Le calme du palais...
Post by Sarä Taur'Amandil, OdS - December 27, 2009 at 11:52 AM
Le calme du palais...
Un songe sur le rempart
Depuis plusieurs jours à présent, la petite famille Balgor logeait discrètement au Palais impérial. Vous avez bien lu, le Palais impérial, là où réside sa majesté Cybelle en temps normaux. Rien de trop beau pour la comtesse apparemment! Le confort de l’endroit était une petite consolation au fait d’avoir vu son magnifique domicile se faire presque détruire par un malade dangereux au nom maintenant très connu, j’ai nommé Ernest Lampal. Le médecin-alchimiste-arriéré-charlatan avait au moins réussit l’un de ses rêves aussi fou que lui, celui de se faire connaitre et d’avoir une réputation. Il va s’en dire qu’on le connaissait maintenant! La majorité des guildes étaient à ses trousses alors qu’un mal latent planait toujours sur la ville. Où, quand, qui, comment et pourquoi? C’était beaucoup de questions qui trouveraient sans doute tristement des réponses dans les prochains temps à venir. La menace était loin d’être dissipée malgré le calme relatif qui planait sur la citée. C’était l’œil de la tempête comme un vieux marin dont j’ai bêtement oublié le nom, mais je m’égare.
La véritable forteresse protégée par les protecteurs de l’Ordre du Soleil était donc l’endroit que Sarälondë Taur’Amandil avait choisit pour mettre à l’abri ses précieuses (et ressemblantes) progénitures. La famille était-elle réellement en sécurité? Sans doute pas, mais indéniablement, il était mieux de faire croire aux fillettes que c’était le cas pour différentes raisons que l’évidence nous expose. Les événements qui s’étaient produit au manoir Balgor les avaient toutes ébranlées de manières différentes. Si l’ainée, Taräsilmë se refermait dans la solitude et le silence, contrairement à son comportement naturellement si extravertie*, Ysenlàlïl, la plus frêle* des deux jumelles requérait encore plus d’attention que d’habitude, il n’était donc pas rare de la voir à Sainte-Élisa avec son éternelle goutte au nez ou encore une fièvre quelconque. Ainsi la petite futée récoltait de l’attention supplémentaire de sa génitrice, attention dont Ysen la morveuse avait sans doute désespérément besoins après ce qu‘elle avait vécue. Voir sa mère presque exploser devait, j’en conviens, être un peu traumatisant. La plus docile* et la plus forte restait la jeune Myàmëlissë, l’autre jumelle, qui était plus désespérée de ne pas trouver de partenaire de jeu convenable que du fait d’avoir du quitté sa douillette maison. Bien sur comme les deux autres, la fillette avait été ébranlée, cependant cela n’avait pas eu raison de sa joie de vivre. Il fallait bien quelqu’un ait un peu d’optimiste...!
La nourriture était bonne et le calme régnait. Des jouets amusants avaient été mis à la disposition des fillettes. Chaque jour on les occupait tout en les éduquant, loin d’être laissées à elles-mêmes. Il n’y avait pas à redire, la vie de palais c’était plutôt bien! Pas trop besoins de s’occuper des enfants, entre autre. Mais malgré les délices* offerts, l’appétit de la comtesse Balgor n’était pas à son plus haut. Elle ne mangeait pas le matin et à peine au souper, après ses longues journées à Sainte-Élisa ou encore à fourrer son nez un peu partout dans les affaires de l’Ordre du Soleil. On s’en doutait bien vu sa frêle silhouette qu’elle entretenait sans doute malgré elle depuis quelques années. N’importe qui là-bas avait pu remarquer une certaine distance envers son époux qu'elle imposait, en plus de cet appétit d’oiseau picorant ici et là par la plus élémentaire des nécessités vitales. Mathéo par contre était un homme souriant, d’une tendreté rare avec ces filles et toujours d’une douceur remarquable avec son épouse qui lui rendait bien mal avec ces faibles sourires volatiles. Dans les yeux clairs de la demi elfe vivait toujours cette anxiété. Ces expressions devenaient énigmatiques de part leur nombre. S’il était difficile de décoder des visages inexpressifs, il l’était tout autant dans le cas contraire...
