Fermeture des portes de la cité!

Fermeture des portes de la cité!

Post by Asphaar Meliamne, AdM - March 24, 2010 at 1:06 AM

Quelques heures suivants le dernier petit assaut des orcs, les mercenaires se rassemblèrent devant la porte principale de la cité, sous le commandement du Sergent Asphaar Meliamne. Ce dernier était à cheval à côté de ses hommes qui étaient parfaitement en position droit et en rang. Ils fixaient le port un moment avant que le Sergent ne prenne la parole vers son caporal présent en tête de ligne. Il lui dit, la tête haute et sans plus de voix qu'il ne le fallait pour se faire entendre:

Les mercenaires avancèrent vers le port en informant tout les citoyens, pêcheurs, marchands ou simples résidents que le port devait être immédiatement évacué. Tous devaient se réfugier en ville dès maintenant.

C'est en ligne droite qu'on put voir tout ce bon monde entré un a un dans la cité pour y trouver refuge et protection adéquate. Le sergent Meliamne les regardait passer du haut de son cheval à l'intérieur des murailles devant la porte. Lorsque le dernier citoyen passa la porte, Asphaar hocha la tête en direction son caporal puis entama sa marche vers la caserne en suivant les citoyens.

Caporal:Fermez la Grande Porte!!!

La porte principal avait ainsi été fermée pour une durée indéterminé. Celle en basse ville avait également subit le même sort...


Post by Koenzell Pandora, Cp - March 26, 2010 at 6:35 PM

La Légion Arcanique

Nombreux membres expérimentés avait été mis au courrant de la situation. Il ne fallu pas grand temps avant que ceux ci soit envoyé sur le terrain. Les légionnaires les plus expérimenté avait été envoyé dans les bois allentour de la cité pour localiser d'éventuel camp orc.

Pendant ce temps, d'autre avaient été porté au descu de la grande porte pour soutenir les mercenaire dans leurs surveillances. Bien entendu l'entré de la basse ville n'avait pas fait exeption. Il ne restait plus que l'entré du cartier de la Fraternité, mais ceux ci receveraient dans un temps qui ne serrait tarder, une lettre de la Légion.

Les information sur cette attaque reste tout de même mystèrieuse. Aucun signe aurraient pu annoncer de telles représailles de la part des orc. Bien sur, Systéria grouillait de créatures de toute sorte et des plus dangereuses. C'est cependant la première foie depuis des annés que ceux ci ce lence contre les mûrs de la ville. Que se cachait-il derrière tout cela?

C'est maintenant que nous verront l'efficassité du concorde dans la protection de la cité et de ses habitants. C'est créature périront par les flames savatrices des arcanes pour avoir attaqué notre grande cité!


Post by Adalard Dranem A.K, OdS - March 26, 2010 at 10:01 PM

**L'évacuation du village-arène. **
Quelques jours plus tard.

Dans la cour intérieur de la Caserne, se tenait Dranem. Alors que la cour était vide, la plupart des soldats occupés sur les murailles ou en ronde, ou encore à l'intérieur durant leur pause, qui fut raccourci en vue des évènements. Lui, restait là. Son regard d'émeraude plombé vers les tombes de soldats défunts. Il passa une main dans ses cheveux d'ébènes et regarda le ciel un cour instant, puis il remit son casque sur sa tête. Armuré de la tête aux pieds, bouclier en main et l'autre sur la garde, le Caporal commença à réunir des hommes. Un bon nombre de Soldats, aucune recrues, se trouvèrent alors finalement à la porte au devant de la cité.

Ils se dirigeaient vers le village-arène. Tandis que l'Armée dirigeait, cette fois et durant ces évènements, les opérations de la Concorde s'il y avait lieu de.

La troupe arriva finalement à bon port, au devant de l'endroit à évacué.

- Allez les avertir de l'évacuation, je veux que tout les villageois se réunissent calmement à l'entrée du village-arène.

Et ils répondirent alors tous en même temps.

"- Oui Caporal !"

