Intimité de la comtesse temporairement impossible.

Intimité de la comtesse temporairement impossible.

Post by Acturus Polymaro, Mort - December 23, 2009 at 1:21 AM

Le tout commença par une missive. C'est une lettre avec une écriture particulièrement difficile à lire qui arriva chez les nains de l'entreprise de plus en plus connus. Le style en patte de mouche disloquée rendait la lecture même agaçante. Quoi qu'il en soit...

Messieurs les nains, mes salutations.

Je vous envoie cette missive afin de vous prévenir que j'ai reçu la responsabilité d'un nouveau chantier de construction. De ce fait, j'aimerais avoir votre contribution pour fournir les matériaux nécessaires à la réparation de la structure de la demeure en question.

De ce fait, j'aimerais vous faire la commande suivante,

300 rondins de bois
200 lingots d'aciers
300 lingots de fer.

S'il vous plait, livrer cette commande chez la Comtesse Balgor. Je vous remercie de votre contribution. Je passerai à votre atelier pour m'acquitter de la facture pour ces matériaux.

Sincèrement,
Acturus Polymaro, Négociant de l'Association des Commerçants.

P.S.
S'il vous plait, et surtout, lorsque vous livrerez les lingots et les rondins, faites attention aux jardins de la Comtesse

Lorsque les matériaux seront livrés, le travaux commencerons. Tournant dans son propre manoir encore tout beaux et pas saccagé par un fou, Acturus se demandait comme il allait faire pour prévenir à tous ses travailleurs de ne pas compromettre la vie privée de la Comtesse. Elle savait comment faire stresser ce timide marchand.


Post by Kazak Flambarbe - December 23, 2009 at 1:47 AM

La missive fut renvoyé assez promptement envers le dirigeant de la construction.

Cher Actuturus, je suis dans l'obligeance de vous avertir que nous devons passer par l'association des commerçants avant d'accepter le contrat, de plus, il faudra nous obtenir une permission spéciale dans le but de dépasser ne serait-ce qu'un peu nos quotas annuels. Je ne crois pas que cette demande vienne faire exploser nos dits quotas, mais nous ne voulons plus prendre aucune chances quant à ce qui attrait à la fraternité du chêne. Voyez vous même avec la comtesse ou les dirigeants du chêne pour voir à cette demande.

Sinon, il nous fera plaisir d'accéder à vos demandes en matériaux et aussi en main d'Oeuvres, nos employés serons a votre disposition cessez simplement de chercher plus loin. Vous avez misez juste en nous le demandant à nous.

Maitre Flambarbe, entrepreneur nain de l'association.


Post by Nimue - December 23, 2009 at 6:35 AM

Assise dans son luxueuse fauteuil, Odéna d'Orbrillant souriait... et souriait à n'en plus finir. Ce chantier la ravissait plus que tout autre. Pourquoi? Ho, Acturus Polymaro savait très bien pourquoi lui... Une gorgée de vin plus tard et elle poussait un rire sonnant et cristallin, elle tenait dans ses mains une invitation de prétendants désespérés...et désespérant.

Le futur était si délectable pour la comptable de l'association. Elle aurait de quoi compter éventuellement.


Post by Acturus Polymaro, Mort - December 23, 2009 at 11:46 AM

Déjà des problèmes
Et le manoir craque...

Et voilà que les problèmes se pointaient avant même que la construction commence. Semble-t-il qu'elle sera plus difficile que l'hôpital. C'était la maison de sa belle-mère. Thaar sait que les belles-mères sont exigeantes et capricieuses. Néanmoins avec cette crise, les Sara et Acturus devenait des amis? MMmmhh... c'est peut-être trop vite dit. Disons plutôt qu'ils ont trouvés quelques timides affinités leur permettant de s'accepter un et l'autre. Quoi que... Sara étant très Saralondesque et Acturus étant très bègue...

Quoi qu'il en soit, le premier problème. Acturus, tard durant la soirée, cherchait une solution pour résoudre le manque de matériel. Une missive se rendra chez les nains aux petites heures du matin.

Monsieur Flambarbe, mes salutations.

