Venteux Réveil
Post by Omniscient, GdO - March 25, 2010 at 3:24 AM
Un jour radieux se levait sur Systéria.
Un pareil climat était rare sur le continent, alors les citoyens saisissaient la chance d'en profiter. Ainsi, les rues bourdonnaient de vie, tous s'adonnaient à leurs occupations quotidiennes, un grand sourire dansant sur leurs lèvres.
Malgré les récentes attaques orques qui étaient survenues, la sécurité régnait dans l'esprit de tous. En effet, l'Armée des Mercenaires avait restreint le passage sous les portes de la ville, semant le bonheur chez les plus peureux. Certains s’en voyaient toutefois offusqués, comme les marchands, les pêcheurs, les chasseurs, et ainsi de suite.
Systéria se renfermait naïvement sur elle-même… était-ce réellement judicieux ?
Bien au contraire, il s’agissait d’une grossière erreur... quelqu'un de mal intentionné pourrait sauter sur l'occasion...
Les forêts étaient chaotiques, quelque peu sombres. Les plus audacieux membres de la faune s’aventuraient ici et là, profitant de l’absence des bipèdes généralement tant redoutés.
Néanmoins, des lapins aux oiseaux, nos poilus amis n’étaient pas seuls.
Au nord-ouest, un mal oublié s’était éveillé. Des vents plaintifs balayaient les chênes et les fleurs en frissonnaient, timides et terrifiées. Une brume morbide s’était installée paresseusement sur l’endroit, gonflant au fil des jours. Ce voile froid comme la mort arrachait quelques cris aux animaux, apeurés par cette invisible présence.
Après quelques jours de tourments forestiers, le bruit gagna les vigiles de la muraille Ouest. Certains affirmaient avoir vu des loups, des ours et même des chevaux être sauvagement abattus de la main d’apparitions diverses. D’autres parlaient de sifflements perçants, conséquence d’une sanglante boucherie qui s’offrait, toute nue, dans les bois…
Plus le temps passait, plus le brouillard s’élargissait, approchant des horizons où l'accueil serait abrupte. Systéria risquerait de trouver le tout gênant…
Post by Hakubo, Maeda - March 25, 2010 at 5:12 AM
Ambiance musicale :
http://www.youtube.com/watch?v=qMTrVgpDwPk
« Tenez votre ration »
Le soldat faisait un tour sur les murailles, tranquillement, un sac remplie de divers aliments. Ces pauvres mercenaires qui avaient été choisis pour faire le guet devait mourir de faim. Heureusement, on avait nommé d'autres mercenaires pour distribuer la nourriture. C'est ce que le jeune Kuroyama faisait. Se promenant sur le mince couloir de pierre, il lançait des pommes ça et là aux gardes qui attendaient patiemment d'être remplacé.
« Qu'est-ce que c'est que ça ? »
Un des archers pointait à l'horizon. Le jeune t'sen s'approcha rapidement, un pied sur une petite élévation entre les créneaux. Il posa sa main sur son front, geste futile puisqu'aucun soleil ne pouvait obstruer sa vue, puisque c'était la nuit.
« On dirait un ours... »
Et un ours c'était. Il courrait comme si la mort était après lui. Chargeait-il sur la cité ?
« Dois-je l'abattre soldat ? »
La recrue avait encoché une flèche et attendait l'ordre de son supérieur. Mais celui-ci leva la main pour lui dire de cesser, son regard toujours sur l'ours qui courrait comme il n'avait jamais vu un animal courrir.
« Attendez un peu... »
Et son attente fut récompensé. On vit soudainement une forme fantomatique se former derrière l'ours et, en une seconde à peine, ils le virent tomber... mort...
Tous se frottèrent les yeux en même temps, croyant avoir mal vue... Appeuré, la recrue, sans même se tourner, demanda :
« Il s'est surement enfargé... ? »
« Je ne crois pas recrue... restez ici et continuer votre bon travail, je retourne à la caserne avertir les autres de ce que j'ai vu ».
Et c'est ce qu'il fit. Une chose était certaine, cette nuit de garde allait être stressante pour les pauvres mercenaires en devenir qui accomplissait leurs premiers travail...
Post by Coordinateur Apoc - March 29, 2010 at 2:44 AM
Un Ombre gardait un oeil sur l'endroit. Le brouillard prenait peu à peu de l'expansion apportant les spectres de plus en plus près de la Cité.
