L'ombre de Szarth' Ort

L'ombre de Szarth' Ort

Post by Claudius Corvus, CP - July 13, 2011 at 4:44 AM

Dans la vallée de l'ombre de la mort

Il est de ces contrés ou les hommes,
Rêvent au creux de leur lit.
Il est de ces contrés ou les hommes,
sont oublié des rêves.

(extrait de son journal de route)

1er Résu.

....Voilà, de la salive de dragon des ombres. C'est exactement cela, parfait et à la hauteur d'une tâche d'envergure. Une délicate substance à l'action radicale. Une créature unique protégé par un peuple d'homme lézard, des indigènes qui remontent aux éons reculé de l'histoire l'archipel...

16 Résu.

Mes étude n'ont guère été concluente à ce jour. Il m'est impossible de par des moyens naturels, d'arrivé a mes fins. Je prépare ce voyage depuis deux semaines. Il semble que ma route devra ce méler à celle d'une créature honni du monde civilisé. J'ai pu parfaire quelque élocution primaire quand au dialecte Saurien, toutefois mes talents magique devraient avoir raison de calmer les plus belliqueux. La peur d'échoué me tenaille plus violament les trippes que celle qu'aurait un homme commun a croisé tel créature. Il est mentionné que les hommes-lézard sacrifie courament nombre de leur confrère à défault de pouvoir lui offrir autre créature vivante. C'est ainsi que j'apporte avec moi, une relique trouvé lors d'un voyage, une pierre, un oeuil d'Aerduyn.

Je voyagerais par portail hors de la ville, une rune préalablement marqué à la proximité de la cité d'homme lézard sera mon passage. Étant soucieux du moindre détail je dissimule mon identité sous des vêtements différent et je choisis un foulard qui dissimule aisément mon visage. J'attendrais la nuit pour investir la cité, si je me fis aux études sur les lézards, ils sont moins actif alors que la température diminue. Je pourrais peut-être déjoué leur vigilance. Quelque potion d'invisibilité, le présent, mes réactifs, une fiole respectable de cristal et mon costume. Tout y est. J'empoigne mon baton : Kal ort Por!

Une douce brise remonte de la côte à l'est. Le brouillard s'infiltre sournoisement parmi le lychen et les pierres. Je voyais d'ici les murailles hétéroclite de pierre et de macabre fétiches. Je remonte mon foulard puis entame le pas au clair de la lune gibbeuse. Je crois entendre au loin, provenant de la forêt derrière les montagnes, le hurlement d'un loup solitaire. Un brasier illuminait l'intérieur de la cité, l'air frais du mois de Résu, devait les forcer à ce grouper près du feu. Le pan de ma cape laissait un fragile sillon dans l'herbe givré. La porte, gravé de nombreuse glyphe obscure, ce dresse devant moi. Le visage grimaçant de deux sculptures à l'image de divinité impie, les glyphes semblent représenter l'histoire d'un massacre... ou un avertissement.

Alors que je pénètre dans le village, deux gardes sauriens, ce dirige vers moi, arme en main. Je n'ai guère de temps à perdre avec cette sous-race qui n'a jamais su s'Adapter autre que leur moeurs primitif et arriéré. Ainsi je paralyse le premier garde, le second : Corp Por Wis. Il s'effondre par terre, les yeux rouges, chacun des vaissaux sanguin éclaté par le duel mental. Un filet de sang s'échappe de son oreille. Bien avant que le sortilege de paralysie ce dissipe. Je reproduis le sortilege contre ma victime qui s'effondre près de son congénere. Je m'assure que l'alarme ne c'est pas répendu dans le village, puis j'enjambe les corps inertes de ses guerriers. Écrasant sans considération mon baton sur leur chaire au passage. Je peux appercevoir d'ici l'embrasure de ce qui doit être, en quelque sorte leur temple. La bouche béante d'un dragon grossierement sculpté au flanc de la montagne était illuminé par plusieurs brasero. Bien qu'aucun garde de semblait la protégé, il en va de soi qu'ils sont dissimulé.