J'accuse bonne réception de votre missive. J'ai bien pris en compte le problème que vous avez exposé. J'aimerais avoir plus de détail sur ce que vous pouvez faire ou non en lien avec les quotas.

À titre d'information, mon nom est Acturus Polymaro et non "Actuturus". De plus, je n'ai jamais entendu parlé de cette démarche nécessitant l'intervention de l'Association des Commerçant pour une commande à un membre de l'Association des Commerçants.

Êtes-vous en train de vous moquer de moi comme vous l'avez fait au sujet de ma pratique de l'alchimie? Ce n'est pas drôle du tout, sachez-le

Si vous ne pouvez pas me fournir l'ensemble des matériaux nécessaire pour débuter les travaux, je me verrai dans l'obligation d'aller voir ailleurs. Les travaux doivent être commencé le plus tôt possible pour éviter d'autre complication de la dite demeure.

Dans l'espoir que vous puissiez trouver un moyen de me fournir les matériaux dont j'ai besoin.

Sincèrement,
Acturus Polymaro, Négociant de l'Association des Commerçants

Le ton était beaucoup plus assuré dans sa lettre. Le nain en question comprendra sans doute qu'Acturus n'aime pas son humour et ce depuis une certaine soirée au sujet de son alchimie. Quoi que, autre chose à du le rendre de mauvaise humeur cette journée-ci

Une lettre plutôt de bonne qualité attendait le timide négociant de l'Association. Odéna d'Orbrillant. Que voulait-elle encore? Après avoir lu sa courte missive, il ferma les yeux jusqu'à les plissé. Ses jambes devinrent plus molle et il se laissant tomber dans le canapé du salon. Il pencha la tête l'air désespéré.

Pourquoi s'en prenait-il à lui de telle manière. Que lui avait-il fait? aaah.. oui... cette cargaison complètement perdu à Briganne d'une valeur de 40 000 pièces d'or. L'envie de pleurer lui pris alors qu'il se demandait comment il allait faire pour aborder sa belle-mère maintenant avec cette contrainte de la sa**** ... sa efficace comptable de l'Association.

Des images très peu plaisante lui parvint dans son esprit. Cette rencontre dans son bureau ou bien le don qu'elle a d'apparaître à des moments tout à fait inopportun... sur le point de vue d'Acturus.

"Si vous voulez que les choses changes, il faut le faire" lui avait dit sa belle-mère. Mais le pauvre Acturus en avait encore beaucoup à apprendre du monde Systérien bien qu'il avait fait de grandes avancées. Il resta là assis sur le sofa l'air désespéré jusqu'à ce que sa femme vint le rejoindre.

Le lendemain, une lettre avait été envoyé à la famille Balgor pour officialiser la réparation du manoir via un contrat. L'écriture était tout simplement horrible, comme si le timide marchand l'aurait écrite sous un stresse énorme.
Monsieur et Dame Balgor, mes salutations.

Afin d'officialiser la reconstruction de votre manoir, je vous fais venir avec cette missive le contrat que vous n'aurez qu'à signer. Une fois cela fait, je vous prie de me l'envoyer directement! Je me chargerai par la suite de le transmettre à l'Association pour être conserver.

Je débuterai les travaux dès que les matériaux seront livrés sur place. Dame Balgor, j'ai demander spécifiquement que l'on fasse attention à votre jardin. Il se peut que cette opération prenne un peu de temps. Semble-t-il que les matières premières sont difficiles à avoir étant donnés le dépassement des quotas.

Pour toutes autres questions, vous pourrez me recontacter. J'attends avec impatience le dit contrat signé.

Sincèrement,
Acturus Polyamro, Négociant de l'Association des Commerçants.

Joint à la missive, le contrat en question suivait. La comtesse, assurément, car elle est la première à fouiller le courrier du Négociant arrivant au manoir, trouvera-t-elle étrange qu'Acturus ait souligé trois fois le passage au sujet du contrat. En tout cas, cela semblait marquer sans aucun doute l'importance de cette spécificité.
Contrat de réparation
Jafill mois de Froys, de la troisième ère.