Tandis que les soldats, à pied, se dirigeaient dans les différentes rues et ruelles de la ville, informant les crieurs et allant escorter eux même les villageois s'il le fallait. Le Caporal suivait les opérations de sa monture, trottant lentement dans la ville, le visage sans expression distincte ou visible.

Une femme s'exprima alors à vive-voix en direction du Caporal, qui dirigeait vraisemblablement l'opération.

"- Et si nous refusons !!?"

Le Caporal tourna alors lentement son regard vers la femme, enlevant son casque qu'il garda toutefois sous son bras, puis, après avoir replacé ses cheveux d'un geste fluide il répondit calmement.

- Il s'agit là de votre sécurité à tous. Une attaque d'orcs pourrait survenir à n'importe-quel moment et la défense de cet endroit n'est pas approprié. Nous vous prions madame de bien vouloir suivre les directives. Vous serez bien plus en sécurité dans l'Archipel et Capitale de Systéria.

Il n'eut pas mentionné qu'il les obligeait à suivre, non plus qu'il ne les obligeait pas, bien qu'il leur conseillait. Toutefois, ses paroles eut tôt fait de convaincre la dame ainsi que les quelques qui étaient du même avis. La plupart des autres citoyens étaient en faveur de cette évacuation, sans doute craignaient-ils une éventuelle attaque et prise du village à leur insu de la part des orcs après de nombreuses défaites à l'Archipel. Il remit alors son casque et se positionna à l'entré de la ville.

...

Ainsi, les soldats escortèrent les nombreuses caravanes qui transportaient les villageois et leur quelques effets. La plupart des soldats autour des caravanes, trois plus loin en avant, deux plus loin en arrière, ainsi ils protégeait et escortait l'évacuation efficacement. Le Caporal restait au devant de la première Caravane. Les orcs ne furent toutefois pas assez stupide pour tenter une embuscade quelconque contre la troupe de Soldats qui protégeait, il leur aurait fallu une armée rassemblé, ce qui ne fut heureusement pas le cas, surtout que c'était visible de loin.

Le tout se passa donc sans anicroches. Arrivés aux portes de la ville, le Caporal fit ouvrir les portes le temps que les villageois puisse pénétrer la ville. Quelques-uns avaient la mine basse, sachant qu'il s'agissait d'un temps difficile. Bien que certains voyaient le côté positif que cela les motivaient à passer du temps dans la grande et belle archipel qu'était Systéria.

Certains trouvèrent gite cher leur famille, d'autres dans des dortoirs, certains dans différentes auberges et quelques-uns dans des maisons qu'ils avaient en Systéria.

La porte fut dûment refermé par la suite. Ainsi, l'économie extérieur n'était peut-être pas à son avantage, mais celle intérieur était fortement augmenté, et les forgerons ne se plaignaient pas des nombreuses demandes en armes et armures qui grimpaient, bien que le reste des artisans peut-être, peut-être pas.

Pour ce qui en est du Caporal, on pouvait ensuite l'apercevoir sur les murailles, le visage toujours sans émotion démontré. Il se promenait à la marche, la main sur la garde de son épée bien rangée dans son fourreau, un regard sévère qui planait sur les horizons. Ils ne payaient rien pour attendre.


Post by Cassandre D'Estré, Cp - April 2, 2010 at 6:23 PM

** Un étrange vent froid jouait et glissait entre les murs de la cité en ce début de soirée. Mais les frissons parcourant la jeune femme provenaient de tout autre chose. La fatigue se lisait sur ses traits fins. Retenant sa cape d'une main tandis que de l'autre elle guidait sa monture vers les remparts. Un soupir de lassitude s'échappa de ses lèvres, son regard étrange se posant sur la faune encombrant les rues. **

- M'dame, M'dame ! Une petite pièce s'vou plait .... pour manger.

