La Nazgaroth à Sainte-Élisa
Post by Sarä Taur'Amandil, OdS - March 22, 2010 at 11:03 AM
La Nazgaroth à Sainte-Élisa
Elle s'est fait passer dessus par des orques!
« Est-ce que vous dormez parfois? »
Le regard vague et sinueux de Mystique donnait un petit quelque chose d'étrange à la question, elle semblait si sérieuse et si... absente à la fois. Elle plainait entre la lucidité et le confort artificiel que lui procurait le *précieux *liquide.
« ... »
Un simple sourire énigmatique comme réponse... La médecin jugeait le silence comme étant la meilleure des réponses à ce questionnement... surement inutile. Inutile dans le sens où la question ne trouverait surement pas de réponse.
Dans le fin fond des bois, hôpital Sainte-Élisa, trois heures et quart du matin...
Un faible grincement et la porte s'ouvrit légèrement en laissant entrer un filament de lumière dans la pièce embaumée de l'odeur médicamenteuse du mandragogel. Ce fin rayon perçant l'obscurité, provoqué par l'entrée de la médecin Taur'Amandil Balgor, effleura le visage de l'hybride au teint grisâtre qui reposait dans le lit. Qui était cette patiente? Il s'agissait Venoss « Médicament » Nazgaroth qui dormait profondément, emportée par l'effet de certaines substances médicinales. Elle avait reçu le tout auparavant, sous les soins attentifs de Sarälondë, dans le seul et unique but d'apaiser sa douleur, et non pas de l'achever comme on pourrait croire à tord. La mercenaire s'était fait passer dessus par des orques... Bref elle avait eu à combattre ces créatures dans un affrontement difficile... À quoi d'autre étiez-vous en train de penser..?
Une main sur le front pour prendre sa température, la prise de son pouls pour être certaine qu'elle est encore en vie, tout était normal en cette heure tardive. Venoss était à présent hors de danger, bien loin de l'enfer qu'elle avait subit plusieurs heures auparavant. Son bras gauche était recouvert d'un plâtre, sur lequel la petite demi elfe à couette blanche avait prit le temps d'écrire une babiole en guise de souvenir, chose que la principale concernée découvrirait au petit matin une fois l'effet des drogues dissipé. Le reste du corps de la téméraire était couvert de diverses contusions et coupures, rien qui ne guérirait pas avec le temps et du repos. Durant toute l'intervention du médecin de renom et encore à cette heure du matin, ce n'était pas de la pitié qu'on aurait pu lire dans son jeune minois elfique mais bien uniquement son sérieux habituel frôlant parfois l'antipathie. Néanmoins, Sarä avait la qualité d'être consciencieuse médicalement et ce indépendamment de son niveau d'affection pour le patient, même Venoss « Mausaise foi » Nazgaroth n'échappait pas à la règle.
[…]
Le pas léger de madame Balgor se faisait entendre d'une chambre à l'autre alors qu'elle allait voir les patients un a un. Cette nuit était active mais tout de même moins que la soirée où plusieurs mercenaires en provenance de cet affrontement étaient arrivés, occupant ainsi tout le personnel présent. Venoss était loin d'être la seule dans son cas, bien qu'elle était la plus blessée... Si on oubliait celui qui était mort après qu'une flèche aiguisée est transpercée sa chaire. La doctoresse Taur'Amandil n'en savait pas trop sur cette histoire d'orques, mais peu l'importait alors, il y avait tellement plus important à faire pour eux que de les questionner jusqu'à leur dernier souffle. De toute manière je crois que cette dernière pratique serait punissable et pourrait entrainer un congédiement, mais nous nous égarons!
La plupart d'entre eux dormaient actuellement et ne réaliseraient sans doute jamais la présence de Sarälondë qui venait tout simplement les border comme des enfants tout en s'assurant que leur état était toujours stable alors que les heures défilaient. Des compresses, des baumes et des calmants, le traitement que ces valeureux recevaient était impeccable. La dernière chambre qu'elle visita était celle du Caporal Dranem... Qui était du nombre de blessés présent. L'envi de le réveiller pour lui glisser quelques mots lui vint, mais à quoi bon tout de suite lui faire la morale? Ça viendrait bien assez vite et ce n'était pas tellement son affaire mine de rien.