[...]
Palais impérial, sur les remparts, au milieu de la nuit
La nuit. Vous savez une de ces nuits fraiches où la petite laine est nécessaire pour tâcher de ne pas attraper un rhume ou encore une mystérieuse grippe tueuse? Le genre de nuit où les étoiles sont bien visibles et où la lune nous éclaire d’une manière un peu romantique. C’était exactement de genre de nuit et c’était exactement ce que portait la comtesse par dessus sa robe légère, une petite laine. Sarälondë était appuyée sur un rempart et fixait, comme dans un cliché de romance lui saillant vraiment mal, les étoiles scintillantes.
Juste avant, elle s’était arrêtée devant la porte des appartements du Surintendant mais elle n’avait pas osé cogner à la porte. Premièrement, elle n’étais pas certaine qu’il soit là...et deuxièmement qui aurait osé réveiller Thomas Bolton en personne surtout sans bonne raison? La demi elfe avait tout simplement continué sa petite promenade nocturne pour aller s’appuyer solitairement avec ces songes à défaut d’en avoir qui lui convenait durant son sommeil... Rêves intangibles aux frontières de l’impossibilité. Elle en avait pour des heures à rester les yeux bien ouverts à réfléchir et réfléchir. Un classique.
Tout ce qui lui restait a espérer c’était qu’aucun archers sur les remparts ne décident de tirer croyant à un intrus dangereux, ça serait franchement ironique vous ne trouvez pas? La grande légat de l’Ordre du soleil tuée par inadvertance par sa guilde...!
***Extravertie: **Euphémisme du mot hyperactivité.
***Frêle: **Synonyme gentil du mot maigre.
***Docile: **Se rapporte au mot dompter.
*Délices: Le gardiennage étant surement considérable comme un délice.
Post by Saevan Al Kazar, AdM - December 28, 2009 at 7:09 AM
La nuit était fraiche, le ciel dégagé. ''Sire, quelqu'un est posté sur les remparts et ce n'est pas un Garde''.' Lui avais dis un membre des patrouilles de nuits. C'était assez rare a cette heure de voir des civils roder dans l'enceinte ainsi et comme Saevan avais décidé de resserer la vis au niveau de la sécurité. Il alla lui même a la rencontre du rodeur.
Le clair de lune illuminais un peu les silouhettes sur les remparts du Palais Impérial..
Les mains jointes derrière son dos, il marchais lentement le long de la muraille, a la rencontre de l'intru. Il recconu Saralonde a mi-chemin, mais ne s'arreta pas pour autan, peut-importe ce qu'elle pensais de lui ou lui d'elle, c'était un temps dur pour tout le monde. Un leger coup de vent éfleura son visage et ses cheveux avant qu'il ne prenne parole.
- Ah, voici notre intru, ce garde n'a plus a s'inquiêter je crois.
Son ton n'était pas enjouer, pas moqueur. Il semblait d'un calme.. triste et un peu rassuré que se ne soit que Saralonde et pas une autre catastrophe. Il jetta un coup d'oeil dans la même direction qu'elle, vers les étoiles, la lune.
- Je vous comprend, je vien ici parfois aussi. Cette nuit est si calme, s'en est presque effrayant.
Il étira le bras dans les airs et vie un signe a un archer sur l'autre rempart qui avais Saralonde en pleine ligne de mire! Précaution oblige, mais il baissa son arme quand il reçu le signal.
- Il faudra déscendre j'en suis désolé, vous ête vulnérable ici. Je dois m'assurer que toutes les personnes sous ma responsabilité soit en sécurité.
Il pris une légere pause, pendant tout ce temps il n'avais pas croiser le regard de Saralonde, surement pour ne pas qu'elle le prenne comme un défi.