Écartant sa monture, la nouvelle initiée pourpre laissa le gamin des rues en arrières. Faire l'obole aux nécessiteux ne se trouvait pas être son rôle. D'autres auraient du s'en occuper.
En effet depuis plusieurs semaines, les habitants des fermes voisines, ceux du port, ainsi que ceux du village-arènes s'entassaient en basse ville. Certains chanceux trouvèrent refuge dans les dortoirs de la Fraternité. D'autres dans leur famille et ceux ayant des moyens dans des auberges. Toutefois il reste toujours des laissés pour compte, nulle famille pour les aider, pas de d'argent pour s'offrir un toit ou un repas chaud, plus de places gracieusement proposées.
Les denrées élémentaires allaient bientôt manquées dans les quartiers les plus défavorisés maintenant que les champs étaient laissés à l'abandon. Les prix flambaient et le marché noir progressait.
Pour la première fois, l'Empire n'offrait aucune aide, aucun local ne s'ouvrait pour accueillir les réfugiés. Aucune distribution d'aliments proposé ni par eux, ni par l'Ordre.
Il y aurait-il un malaise dans le rouage de notre administration ? Les mercenaires fermaient la ville, les orcs menaçaient, et pourtant un manque flagrant d'implication voir d'intérêt des autres guildes était notable.


Post by Thomas Bolton, Emp - April 8, 2010 at 11:43 AM

La situation n’avançait pas. Bien évidemment, les guildes martiales se préparaient à sortir pour donner l’assaut, peaufinant leurs plans de bataille avec une extrême attention. Néanmoins, la situation intra-muros se révélait catastrophique. Des comptes-rendus formels et informels finirent par arriver au Surintendant, qui, du haut de sa tour, laissait son regard planer sur la ville désormais surpeuplée. Des abris de fortunes avaient été construits à la hâte, de nouveaux mendiants avaient fait leur apparition, quémandant nourriture ou quelques piécettes.

« Faire entrer le plus de monde possible dans la cité et la fermer hermétiquement. Je me demande bien qui a eu cette idée saugrenue. Rien de tel qu’une vive tension entre les habitants pour annihiler totalement les défenses d’une ville en état de siège. », lâcha-t-il d’un ton glacial à l’attention de son secrétaire.

« Je suppose que le but de départ était de faire preuve de générosité et d’altruisme, monseigneur. », se permit d’ajouter le fonctionnaire.

« Je ne dis pas le contraire, Cressen. Mais dans certaines situations, ce genre de comportement peut jouer en notre défaveur lorsque la sécurité et la stabilité de l’empire sont en jeu. »

D’un geste sec il déplia sa longue-vue et lorgna les rues, boulevards et autres avenues de la capitale, en quête de plus d’informations.

« Je ne vois pas de distribution de nourriture. Des échos à ce sujet ? »

« Non, monseigneur. La Fraternité n’a strictement rien fait, plus préoccupée par l’élaboration de ses nouveaux statuts que par le respect de ses droits et devoirs constitutionnels, monseigneur. »

« Et l’Ordre ? »

« Aucun retour à ce sujet, monseigneur. »

« Combien de temps leur avons-nous laissé pour tout préparer, Cressen ? »

« Quelques semaines si je ne m’abuse, monseigneur. »

Un nouveau claquement sec se fit entendre. Le Surintendant venait de refermer la lunette. Il secoua légèrement la tête, comme agacé.

« Il fut un temps où l’on reprochait à l’administration de tout faire. Le fait est que nous allons être obligés de nous ingérer une nouvelle fois dans les affaires des institutions. »

Cressen sortit son petit carnet et un morceau de fusain pour prendre des notes. Nul doute que des instructions allaient lui être dictées sur le champ. Il connaissait suffisamment les méthodes de travail du premier ministre pour pouvoir être on ne peut plus réactif.

« Faites ouvrir un grenier impérial pour le moment. Nous verrons s’il est utile d’en ouvrir d’autres. Pour le moment, ça devrait suffire. Etablissez des petits comptoirs dans les quartiers de la ville où les fonctionnaires pourront distribuer des rations à tous ceux qui sont dans le besoin. Organisez cela avec soin, je ne veux pas qu’un individu peu scrupuleux aille se servir à deux endroits différents. »

Il griffonnait sec le petit subalterne !

