Les griffes de la nuit.

Post by Aeternabilis - April 15, 2011 at 6:31 PM

Le crépuscule gagnait lentement Systeria. La lumière calme du jour mourant inévitablement, laissant l'obscurité
jouer son rôle une fois de plus.Suite a cette longue journée pénible et ennuyeuse, le personnel de jour lèguent place a celui de nuit.
Les gardes prenant leur place aux endroit attitré. Le cimetière quant-a-lui, était-il bien garder? On y avait poster qu'un homme...
Était-ce nécessaire de craindre les défunts? Vous devriez.

Dans la pénombre de la nuit, une ombre s'extirpa doucement de la crypte. Prenant lentement forme, au cours des pas qui la menait vers la sortie du
cimetière. Une silhouette aux allure tout aussi gracieuse que mystérieuse.

Les bruits de pas vinrent finalement au oreilles du garde qui ce tenait a quelque mètre de la. Ce retournant, dévisagent l'être qui avançais
vers luis rapidement. Un homme au long cheveux blanc qui lui cachait une grande partie du visage, ne laisse que deux yeux éclatant de vert a peine visible.
Était-ce un vert naturel? Il ne pouvait en être sure. Prit de peur, il dirigea sa torche en direction de l'homme.

-Halte! Montré vous!

Montré vous? Mais bien sure... L'homme mystérieux avança lentement, un sourire cruel au visage. Ses yeux perçant l'âme du malheureux gardien
des lieux. Paniquant, le gardien tenta de reculer de quelque pas, trébuchant dans ses propres pied, retomba mollement au sol.
L'ombre mystérieuse se mit a rire, d'un rire cruelle et violant. Elle tendis la main vers l'homme qui tremblait par terre, murmurant une incantation
inaudible. Un éclat vert se propagea violemment vers le cou de l'homme, l'obligeant a flotté a quelques centimètres du sol. s'étouffant et suffocant,
Il n'avait d'autre choix que de rester immobile. Immobile devant sa mort. L'être noir continuant d'avancé doucement, ricanant toujours. Puis, il vint
s'arrêter devant le mourant.

-Ou est-il? murmura le meurtrier.

Que cherchait t-il exactement? Était-ce la raison de sa présence dans la crypte? Qui était-il? Quelque chose était sur, il pratiquait
l'art noir.
Au bout d'un moment de silence, la silhouette s'anima violemment.

Le gardien put sentir quelque chose de froid, de tranchant. Quelque chose lui déchirant le torse, le laissant retombé au sol avec douleur.
Une main froide et griffue se plaqua contre sa gorge, aspirant petit a petit sa chaleur, sa vitalité, son âme.
Froid, douleur, peur... tels furent les dernier souvenir du garde.

L'ombre disparue dans le nuit.