- Je vous donne encore trente minutes, les prochaines fois, il faudra être accompagner d'un garde.
Son ton était loin d'être autoritaire, mais ses mots pesaient lourd dans le silence de la nuit. Il inclina la tête en guise de salut, ce fut la seul fois ou il croisa son regard. Quelqu'un de pointilleux pourrais remarquer tout le poid sur les épaules de l'homme par se simple regard. Il continua ensuite a longer la muraille d'un pas lent, en s'éloignant il dis une derniere chose.
- Même le Surintendant n'échape pas a ces règles vous savez.
Surement avait t'il dis ceci pour ne pas qu'elle s'objecte trop brutallement. Ou alors pour dire que si Thomas avais mis toute sa confiance en Saevan, surement elle pourrais aussi, ne serait-ce que pour son séjour au Palais.
Post by Thomas Bolton, Emp - December 30, 2009 at 11:16 AM
Et soudain, alors que Saevan venait de prononcer sa dernière phrase, un bruit fortement familier arriva aux oreilles de deux individus. Le bruit caractéristique de la canne du premier ministre qui claquait sèchement contre le granit qui pavait les remparts… Depuis combien de temps était-il caché dans l’ombre tout proche ? Avait-il entendu toute leur conversation ?
Alors qu’il passa l’arche de pierre, il porta son regard gris et sévère sur eux, le visage aussi impassible que d’ordinaire. Il avança lentement pour se placer juste à côté de ce surprenant duo et rabattit sa canne devant lui, posant ses deux mains sur le pommeau d’argent qui luisait sous le clair de lune. D’une voix monocorde et fraîche, il lança :
« Et à quelles règles je n’échappe pas, messire Al Kazar ? »
Un sourcil arqué, il attendait sa réponse…
Post by Sarä Taur'Amandil, OdS - December 30, 2009 at 12:47 PM
Sauver par la cloche
Elle était facile
Durant tout le discours de Saevan, la Grande Légat ne se retourna pas, si ce n'est que pour lui jeter un bref et volatil regard à peine l'instant d'une seconde. Il parlait et il parlait, bref il faisait du grand Al Kazar. Certes, Sarälondë l'écoutait mais elle ne lui répondait pas, docile ou bien lasse. Mais pourquoi cette absence de réponse? Peut-être parce qu'elle avait le cœur lourd, peut-être parce qu'il n'en valait pas la peine ou peut-être tout simplement parce qu'à cette heure là, elle sentait que sa répartie serait trop ou bien pas assez acerbe pour répondre au Templier. Il fallait quand même maintenir un certain niveau de qualité dans leur étrange relation. Entre la haine... et la haine? Les mots étaient peut-être mal choisis mais Saevan et Sarä avaient du mal à se supporter mutuellement.
« Même le Surintendant n'échappe pas a ces règles vous savez. »
« Et à quelles règles je n’échappe pas, messire Al Kazar ? »
Ho ! Là par contre, la comtesse pivota dans un sursaut soudain puis esquissa un faible sourire en posant son regard limpide sur Thomas. Elle ne l'avait vraiment pas entendu arriver mais elle ne semblait pas mécontente de sa présence. Comme un ange gardien, si l'on veut, il venait la débarrasser du Templier réprobateur qui l'empêchait de vivre sa crise existentielle en paix. Il s'agissait de Thomas Bolton... la nuit sur un rempart. Plutôt étrange non? Peut-être que le Surintendant et sa dévouée subalterne à mèche blanche avaient prévu ensemble ce rendez-vous secret et à présent Saevan Al Kazar venait de le gâcher ! Cela expliquerait la lassitude de madame qui attendait son prétendant en retard et l'arrivée de monsieur à cette heure peu raisonnable. La machine à rumeur repartirait surement encore une fois au grand plaisir de l'ancienne Duchesse Recaedre qui serait verte de jalousie.