Si rien n'était fait qui sait ce qui arriverait? L'attention générale était posé sur les Orcs mais pour combien de temps? Est-ce que quelque chose sera fait à temps?
L'expansion continuait tranquillement mais surement malgré la présence de la Confrérie dans les environ. Il semblerait que ce ne soit pas qu'un simple événement qui prendra fin par lui même et sans effort...
Post by Armahel Maelwen,Ind - March 29, 2010 at 3:05 AM
Le brouillard se faisait plus épais et plus présent non-loin e la basse-ville, cela n'avait pas échappé au moine, qui sortait de temps à autre malgré le danger que représentaient les orcs. L'elfe n'avait pas manqué certaines disparitions mystérieuses, des animaux pourchassé par des silhouettes sombres qui les tuaient sans problème.
Armahel sortait de temps à autres pour éliminer ces aberrations, qui étaient une insulte pour Thaar. Les morts-vivants n'avaient pas leur place en ce monde. La canalisation du ki que pratiquait les spécialistes en arts martiaux permettaient au moine de frapper les ombres et de les forcer à s'éloigner. Mais ses mains ne suffiraient pas à repousser toutes ses forces surnaturelles, aussi, Armahel fit des rituels et traça des symboles thaarien afin de les garder éloigner, les mêmes symboles utilisés lors d'exorcisme. Cela aurait-il un réel effet ou bien était-ce de la superstition thaarienne? L'avenir le dira.
Post by Omniscient, GdO - March 29, 2010 at 5:47 PM
Dans les bois, quelques bourrasques continuaient de balayer le lourd silence établi. Au centre de ce gris tumulte, les animaux encore vivants se montraient rares. La plupart d'entre eux fuyaient vers des lieux meilleurs. Des cadavres en tout genre jonchaient le sol souillé, délicieux mélange de sang et de feuilles mortes.
Hormis de rares exceptions, nul présence ne semblait troubler le trépas qui, jours après jours, gagnait en importance. Jusqu'où irait ce sombre chaos, s'épuiserait-il de lui-même ?
Que faisaient la Meute et la Fraternité, ces deux entités sociales qui osent prétendre à la sauvegarde de la nature ?
Si le tout continuait de pareille sorte, l'automne arriverait en avance...
Post by Garibald Adalard, Ad - March 29, 2010 at 6:05 PM
Ils observaient le massacre, bien qu'alerte... Que pouvait il faire d'autre ? Un spectre dans un brouillard détruisant et tuant tout se qu'il mettait sous la main ? Il est très dure d'effectuer quoi que se sois, outre mesure. Surtout que la décision d'une prise se tenais entre ses mains l'intérêt était peu. Qu'il aille faire ses stupiditer en ville, sa sera plus simple.
Bref, pour dire que plusieurs rôdeurs étaient sur le coup. Aussi furtif que le spectre lui même, profitant du brouillard pour si faire non présent dans ces contrés leurs étant tant connu. Sans se faire voir n'y entendre qu'ils cherchaient la cible de ces soucis...
(...)
Un autre cinglé qui se lasserait bien assez vite de faire ses démonstrations dans les bois, vu que possiblement on l'ignorait.
Post by Malik Croumicou, Fdc - March 29, 2010 at 6:24 PM
Évidemment que la meute avait connaissance de cette menace invisible qui plannait vers la ville, mais que pouvais t'on vraiment espèrer contre une armé invisible ? Les rôdeurs nouvellements arrivés dans le secteur des fermes épauleraient les mercenaires, mais le territoire portuaire n'était pas sous leur juridiction. Peut-être que les mercenaires feront appel à eux ? Ou bien étaient-ils trop bornés ? Quoiqu'il en soit, la meute explorait évidemment les bois, silencieux, surnois et presque invisible...
Malik se rendit dans le temple de Vaerdon ce matin là. Il médita une bonne partie de la matiné dans cette endroit horriblement chaud, discutant avec les âmes protectrices qui y règnaient, sans vraiment obtenir de réponses concrètes. Ensuite, il se rendit sur l'île des dryades pour se ressourcer dans la source d'orphée et demanda son aide, espèrant quoi ? Peut-être une apparation ou le retour de la grande shamans ? Une chose était certaine, dans ce temps de crise, la fraternité avait besoin de retrouver la foi...