L'Association s'engage à reconstruire une partie nord du mur du Manoir Balgor. Plus précisément, celle qui couvre la cuisine. La structure étant trop endommagée pour être réparer en surface. Les travaux exigent le destruction du mur nord de la résidence afin de le remplacer par un nouveau pour éviter des complications dans la structures à plus long terme qui n'est plus à niveau.

En contre parti, le propriétaire de la demeure s'engage à payer les coûts pour le matériel, l'expertise en chantier ainsi que le temps de travaille des ouvriers. Le propriétaire s'engage donc à verser une somme 25 000 pièces d'or selon l'estimation globale exécuté par le négociant Acturus Polymaro.

Seul le tribunal systérien ou le collègue des guildes sera aptes à juger en cas de litige.

La signature du dit marchand était déjà apposée sur le contrat.

Le timide marchand ne semble pas avoir compris dans quoi il s'embarquait. Il pouvait remercier cette aimable, gentille et adorable Odéna D'Orbrillant...


Post by Kazak Flambarbe - December 23, 2009 at 8:13 PM

Cher AcTUrus, des lapsus comme ça valent de l'or mais je les éviterez.

En lien avec les quotas, nous pourrons vous avoir le matériel sans trop de problème, nous allons passer par nos employés et nos contact pour vous avoir ce qu'Il nous manque s'il nous en manque.

P.S. Avouez le donc, c'était vraiment drôle la blague sur l'alchimie.


Post by Sarä Taur'Amandil, OdS - December 23, 2009 at 8:29 PM

Le contrat est signé
Pour le meilleur, mais surtout le pire

Acturus reçu à son domicile le document signé, mais aucune autre note de la part de la comtesse. Était-ce bon signe ou mauvais signe...? Peu importe! On disait que Sarälondë venait malgré tout utiliser son laboratoire adjacent au manoir au moins une heure par jour... chaque jour, voila ce qui serait suffisant pour surveiller l'avancement des travaux et l'état de son jardin en la présence de l'association des commerçants.

Contrat de réparation
Jafill mois de Froys, de la troisième ère.

L'Association s'engage à reconstruire une partie nord du mur du Manoir Balgor. Plus précisément, celle qui couvre la cuisine. La structure étant trop endommagée pour être réparer en surface. Les travaux exigent le destruction du mur nord de la résidence afin de le remplacer par un nouveau pour éviter des complications dans la structures à plus long terme qui n'est plus à niveau.

En contre parti, le propriétaire de la demeure s'engage à payer les coûts pour le matériel, l'expertise en chantier ainsi que le temps de travaille des ouvriers. Le propriétaire s'engage donc à verser une somme 25 000 pièces d'or selon l'estimation globale exécuté par le négociant Acturus Polymaro.

Seul le tribunal systérien ou le collègue des guildes sera aptes à juger en cas de litige.

Acturus Polymaro
Négociant de l'association

Mathéo Balgor & Sarälondë Taur'Amandil balgor


Post by Acturus Polymaro, Mort - December 26, 2009 at 1:36 AM

Un simple accusé de réception mal écrit parvint à la Comtesse. Le sort fait bien les choses alors que Madame Balgor devait se taper l'écriture en patte de mouche du Surintendant et maintenant celle du bègue national!

Quoi qu'il en soit, la demi-efle mouffetée devait être soulagé ou non de voir les travaux retardés. En effet, pas un travailleur, pas un échafaud et pas de matériaux de placés sur la pelouse du manoir. Semble-t-il que les choses n'allait pas comme le timide marchand le voulait et réellement pas.

Dis des vingts travailleurs s'étaient présentés à l'atelier du bègue avec des... revendications.

Ça fait plus de 5 jours que nous sommes supposés de travailler! Vous nous aviez dit 250 pièces d'or par cycle!

- C'est vrai ça, quand-est-ce que je vais travaillé, vous nous avez dit travail dès maintenant! Et là, on attend bien sagement que monsieur décide le coup d'envoie!

É-é-é-écou-écoutez, je hum.. je s-s-sais je hum.. j'ai du-du mmm-m-mal à t-t-trouvez les ma-ma-matériaux... La f-f-fra-fraternité ne nous-nou-nous aides pas a-a-avec leur quo-quo-quotas.. je f-fais ce que je p-p-peux, je vous l'a-l'a-l'assure.