« En ce qui concerne l’hébergement, nous ne disposons pas de locaux vides. Aussi vous transmettrez divers documents que je vais rédiger à l’attention de certaines guildes. Qu’elles arrivent dans l’heure à leurs destinataires. »

Et quelques minutes plus tard, des missives partirent aux quatre coins de la cité. Le contenu était très bref, mais suffisamment clair et explicite. L’Association, la Fraternité et l’Ordre reçurent un document identique.

A qui de droit,

Vous n’êtes pas sans ignorer la situation délicate dans laquelle se trouve la cité, avec la venue de nouveaux arrivants motivée par je-ne-sais-quelle guilde. Rien n’a été fait pour distribuer de la nourriture, l’empire va désormais s’en charger.

Néanmoins, pour éviter un phénomène de surpopulation des rues, pour assurer une meilleure circulation des troupes à travers la capitale, je vous invite à mettre à la disposition des sans-abris des bâtiments vides dont vous n’avez pas l'utilité pour le moment.

Et le lendemain déjà, des fonctionnaires impériaux organisaient la distribution de nourriture. Un des grands greniers avait été ouvert et les habitants parmi les plus affamés ne tardèrent pas à apprendre la nouvelle. Sa Majesté la Bonne Impératrice avait pris les choses en main, semble-t-il, pour permettre au plus grand nombre de pouvoir se nourrir.

« De la part de Sa Majesté. » était la petite phrase qui revenait chaque fois qu’on distribuait sa ration à un pauvre citoyen privé de ressources…

Quant à avoir un toit au-dessus de la tête, c’était aux guildes de prendre les mesures nécessaires.


Post by Sarä Taur'Amandil, OdS - April 8, 2010 at 8:15 PM

De l'activité en basse ville
Des réfugiés? Amenez-en!
Mais pas trop car on manque de place un peu...

La chapelle de l'Ordre du Soleil et le centre de soin de la basse ville, qu'est-ce que c'est deux endroits avaient en commun? Et bien ils servaient de refuge pour une grande partie de ses gens évacués par l'Armée de mercenaires. Les informateurs du Surintendant avaient peut-être mal décrit la situation ou encore, l'Ordre du Soleil, malgré toute sa bonne volonté ne parvenait pas à abriter tout ce beau monde venu d'ailleurs ce qui laissait donc, malgré tout, l'impression qu'il y avait trop de têtes en basse ville. Peut-être que s'ils avaient été averti d'avance...? Enfin peu importe! Ce qui était fait, était fait de toute manière et dans une situation d'urgence il était toujours peu aisé de critiquer le travail de l'autre.

Le plan d'action avait dut être établit rapidement, la marquise Mel'viir avait même offert de sa poche afin que ces personnes déportées soient traitées correctement. Logis, soins et nourritures, tous faisaient leur possible pour garder le calme et l'ordre. L'hôpital de la basse ville n'avait jamais été aussi rempli (Sauf peut-être la fois où Sainte-Élisa avait dut transférer tous ses patients ailleurs) au grand malheur du médecin chef de l'endroit, Bronwyn, qui avait vu passer plusieurs printemps à présent. Sans surprise pour la comtesse Taur'Amandil Balgor, la vieille femme avait accepté les personnes supplémentaires ainsi que l'aide de l'Ordre du Soleil. Sarälondë et elle se connaissaient depuis des années et aussi surprenant cela pouvait-il paraitre... La demi elfe avait des amis.

