Un nouveau voyage vers l'Archipel

Un nouveau voyage vers l'Archipel

Post by Nathaniel de Sorgrad,ADM - July 24, 2011 at 2:34 AM

Un bon matin, notre rodeur décide finalement de remettre les pieds dans le manoir familliale. Des préparatif étaient nécessaire. Il prépara quelques ration pour le voyage, du linge et une malle d'objets.

Son départ se ferais tôt dans la matinée. Il alla donc laissé une note pour l'assemblé. Il partirait tout de même pour un bon 6 mois. Le temps de reprendre ses esprits et il s'ennuyait de la culture t'senoise.

Bien entendu, il alla voir a l'atelier d'Amahiel, bon il ne devait rien a cette Elfe, mais il sentait le besoin de lui écrire.

Chère Amahiel,

Je suis désoler, je sais que je t'ai dis que je viendrais te passé une commande à tout les jours, mais le vent me guide plus loin. J'ai un manoir a l'archipel qui a besoin d'un peu d'Amour et je suis un peu lasse de Systeria. Nous nous reverrons donc dans 6 mois, lors de mon retour. Je te conterai mon voyage. Si jamais le temps de dis, tu peu toujours m'envoyer une missive, ou même venir me voir.

Passe du bon temps, et pense surtout à prendre du temps. Le travail c'est bien, mais la vie c'est mieux.

Nathaniel.

Après avoir laisser lui même la missive sous la porte d'Ama, le roux pris la direction du port. Le bateau était là et attendais les retardataires. Nath s'empressa d'Embarquer. Il fit signe a un matelot

-Toi! j'ai une malle et 2 sacs, apporte-les dans ma cabine.

Le jeune matelot pris un drôle d'air, qui était ce demi-elfe pour lui parler comme cela? Voyant la réticence du matelot, nathaniel lui lança une petite bourse.

-Alors? tu y va? tu viendra me voir lorsque le repas du souper sera prêt. Et essais de ne pas être en retard!

Le jeune homme regarda la bourse, au minimum 1000écus, ce n'était même pas son salaire pour le mois...Du coup, ses yeux grand ouvert, il fit ce que le "noble" T'sen lui demanda.

Un long voyage attendait Nathaniel et qui sait, ce que l'archipel lui réservais.


Post by Amaihel, AdC - July 26, 2011 at 12:40 AM

*Amaihel trouva la note ce matin la en allant travaillé et resta perplexe. Puis en souriant doucement elle rentra. Elle avait beaucoup de travaille à faire ce jour la mais d'est quelle eu une minute elle lui écrivit. *

Cher Nathaniel,

J'espère que ton voyage c'est passer sans encombre. Je ne t'en veux pas de ne pas venir passer de commende tout les jours et j'ai grand hâte à ton retour. Je connais quelque peu la culture T'sen par ses vêtement et ses objet donc si jamais tu a besoin de quelque chose pour ton manoir n'hésite pas à me faire signe.

Ici tout va plutôt bien. Je suis très occuper par tout ce que j'ai à faire mais cela avance bien. Quand tout ce sera calmer un peu je pence prendre quelque jour de congé et venir te voir, si tu le souhaite bien sur. Je n'est jamais visiter l'Archipel mais je suis sur que cela me plaira.

Fait attention à toi.

Amaihel.


Post by Nathaniel de Sorgrad,ADM - July 26, 2011 at 4:43 AM

Le voyage vers l’archipel fut mouvementé. Heureusement, Nathaniel connaissait bien la mer et les petites orages ne lui faisait plus peur. Il arriva au port tard la nuit. Difficile a ce moment la de trouver un cloché pour trainer ses valises.
Le demi-elfe décida donc de prendre une chambre dans l’auberge la plus près. Évidemment ce n’était pas la plus belle. À son entré, beaucoup ont tourné le regard vers lui. C’était plutôt rare de voir un homme habiller aussi chic entré dans cette auberge.

L’endroit était sombre, sale et la moitié des tables de l’étage du bas étaient cassés. Les chambres étaient au deuxième. Un peu moins pire, mais on était loin du 5 étoiles.
Dès que les lueurs du soleil ont atteint la fenêtre de sa chambre, Nath enfila son Hakama et son Kimono puis repris la route de son manoir. Il fit signe a une charrette et lui donna une petite bourse d’or pour s’assurer un voyage sans peine jusqu'à son manoir.