Post by Cassandre D'Estré, Cp - April 2, 2010 at 7:07 PM
Depuis plusieurs jours maintenant elle sentait cette sombre présence. Les flux magiques se troublaient, quelque chose se tramait éveillant l'intérêt de l'Initiée Pourpre. Une puissance inquiétante prenait forme à l'orée de la ville, elle la sentait grandir, s'infiltrer. Bientôt la peur envahirait Systéria. Menant calmement sa monture à travers la cité, elle atteignit le rempart Ouest alors que le soleil plongé à l'horizon teintant le ciel d'un rouge pourpre orangé.
Sur le visage du mercenaire en faction se lisait la surprise de voir une jeune dame élégamment vêtue monter sur le chemin de ronde pour observer la forêt voisine.
- Madame vous n'avez pas le droit d'être là.
** Ignorant le garde, la jeune femme s'appuya contre la paroi en pierre, son attention se perdant dans la contemplation de la forêt voisine.**
- C'est là bas ... je le sens, si proche, jusqu'à cette saveur amer dans la bouche, tu joues avec les forces magiques....qu'es-tu donc ? *
- Je suis de la Confrérie et les rumeurs parlent de faits peu communs. Avez vous vu quelque chose d'étrange depuis ces dernières semaines ?
** Sa voix pourtant douce ne pouvait cacher une froideur indifférente, le regard qu'elle posait à présent sur l'homme en faction rappelait celui d'un chercheur étudiant un spécimen peu intéressant d'amphibien.**
- Un brouillard, oui un brouillard peu naturel envahit les environs. Des animaux sont massacrés. D'ailleurs la Fraternité est sur le qui-vive. Entre ça et les attaques des Orcs. On peut dire qu'on ne chôme pas dans l'armée.
** Se détournant de lui avant qu'il n'est terminé, elle reprit son exploration visuelle des environs. Puis s'enroulant dans sa cape, elle s'installa aussi confortablement que possible. De toute manière, elle ne pourrait pas dormir cette nuit non plus. Autant qu'elle tente de comprendre ce qu'il se passe.**
Post by Omniscient, GdO - April 3, 2010 at 10:27 PM
La nuit venue, une âme supplémentaire s'ajouta à la mascarade fantomatique qui respirait depuis plusieurs jours. Le visiteur-éthéré était plus noir et plus sombre que ses congénères ; il était craint.
Dans un murmure, rien ne parut. Cependant, au cœur du brouillard, une lutte sévère avait lieu. Des espérances furent ramenées au silence, des esprits enragés furent calmés.
Le petit matin se s'absenta pas pour autant...
Les rares personnes qui avaient osé s'intéresser à ce venteux réveil risquaient désormais de s'ennuyer. Les bois étaient déserts, l'air ne pouvait être plus sain, le vent brillait par son inexistence.
Tout était fini... ou du moins, semblait l'être.
Le phénomène ne laissa derrière lui que de nombreuses dépouilles, ainsi qu'un implacable silence. Cette absence de bruit allait vivre jusqu'à ce que les loups jugent bon de regagner leurs territoires. Pour l'instant, seules les mouches profitaient d'autant de chaires.
L'un des citoyens affirmera t-il être l'auteur de cette paix nouvelle et rétablie ? L'honnêteté laissera t-elle place à l'avidité d'une bonne réputation ? Car, avouons-le, c'est bien ce que tous désirent, et l'occasion était parfaite...
Assis confortablement, l'Omniscient attendait...
Post by Cassandre D'Estré, Cp - April 5, 2010 at 2:58 AM
Nulle lune en cette nuit venteuse, nulle étoile pour éclairer cette nuit si froide et humide. Un vent aigre lance ses griffes acérées vers les silhouettes isolées en haut du rempart. Il tire sur les capes les éloignant des corps tremblant, laissant le peu de chaleur habitant ces organismes s'étioler dans le néant.
Ce n'est cependant pas le temps rigoureux qui fait frissonner la jeune femme. Elle se tient appuyée contre le muret fixant la brume si dense régnant sur la forêt au pied des murs. Ses cheveux, dansant autour de ses traits fins, dessinent des volutes d'or rougeoyant à la lumière des quelques torches présentes. Son regard vairon aux teintes si douces de bleu et de mauve n'exprimant aucune émotion autre qu'une froide attention.
