La traitresse...
Post by Acturus Polymaro, Mort - March 29, 2009 at 1:57 PM
Le paladin qui prenait le tour de Garde à la caserne commençait sérieusement à s’impatienter. Intérieurement, il commençait à former ses reproches au Vigile. Le soleil était déjà sur le point de se lever et toujours pas de nouvelle de Galius Thormir. Le Templier en avait marre et d’un pas rapide, l’air mécontent, il se dirigea vers le Coin Chaud. Si le Vigile était en train de prendre son thé habituel au lieu de faire son devoir, le Templier allait sans aucun doute lui dire plus que deux mots!
Une fois dans la taverne, il le chercha avec concentration, tel un missile balistique localisant sa cible. Pas de Galius… Le Templier questionna donc le Tavernier
-\tMonsieur Marcos, auriez-vous vue le Vigile Thormir durant la nuit?
-\tBah, non, pas du tout et d’ailleurs cela m’étonne que vous le cherchez. À ce moment de la journée, ça fait bien longtemps qu’il a bu son thé et qu’il est reparti vers le temple.
Le Templier, toujours d’une mauvaise humeur, fronça légèrement les sourcils contrarié de voir que le Vigile manquait à l’appel. Iil allait sans doute en faire rapport à l’instant.
Durant ce temps, le Vigile Thormir avait été trahis par une personne en qui il avait une grande confiance. Une véritable explosion de rage était expulsée de sa bouche à l’endroit de sa traîtresse! Un combat s’en suivie… mais vainement, car le paladin en furie avait perdu toute techniques, toutes contenance…
Lorsqu’il reprit conscience, il était enchaîné dans une salle lugubre, froide et morbide. De la chair, du sang et des os jonchaient le sol et les instruments peu invitants et troublants. Une voix familière corrompue par le mal tentait d’empoisonner son esprit. Il le rejetait vivement avec sa hargne et sa rage contre cet être hérétique, ce mal perfide cette erreur de la nature ce monstre qu’il faut brûler sur le champ quitte à prendre du mobilier pour faire le feu!
Mais laissez à lui-même, il se combattait, car des nouvelles émotions remontaient à la surface. Sa rage camouflait graduellement son véritable état d’âme. Celle d’un petit garçon effrayé dans son cauchemar. Il n’était pas question de se montrer faible devant l’hérétique! Elle faisait bien la chose, car chacune de ses phrases étaient une véritable insulte aux croyances du jeune paladin.
« Mensonge! »
« Ne me touche pas de tes mains sales et corrompues »
« Je te hais! »
Et sa préférée
« Saleté d’hérétique! »
Disait-il d’un ton fort et insulté! Il cracha même le souffle que l’hérétique lui donna sur la bouche, un vil poison dégoûtant sur ses lèvres! Un haut de cœur certain qu’il avait.
Deux fers rougissaient dans le feu infernal de l’endroit. Ils attendaient les deux joues du Paladin. Un véritable affront à un croyant de Thaar. Dans un douleur qu’il connaissait bien, car il avait déjà deux marques aux fers rouges sur corps, sa geôlière vient le marqué sur sa joue gauche de la marque de la Vierge des Douleurs Enyde-Mä et de la droite du Prince Noire Yhagshul.