Quoiqu'il en était de ces divagations rédigées plus hauts, Sarälondë serait des plus attentives à la réponse et à la réaction de Saevan Al Kazar. Elle saurait bien assez vite si le chevalier lui avait menti ou pas à propos de cette fameuse règle apparemment suivit par tout le monde, même le premier ministre.
Que de plaisir sur les remparts!
Post by Saevan Al Kazar, AdM - December 31, 2009 at 7:36 AM
Intimidé? Pas du tout. Thomas aimais bien ''défier'' Saevan de temps en temps, peut-être voulait t'il forger le caractère du chevalier. Non le surintendant n'y échappait pas et un garde qui le suivais d'une certaine distance le prouvais bien. Cependant, Thomas comme le jeune Maemor avais le don de s'esquiver de la surveillance, ce qui donnait parfois des maux de tête a Saevan.
- Les règles de sécurité mon seigneur. Roder en pleine nuit sur les remparts et sans escorte est imprudent. J'ai des responsabilités en ces lieux : Je dois m'assurer que le plus humble servant jusqu'au plus grand empereur soit en sécurité. Mais chacun d'eux a aussi une responsabilité : Celle de respecter les règles établi. Le rodage nocturne est interdis, sauf sur escorte et encore, je ne peux pas diviser mes effectifs pour le plaisir de chaque individu qui désire faire une promenade.
Le chevalier croisa le regard de Thomas, peu importe le niveau de réparti du surintendant, Saevan avait raison. A quoi bon s'efforcer a la sécurité de tous et chaqun si eux même ne font pas un minimum d'efforts? Surtout quand les consignes sont claire. Le Chevalier fit signe au garde distant, il y en avait un autre caché dans l'ombre qui s'aprocha aussi. Sa seigneurie Bolton était sous haute surveillance. Il s'adressa a eux.
- Restez avec eux, quoi qu'ils disent, dans trente minutes je veux que ces remparts soit occupé seulement de gardes. Vous les escorterai donc jusqu'a leurs chambre le moment venu. Si mon seigneur Bolton a certains endroits ou il veux allez, acquiessez a sa demande.
En fait il n'irait pas bien loin, personne ne franchissais la grille du Palais a une tel heure, une autre règle dont Thomas était au courant et dont Saevan n'avais pas a lui rapeller. Saevan posa a nouveau son regard sur Bolton, il était temps de s'affirmer pour lui.
- Non mon Seigneur, même vous n'y échaper pas. Sinon se serait un constat d'échec de ma pars, mais ça, vous le savez très bien.
L'espace d'une seconde, Saevan se permit de sourir.
- Puis-je disposer ou mon seigneur désire t'il ma propre personne en tant qu'escorte?
Post by Conteur Wolf - January 10, 2010 at 9:23 PM
Plusieurs semaines plus tard dans la salle du trône...
" Hey! Non mais sort d'ici sale petite chipie!! Hurla la garde à la petite peste à couette blanche. Ta mère en entendra parler je te le promets! "
Et une petite lettre fut envoyé aux quartiers de madame la comtesse...
Dame la Comtesse,
Nous avons surpris votre petite peste de fille à jouer à la reine dans la sale du trône de sa majesté. Je vous assure que la prochaine fois, elle se retrouvera derrière les barreaux d'une cellule accompagnée de sa misérable couette. Apprenez-lui un peu de retenu pardi!
Nous offrons certes la protection à votre famille au palais. Vous devriez pourtant comprendre que c'est un honneur que peu reçoivent. Ne faites donc pas l'erreur de prendre cette place pour acquise...
Aderes,
Garde royale personnelle de sa Majesté
Post by Sarä Taur'Amandil, OdS - January 10, 2010 at 10:10 PM
Sarälondë sur les sentiers de guerres
Misérable couette?!
Fu-ri-euse.
La comtesse eu d'un coup la moutarde qui lui monta au nez en faisant la lecture de cette lettre envoyée par la garde Aderes. Son visage était rouge et son expression faciale complètement délicieuse. Une courte note avait été la réplique, sans doute que l'affaire ne s'arrêterait pas là. D'ailleurs une copie de sa réponse ainsi que l'original de celle envoyée à la garde fut transmise à Thomas Bolton.