Dit Acturus avec sa pathétique éloquence et son non-savoir de la rhétorique. Semble-t-il que les travailleurs n'étaient pas conciliant. C'est alors que le "chef syndical" mis tout de suite les pendules à l'heure.

Écoute moi bien le bègue. C'est pas notre problème pour les matériaux mais le tiens. Alors tu t'arranges pour les trouver. Tu nous avais assurés du travail des l'embauche. Ça fait plus de 5 jours que nous attendons et y'a des pères de famille dans ceux que tu as engagés. Donc soit tu nous payes maintenant en attendant les travaux ou bien on s'en va trouver du travail ailleurs...

Notre petit marchand pas-du-tout-sur-de-lui se crispa d'un coup devant cet ultimatum. C'était bien la dernière chose qu'il avait besoin; des travailleurs qui ne sont pas aussi dociles que lui. La tête baissée, l'air coincé, ses yeux regardait mille et une chose laissant croire qu'il réfléchissait à une solution.

Jj-j-j-je hum.. en-enfin je hum.. com hum.. ou-oui c'est hum.. c'est mon p-p-p-pro-problème et je hum, je pou-pourrais t-t-tou-toujours...

Les travailleurs étaient attentif aux prochains propos d'Acturus malgré les multitudes de bégaiement du au stresse de l'ultimatum.

Je hum.. je pou-pou-pourrais vous hum.. vous com-com-compenser d'une se-se-semaine de sa-sa-salaire a-a-annoncé à cause le hum.. du re-re-retard des t-t-travaux.. je hum... en-enfin.. je hum.. ça se-se-serait une so-so-so......

Acturus interrompue net comme s'il venait de réaliser quelques choses. Il fronça un peu les sourcils l'air en pleine réflexion.

M-m-mais si-si vous dé-dé-démissionné t-tous je n'aurais qu'à t-t-trouver d-d-d'autres t-t-tra-travailleurs qui a-a-attendrons le t-t-temps n-n-nécessaire, car 250 p-pièces d'or p-p-par c-c-cycle c'est un em-emploi b-b-bien pa-payé su-surtout pour une t-t-travailleur de la b-b-basse ville, dit Acturus sur un ton plutôt de la constatation que de menace. Était-il lui-même conscient de l'impacte de ses paroles sur les ouvriers?

Voilà que l'homme en charge du groupe des travailleurs recula la tête ne s'attendant absolument pas à une réplique aussi... spectaculaire du timide marchand. Voilà que le bègue avait pris de cour quelqu'un se pensant plus malin que lui. On voyait très bien un lueur de panique dans les yeux de l'homme alors qu'il venait de mettre en jeu son travaille et celui de ses "hommes"

Avant qu'il puisse répondre quoi que ce soit pour se défendre, Acturus repris avec une certaine compassion.

Je hum.. je com-com-comprends que c-c-certain son des p-p-pères de f-f-familles ou bien n'ont pas b-b-beaucoup d'ar-d'argent de co-co-côté. Je hum.. je hum.. re-re-revenez me v-v-voir ce-ce-soir je hum.. je vousdo-donnerai une a-a-avance s-sur v-v-votre sa-sa-salaire en pl-pl-plus d'une p-pe-p-petite com-compensation pour le re-re-retard. Je hum.. je vou-vou-vous prie de m'ex-m'excuser pour le hum.. pour le re-re-retard de t-t-tra-travaux. C'était v-v-vraiment pas p-p-pré-prévu

Dans un silence commun, les travailleurs acceptaient l'offre d'Acturus réalisant qu'il n'avait peut-être pas autant de pouvoir sur lui maintenant. Ils partirent tous sans faire d'histoire ayant sans doute eux chaud pour cette emploi qui était tout de même bien payé.

Tout de suite après, Acturus voyait l'urgence de la situation, rentra chez lui afin d'écrire une missive à la hâte. Si les nains ne le pouvait pas, alors qu'il allait se tourner vers quelqu'un de plus fiable dirait-on.
Monsieur Lidenbrok, mes salutations.

Je vous envoie cette missive afin de faire commande chez vous. J'aimerais savoir s'il est possible de vous quérir ces matières première en vue de faire la réparation du Manoir Balgor.