Une fois que sa geôlière en a fini, elle le décrocha de ses chaînes alors qu’il tomba sur le sol son corps martyriser et fortement affaibli, mais son regarde toujours aussi noirs envers elle. Une véritable honte et insulte d’avoir à tout jamais ses marques des dieux obscurs sur les joues. Plus jamais, il sera capable de se voir…
Elle le transporta ensuite à sa cellule et le laissa là à son sort, ses joues terriblement douloureuses qu’il. Mais très vite sa véritable état d’âme remonta et maintenant, seul, il pleura de honte, d’effroi, d’abandon, comme si sa cellule lui voulait elle-même du mal! Très vite, le corps vidé d’énergie, il ferma les yeux pour trouver un sommeil mais loin d’être apaisant et réparateur. Cauchemar par-dessus cauchemar. Il revoyait sa mère d’autrefois devenir lentement le mal. Il voyait les sombres dieu la manipuler et la torturer à leur guise prenant un malin plaisir à voir Galius vivre d’intenses et néfastes émotions. Les dieux obscures tenta plusieurs fois de le remettre en doute, créant la fausse image, dans ses songes, qu’il brulait sa mère d’antan, celle qui n’était pas corrompu par les forces obscures. Plus tard, c’était elle sa geôlière et c’était elle qui lui avait fait subir cette humiliation au fer rouge…
Galius était en train d’affronter le mal en personne… Sa foi maintenant était sa seule arme et son seul salut…
Post by Acturus Polymaro, Mort - March 30, 2009 at 5:35 AM
Voilà déjà quelques jours que le paladin était prisonnier de ses êtres malfamés! Ironiquement, on lui offrait luxure dans ces geôles en donnant du pain, du fromage et de l’eau pour subvenir à ses besoins. De la nourriture empoisonner par le vice et corrompu par l’immoralité! Qui on-t-il tué pour avoir accès à cette nourriture? Galius refusait obstinément de manger la nourriture des mains de sa geôlière.
De l’eau et de la prière, voilà ce qu’il pouvait faire dans cette lugubre et froide prison. Son visage se ternissait d’heure en heure de jour en jour. Sans lumière de son Seigneur, il lui était impossible de trouver le sourire. Bien que cela ne paraissait pas encore, il avait sans doute perdu maintenant de minces kilos. Le mal omniprésent ravageait peu à peu son corps mais sa volonté, sa foi et sa détermination était intacte. Sans doute cela l’amusait-elle d’anticipé le moment lorsqu’il craquera, mais elle devait admettre qu’il était plutôt du genre résistant et coriace ce Vigile de l’Ordre.
Le grincement des chaînes, le gémissement des autres prisonniers ou bien les cries des torturés agonisant sur les tables d’expérimentations, le rire de ces êtres impies et immoraux devant leur « chef d’œuvre » et leur propos poissonneux était la dissonante mélodie qui régnaient en ces lieux. La prière était son salut, la seule manière qu’il pouvait fuir cet horrible endroit afin de retrouver sa maison au côté de son Seigneur et cela personne ne pouvait lui enlever, pas même sa geôlière. C’était peut-être une mince victoire, mais elle lui était suffisante et primordiale. Décidément, même très obscure que pouvait être cet endroit, un infime rayon de lumière perçait la noirceur de ces lieux.
« La lumière fini toujours par percée l’obscurité même la plus noire qu’elle puisse être » disait son ancien maître…
Dorénavant, les perfides paroles de sa geôlière étaient de simples vagues qui venaient se briser contre sa foi et sa conviction aussi solide que le rock. Mais ses ennemis, cette fois-ci semblait tout aussi déterminer que lui. Une guerre d’usure s’annonçait mais Galius était en territoire ennemi... Les multiples vagues qui venait percuté le rock thaarsien du Vigile finirons-t-elle par faire effet d’érosion?
Quoi qu’il en soit, sa geôlière lui avait donné un présent lorsqu’elle l’avait enfermé dans la cellule. Une jolie fleur de lys blanche… Sur le sol de pierre froid et macabre, Galius la regardait se faner jours après jours. Il la regardait d’un air noir, encore cette hargne qui le tenait.
Contrairement à ta fleur, lys, tu seras purifiée sur le bûché avant même que tu commences à te dessécher…
À mi-voix, son regard noir sur la fleur...
Après ces doux mots à sa geôlière, le sommeil l’envahi telle un voile maléfique. Les dieux sombres ne démordaient pas. Encore ces horribles cauchemars. Ils ont l’air si vrai… un vague, deux vagues, trois vagues…
Post by Brehan de Nogar, OdS - March 31, 2009 at 7:08 AM
C'est lorsque l'absence du Vigile Thormir fut jugée anormale, que des initiatives fut prises de la part de l'Ordre du Soleil. Sous l'Ordre de l'Inquisiteur de Nogar, quelques confrères avaient débutés une enquête.
Les points principaux étaient clairs, Brehan de Nogar exigea à ces paladins menés d'enquêter de lui rapporter les informations concernant ces effets:
-Si Galius avait terminé ses fonctions ce jour là,
-Où avait-il été vu en dernier lieu,
-En quelle compagnie il était, la dernière fois qu'on le remarqua.