Garde Aderes,
De quel droit proférez-vous des menaces envers l'enfant d'une comtesse? Vous allez entendre parler de moi. Vous ne traiterez pas deux fois ma fille de peste et encore moins sa couette de misérable couette.
Comtesse Sarälondë Taur'Amandil Balgor
Émissaire et Grande légat de l'Ordre du Soleil
Ps: Je vais vous dire qui a besoin de retenu, vous et vous seul. C'est une enfant, en-fant, qui n'avait aucune mauvaises intentions derrière la tête, qui n'a fait qu'échapper quelques instants à la surveillance de ses gardiens au palais. C'est un honneur d'être un garde royale de sa Majesté, ne faites donc pas l'erreur de prendre cette place pour acquise en abusant de votre pouvoir.
Post by Conteur Wolf - January 11, 2010 at 1:53 AM
Un nouveau courrier parvint à la chambre de sa imminence grandeur, la comtesse Taur'Amandil Balgor.
Madame la comtesse,
Je crois savoir mieux que vous jusqu'où se limitent mes pouvoirs et mes charges. D'ailleurs vos titres n'ont aucune influence sur mes responsabilités. Seule sa majesté choisit sa garde personnelle et je ne répond qu'à ses ordres en personne.
Au cas que vous l'auriez oublié, vous n'êtes pas la seule à détenir sa grâce. D'autant plus que vous devriez pourtant savoir que cette grâce s'applique uniquement à vous, non pas votre famille qui n'a aucun respect pour la propriété et la dignité de la famille royale.
Plutôt que de dépenser vos énergies à vous plaindre ainsi, vous devriez les consacrer à l'éducation des protocoles et l'étiquette de la noblesse de votre fille. Comme vous le prétendez après tout, il s'agit de l'enfant d'une comtesse, non pas d'une simple gamine de basse rue telle que sa performance sût démontrer aux diplomates et gardes présents dans la salle du trône. Vous ne voudriez sûrement pas pas passer pour la risée de toute la cour de la noblesse que pour le manque de savoir vivre de votre indomptable fille...
Aderes,
Garde Royale de sa Majesté
Ps : Vos enfants sont à présent consignés à vos seuls appartements.
Pss : Si j'étais vous, je ne souhaiterais pas que cette histoire se rendent jusqu'aux oreilles de son altesse royal. Il n'aime pas que l'on souille les biens de sa famille.
Post by Sarä Taur'Amandil, OdS - January 11, 2010 at 2:03 AM
La réponse silencieuse...
Une comtesse passablement insultée
Aucune réponse ne parvint de la part de la comtesse à la garde complètement débile. Sarälondë se contenta simplement de faire parvenir la note à Thomas Bolton comme les précédentes. Non mais...! Une petite lettre accompagnait le tout.
Monsieur Bolton,
Est-ce moi qui est susceptible où est-ce que cette missive est plutôt insultante et déplacée?
Merci d'éclairer ma lanterne, je ne voudrais pas moi-même répondre de manière qui ne serait pas convenable.
Sarälondë
Post by Saevan Al Kazar, AdM - January 11, 2010 at 6:22 AM
Saevan eu vent des évênements, mais pas du contenu des lettres. Il se doutait bien que cela pouvais tourner au vinaigre cependant, la garde personnel de sa majesté était de loin la plus ''hostile'' du Palais, avec raison certains dirons. C'est comme ça qu'on les formait après tout.
Cependant, même si Saevan aimait beaucoup les enfants et avait le pouvoir de le faire, il ne leva pas le confinement de la petite a ses appartatements. Il le ferait surement, mais pour l'instant sa lui servait de punition.
Post by Acturus Polymaro, Mort - January 11, 2010 at 9:49 AM
Une autre lettre parvint à la Comtesse pour venir alourdir sa lecture. Mais pas n'importe laquelle. Une lettre mal écrite de la main de son beau fils préféré (sans l'avouer bien sur).
