Une vie de sacrifice

Une vie de sacrifice

Post by Amras Felagund - March 3, 2011 at 7:51 AM

Amras Felagund
L’arriver...

*Une brise fraîche soufflait les voile du navire se dirigent vers Systéria. Sur le ponts, ses un petit elfe au cheveux brun et au yeux noisette qui regardait au loin. Cherchant l’approbations de sont dieu dans la prière, les bras poser sur la balustrade du navire. *

  <span style="color:#00BF40">- Un abrie.. pensait t’il. Il me faut un abrie sur en arrivant, sans doute les forêt seront m’en procurer un, ensuite se faire une place, trouver les autre fervent… </span>

*S’en suivie une longue prière à Thaar qui serait bien trop fastidieuse à énumérait dans un écrie. *

C’est au coucher du soleil que le navire accosta sur le pont. Prés d’une ville portuaire, l’endroit paraissait modeste loin de se que pensait Amras. Sont sac de voyage sur le dos, il apostropha un passant.

\t- Bonjour mon brave, dit l’elfe de sont bon parler. Dite moi, je voyait Systeria bien plus grande et fortifier? Pourriez vous me dire ou je puis me ravitailler?

Sont interlocuteur ne retint pas sont rictus, et d’un ton amuser répliqua.

- La grande ville c’est plus haut sieur. Ici c’est qu’un village de pêcheur…

C’est un simple remerciement qui conclue la discutions. Est l’elfe pus ainsi continuer sa route vers la grande ville qu’est Systeria…


Post by Amras Felagund - March 3, 2011 at 8:30 AM

Amras Felagund
*L’instinct ne se perd… *

Les tintement des épée résonnait, les cri de guerre retentissait. On y était au grand combat, les poing serrer sur le pommeau de l’arme tremblante. Le souffle cours, le cœur qui bats la chamade. Les plus jeune guerrier à l’affût, les vétéran eux semblant attendre le regard vide. Il attendait quoi? Sans doute la mort, les vie enlever au combat par leurs main, il finisse par attendre le retour de la balance. Quand enfin le combat est lancer, l’instinct fait sont œuvre la lame frappent comme guider d’elle même. Pas le temps de penser, sur la gauche il faut paré le coups, à droite un ennemie fond sur vous. Un bruit assourdissant résonne enterrer par un étrange cillement qui bourdonne au creux de l’oreille. Regardent autour le guerrier se rend contre que la mort le guette, vers qui se retourner? Les dieux peuvent t’ils déjà l’avoir oublier…

Non impossible, mais alors pourquoi la douleurs atroce dans les côte? Est-ce du à la fatigue et l’effort soutenue? Cela serait étonnant sous l’effet vivifient du combat un guerrier abandonne sont corps. Alors c’est sûrement due a une lame au creux de ses côte… La douleurs s’intensifie, les temps va manquer la visions devient flou. Un dernier coup avec sa lame, un regard vers le ciel!

- QUE THAAR ME BÉNISSE, M’AIDENT À REPOUSER LES OMBRE QUI SE DRESSE DANS LA LUMIERE!

Un second souffle anime le guerrier. Due à l’espoir ou une bénédiction du dieu qu’il à si fervemment servi. Peut importe il n’est pas mort, il peut encore combattre. Des coup sont porter un instant encore avec force, le guerrier esquivant habilement. Jusqu’à se que se dresse devant lui une silhouette plus grande que les autre. Portant un casque sombre avec des corne comme un bouc. La silhouette sombre brandis sont épée qui doit faire deux fois la taille du guerrier….

Un sursaut! Il porte la main à ses côte, sentent la vieille cicatrice. C’est fini, le cauchemar récurent se termine enfin. L’elfe est assis sur un banc à l’extérieur du havre des marchant. Il se relève alors, ajustent c’est vêtement il se dirige vers la sortie de la ville sont sac plein de provisions…


Post by Amras Felagund - March 6, 2011 at 9:17 AM

Amras Felagund
Le petit carnet...

La nature peut offrire un bien plus grand refuge que la ville a qui la connais. En nature pas de surprise pour l’elfe il peut savoir qu’elle bête éviter et se fier au trace laisser pour connaître les endroit tranquille ou poser la tête pour la nuit. Préférant se tenir loin des bain de foule, en ville on ne peut faire confiance a personne. Qui serait un pique poquet ou un assassin dure à dire? Sans compter que se n’ai pas facile de poser la tête sans payer un loyer exorbitant.

C’est pour ses raison qu’il commença à monter sont propre petit camps en forêt. Un emplacement pour le feu, un hamac de fortune entre deux arbre. Il fit quelque réserve de rondin pour être sur d’en avoir pour la nuit. Suspendu à une branche il laissa même quelque bout de viande sécher, ne semblant pas se soucier de la possibilité de se les faire manger par les animaux avoisinant.

Une fois le tous fini il s’assit au pied du feu l’entretenant un bon moment avec les rondin qu’il avait couper. Le regard vers les étoile un petit carnet en main il récita des poème et chant diverse.
Que coule mon sang sur le sol
Rendant la nature comme folle
Je cherche encore la question
Je pris mon corps qu’il répond

L’éternelle est-il bien réel?
Personne ne veut être celle
Qui ira chercher réponse
De se jeté dans la mort il n’ose

Part le sacrifice personnel
De sont âme de mortelle

Nous montre qu’il existe bien cette éternel

*Il trouva le sommeil rapidement ses quelque ligne écrite *