Une diversion, voilà qui devrait occuper ses parvenus de l'évolution. J'examine les lieux, songeur, il me fallait un plan avant que les gardes soient découvert Un esprit de lame saura apporté la discorde nécessaire... Puis mon regard ce porte à la montagne. Oui ce sera ainsi, une explosion au flanc de la montagne saura nécessaire pour tourner leur attention sans pour autant trop les agités. Je pourrais ainsi me téléporter sous le seuil de l'entrée de la caverne... Vas Ort Flam ! La paroi fragilisé éclate, vole en éclat multiple pierre. Deux gardes tantôt dissimulé dans l'orbitre de pierre droit, ce lève, persiflant, ils fixent en direction de l'explosion. Je me téléporte hors de la vue des gardes, sous la machoire de pierre sculpté pitoresquement. Un constant sifflement, comme un souffle est expulsé de l'embouchure. Je m'y faufile laissant mes craintes derrière moi.

Je m'avance dans les ténébres sous la montagne. Après avoir descendu ce qui semble une éternité dans de sinueuse gallerie, éclairé par la faible lueur bleuté de mon baton. Je pénetre l'antre de la bête, une immense vallée glauque s'étend devant moi. Aucun son mis à part les gouttes qui s'écoulent des stalagtites, Aucun son hormis mon souffle et le bruit de mes bottes qui racle le sol. Les ombres si dense, semblaient presser contre la lueur de mon baton, la constente impression d'être observé. Une sorte de pierre d'obsidienne ce tient devant moi, je pose ma main sur la pierre glacé. Puis elle tremble légérement, le portail s'ouvre béant. Un oeuil, de ma grandeur, un oeuil qui s'éveillait. L'iris d'un bleu glacé explose d'une vive lueur nécrolithe, puis la vallée entière tremble sous son souffle.

-Y'iggnssn Gassh Shiss Gassh, Szarth' Ort! * Hurlais-je de toute mon insignifiance devant la créature oublié du coeur des hommes. *
-Shagassh! Shass Ghash! * La voix caverneuse du dragon, résonnait en écho dans la vallée, alors que les ombres même semblait ce ruer autour de nous, l'echo de sa respiration n'était que le seul son *
-Je me présente, Seigneur Szarth' Ort, Claudius Corvus et je vins t'offrir de quoi étendre ton ombre hors de ton sanctuaire! * De main droite, je présente une pierre et la dépose par terre. *
-Voici un oeuil d'Aerduyn, je te l'offre en sacrifice. Daignes-tu m'écouter ensuite, Vénérable seigneur!

-Parle, mortel ! Soit bref, en quoi je serrais intéressé par ton offre. * son souffle fit vasciller la lumière à mon baton *

-Maitenant Retourne mortel Corvus, tu as pactisé avec Szarth' Orth. Respecte ta parole ou tu craindras ta propre ombre!
(par soucis de compréhension, j'ai mis cela en francais)

*Ce qui alla ce produire fut grandement éradiqué de ma mémoire. Ne subsiste que de vague souvenir d'ou les ombres plongent sur moi, sous le regard glacial du dragon d'ombre. L'amer gout du fer dans la bouche et l'impression d'avoir traverser mille éons sans avoir pu trouver le sommeil. *

17 Résu.

Je me suis réveiller ce matin, dans mon laboratoire. Je n'ai pas souvenir de m'être coucher ici et les derniers événements me semble, une série de rêve chaotique et trouble. Alors que je me lève pour retourner vaquer à ma routine. J'apperçois sur mon bureau de travail, Une fiole contenant un liquide d'un noir d'encre. La fenêtre ouverte à proximité pourrait laisser croire qu'on l'y a simplement déposer, s'il n'était pas au deuxieme étage...