« Bronwyn, comme toujours je savais que nous pourrions compter sur vous... Vous verrez cela vous reviendra. »

« Je l'espère Dame Balgor, je l'espère... Nous sommes débordés, je suis si fatiguée, je ne suis plus jeune vous savez. »

« Arrêtez vous n'êtes pas si vieille. Quoiqu'il en soit, les servants du temple et les membres du clergé assureront une relève... Allez vous reposez. »

« Vous resterez pour les aider mon amie? »

« Non je ne peux pas pour l'instant, je dois retourner à Sainte-Élisa et juste avant voir comment les jeunes initiés se débrouillent dan les cuisines de l'Ordre.... Il faut malheureusement manger dans la vie, c'est un autre problème. »

Et la voilà qui était partie, encore une fois. Le temple, Sainte-Élisa, l'hôpital de la basse ville, la chapelle, son domicile, Sainte-Élisa, le temple, l'hôpital de la basse, la chapelle, le temple, son domicile et ainsi de suite! Depuis des jours elle allait d'un endroit à l'autre pour surveiller l'apport de l'Ordre du Soleil, ne se gardant que très peu de temps pour elle, comme toujours.

Des échos disaient que la Cathédrale de la moyenne-ville ouvrirait surement ses portes à d'autres réfugiés d'ailleurs, cet endroit en deviendrait un autre à ajouter à la liste. Et concernant la note du Surintendant? Il reçu une note rapidement griffonnée, visiblement la comtesse n'avait pas eu le temps d'écrire plus.

Surintendant Bolton,

L'Ordre du Soleil ouvrira dans un délais rapide les portes de la cathédrale ainsi que celle du reliquaire à la population sans abris. La chapelle et l'hôpital de la basse ville reçoivent déjà des gens, mais visiblement ce n'est pas suffisant malgré nos efforts. Je vous en tiendrai au courant.

Mes sincères respects,

S.T.A.B.


Post by Anteïa Meserole, Adm - April 8, 2010 at 8:32 PM

Plusieurs semaines c'était déroulé depuis que les portes avaient été fermé. Et la dernière attaque d'orc avait visiblement donné raison à l'armée d'avoir agit ainsi... que serait-il arrivé si les portes avait été ouverte? si le port avait été aussi bondé qu'à l'habitude? Nulle doute que la liste des morts auraient été augmenter.
Quoi qu'il en soit, plusieurs jours après cette dites attaquent, et avec l'appuie de rapport d'éclaireur, nous pouvions entendre les hommes sur les murailles de basse et de moyenne-ville s'écrier, au petit matin :

-OUVREZ LES PORTES

La nouvelle se propagea rapidement, les portes étaient de nouveau rouvertes? La menace n'était donc plus à craindre? Mais les mercenaires en faction avait tôt fait de détrompez les gens.

- Soyez prudent, ne vous éloignez pas trop des murailles. Restez à porter de vue des gardes.

- Garder les portes de vos demeures fermer la nuit, les portes de la ville seront également fermer de nuit si vous voulez y trouvez refuges.

-Nous vous le conseillons d'ailleurs ma p'tite dame.

*Malgré la joie manifeste des gens a pouvoir enfin sortir, de voir l'oppression qui peser sur eux se dégager, les mercenaires eux, restaient froids, sérieux et alertes. Nulle n'ignorait que l'assaut final serait offensif. Beaucoup des leurs perdraient la vie... ils méditaient la dessus sans doute. *


Post by Yuri Minh Yu, AdC - April 9, 2010 at 3:14 AM

L'Association à l'aide des nécessiteux? Étais-ce une blague? Eh bien non, mesdames et messieurs!

La petite demi t'Sen. À peine trois poils plus haute que la Saralondë, se promenait gaiement dans les rues de la grande cité. Gaiement, décidément, cet écrit a tout d'un récit empreint de sarcasme. Aux endroits dignes d'attention, elle fit mention que deux bâtiments ouvraient leurs portes pour accueillir les victimes de la guerre. Oui, enfin, ceux n'ayant pas de toit à mettre au dessus de leur tête. On pouvait lire ainsi sur l'affiche, écrit en belles lettres doré (comme quoi on n'en fait jamais trop):

Avis au peuple!

L'Association des Commerçants invite ceux n'ayant pas encore trouvé de refuge à se diriger vers les demeures C-28 et I-42 où des lits de camp ont été installés à leur attention.