L'enquête avait été qualifiée comme importance primaire, pour ces paladins chargés de mettre clair sur cette absence prolongée.
Post by Acturus Polymaro, Mort - March 31, 2009 at 10:08 AM
Voilà qu’un peu plus d’une semaine que le Vigile était coincé dans cette sombre prison. Avec une obstination hors du commun, il refusait toujours la nourriture comme s’il voulait éviter d’infecter son corps de ces vivres pestilentiels. Prière et eau simplement…
Sous cette lourdeur maléfique, il tenait le coup, malgré son corps fortement affaibli dû au manque de nutriment et des tortures que ces hérétiques lui faisaient subir. Lys prenait un malin plaisir à le faire souffrir rendant hommage à la Vierge de Douleur. Chaque gémissement ou encore crie de douleur était un salut à ses oreilles. Galius, tu mieux qu’il pouvait tâchait de les retenir refusant de vouer idolâtrie à cette sombre déesse et à sa geôlière.
Le Vigile pouvait simplement regarder son corps et compter les marques et les lacérations par quadruples pour connaître le nombre de jour qu’il était emprisonné dans cet horrible endroit. C’était sa seule manière de ne pas perdre la notion du temps, car dans ce taudis infernal, on n’y voyait jamais la lumière du jour. Sa seule lumière était cette sérénité qu’il pouvait acquérir dans la prière et ses louanges à son Seigneur. Mais… le mal omniprésent commençait à éroder tranquillement son rock thaarsien. Une fissure s’ouvrait tranquillement. Une prémisse du désespoirs est venu le chagriné alors qu’il priait le temps de quelques secondes. Il se ressaisit rapidement, jugea que ces pensés noires étaient inacceptables.
« Non, Galius ne désespère pas. L’espoir est ta source de lumière. Ces hérétiques finiront par subir la justice de Thaar et il aura besoin de toi, son fidèle serviteur. Reste fort. Montre l’exemple aux autres personnes prisonnières. Soit un modèle sur lequel ces innocentes personnes pourront voir un guerrier apportant un peu de lumière dans ce sombre lieu. »
À ces paroles d’auto encouragement, Galius se ressaisit refusant de laisser victoire aux présences maléfiques.
Jamais je ne tomberais sous l’emprise du mal! Dit-il à haute voix, signifiant à tous les personnes bonnes tant que mauvaises qu’il ne s’avouait pas vaincu et qu’il continuait le combat.
Les dieux sombres ne s’avouaient pas vaincu eux aussi! Le cauchemar reprenait de plus belle laissant au paladin très peu de repos alors qu’il dormait.
Cent vagues, cent une vagues, cent deux vagues maléfiques frappaient contre le rocher thaarien…
Post by Acturus Polymaro, Mort - March 31, 2009 at 8:22 PM
La constitution du paladin était réellement faible alors qu’il refusait de manger ce qu’on lui offrait. Lorsqu’on le portait afin de l’enchaîné pour rendre hommage à Enyde-Mä, la Vierge des Douleurs ainsi qu’au Prince Noire dans la torture, Lys devait peut-être se lassé bientôt de Galius qui commençait à perdre conscience régulièrement du à son manque de vigueur. Peut-être signait-il son arrête de mort, car le « joujou » était maintenant brisé et non fonctionnel.
Projeté à nouveau dans sa cellule, le temps s’écoulait plus longuement avant qu’il reprenne conscience chaque fois. On venait lui apporter fromage, pain et eau comme à l’habitude. Encore cette tentation…
Cependant, Galius sentait que la fin s’approchait si la faim lui tenaillait encore d’avantage l’estomac. Ses mouvements étaient difficiles et le simple fait de se tenir assis le fatiguait gravement.
Dans un calme relatif, dans sa prière, la raison de Thaar, même à travers cette opaque obscurité, est venue l’éclairé. Son Seigneur lui apporta sagesse. Il délirait assurément mais il était certain d’entendre la voix divine! La voix de Thaar elle-même venue à sa rescousse.