Pourtant qu'y avait-il à voir en contre bas. Le mercenaire aguerri à ses cotés, essaya bien de percer l'opacité mais sans succès. Toutefois, malgré son incapacité à ressentir les forces obscures se jouant de la trame du monde. Son instinct lui hurle qu'au dessous d'eux se déroulait un combat violent et sans pitié.
Dans l'air lourd de menaces les hommes de gardes, tous sur le qui-vive, attendent la peur au ventre. Rien n'est pire que l'attente. Parfois ils jettent de bref regard à la Pourpre, si glaciale, si distante qu'elle semblait faite de marbre.
La pression augmente doucement et inexorablement, telle une chape, elle s'abat sur eux. Les écrasants sous le poids d'une menace inconnue, toujours croissante, toujours plus oppressante se transformant presque jusqu'en devenir une douleur lancinante déchirant les âmes des présents.
Puis d'un coup, alors qu'apparait au loin le premier rayon du soleil tout cesse. Le vie reprend ses droits, et des rires timides et aigrelets brisent le mutisme des soldats. Rejetant les terreurs nocturnes dans le passé, les reléguant à l'état de simples craintes inopportunes. Seule l'initiée ne semble pas partager le soulagement, elle descend lentement les marches et ordonne à l'un des palefreniers de sceller sa monture. Sous le regard de ceux avec qui elle a partagé cette veillée de garde, elle quitte l'enceinte de la ville pour prendre la direction des bois.
Nul n'ose lui interdire de sortir. Peu se soucient de son sort, aucun d'eux ne la connaît et bien que son physique ne soit pas des plus désagréable, rien dans son comportement ne les poussent à l'apprécier. Ils là regardent donc partir sans un mot, et si les orcs lui tombent dessus. Cela ne fera qu'une Pourpre arrogante de moins.
Post by Ryu Hattori, Adm. - April 5, 2010 at 3:09 AM
La brume qui rappelle le froid et pourtant celle ci ne l'est pas, elle est juste.. encombrante, masquant toutes les choses, déployant sur les terres et les champs comme une chape de fumée duveteuse qui ne se sépare sous les pas que pour mieux se refermer derrière soi, comme une mer mouvante et éthérée. Ryu Hattori, debout dans cette brume rentre vers la basse ville, non pas qu'il aime à risquer sa vie dans des zones dangereuses mais le serment qu'il a apporté à la pierre de guilde de la caserne de l'ordre l'oblige a partager le quotidien des hommes avec lequels il partage la vie de caserne.
Un grognement vient de la droite, un autre vient de la gauche, aussi vite les hommes de l'ordre se regroupent pour se rendre compte que c'est un d'entre eux pris d'une quinte de toux.
" Yllis, tu va me faire le plaisir de te soigner parce que en plus de crever d'une affliction tu va nous faire avoir des souffles au coeur à nous tous !"
Les paroles de l'homme attisèrent les petits rires tendu du groupe, alors que sans un bruit une silhouette vint à croiser le groupe, une forme humaine, à l'image de la brume semblant se déplacer sans bruit les croisa, échangeant un rapide regard vairon vers le groupe.
" Laisse la Ryu, c'est une pourpre, elle sait ce qu'elle fait, en cas de problème je suis sûr qu'elle se téléportera chez elle devant le foyer."
C'était Omis, un camarade de combat qui avait soufflé cela à l'oreille de Ryu, qui lui , debout sur le chemin poursuivait du regard l'ombre de la femme qui déja s'était évaporée comme la brume qu'elle piétinait.
Post by Omniscient, GdO - April 5, 2010 at 4:03 AM
Les recherches et les interrogations de certaines âmes audacieuses ne semblaient guère aboutir à ce qu'elles pouvaient désirer. Même au plus profond des bois, les fougères poussaient et les fourmis poursuivaient leurs grandioses constructions. Tout allait de bon train, et enfin, le Soleil chatouillait à nouveau les feuilles...
Une brise sereine balayait le visage de la Pourpre, s'attardant ensuite sur le t'sen, et tous les autres qui viendraient...