300 buches
200 lingot d'acier
300 lingot de fer

Si possible,il serait vraiment apprécier que vous puissiez passer cette commande en priorité. Les travaux devraient déjà être débuté faute de matériaux.

Sincèrement et merci encore de votre aide.
Acturus Polymaro, Négociant de l'Association des Commerçant.

Et pendant ce temps, le manoir Balgor craquait de façon un peu inhabituel...


Post by Kazak Flambarbe - December 26, 2009 at 1:21 PM

Cher Acturus, les matériaux sont prêts, nous vous les livrerons au courant de la journée.

Maitre Kazak Flambarbe, entrepreneur Nain, DurazGual.


Post by Acturus Polymaro, Mort - January 4, 2010 at 11:33 PM

Un simple malentendu
Pour que la comtesse se trouve sans maison

Et bien voilà, c’était réglé. Les nains et le timide artisan s’étaient simplement mal entendu sur les matériaux. Acturus attendait les matériaux dans la cours de la comtesse pour débuter les rénovations et les nains attendait après notre bègue national pour livrer les matériaux.

La chose maintenant faites, Acturus appela finalement ses travailleurs qui avaient vraiment hâte de commencer les travaux. Ah oui, fallait-il préciser que lorsque l’on venait de régler un problème avec la comtesse, elle trouvait toujours le moyen d’en provoquer un autre?

« Voilà la clef du manoir Monsieur Polymaro. Mais je vous avertie, je connais ma maison par cœur et si je remarque la moindre chose qui a été volé, je vous poursuis juridiquement vous et vos travailleurs »[/i] ajoutait la demi-efle mouffettée de sa déplaisante voix clair qui chatouillait désagréablement les tympans du timide Marchand lorsqu’elle atteignait cette tonalité de « je-me-fais-déplaisante.

Avant qu’il puisse ajouter quoi que ce soit.

« Et si c’est le cas, tu dormiras dans l’atelier Acturus » ajoutait Astria du coup pour alourdir les menaces qui planaient.

C’est donc avec beaucoup de pression que notre bègue encore plus nerveux allait commencer les travaux de rénovation chez les Balgor quelques jours plus tard en compagnie de ses vingt travailleurs ainsi que des nains s’ils souhaitaient participer aux travaux.

Un bon matin, Acturus devant la résidence donnait ses directives. Les travailleurs furent sans doute dérangés par autant de détaille comme ceux-ci.

En au-au-aucun c-c-cas vous hum. de-de-devez m-m-marcher sur les f-f-f-fleur de la com-comptesse… je vous en prie. J’ai les c-c-clef du ma-ma-manoir.. a-a-alors il f-f-faudra me de-de-demander la p-p-p-pe-permission pour en-en-entré dans le m-ma-manoir s-s-sous-sous ma s-s-su-supervision…

Il marqua une pause, comme si les menaces de l’autre jour lui avait donner une certaine inspiration.

Si je re-re-remarque l-l-l’un d-d-d’entre v-v-vous vo-vo-voler dans le m-m-manoir, il-il-il se-se-sera pou-pour-poursuivie en j-j-j-justice. Je vou-vou-vous r-r-rappel que vo-vo-voler une n-n-noble est un c-c-cri-crime g-g-grave.

Étonnement, il dit cette « menace » sur un ton sérieux et grave. Mais, certainement on pouvait douter de l’efficacité de ses paroles venant de la bouche d’Acturus. Sera-t-il en mesure de l’appliquer. La comtesse surement elle et c’est pourquoi le négociant de l’Association à littéralement la « chienne » de laisser du jeu à ses travailleurs.

D’ailleurs, certains d’entre-eux se plaignait de la façon de faire faisant valoir que de tel procédure ne fera qu’allonger le temps de travail et le rendre plus fastidieux. Bien qu’ils avaient raison et qu’ils étaient tout à fait légitime de faire de tels reproches, Acturus ne changea pas son avis.

Non mais ça va pas, qu’est-ce qu’il arrive s’il y’a une urgence?

T’as perdu la tête patron? Va falloir à TOUTES les fois demander ta permission? T’as une idée de combien de temps on va perdre comme ça?