Ho et qu'est-ce qui était écrit sur le plâtre de Venoss « Mal en point » Nazgaroth?
« Merci pour le compliment sur mes cheveux – Sarälondë Taur'Amandil Balgor »
Et concernant de la question à propos du sommeil de la Dame Balgor?
« ... »
Post by Adalard Dranem A.K, OdS - March 22, 2010 at 12:01 PM
Et plus de patients à St-Elisa.
Après la guerre, viennent les médecins !
Un paysage flou, un navire voguant au loin. Un sifflement d'air, une flèche. Un mort déjà. Les orcs débutaient leur assaut. Un chaos intenable, le port brulant de tout recoin, un combat féroce avait lieu.
Tandis qu'il montrait quelque chose d'aussi banal que de comment faire une ronde à la Nazgaroth et à Elanor, il reçu un avertissement qu'il aurait pourtant du se douter. Il réalisa alors que ces bêtes vertes étaient plus tenaces qu'il l'aurait cru. Le maintenant nommé Caporal, Dranem, s'empressa de se rendre au port avec les hommes - et femmes - qu'il avait sous la main avant que plus de morts n'en soit fait qu'il y en avait déjà.
**Armure... pas le temps.... restez... retrait. **
Tout était flou. Premier sur les lieux suivi des deux autres, ils repoussèrent aisément les premiers orcs qui tentaient de pénétrer la ville par le port, tandis que des citoyens fuyaient, d'autres regardaient, et les plus courageux venaient prêter main forte. L'Armée en ligne de front, c'est Dranem qui donnait les directives haut et fort, et ce, jusqu'à l'arrivé de renforts. Le reste restait, pour l'instant, trop flou.
[...]
Sur la mer, à la poursuite du chef, l'armée naviguait. Un combat dont les bardes et les raconteurs auraient payés afin d'assister. Ils le voulaient capturés. Le bateau dirigé, frappant durement les quais. tous projetés vers le port. Et le combat continuait, à bout de souffle, perlé de sueurs et de sang. [...]
Tous affaiblit par les blessures, leur chef sur le point de prendre la fuite. Le bateau s'éloignant tranquillement du quai, Le Caporal encore debout n'eut d'autre choix que de sauter ! Dans un face à face ultime avec leur chef, il savait qu'il n'aurait pas la victoire..
Pourquoi cet assaut !?
"Parce que.. [...]"
.....
Le mercenaire ouvrit alors très peu un de ses yeux, apercevant une silhouette qui vint replacer doucement la couverture qui l'abrillait. Dans l'état où il état il ne put aucunement reconnaitre cette silhouette qui n'était que brouillard et forme étrange à ses yeux. Il regardait ce qui était sans doute un médecin ou un(e) infirmier(e) quitter la pièce, sans distinguer quelque chose. Il ouvrit ensuite ses yeux complètement et tenta de se lever en vain, bronchant ensuite fortement. Quelques reprises et tentatives plus tard, faisant tomber quelques petits objets sur le sol, qui lui semblait ne pas être important de toute façon. Il recoucha sa tête lourdement sur l'oreiller, en poussant un très profond soupir.
Post by Saeril D. Al'Kazar, Ods - March 22, 2010 at 4:12 PM
Une longue soirée à faire le pantin dans le coin de la petite chambre médicamenteuse de Mystique… voilà où l’avait traîné son petit élan de bonté lorsqu’elle l’avait vue, errante et lacérées sur tous les côtés, pour ensuite l’amener jusqu’au cabinet de la Comtesse Balgor.
La raison d’autant de blessés restait étrangement nébuleuse pour la statue lunatique qu’elle était devenue cette soirée-là. Étrangement, elle n’y avait accordé que peu d’intérêt.
« Des orcs, des orcs.. »
« Non, non.. de petits nains velus à la peau verte » , voilà. L’explication qu’elle avait donné à la gamine de la Comtesse lui avait bien suffit à elle aussi, bizarrement.