-Bonjour fermier! Pourriez-vous m’amener au manoir De Sorgrad je vous prie? J’ai quelques pièces d’or pour vous.

Le fermier regarda le jeune De Sorgrad avec un drôle d’air. Comme S’il venait de voir un fantôme.

-Heum, haikei, jookaku est vide depuis hisashiburi dit-il dans un langage commun cassé.

-Je sais, je n’ai pus passé avant, voudrais tu m’y amener je te prie? Et me référé a une bonne ménagère.

Le fermier ne posa pas plus de questions, il prit le chemin vers les haut pré. Sephyr l’avait amener quelque fois ici, mais le manoir restait vague dans ses souvenirs. Tellement de choses c’était passé depuis…
Le rodeur arriva enfin devant le manoir. C’était plus beau que dans ses rêves. Son visage lui, ne le démontrait pas. Sa ménagère et lui entra lentement dans le manoir. Toiles, poussières et meubles étaient bien à leur poste.

-Shufu, lave l’étage et la cuisine, je m’occuperai des chambres et de l’extérieur demain matin.

Sans dire mot, la ménagère prit son plumeau et commença le ménage. Nath lui, prit le chemin d’une chambre, il vérifierait demain laquelle c’était, pour l’heure il était épuisé.


Post by Nathaniel de Sorgrad,ADM - July 28, 2011 at 8:22 PM

Tôt le matin, Nathaniel sorti prendre une marche. Cela faisait en bon moment qu'il n'avait pas mis les pieds ici. Ces souvenirs étaient vagues, l'étang, le chemin qui fait le tour de la cours. Il prit le chemin de la remise. Celle-ci était si grande qu'elle aurait pus très bien faire une maison pour une personne moyenne à Systeria...

Nath allait commencer par l'herbe. Elle était longue et c'était propagé à des endroits où il ne fallait pas. Il empoigna la faux. Il ne fallait certainement pas arrêter l'entrainement, donc il coupa l'herbe a la faux. Mouvement particulier, mais qui fait travailler presque tout les muscles du corps.

Le jeune rodeur suait, cela faisait maintenant quelques heures de travail qu'il faisait. Quelques passant le regardait, intrigué. Il faut dire que le manoir était vide depuis maintenant plusieurs années, et la mort de Séphyr c'était fait savoir ici aussi.

Nath remarqua que quelques uns d'entre eux avait un regard presque apeuré. Peut-être croyaient-ils avoir vu un fantôme? après tout le père et le fils se ressemblait beaucoup.


Post by Feng - July 28, 2011 at 10:16 PM

Une demeure vieillie par le temps, en son centre, un jardin dessiné à la manière des Tsen, verdoyant et méticuleusement travaillé pour donner l'impression d'un équilibre naturel. Comme seule mélodie dans l'endroit, le bambou frappant l'eau qui se déverse en son sein à chaque remplissage, et le son de percussion du bambou qui se redresse, frappant au passage son axe horizontal, avant d'à nouveau laisser s'écouler l'eau en son coeur. Une brisée d'automne délicate balayant l'ensemble de l'endroit, soufflant au travers des roches creuses qui garnissait ce jardin, laissant derrière elle un léger sifflement favorisant la sérénité.
Une grue posée dans l'étang, vigilante alors que son festin grouille sous elle et pourtant, elle même, animal de sagesse, ne vient pas rompre l’ensemble profondément apaisant de ce lieu.

Confortablement installé devant son jardin, un tatami sous lui en guise de siège, une tablette garnie de riz et de boulettes de viandes, une soupe et une tasse de thé encore chaude, les baguettes convenablement posée sur le reposoir en ivoire, un vieil homme, fixant le lointain, à la fois présent et absent. Ses yeux s'ouvrent enfin lorsqu'alerté par un bruit, la grue s'envole, créant une onde dans le petit point d'eau. Impassible, le vieil homme ne bouge pas, ou peut-être en donne-t-il l'impression alors que s'avance devant lui une forme noire, svelte et taillée avec agilité. D'aspect sec, une armure d'un alliage de cuir et de cordes tressées, le visage caché par un masque, la forme s'agenouille devant l'ancêtre, bien plus bas qu'il ne soit possible de le faire, avec déférence et soumission, le visage contre ses deux mains, le nez touchant le mélange de sable et de gravier formant un chemin sinueux mais toujours aussi favorable à la plénitude, exprimant avec ferveur ce terme Tsen.