Et si je veux aller pissé, va falloir que je demande ta permission bordel, va falloir que tu me supervise aussi pendant?

"Ça se-se-sera co-co-comme ça .. ne d-d-dis-discutez pas …. Je vous en su-su-supplie » ajoutait-il faiblement même presque pour lui. Allait-il donc supervisé le travailleur qui ira uriné? ............

Dans une grogne général, les travailleurs acquièsça pour débuter les travaux. Et bien voilà, pour une rare fois de sa vie, Acturus tenait son bout de bâton. Grâce à cette chère et si plaisante demi-elfe à la maudite couette blanche, Acturus faisait preuve de régidité. Les menaces de la Belle-mère et sa femme devaient y être pour quelques choses assurément!

Dormir dans l’atelier était la pire punition pour le timide marchand et la peur d’être poursuivie face à une noble était doublement paniquant.

La première phase des travaux avaient pour but de solidifier les murs qui ne seront pas abbattu par plusieurs poutrelle de bois. On cherchait à les soutenir au maximum avant de faire tomber le mur en question.

Sous le fouet des menaces de Saralonde, Acturus surpervisait très bien ce chantier. Même un peu trop alors qu’il centralisait toutes les décisions et les opérations. Son plan étendu sur la table, il calculait et recalculait les mesures de façon presque maladive. Il avait donc marié Astria pour le meilleur et le pire. Mais savait-il que le pire était sans aucun doute la Belle-Mère…


Post by Acturus Polymaro, Mort - January 11, 2010 at 9:46 AM

Voilà que le timide marchand réalisait sans doute le fantasme de plusieurs personnes ayant déjà eux des sérieux problèmes avec la désormais célèbre Comtesse du quartier de l’Ordre du Soleil. Démolir le manoir Balgor et tout les demi-efles qui s’y trouve!

Enfin, il était vide, et ce n’était qu’un mur… mais quand même! Qui pourrait se venté d’avoir jeter un mur du manoir Balgor sur le sol? Rien de moins que notre bègue national! Ah oui, la meilleur. Les quelques habitants du quartier et les croyants de Thaar au temple ont eux droit à un réveille un peu… brutal!

A-A-A-A-TTENTION!!!

Un bruit assourdissant d’un tas de brique et de pierre qui tombe sur le sol suivie d’un assez grand nuage de poussière. Acturus n’avait plus le choix, car si le mur endommagé restant encore là, c’est tout le manoir qui allait suivre ce dit mur. Et heureusement pour Sara… ou Acturus plutôt, ce n’est que la partie de mur prévue qui était tombé. Calculer et recalculer ses calcules ont été un calcule judicieux dans tout ce calcule!

Les jours suivants, les réparations allaient de bon train. Oui les réparations mais les travailleur eux… Certain avait plus le sens du profit que le bègue qui supervisait les réparations.

Pendant qu’un des travailleurs posa de nombreuse question sur les réparations afin de gagner du temps et l’attention du bègue, deux autres travailleurs eux, s’éclipsait dans le manoir à la recherche d’objet de valeur. Ils cherchèrent plusieurs minutes alors que leur complice commençait à manquer d’inspiration afin de débouler une question après l’autre avec hypocrisie.

Malheureusement pour eux, la paranoïa de la comtesse fut ironiquement utile. Tout était verrouillé et elle avait pris soin de cacher ou encore d’apporter avec elle les objets de valeur. Ils revinrent bredouille avec quelques simples babioles plus ou moins onéreuses. Espérons simplement que le bègue et la comtesse ne se rendent compte de rien.

Les jours se suivirent jusqu’à ce que la comtesse puisse avoir non seulement un mur « flanc ban » neuf, mais un manoir habitable!

Parions qu’elle serait heureuse de retourner dans son humble manoir au lieu de vivre dans un luxueux et grandiose palais qui pourrait l’avoir fait croire le temps d’un instant d’être une reine saralondesque? Avez-vous déjà imaginer Saralondë impératrice de Systéria? Ne le faites pas!

Oh oui le manoir... Un joli 35 000 pièces d’or de réparation. Ah? C’était 25 milles sur le contrat? Ça c’est une autre histoire!