Toutefois, c’est lorsqu’elle sortit de la chambre qu’elle remarqua que Sainte-Élisa commençait à se remplir comme dans une vente de petits pains chauds. C’est là, seulement là, qu’elle prit alors conscience qu’un mal peut-être sérieux s’était abattu sur l’Armée. Elle tâta son arc nerveusement en regrettant de n’avoir su être utile qu’à faire le piquet cette soirée-là.
Elle se glissait au travers des civières avec une certaine maladresse, hébétée. Dardant les divers visages qui passaient, tous aussi amochés les uns que les autres. Cette vision lui laissa un petit voile sombre au regard à son départ..
C’était devenu officiel, elle détestait les hôpitaux.
Post by Venoss M. Nazgaroth, AdC - March 22, 2010 at 6:20 PM
**Armée un jour, armée toujours. Parlons-nous de suicide ? **
*Drogué, logis, nourri et plâtré *
En effet, Mystique reposait dans un état plutôt lamentable après une violente interaction avec un navire Orque et son équipage.
*Oublié votre armure Nazgaroth… Mais Soldat… Le temps presse… ! *
Un dur combat pour la petite hybride à peine plus grande que la Comtesse. Il était bien beau être agile, mais en nombre important les coups venait d’un peu partout. Coupure, fracture et côte faillé se faisait nombreuse. Ce qui l’apporta rapidement au sol après avoir tenté de combattre à six sur un navire de pèche contre un Orque faisait trois sa taille.
*Elanor... Mystique… Je veux un rapport… *
L’adrénaline la tenait encore sur ses deux pieds un moment, elle eu le temps de boire un verre d’eau au coin chaud sans même se rendre compte que son bras gauche pendouillait de façon incohérente dans le vide.
Argg… Gneih… Mais…
La Nazgaroth sortie monta en scelle de son seul bras apte à la tirée, la faiblesse se faisait grande et hop, les pertes conscience et les étourdissements dû à la perte de sang commençait. Allant directement vers la caserne en espérant voir sa sœur ainé qui pourrait lui prodigué les premiers soins. Malheureusement pour Venoss, mise appart arrivé devant les portes grillés de la caserne, plus aucune force elle ne pu faire mieux que de se couché sur son cheval, abattue […]
*Damoiselle Nazgaroth ? *
Était-ce un ange ou encore un de ses démons de la Basse-Ville qui venait encore la hantée ? Elle était dans un état de conscience instable et incoordonnée, elle ne pu rien faire mise appart se faire porté par sa monture qui était traîné par la jeune et belle Saeril…
Les gémissements se faisait interminable jusqu’aux Laboratoire de la Comtesse...
Une fois bien étendue sur la table d’autopsie face à la tête noir et blanche, la mandrogogel ingurgité, les plaies désinfectées, maintenant, direction St-Élisa. Transporté dans les gros bras de Saemus, elle ne faisait d’autre mise appart balloté sa tête dans le vide, sourire amusé et mystérieux aux lèvres.
Franchissant le portail et Hop ! St-Élisa nous voilà. Maintenant couché dans un lit, d’un côté, la Comtesse lui faisant un plâtre avec professionnalisme et de l’autre un grand Bréguenois avec lequel elle racontait un peu n’importe quoi, Finalement elle s’attarde à la Comtesse puis lui souffle ses quelques mots en direction de sa Grande ‘’amie’’ Légat favoris.
Vos cheveux son magnifique…
Et la Sara « Tord’Enfoui » Balgor vint couvrir d’une couverture chaude la Jeune bâtarde elfe noire.
Est-ce que son futur époux osera passer les portes de l’hôpital pour venir clamer sa dulcinée ? Oserait-il affronté ses anciens compagnon de travail ?
Post by Venoss M. Nazgaroth, AdC - March 22, 2010 at 6:25 PM
Le réveil
Bouche pâteuse… et petit mot sur le plâtre ?
Comme tout réveil après une nuit sous contrôle des drogues, le soleil n’était pas le bienvenue, la visite et ni les petits mots sur les plâtres n’était vraiment le bienvenu. Malgré que, la signature laissé la surprise légèrement. Celle lui disant sans cesse être de mauvaise foi l’aurait remercié après un commentaire qu’elle ne se souvient même pas ?
Néanmoins, l’écriture ressemblait à celle d’une gamine handicapée quoi qu’il est très dur écrire sur un plâtre.
