prince Noir, mais aucun d'eux ne semblait passer de la parole aux actes.
**"Encore un autre prétentieux prétendant" **
Néanmoins, par mesure préventive et pour faire preuve de professionnalisme, quelques hommes avaient été mobilisés pour enquêter sur la situation. L'alarme était toutefois bien loin d'être sonnée.