Dame Balgor, mes respectueuses salutations.
Je vous envoie cette missive afin de vous transmettre une bonne nouvelle. Les réparations de votre manoir son terminés. Vous pourrez le réintégrer à votre guise. Je passerai vous voir prochainement afin de régler le paiement des réparations sous peu.
Sincèrement
Acturus Polymaro, Négociant de l'Association des Commerçants.
Post by Thomas Bolton, Emp - January 11, 2010 at 10:17 AM
Le Surintendant examina le contenu de lettres qu'on lui avait envoyé. La réponse qu'il envoya à Sarälondë ne saurait satisfaire entièrement cette dernière.
Comtesse Balgor,
Comme vous avez pu le constater, les gardes d'élite de la famille impériale ne répondent que devant la Couronne. Ils ont subis pendant plusieurs années une formation extrêmement rigide, disciplinaire qui ne laissent aucune place à la relâche.
Leur attitude, telle qu'elle leur a été inculquée, ne saurait pour eux être remise en cause. N'attendez pas de leur part une quelconque tolérance ou clémence à l'égard d'un comportement enfantin.
La vie au palais répond à un nombre incroyable de règles, ils ne cèderont sur aucune d'elles, quelque soit l'âge de celui qui les enfreint. Ne pensez pas non plus que le chevalier Al Kazar puisse vous aider dans cette affaire. Il supervise la sécurité du palais pour l'Ordre mais n'a aucune autorité sur les Gardes d'Elite qui ne répondent qu'à la famille impériale.
T. H. Bolton, Surintendant
Post by Taräsilmë Taur'Amandil Balgor - January 11, 2010 at 10:25 AM
Pendant ce temps, tranquillement "consigné" dans sa chambre, la tête à l'envers sur son lit bien loin de toute ses lettres protocolaires la petite s'embêtait royalement.
Ho elle savait qu'elle n'avait pas le droit, un garde lui avait dit une fois, ou elle trainait dans les couloirs mais ceci n'était qu'un jeu pour elle, et voyait sa comme un défis d'y arriver sans se faire reperer.
Elle avait même pu faire des plans bien que sommaire mais efficace, du chemin de sa chambre jusqu'à la la salle du trône en représentant avec un gros Z en bleu les gardes qui dormait en général, en rond vert les périodes ou les couloirs était vide, et carré violet ou les domestique laissé les portes ouvertes, des chiffres qui accompagné des lignes droite, surement le temps de seconde qu'elle devait mettre pour traverser certains endroit pour ne pas se faire repérer quant un garde s'en allait ! Enfin plein de petit détails que la gamine c'état fait joie de dessiner/noter pour son grand jeu à elle
Enfin... maintenant elle s'ennuyait... ainsi va la vie !
D'ailleurs son dessin représentant les failles de sécurité du palais restait toujours à disposition sur sa petite table...
Post by Myamelissë Taur'Amandil Balgor - January 11, 2010 at 6:14 PM
Tarä n'était sans doute pas la seule à vivre ce profond ennui. La bout en train de Mya changeait constamment d'humeur, supportant mal la prison de luxe. Maman avait pourtant pris soin d'apporter Nounourse, sa confidente de prédilection avant même ses deux soeurs, mais pourtant, rien n'y faisait. Au début, elle supportait bien tout ce chambardement, mais à présent, les pleurs se faisaient plus fréquents, pour un rien. Dormir devenait une autre paire de manches, notamment parce que le lit était plein à craquer. Quand pourrait-elle enfin retrouver les couleurs du Manoir?
Post by Saevan Al Kazar, AdM - January 12, 2010 at 6:35 AM
Gageons que la nouvelle de la fin des travaux allais faire soupirer quelque gardes de soulagement.
Gageons aussi que le fameux dessin allais finir dans les mains de Saevan qui savais très bien que même les enfants pouvais nous apprendre des choses. Surtout ceux qui aime fouiner.