Elle prit un moment pour se détaillé de la tête au pied, elle qui était si près de son apparence, voyant les divers plaies elle ne pu s’empêché de pillé sur son orgueil et versé quelques larmes, par chance qu’elle connaissait des gens capable de tout ! Même faire disparaître de futures cicatrices.
Elle prit un moment à patienté dans son lit espérant avoir une petite visite de son chérie, mais rien, elle savait bien que se dernier ne remettrais sans doute pas les pieds de si tôt à St-Élisa.
Post by Shigeru Maeda, Adm - March 22, 2010 at 7:49 PM
Mais où sont donc tous mes soldats?
Dans l'antre du Démon à coup sur...
Une nuit passée à bander ses blessures et faire le deuil d'un bouclier ô combien apprécié, et voilà le Lieutenant en route vers la caserne. Direction? Son petit bureau favoris. Qui pouvait dire que le Tsen n'avait pas ses petits rituels journaliers. D'abord, la gazette, en sirotant une thé fait avec amour, un sushis cherché au port et fraichement préparé par son compatriote préféré au sein de la caserne. Il pose lentement son épée sur son bureau, utilise son casque comme presse-papier et entame la lecture des dossiers laissés par ses hommes et posé avec soin sur la pile par le Lieutenant Kirby.
"Rien de la part de Dranem...étrange!" se dit-il après une lecture complète de tout ce que Systéria apporte comme lot quotidien de rondes ou de crimes.
L'homme se dirige alors vers la porte de son grand bureau...
"DRANEM!!!" Hurle-t-il à l'improviste.
Rien... si ce n'est un soldat effrayé par un supérieur en si grande forme.
"Il est à l'hopital Lieutenant, avec la Recrue Nazgaroth."
L'expression du Tsen se fait alors presque rageuse, bien qu'accablée par le fait même d'avoir son souffre douleur préféré en incapacité de travail pour une durée... indéterminée? tout du moins, trouble.
Que faire alors si ce n'est tourner en rond dans son bureau, boitillant légèrement de par une blessure passée et soudain... Mais oui! Idée lumineuse, tacher d'être sympathique et avenant avec ses hommes. Vite, envoyer l'un de ses hommes à l'hopital pour apporter au chevet de ses hommes blessés un petit quelque chose de réconfortant.
Ensuite? Envoyer une cape de qualité, ornée du blason Mercenaire à la femme de se pauvre Daryl... frappé par une flèche lors du raid Orque sur le port, accompagné de l'habituelle lettre de condoléances et du dernier mois de salaire de l'homme qui, soit dit en passant, termina sa vie comme il l'avait entendu... une bouteille de vin à la main.
Quant aux deux membres de l'armée hospitalisés, qu'ont-ils reçus me direz vous? Et bien...
Fillette,
Remettez-vous vite, les habitués des douches se languissent de votre retour.
Recrue Nazgaroth,
Une main valide devrait suffire je crois? Revenez-nous vite et en forme.
Lieutenant Maeda
Aaaah ce lieutenant... une véritable petite mère...
Post by Adalard Dranem A.K, OdS - March 22, 2010 at 8:17 PM
De l'orgueil bien placé
Il aura au moins un peu en commun.
Une heure à fixer un plafond sans vie, à regarder une chambre complètement vide de vie qui lui rappelait son amer solitude. Après plusieurs soupirs complètement inutiles il tenta encore de se lever, à mainte reprises. Un géant qui frappe fort, un cheval qui l'écrase, un chef orc plus puissant qu'il ne l'aurait cru, bref, la soirée avait été agréable... mais elle ne l'avait pas plus épargné que les autres en première ligne, surtout qu'il avait été le premier sur les lieux. C'est alors qu'il remarqua finalement une petite lettre laissée à son chevet par il-ne-sait-qui pendant qu'il dormait. Cependant l'appellation et les propos utilisés ne laissaient aucun doute sur son expéditeur. Cela le faisait sourire légèrement, d'un sourire moqueur envers sa propre personne. Il ria quelque peu mais la douleur occasionnée stoppa bien vite son rire, laissant toutefois un sourire en coin planer sur ses lèvres. Ahhhh ce bon vieux Lieutenant, il n'arrêterait donc jamais, mais cela l'amusait. Il était, évidemment, le souffre-douleur de celui-ci, les gens pouvaient bien commencer à s'en rendre compte. Mais il ne semblait pas s'en plaindre, après tout ceux qui se plaignent, c'est les faibles, non ? Cependant il avait développé malgré tout une certaine complicité avec son supérieur qui fût son binôme d'apprentissage pendant un certain temps. Il ne cessait de le mettre à rude épreuve mais un guerrier dans l'âme qui ne subit pas épreuves physiques et psychologiques n'est pas un guerrier, et ça va de même pour un mercenaire. Peut-être que les gens comprendront finalement que les mercenaires protégeaient bel et bien la cité, et ce, au péril de leur vie.
