Une mort parmis tant d'autre!
Post by Ex-Vormius Iridas - October 22, 2005 at 11:42 PM
Le chaud soleil d’été se levait sur l’Empire. On pouvait apercevoir les fières sentinelles de l’Empire, se tenant le haut des remparts entourant la ville de Systéria. Ces remparts gigantesques protègeait une ville paisible, où dormait encore les citoyens. Àpres quelques ordres emit par leur superieur les sentinelles ouvraient les grandes portes de la cite. Ces portes offrant à tout les étrangers une terrre d’accueil. Plusieurs personnes se tenaient devant la porte attendant que les miliciens, les laissent passer. Parmis tous ses visages inconnus un seul se démarquait par sa laideur. Le milicien regardant l’homme remarqua dans sa barbe des résidus de son souper d’hier. Tête baissée le vieil homme montra un chiffon et un petit pot de cire. Dévisageant, le veillard il recula d’un pas et le laissa passer dans la grande avenue de la cité. On pouvait y observer les marchands se préparer frébillement à la rencontre marchande mensuel. Plusieurs commercants venant de partout de l’Empire, expliquant le grand nombre d’étrangers à la porte de la cité. Le vieillard s’approcha nonchalant d’un banc, disposa tranquillement ses outils de travail sur le sol. Faisant des signes de la main aux clients potentiels, ils s’approchaient de l’homme pour nettoyer leurs bottes salies par la poussière de la ville. Le vieillard regardant la foule grandisante remarqua un homme particulier arborant des armoiries de l’Ordre du Soleil. Bien décider de nettoyer les bottes de cette homme.
- Vous!! oui vous mon seigneur approcher vos bottes sont sales je vais les nettoyer sans vous demandez de redevante.
L’homme aux armoiries de l’Ordre du Soleil détourna la tête vers le vieil homme et sourit. Il s’approcha du veillard
- Merci vieil homme, mais dépèche toi à les nettoyer. J ai un rendez-vous.
- Bien mon seigneur.
Un petit sourire malicieux se dessina sur le visage de l’homme. Il prépara son chiffon et commencea sa besogne. Quelques minutes plus tard, il glissa subtillement sa main en-dessous de sa robe pour attraper la petite lame qui était dissimulée sous sa robe. Il leva la tête vers l’homme, qui regardait son travail. Ouvrant la bouche le vieil homme lui fit entendre les dernières paroles qu’il entanderait entant que être vivant.
**- Je suis la dernière personne que tu verra, tu moura pour avoir soumis mon père à vos follerie. **
D’un geste rapide la lame glissa de son fourreau et frappa violament le coup de celui si. L’homme bascula vers l’arrière, tombant dans une petite ruel où le vieillard avait spécialement installé son commerce. Le vieillard traina le corps dans un recoin noir. Il tira d’un coup sec sur sa barbe, celle-si tomba au sol. Retira de même sa toge déchirér. Pour ne se faire reconnaître, de nouveau vêtement avait été installée deux jours avant l’assassina. Enfilant sa nouvelle toge, il rabata le capuchon sur sa tête et continua son chemin vers...