Offre d'Emploi : AdM
Post by Thalkehr Stornaar, AdM - November 3, 2009 at 3:11 AM
Avis à tous,
L'Armée des Mercenaires est à la recherche d'esprits vaillants. En effet, de nombreuses places sont libres parmi nos rangs. Nous vous garantissons un excellent salaire, le gîte, des occasions de primes, une forte possibilité d'avancement, un entraînement sans égal et la citoyenneté. Tous sont les bienvenus, que vous soyez combattant, archer, druide, artisan, diplomate ou sorcier, nous évaluerons votre candidature.
- sceau de l'Armée *
Chevalier Thalkehr Stornaar,
Armée des Mercenaires.
Post by Sarä Taur'Amandil, OdS - November 3, 2009 at 10:54 AM
Une carrière chez les mercenaires!
Voulez-vous rire?
Ho! Un délectable journal de Systéria qui trainait sur la table dans la salle de repos des employés de l'hôpital Sainte-Élisa. Comme par hasard, car les hasards font si bien les choses, il était ouvert là où l'annonce de l'Armée des mercenaires souillait de son encre le parchemin. Rapidement et très sommairement la baronne Taur'Amandil en fit une lecture. Dans sa têtes quelques commentaires ne purent s'empêcher de prendre place. Un léger roulement de yeux en fin de lecture lui laissait une expression énigmatique sur son petit minois sérieusement elfique.
Avis à tous
« Ha vraiment, enfin ma chance...?
L'Armée des Mercenaires est à la recherche d'esprits vaillants.
« Intéressant, ils augmentent leurs critères. »
En effet, de nombreuses places sont libres parmi nos rangs.
« Stornaar réussit presque à me tenter... »
Nous vous garantissons un excellent salaire, le gîte, des occasions de primes, une forte possibilité d'avancement, un entraînement sans égal et la citoyenneté.
«Si j'étais une sans abris je serais plutôt tenter... »
Tous sont les bienvenus, que vous soyez combattant, archer, druide, artisan, diplomate ou sorcier, nous évaluerons votre candidature.
« Il me rassure. »
Soudainement Sarälondë tourna la tête alors qu'une infirmière l'interpelait de sa voix calme mais grave. Il s'agissait d'une question médicale. Naturellement le journal fut délaissé très rapidement, après tout la Grande légat n'en avait cure. Cependant l'instant d'un moment il fut sans doute agréable de se changer les esprits grâce à quelques réflexions amusantes aux frontières du sarcasme.
« Donc vous dites qu'il s'est ouvert le bras par accident...»
« Oui Dame Balgor c'est ce qu'il affirme! Il a peur pour son métier, il est forgeron parait-il, il souffre beaucoup.»
« Ne trainons pas dans ce cas, tachons de le rechaper. Et pour sa carrière, si jamais c'est le cas ne désespéré par pour lui, d'autres opportunités s'offriront à lui... »
Et est-ce que le patient s'en sortirait? C'est le genre de questions auxquels non, nous n'aurons pas de réponses car honnêtement... Personne ne veut vraiment savoir.