Colère,
"À l'image de l'armée". Je ferai selon vos ordres.
Était la réponse qu'il avait fait parvenir par une infirmière qui avait passé par là, qui elle, l'avait laissé à un coursier. Puis il avait lourdement recouché sa tête sur l'oreiller, une fois de plus. Une réponse qui ne répliquait aucunement au Lieutenant, une réponse qui ne démontrait aucunement le désir du dernier mot, le ténacité et l'audace du Caporal n'était point au rendez-vous depuis qu'il était bel et bien Caporal.
Une heure plus tard...
Finalement il parvint à se lever en s'aidant avec le mur. Les environs lui donnaient l'impression de bouger, complètement étourdit, heureusement qu'il n'avait pas des hallucinations en plus. Se rendrait-il à la porte de sa chambre ? Du moins, il y tentait, et créait, quelque peu, un vacarme dans se chemin qui lui semblait plus loin qu'il ne l'était vraiment. Il ne se souvenait plus vraiment où ses effets avaient été mit mais il empoigna sa cape malgré la douleur que ce geste lui procura. Quelques élans par l'arrière qui donnait vraiment l'impression qu'il allait s'écraser de tout son poids mais il retrouvait à chaque fois un équilibre précaire.
**- La cité est... je dois... Je.. Je dois faire mon devoir.. **
Il avait écrit quelque peu de son lit d'hôpital mais il semblerait qu'il éprouvait le profond désir de faire quelque chose, malgré que son corps lui criait le contraire, de toute évidence. Encore faudrait-il qu'il se rende à la porte de sa chambre sans trop briser sur son chemin, autant des objets divers que lui-même.
Post by Myamelissë Taur'Amandil Balgor - March 22, 2010 at 10:32 PM
Elle allait chercher une fleur pour Ysen dans le laboratoire de sa mère quand toutes deux furent surprises par l'arrivée d'une demi-elfe noire mal en point.
-C'est pour une au-top-sie?, avait dit la jeune Balgor.
-Non, pas aujourd'hui. Lui avait répondu sa mère.
Elles étaient entrées toutes quatre, en incluant la basanée à la cape blanche. Pendant que sa mère s'occupait de la pauvre victime, Mya devait parler avec la madame aux drôles d'idées. Pourquoi elle s'était fait mal? Parce que Mystique était tombée du cheval. C'était l'explication la plus logique. Cependant, ce n'était pas le cas. Alors à qui la faute? Aux nains aux bedaines velues, les petits méchants. La question était réglée, mais que faire pour tuer l'ennui?
-On pourrait dessiner des autopsies!, lui proposa Saeril.
-Mais c'est pas joli!
-Alors on les décorera avec des fleurs.
-Et du maquillage?
-Même des ailes!
-Un ventre ouvert avec des ailes?
La question laissa la fille de Saevan perplexe. Elle s'en sortit en ajoutant:
-On mettra des fleurs dans leur ventre (putride).
-Comme un jardin! Est-ce que si je mange un pépin de pomme il va pousser dans ma bedaine?
Alors voilà une question farfelue qui laissa place à la discussion.
Post by Armahel Maelwen,Ind - March 22, 2010 at 10:59 PM
Le moine avait manqué les attaques des orcs, où il aurait pu être utile, ne serait-ce que pour prendre les coups à la place de son amie Venoss, ou bien soigner les blessés sur le champs de bataille.