**« Galius Thormir,. Ne te laisse pas mourir entre les mains de ses pauvre êtres torturé dans leur âme. Crois-tu que tu seras heureux de me rejoindre alors que dans le bas monde ces impies profaneront ton corps? Reste en vie mon enfant. J’aurais besoin de mon serviteur afin de pourfendre leur corps pour que leur âme me revienne et que je puisse les purifiés de ma Sainte-Lumière. Ce jour Galius, tu y seras! Allez…manges à ta faim mon enfant, tu as bénédiction » **
Peu à peu, la résonance de la voix se dissipait. Les sages paroles de son Dieu… ou de son délire du au manque de sommeil et de nutriment venait placé un autre rock contre les vagues maléfique. C’est avec un enthousiasme certain qu’il commença à manger le pain et le fromage en cette journée. C’était à plus rien y comprendre…
Post by Acturus Polymaro, Mort - April 1, 2009 at 12:38 AM
Un homme armuré s’affaissa sur le sol dans un bruit sourd. Un poignard trônait dans le dos de l’homme allongé sur le plancher de pierre du temple thaarsien. Dans la pénombre, les yeux rougie et les cernes noircie, le visage du Vigile se retirait de la lumière graduellement avec un sourire sournoise et empreint de malice alors que la marre de sang trouvait son chemin dans les jointures des pierres. Un murmure de Galius visiblement dérangé…
Saleté d’hérétique d’Inquistieur…
Avant que sa conscience s’éveille, ses nerfs le redressaient assis au milieu de sa ténébreuse et sinistre cellule alors que des froides sueurs froide lui coulaient dans le dos et sur le visage. La main sur son front, il secouait ardemment la tête incapable de concevoir ce qu’il venait de voir et de ressentir dans son cauchemar. Malgré sa dernière « illumination » les dieux sombres continuaient à le tourmenter.
L’air confus et ébranlé
« Ce n’est pas moi, ce n’était pas moi, jamais je ne ferais une chose de la sorte! »
Il commença maintenant à tremblé l’air exaspéré et fortement affligé. La tête entre ses deux mains
**« Laissez moi tranquille! Cessez de me harceler, je n’en peux plus… » **
Il s’effondra sur le sol, refermé sur lui l’air extrêmement désespéré
Galius, sous une fatigue continue, son esprit était maintenant affaiblie malgré « l’illumination » de l’autre jours.
Comme quoi dans toutes guerres il y’a des victoire et des défaites…
Post by Acturus Polymaro, Mort - April 1, 2009 at 6:19 AM
Lys se présenta devant la porte de la cellule de Galius. Dans un grincement strident de métal, la porte s’ouvrait découvrant ainsi le Vigile replié sur lui-même.
- Où est ton dieu maintenant Monsieur Thormir? Dit-elle l’air malicieuse.
Galius avec un air d’illuminé prônant presque la folie combinée à un regard rougie et ses cernes noircie il la regarda:
Thaar est avec moi en ce moment, je suis son serviteur, il me l’a dit. Il travers même ton sombre repère, il perce l’obscurité pour venir m’aidé. Tes pathétiques Dieu ne peut assombri le lien qui nous unis. Dit-il se basant toujours sur son délire d’autrefois…
L'air agacé par sa réplique, Lys vient lui mettre une bonne correction de la droite rappelant ainsi au paladin qu’il n’est pas en rapport de force pour se montrer arrogant. De sa faible constitution, ce coup de poing est venu presque l’assommer.
Elle entonna une sombre formule magique afin de faire apparaître une créature qui allait transporter le faible paladin.
À la fin de quelques minutes, Galius se mit à trembloter plus fortement. Comme si une puissante aura maléfique venait lui saper son esprit. Une terrible puissance comme si le prince noir lui-même se trouvait à ces côtés. On le projeta devant un autel alors que sa geôlière et un complice s’occupaient de le faire douter à nouveau de son dieu. Galius fit encore preuve témérité par son infini insouciance alors qu’il invoqua encore la puissance de Thaar au sein du repère centrale des forces obscures.
L’acolyte de l'hérétique vient lui foutre un solide pied sur sa bouche afin qu’il se taise! Galius n’avait tout simplement pas la force de se défendre terrible affaibli. La sombre Lys, malgré la blancheur de la fleur que son nom évoque, commença un rituel d’offrande à son ténébreux dieu de la noirceur.