"Senseï"

D'un geste particulièrement vif pour un homme de son âge, sévère tant dans son attitude que dans son regard, le vieil homme invite son disciple à redresser la tête, chose qu'il ne tarde pas à faire, dans cette position de soumission, encore et toujours.
Impossible de comprendre leur discussion alors, qui ne se fait que de regards, laissant planer un long silence entre les deux hommes.
Les minutes s'égrainent et l'homme de noir vêtu présente alors simplement face à lui un mempo aux lèvres hurlantes, aux dents démoniaque, grimaçante d'une douleur rare et pourtant satisfaite; les deux bras tendus vers son maître, présentant l'objet presque comme une relique.
La voix grondante, forte et toujours aussi sévère du vieil homme s'élevant alors, en quelques mots dit sèchement, loin d'une quelconque compassion ou amabilité.

"Qu'il vienne."

Et dans un nouveau souffle de vent, la forme noire s'évanouit, comme emporté par cette brise, ne laissant derrière lui qu'une feuille de cerisier se posant à sa place précédente.

Perché sur sa colline, dans une demeure spacieuse et presque touchée par les dieux tant par sa beauté que par son confort, couvert des regards indiscrets par une montée de marches dépassant par trois fois le stade des cents, et d'une forêts d'épineux touffus. Un lac extérieur relié à la demeure où le vieil homme se déplacera, patientant l'arrivée de son "invité", le regard froid posé sur l'eau paisible, à son imagine, neutre et inanimée.

Alors que le soleil décline, un bref et imperceptible sourire naissant à la commissure des lèvres du vieux maître.

"Ainsi voilà ta descendance disciple... Puisse-t-elle se montrer digne de toi."

Les mains jointes dans son dos, Feng observe l'absolu et son éternité, serein, son impatience imperceptible dans son attitude, sa tenue richement décorée aux symboles animistes de Tigres et de Dragons luttant dans une posture impossible, laissant croire à la rage d'un tel combat; le vieil homme patiente, fermant doucement les yeux...

(...)

*Alors qu'il s'entraînait, le jeune de Sorgrad senti une main, presque invisible et pourtant ferme dans sa poigne, se poser sur son épaule. Plus proche, une voix calme et grave, comme ténébreuse murmurant quelques mots à l'oreille du Demi-elfe dans un Systérien approximatif mais cela dit compréhensible. *

"Le maître vous attend."

Quittant se contact, l'héritier de Sorgrad ne sentit qu'une faible brise, pas un parfum, pas un bruit de pas, simplement se souffle qui fit voleter ses cheveux soyeux, à l'image de ceux de sa mère. Vif, la forme disparu aussitôt, sans même qu'un seul des villageois ne puisse soupçonner sa présence. Comme seul indice de sa présence, une perle blanche retenue à un arbre par une ficelle, presque éthérée, seule une vision d'elfe ou la vigilance d'un homme particulièrement entraîné pouvant la déceler, la traque pour le jeune Nathaniel venait de commencer...


Post by Nathaniel de Sorgrad,ADM - July 28, 2011 at 11:27 PM


Les coups du jeune demi-elfe étaient vifs, il contrôlait sa respiration et l’agençait avec ses coups. L’herbes volaient en face de lui. Petit à petit, le jardin ressemblait a nouveau à ce qu’il avait pus être jadis. Il ne portait pas attention à son entourage, même si en tant que bon rodeur il ne se laissait pas souvent prendre au dépourvu.

La chaleur du jour était a son point fort, c’était surement bientôt l’heure du repas. Au moment où il s’apprêtait a déposé la faux, il senti quelque chose. Un contact humain, sur son épaule, puis il entendit : « le maître vous attend » . Il fronça les sourcils puis se retourna aussitôt. Plus rien, l’homme avait disparu. Rapide, silencieux et il ne laisse pas de trace… Le jeune de Sorgrad regardait au tour de lui. Le jardin était calme, comme si rien n’était arrivé.

Il se demandait ce que l’intrus voulais dire par le maitre…Sur cette pensée le rodeur tourna les talons pour se diriger vers le manoir.Il prit place devant la petite table, assis en Seiza il entama le repas préparer par la ménagère. Le repas typique de T’sen.

Après son bon repas, il repris son entrainement. Il restait encore un bon bout du jardin à couper. C’est en s’abaissant pour prendre sa Faux qu’il aperçu un reflet. Intrigué, Nath força son regard et fini par apercevoir la perle accroché a l’arbre. Venait-elle de l’homme de tout a l’heure? Possible. Plus il regardait la perle, plus il pensait la connaître.

