Dans les quartiers de L'Ordre Saint...
Post by Gannd Auréalis , OdS - March 18, 2007 at 4:35 AM
Le Haut-Paladin recu le résumer de la réunion des guildes a son ''armurerie'' , il lui fut remis par un jeune Acolyte. Il lue et en haussant un sourcil , visiblement irrité , chiffona le papier et le jetta dans sa corbeille. Il mis ces plus beau habit , enroula son foulard broder de lin , mis sa Cape Dorer et alla d'un pas rapide jusqu'aux Saint Temple afin d'y faire une courte prière.Il discuta longuement avec une jeune Vestale qui était présente au Saint Temple.La seul chose que l'on savait c'est que le Haut-Paladin semblait outré de constater que la ''Couronne'' désirai le voir punis , lui qui avait tant fait pour les Acolytes ces derniers temps. Visiblement la Couronne n'avait pas eu vent de tout se qui fut fait par L'Ordre Saint ces derniers mois. Il discuta un moment avec a cette jeune Vestale :
-Il semblerai , jeune Vestale , que le Chancelier Recaedre cherche prenne des oranges pour des pommes , S'il désir me ''chatier'' il na qua venir me trouver car devant vous ma jeune enfant je vous dit ces paroles qui vous sembleron dur a vos tendre oreilles.
-Je suis le bras de Thaar et lui obéirai jusqua ma tombe , pour se qui es de la ''Couronne'' , preuves dois être faite pour me chatier , chose qu'ils n'ont pas.
-L'Ordre Saint et ces Paladins font bien d'avantages qu'obéir a Thaar , ils lui rendre hommage en fesant de Systéria une cité ou la Loi es maître.
Après une longue discution il dit simplement ceci;
-Thaar es mon seul et véritable maître , a lui seul j'obéirai et jamais je ne servirai ceux qui désir mettre son Ordre Saint en péril pour des futilitées aussi ridicule.
Il repartie d'un pas lent , marchant dans les quartiers de L'Ordre.
Visiblement le Haut-Paladin ne s'inquiètait pas de sa sécurité se croyant bien au dela de toute cette histoire...
Post by Mundus, près de Thaar - March 18, 2007 at 12:36 PM
Un jeune gamin courait vers le bureau du Chancelier des Universités pour lui rapporter certaines rumeurs sur l’Ordre. Mundus avait payé quelques mômes sans le sous, leurs oreilles pouvaient toujours être utiles. Et puis, quand on fait son boulot, c’est primordial de se tenir au courant. Au moment où le petit passa la porte, un carreau d’arbalète lui siffla à l’oreille. Secoué par l’émotion d’avoir vu sa vie si proche de la fin, il manqua de tourner de l’œil.
- Ah bah t’es pas malin, gamin ! Je t’avais pourtant dit de frapper, ça peut arriver que j’m’entraîne quand je suis peinard. Faut que tu fasses plus attention, foutredieux !
Le Chancelier, ancien habitant de la campagne et amateur de chasse, avait en effet installé une cible sur la porte de son bureau. Tant la cible que la porte étaient abîmées, Mundus les ayant rudement malmenées. L’homme retira le carreau qu’il était en train d’installer sur le mécanisme complexe de l’arme et retourna à son bureau. D’un revers de manche, il fit un peu de place au milieu pour pouvoir fixer son interlocuteur dans les yeux. Autant le dire tout de suite : le Chancelier n’était pas un as du rangement.
Le gamin lui raconta quelques bribes de conversations qu’il avait perçu. Mais la beauté de la vestale l’avait distrait de temps à autres et avait passé un bon coup de balais dans sa mémoire. Mundus tripota ses dossiers pendant les deux premières minutes : si le môme continuait, ça signifiait que la conversation méritait qu’on lui accorde de l’importance. Ce fut le cas. Redressant la tête, il fronça ses sourcils broussailleux tout en dévisageant son jeune rapporteur de son regard brun et autoritaire. A la fin du discours, le Chancelier lui tendit une petite bourse pour lui payer son service et partit faire un tour parmi les rayonnages de la bibliothèque. Après une minute de promenade, il éclata d’un rire sonore et sincère.
- Ah ! ah ! ah ! Décidément on en loupe pas une dans c’te ville. A force de péter plus haut que leurs culs, ils vont finir par se propulser sur la lune, foutredieux ! Tsss, les prêtres. On m’en dira tant…