La seule chose qui pouvait encore semer la discorde était cette odeur putride qui planait. Les cadavres étaient laissés là comme des ancres oubliées. Peu à peu, le sol de Systéria avalait cette bouchée de peine qui bientôt, serait histoire du passé...
Il n'y avait rien à voir, à entendre, ou à savoir...
Post by Malek, ind - April 5, 2010 at 3:28 PM
On le savait, les membres de l'Ordre en charge du problème, bien qu'ils n'étaient qu'observateur ou garant d'une certaine stabilité dans l'affaire guettaient tout ce qui pouvait apparaître comme suspect, et l'Acolyte Eriksen, presque Menethil ne faisait pas exception.
A la réaction de Ryu, il sourit, bien qu'en arrière du groupe, l'imposant Berguénois n'avait pas manqué une miette du passage de la Pourpre et de la réaction du Tsen. Toujours sur ses gardes, Wulfrik, son fidèle marteau titanesque posé sur l'épaule, il se faisait avant tout vigie et sentinelle. Sa main se posa sur l'épaule du bridé pour lui assurer une certaine forme de soutien. Sans force, bien que lourde, sa main le guida ensuite vers l'avant pour qu'il poursuive sa route.
Certes les deux hommes n'étaient pas amis, ni même ennemis, mais il se devait de le rappeler à l'ordre même si certaines situations se faisaient... troublantes?
"Je n'ai vraiment pas envie de m'éterniser ici. Il ne manque plus qu'un bruit dans les fourrés ou une carcasse et je finis étalé par terre, tétanisé, Thaar m'en soit témoin. On fini de ramasser le plus gros des corps, on les brûle et on rentre, n'attirons pas sur nous le mauvais oeil si vous le voulez bien."
Sur les nerfs les acolytes? Ooooh que oui...
Post by Koenzell Pandora, Cp - April 8, 2010 at 2:34 AM
Un silence plutôt inquiétant plannait dans la crypte après ces temps mouvementé. La pluie frappait le sol à l'extérieur comme si la nature voulait effacer une marque qui la faisait souffrir. L'ambiance n'était pas à son meilleur dans ces bois normalement des plus calmes et paisibles. Bien que toutes les forces noirs semblaient avoir disparu, une crainte résidait dans le coeur de plusieurs.
C'est dans un calme des plus profond que l'érudit fit son entré en ce lieu malsaint. La moitié droite de son visage caché par une chevelure d'un roux foncé, il avançait d'un pas lent détaillant tout ce qui pouvait ou risquait de se présenter à lui. C'était certe pas sa première investiguation de ce genre, mais à chaque foie il ressentait un noeu au niveau de l'estomac. C'était le stress ou l'adrénaline? Même lui ne pouvais le dicerner clairement. La soif de savoir était probablement l'un des trait qui le poussait à continuer son investiguation. Le Pourpre franchit les premiers brasier qui servait à éclairer les lieux pour le peux que cela pouvait changer dans un endroit aussi sombre. Aucune présence ne se faisait sentir. Visiblement, les lieux semblaient vide de tout âmes vivantes ou mortes. Que pouvait-il s'être passé ici? Plus il s'avançait, les horreurs ne cessait de parraître à lui un à un. Chaque coins avait son lot d'horreur et de reste de toutes sortes. C'est près de la dernière pièce qu'il apperçu une lueur plus importante que dans les autres racoins. C'est en avançant près du mur qu'il posant le regard de son oeil gauche à l'intérieur de la dernière salle. Son visage se figea un instant et devint rapidement des plus sévère. Ce qu'il voyait ne laissait rien présager de bon.
« J'ignore ci c'est la source de tout nos maux, mais un rétuel c'est déroulé ici.... »
Le chercheur s'avança au milieu d'un cercle fait de sang et encerclé de cranes ornés de chandelles. Il posa un genous un sol et posa son regard sur un corps complètement calciné qui semblait bruler encore quelque peu. La seule chose à faire était de recueillir quelques cendres du corps bien que cela ne risque pas de donner de grand résultat. Après celà, son attention fut attiré par une vieille étagère dans le fond. Les tablettes étaient sur le sol avec plusieurs livres en très mauvaises était. Après quelques minutes à fouiller, il en sorti un livre à la couverture noir. Bien qu'il soit abimé, le document restait toute foie lisible. Il le prit et rangea dans son sac et quitta les lieux.