¤ Attaque au palais Impérial ¤

¤ Attaque au palais Impérial ¤

Post by Vent d'Hiver - February 12, 2007 at 12:19 AM

C'était la fin de l'après-midi, dans la salle du conseil des guildes se tenait quelques personnes. Une jeune femme Léonore Firal sous l'emprise d'un charme puissant l'ayant transformé en Aqual, un jeune gitan, Le nouveau Chancelier de l'Université Mundus Recaedre, la Baronne de Lioncourt L'Organisatrice des festivités, Ambraz envoyée du Cercle de Pierre, ainsi que l'Impératrice.
Une Impératrice fort mécontente remarquant l'absence des représentants de l'Ordre, de la Confrérie, des Mercenaires et des Commerçants.

La discussion battait son plein suite aux étranges évènements secouant l'empire. Cette troublante malédiction qui corrompt tout ce qu'elle atteind. Soudain une brume froide et impalpable envahit la salle. Dans le silence ouaté qu'elle amena, les personnes présentes avaient du mal à s'entre percevoir. Un grognement retenti dans le coin où se tenait le Garde Impérial. Dans un rugissement il saisit son hallebarde et se jeta sur la personne la plus proche de lui.

La jeune femme ne trouva la vie sauve que dans la fuite, tandis que le garde se retourna contre le gitan tentant de la protéger. En peu de temps il le mit à terre, retournant sa rage vers les autres personnage.
Faisant preuve d'un sang froid impressionnant le Chancelier usa de magie pour arrêter l'avancée du forcené. Dans un hurlement de rage, le garde se mit à touner frénétiquement avant de s'effondrer sans vie contre un mur.

Un souffle glacial emplit le lieu puis lentement une forme brumeuse ayant une vague forme humaine s'échappa de la dépouille. Après quelques instant elle disparut par les fentes des fenêtres.

Il était évident que la puissance de cette possession dépassait la force des barrières magiques mise en place par la Confrérie autour de palais. L'Impératrice ne se trouvait plus en sécurité en ces propres murs. La décision fut prise de clore la forteresse jusqu'à ce qu'un nouveau rituel de protection soit exécuté.
Le lieu de retraite de la jeune Cybelle reste pour le moment encore inconnu.


Post by Gannd Auréalis , OdS - February 12, 2007 at 1:39 AM

Les mages Pourpres avait prouver une fois de plus leurs incompétences et leurs manque de connaissances en la magie qu'ils ''gouverne''.


Post by Lenne Vespari, CP - February 12, 2007 at 5:39 AM

*Tout comme les paladins de l'Ordre du Soleil qui n'étaient pas aux côtés de l'Impératrice qu'ils doivent protéger..

Décidement, la diffamation sous forme de rumeurs plus ou moins rattachées à un être ou un autre allait de bon train dans tous les sens.*


Post by Argon Zombalèze, Banni - February 12, 2007 at 5:43 AM

Sylveria au fin fond de la cellule qui entendit la rumeur par des gardes ricana se disant que l'impératrice devrait changer sa garde vue au nombre d'incompétent qu'il y tien


Post by Gannd Auréalis , OdS - February 12, 2007 at 9:17 AM

L'on ne savait évidament pas d'où venait ces rumeurs mais elles était vivent dans la basse-ville...


Post by Vent d'Hiver - February 12, 2007 at 11:01 AM

Dans sa résidence tenu secrête, le mécontentement de l'Impératrice ne cessait de croître.
Les rapports fait par ses informateurs lui laissait comprendre la déchance des ordres censés protéger l'empire.
Qu'ils se méprisent, ne la dérangeait pas. Leur lutte pour le pouvoir lui convenait à merveille. Mais le laxisme et la négligence dont certaines des guildes faisaient preuve la rendait furieuse. Ils se chamaillaient comme chiens et chats mais quand était-il des actes ?


Post by Mundus, près de Thaar - February 12, 2007 at 1:05 PM

Mundus Recaedre et Lysanna de Lioncourt faisaient route vers le palais pour participer au Conseil des Guildes en tant que haut-fonctionnaires de l’Empire. Le vieux mage avait rudement hâte d’y participer, ne serait-ce que pour rire intérieurement des prises de becs que se livraient les différentes organisations de la cité. S’il pouvait se permettre de botter quelques culs au passage, ce serait une journée bien remplie. Les grandes herses s’ouvrirent et ils allèrent dans la salle de réunion où ils s’installèrent, discutant de pièces de théâtre, de bibliothèques et autres sujets ayant rapport avec leurs différentes fonctions.