En lui forçant le silence de son pied, le lugubre acolyte écoutait avec ferveur le discours de sa supérieure.
Puis, on le força à se mettre à genou avec une douceur malicieuse. Galius sautait de la conscience à un état semi comateux à plusieurs reprises étant donné sa faiblesse extrême. Lys, armée d’un fil et d’une aiguille s’apprêtait à coudre les paupières du jeune Vigile afin de faire un exemple drastique à l’Ordre du Soleil. Leur montrer qu’ils n'avaient pas peur de s’en prendre à eux et même au plus volatile d’entre eux. Solidement immobilisé par son acolyte Galius subissait encore une horrible torture.
Plongeant dans l’inconscience, les forces cauchemardesques attendaient encore leur victime afin de le traumatiser avec de terrifiantes images déformées de son passé lointain ou récent. Les forces du mal ne le lâchaient aucunement. Galius s’accrochait avec hargne à son dernier fil de lumière. Celui de son Dieu qui lui avait parlé directement. Décidément, Galius était certain de cette réalité et loin l’idée de concevoir que c’était le fruit de son délire.
Une voix douce venait le ramener à la sombre réalité dans laquellle il se trouvait en ce moment. Une douce voix comme celle de sa mère d’autrefois. Dans la confusion la plus totale, cette tendre voix lui était réconfortante. Lys, comme une mère voulant réconforter son enfant tentait d’avoir l’attention de Galius. Bien qu’il ne voyait plus rien les paupières cousues, le visage de sa geôlière était très frais dans sa mémoire. Il fronça subitement les sourcils refusant de coopéré à nouveau avec cette impie.
Sa mémoire… c’est justement ce qu’il allait perdre. D’un ton autoritaire elle lui ordonna de se lever. Non pas pour lui donné raison, mais dans son orgueil, tenta de se lever par lui-même sans l’aide de l’Acolyte comme s’il voulait la défier de cette manière. Temblotant et avec beaucoup de difficulté et de lenteur, il se redressa.
C’est à ce moment qu’on lui administra une potion étrangement au goût de framboise. Si seulement elle avait un goût de thé…
Téméraire, il était jusqu’à la fin, d’un pas incertain il recula, refusant de coopérer. On le pris donc solidement et on lui ouvra la bouche par la force. Toujours de sa faible constitution, il ne pouvait pas résister.
En s’étouffant avec le "brevage", Galius combattait jusqu’à la fin. Malheureusement, on le força à boire la majeur parti du liquide lorsque le reste coulait le long de ses joues. Au moins, le goût n’était pas désagréable…
Bien qu’il ne pouvait pas résister d’avantage, Galius retomba dans l’inconscience ou là encore, les forces de la nuit se mire à se jouer de lui…
On le retrouva presque sans vie, en sous-vêtement, le corps lacéré sur toutes sa longueure, ses paupières cousues et les deux joues brûlés au fer rouge de la marque de la Vierge de Douleur et du Prince Noir sans comptez l’honneur et l’honnêteté déjà marqués sur ses pectoraux…
Qu’allait-il devenir lorsqu’il pourra à nouveau « vivre »………….
Post by Lys, Gdo - April 1, 2009 at 9:01 AM
Quelque part au bord d'une fontaine scintillante dans la nuit...
"Petite créature... La seule raison pour laquelle tu es toujours en vie est pour que tu sois conscient des maux qui te furent infligés. Porteur de ta souffrance, tu seras présage d'un nouvel avenir. Tes yeux s'ouvriront une dernière fois sur ce monde de chair pour être témoin de sa fin.
Ne remercie pas ton dieu d'être toujours en vie, car il t'a une fois de plus abandonné à ton martyre. Seule ma volonté de faire de toi l'un des témoins du déclin du Soleil te préserve parmi les mortels. Tu assisteras au commencement du règne de l'ombre Galius, et tu t'inclineras avec ce qui reste de ces âmes infidèles dans les méandres du hall du silence éternel.
Non, détrompe toi porteur des marques des damnés. Après la mort, il n'y a ni ciel ni lumière, seulement le néant qui vibre dans l'absolue..."