Il décida tout de même d'envoyer un panier de fruits, ainsi qu'une autre calligraphie, dont le symbole signifiait: "Courage".
Post by Adalard Dranem A.K, OdS - March 23, 2010 at 2:58 AM
Un doux parfum
Un remède particulier, mais efficace !
Toute près était la porte pour sortir de cette chambre, chambre qui ne lui inspirait aucunement la joie. Il tendait la main vers la petite poignée pour sortir et enfin pouvoir respirer. Sauf que cette poignée justement, contre toute attente, tourna d'elle-même et laissa la porte s'ouvrir. Le Caporal, qui soit dit en passant était encore étourdit, se demandait s'il n'était pas entrain de rêver à tout cela. Car on s'entend, une porte qui s'ouvre d'elle-même, il y a de quoi se questionner. Mais ces interrogations cessèrent lorsqu'il remarqua l'infirmière de l'autre côté, du côté de la liberté. Tout deux échangèrent un regard interrogatoire, tandis que le Caporal essayait de comprendre ce qu'elle faisait là et pourquoi il avait fallu qu'elle arrive en même temps qu'il désirait partir ! Et elle, tant qu'à elle, se demandait comment il faisait pour se tenir debout !
"Vous devriez rester couché.. "
- Arf...
Dit-elle au grand mercenaire qui, faute de ne pas avoir l'énergie nécessaire pour user de la parole et donc répliquer, obéit après une très mince moue, un vrai gamin ! On peut dire que les traitements de la comtesse était sans doute en jeu à ce comportement étrange de l'habituel "plus-que-tenace". Il remarqua que l'infirmière portait une boîte en ses mains tandis qu'il reprenait lentement place sur son lit de guerrier, dans un autre repos du guerrier. Tandis qu'il fermait doucement les yeux..
"On dirait que quelqu'un à pensé à vous, on vous a f...... "
Continua-t-elle un court instant tandis que le mercenaire retrouvait un sommeil, cette fois très léger. Puis elle déposa la boîte au chevet de Dranem et repartit. À peine quelques minutes plus tard, incapable de trouver un sommeil réparateur, l'homme blessé se réveilla de nouveau pour poser son regard sur cette boîte très étrangement décoré. Il l'ouvrit et son contenu ne put que le faire sourire, prenant alors la petite note qu'il regarda longuement. Si il y avait bien une personne de qui il ne s'attendait pas recevoir quoi que ce soit, c'était bien elle, et pourtant ! Ah non, il ne s'attendait pas à recevoir quelque chose de la part de la Nazgaroth non plus, sauf une vengeance, mais bon.. Ah.. et a bien y penser, il y avait quelques personnes qui ne portaient pas nécessairement le Caporal dans leur cœur non plus... Mais bon !
Allez donc savoir le contenu, ou encore l'envoyeur(e) de cette petite boîte... Cependant, on pouvait peut-être sentir une toute petite odeur de rhum parvenir de la chambre du mercenaire.
Post by Adalard Dranem A.K, OdS - March 23, 2010 at 9:56 PM
La vie recommence
Presque !
Après plusieurs heures de repos durant lesquels il s'était finalement raviser de se lever, afin d'en profiter pleinement, il parvint enfin à retrouver des forces. Maintenant son repos bien mérité, terminé, il sortit lentement de l'hôpital avec ses quelques effets, tout bonnement. Il désirait se rendre à quelque part en particulier, une petite boîte en main à son tour, on avait pu l'apercevoir en ville. Même qu'il avait procéder à une arrestation, décidément il n'arrête jamais ! Heureusement que l'arrêté avait coopéré par contre.. Enfin ! Ce ne fut pas long qu'il revint malgré lui à l'hôpital, transporté par quelqu'un qui ne lui laisse que de vague souvenir. Eh oui, faute de trop vouloir en faire quelques plaies s'étaient réouverte sans qu'il ne s'en aperçoive et il avait perdu une bonne quantité de sang.
Mais cette fois, il se jurait à lui-même que sa convalescence ne serait pas longue.
Et heureusement pour lui, il eut raison pour une fois. Buvant donc ainsi beaucoup d'eau, il se remit assez vite de cela et était presque en pleine forme !