Deux guildes seulement furent représentées, l’Union avec Léonore et le gamin – Eloedyn –, ainsi que le Cercle avec la petite Ambraz. L’Impératrice arriva et le conseil débuta, non sans un certain mécontentement du fait de l’absence des principales congrégations de la capitale. Le sujet se focalisa sur les troubles magiques, Léonore en ayant fait les frais d’une manière plutôt originale. Alors qu’il parlait, une étrange brume commençait à envahir la salle mais personne ne s’en rendait vraiment compte. Mundus commençait à dodeliner de la tête, quand l’air se fit plus glacial. Cybelle se blottissait dans son épaisse cape de velour. Un garde assurant la protection de Sa Majesté brandit alors ça hallebarde, et l’échauffourée commença…

Etant donné que Mundus se trouvait entre lui et l’Impératrice, le garde attaque tout d’abord Léonore, qui fut salement amochée mais réussit à fuir, poursuivie par le soldat fou. Le Chancelier Recaedre prit alors les choses en main : il avait passé une grande partie de sa vie dans la Légion Arcanique après tout, ce genre de choses, ça le connaissait. Il somma Cybelle de réintégrer ses quartiers, quand un nouveau bruit les alerta. Léonore déboula au-dessus de la salle du trône avec le garde à ses trousses. N’écoutant que son instinct, le vieux mage incanta une boule de feu, ce qui tint le garde à distance. Il essaya de raisonner cette boîte de conserve dont l’écume bouillonnait aux lèvres, mais rien n’y fit.

Les boules de feu fusèrent, les avertissements aussi. Dans un hurlement de rage, le garde se mit à tourner frénétiquement avant de s'effondrer sans vie contre un mur. Un spectre apparut, diffusant un peu plus de brume dans la salle. Ambraz et Léonore s’occupait d’Eloedyn qui avait fait les frais de la folie de la garde. L’Impératrice et Mundus s’occupait du spectre, le mage tentant de le questionner, puis de le bannir. Ce dernier ne fit que rire et disparu dans un épais nuage de fumée. Petit à petit, tout redevint normal au palais. La plupart des gardes avaient désertés. Une discussion entre les différents protagonistes se mit alors en place…

- Foutredieu ! Mais qu’est-ce que c’est que ce bordel ?! Les protections magiques du palais, mises en place par la Confrérie devraient empêcher ce genre de merde d’arriver ! C’est pas normal tout ce bazar.

- Vous savez ce qui a pu arriver, Mundus ? Quel type de magie c’était ?

- J’en ai aucune idée, Ambraz, ça utilisait plein d’énergies parasites. Mais derrière, ça avait un p’tit goût de nécromancie, et faut dire que j’ai déjà eu affaire à ça dans ma jeunesse. Vot’ Majesté, va falloir vous mettre à l’abris, l’endroit n’est pas sûr. Ya un truc qui me chiffonne, quand même : cette attaque au palais et l’absence des principales guildes de la ville au Conseil. C’est louche…

Suivit alors une autre discussion, tenue secrète, pour conduire l’Impératrice de Systéria en lieu sûre, dans un endroit où elle serait plus en sécurité qu’au palais. Ce dernier fut d’ailleurs fermé sur l’ordre de Sa Majesté, en attendant que les Pourpres réinstallent les protections du château et y trouvent les éventuelles défaillances. On vit alors quelques silhouettes sortirent en douce du palais et passer par les petites artères de la ville. Certains disent qu’ils se rendaient au quartier pourpre, d’autres dans la Basse-Ville ou au Temple de Thaar. Nul ne savait exactement où pouvait bien être Cybelle, hormis ceux qui avaient participé à la réunion… Et on n’était pas prêt de leur tirer les vers du nez, foutredieu !


Post by Feu Hanzo, AdM - February 13, 2007 at 7:08 PM

Hanzo de son bureau pestait...

Bande d'incapables ! il y a un ordre, il y a une confrérie pourpre et ils sont incapable de protéger leur impératrice.

Si seulement les mercenaires étaient pris en compte !


Post by Gannd Auréalis , OdS - February 13, 2007 at 10:29 PM

L'on n'avait pas de nouvelle du Haut-Paladin depuis une semaine déja. Tous ignorait s'il avait eux vent de cette attaque au palais ni se qu'il en pensait.