De par un temps...
Post by Garibald Adalard, Ad - November 8, 2011 at 8:25 AM
Suis moi…
Deux formes noirâtres défilèrent lors d’une nuit, dans les plaines bordant les plateaux des Titans. Taillant chemin sans jeter œil en arrière. La plus svelte des deux silhouettes ouvrant la marche le second, tâchant de ne guère la perdre de vu. La marche s’estompa face à une abrupte falaise aux rochers escarper, bordant sur la roche des racines épaisses et solide de la végétation qui les attendaient si haut. Ils l’escaladèrent.
Entre les nuages, de minces rayons lumineux projeter par la lune vint dessiner devant leurs yeux une sombre tour.
La femme la désigna le lieu du bras, sans plus de mots. Elle s’arma, se qu’il fit par la suite. Tel des spectres ils vinrent à l’entré du bâtiment, déciment les rares créatures servant de gardes à l’entrer. Tâchant de tenir leurs présences au silence, jusqu’ici. Gravissant les marches, les étages. De pas silencieux, se faufilant dans la demeure. Ils débouchèrent à une chambre, délabrer. Deux humanoïdes si tenaient terrer. Vêtu presque nu, abordant des ornements luxueux. Leurs états n’étaient pas des plus enviable.
Vois se que je dis. Ces lois dont tu me parles, ne sont qu’illusions. Les Systériens fermes les yeux, se moque.
Le murmure, mélanger au vent qui sifflait entre les pierres de la tour vint trahir leurs présences… Des craquements, des battements d’ailes firent acte de présence d’une bête se tenant sur le toit. Le gardien des âmes tenu captif, dans les bourrasques du vent, le démon apparu aux yeux des Nguelundiens. Sans mots, n’y grognement. La bête fit porter sa première attaque dans la surprise et la confusion.
Jaugeant leur assaillant, ils durent unir leurs forces pour la vaincre. Les attaques étaient bien orchestrer, ne laissant pas chance de contre attaque à la bête. Se n’es pas sans blessure, que le démon poussa son dernier souffle. La confusion de l’affrontement avait suffit à attirer l’attention des laquais de la tour. Pour si dire, l’homme et la femme de race s’esquiva peu de temps après loin de cette tour et de ses occupants.
(…)
La femme, sans le démontrer rageait. Il aurait fallu être niais pour ne pas s’en apercevoir. Le fait de savoir que d’autre connaissait le même sort qu’elle eu et qu’il s’en déroulait là maintenant. Semblait lui donner une volonté de fer, en sois les libérer à tout prix. Cette idée lui avait été transmise à l’Adalard, idée qu’il concevait également tout au temps…