Yuri Minh Yu
Association des Commerçants

Une missive avait été envoyée au Surintendant, elle se lisait comme suit:

Surintendant Bolton,

La suivante ne s'étendra pas inutilement. Les domiciles C-28 et I-42 ont été transformés en refuges pour la période de siège vécue en Systéria. Les deux domiciles comportent un ou plusieurs dortoirs ainsi qu'une salle des bains prévue pour l'hygiène des réfugiés. Nous voyons à une collaboration avec l'Ordre du Soleil pour nous assurer que lesdits endroits ne servent à nul autre que ce pourquoi ils ont été aménagés.

Avec respect,

Yuri Minh Yu
Association des Commerçants

Et une dernière pour personne d'autre que le très convoité Grand Inquisiteur de Nogar.

Grand Inquisiteur, Brehan de Nogar,

Laissez-moi être formelle dans ce qui touche nos emplois respectifs. J'aurais besoin de vous ou d'un tierce pour vérifier la sécurité ainsi que le respect des bonnes moeurs Thaariennes dans les refuges que l'Association offre aux victimes de la guerre.

J'attendrai une rencontre prochaine.

Bien à vous,

Yuri Minh Yu
Association des Commerçants


Post by Brehan de Nogar, OdS - April 9, 2010 at 3:56 AM

Dame Yuri Minh Yu,

C'est une bonne nouvelle, et je vous annonce que l'association pourra compter sur l'assistance de l'Ordre.

Une rencontre s'imposera, pour que je puisse évaluer les besoins. Vous trouverez ci-jointe à cette missive mes disponibilités.

Puisse-t-il veiller sur chacun de nous,

Brehan de Nogar,
Grand Inquisiteur.


Post by Shigeru Maeda, Adm - April 9, 2010 at 4:26 PM

Au matin, alors que les portes étaients déjà ouverte de manière presque officielle, le Lieutenant vint placer ses hommes en une allée martiale des portes ouest jusqu'au port.

Les déplacés de guerre retrouvèrent donc leur masure, taverne, bateau, accompagné par les mercenaires leur offrant soutien pour le déblaiement des rues. Les plus malchanceux dont les maisons auraient éventuellement souffert de l'attaque eux, ne purent directement y accéder, bien qu'ils furent peu nombreux. Quant aux portes de la Basse-ville, elles ne restaient ouvertes que pour les journaliers devant se rendre en forêt ou à l'hopital Sainte-Elisa, escorté partiellement par des patrouilles sur tout le chemin, mais jamais en forêt.

Dirigeant les opérations, le Lieutenant restait calme, simplement perché sur sa monture, encore faiblard de la précédent bataille, silencieux également, mais prompt à répondre aux citoyens.

Dans le courant de la journée, une note parvint à l'Association, l'Ordre du Soleil, la Confrérie Pourpre,la Fraternité du chêne et même l'intendance. Une copie parvint également à la Magistrate de l'Armée.

A qui de droit,

Par la présente, l'Armée des Mercenaires tient à vous affirmer ses remerciements pour le travail déployé durant le siège de la ville par les Orques, notamment pour ce qui concerne le ré-approvisionnement ou la gestion des problèmes découlant d'un pareil évènement.

Nous tenions également à vous informer des dispositions prises par l'Armée pour la ré-ouverture des portes. Nous avons débuté la ré-installation dans le quartier Portuaire et nous veillerons prochainement à faire ré-intégrer leur foyer aux fermiers mais également au personnel présent au village arène et sa population civile. Tous les membres des guildes pourront également passer les portes avec un sauf conduit permanent. Nous n'entraverons pas vos obligations et activités extra-muros.

Soyez assuré de notre respect et de notre bonne volonté à l'égard de votre institution.

Ainsi la ville sortait peu à peu de sa période un peu plus sombre. Mais du coté de l'Armée des Mercenaires, l'on s'activait dans des préparatifs de départ, bonne ou mauvaise chose?