Soudainement, il eu une image de son père. Bien sur, Sephyr portait une perle de ce genre dans son coup, mais qu’est-ce que cela signifiait? L’ancien maître de son père voulait le voir? Est-ce que quelqu’un l’as prit pour Sephyr? Par où commencer? Il ne pouvait demander à qui appartenait cette perle…si c’était une marque d’un groupe obscure… ou étais-ce un teste lancé par le dit maitre?

Nath décida d’aller voir dans la chambre de son feu père. Peut-être pourrait-il y trouver un indice, une marque, une toile ou même un uniforme?


Post by Nathaniel de Sorgrad,ADM - July 30, 2011 at 5:13 AM

Il prit un temps pour vérifier la chambre, il n’allait certainement pas s’éterniser. Il y trouva tout de même quelque chose d’intéressant. Une armure de cuir Ninja. Il décida de la mettre et de porté son kimono par dessus. Puis noua la perle a son cou. Qui sait a quoi il aurait affaire?

Il ressorti au jardin, se repositionna où le premier contacte avait été fait. Puis chercha des traces. Tout hommes elfe ou nain laisse des traces. Ses yeux de rodeur repérèrent une minime trace dans l’herbe. Il les suivis jusqu’à la sortie de son manoir.

Maintenant c’était plus compliqué. Les routes de la campagne. La poussière colle sur les vêtements et se déplace avec le mouvement de l’air. Il pus donc apercevoir un tracé. À la vitesse de l’homme l’air ce déplaçait beaucoup. Il réussi a suivre sa trace, enfin il espérait que c’était réellement la sienne.

Il arriva a une maison, ses traces de poussière avaient disparu. Le jeune demi-elfe se gratta la repousse de barbe sur son menton. Comment? C’est la qu’il leva les yeux. Bien sur, il avait sauté sur le toit. Nath grimpa puis remarqua certaine tuiles avaient été décalé, rien d’alarmant, mais pour un rodeur cela voulais tout dire.

Il prit donc la poursuite de ces traces jusqu’à une montagne. Un petit chemin, pas très entretenu s’y trouvait. Il décida de s’y aventurer. Le jeune de Sorgrad monta les marches, gardant une cadence bien calculer. Il ne savait pas vers quoi il se dirigeait, qui était ce maitre, mais il savait qu’il n’avait plus rien a perdre.

Après des centaines de marches, les dernières étant les plus dure, Nath arriva au paradis. Du moins c’est ce qui lui arriva a l’esprit a ce moment la. Debout, bien droit, a reprendre son souffle, le rodeur regardait le lac et le jardin. Espérant voir quelqu’un qui connaissait ou simplement des explication.


Post by Amaihel, AdC - July 30, 2011 at 11:31 PM

Après plusieurs jours d'attente, Amaihel écrivit une autre missive. Qui sais si la première ne s'était pas perdu en chemin?

Chère Nathaniel,

J'espère que tout ce passe bien pour toi. Je ne sais pas si tu as reçu ma première missive donc je t'en écris une nouvelle. J'imagine que tu dois être très occupé. Mon travail pour l'armée avance très bien je pence donc pouvoir demander congé bientôt et venir te voir si cela te conviens. Peut-être aura tu le temps de me montrer ton merveilleux pays.

Je pence beaucoup à toi et j'espère que tu te repose un peu.
Amaihel


Post by Nathaniel de Sorgrad,ADM - August 7, 2011 at 8:29 PM

(...)

Plusieurs jours passèrent sans que le jeune de Sorgrad remette les pieds dans le manoir familliale. La ménagère commençait à s'inquièté, non pas vraiment pour le demi-elfe, mais pour sa paie.

C'est un bon matin, près de quatre mois plus tard que le jeune Nathaniel ouvra la porte. Son regard se posa sur la ménagère un moment. La stature bien droite, comme trop confiant, il souria a celle-ci.
Il ne parla pas et se dirigea vers sa chambre.

Quelques minutes plus tard, Nath remit à la ménagère une grande bourse.

- Arrigatto, vous avez été éfficasse, prennez cette or, et amusez-vous un peu avec vos enfants.

Il sorti du manoir valise en main. Un simple regard vers son manoir avant de retourner vers le port. Que c'était-il passé avec cet étrange maitre? Ce qui était sur, Nath n'était plus tout a fait le même...