Au détour de la foret.

Au détour de la foret.

Post by Feu Hanzo, AdM - April 25, 2007 at 1:28 PM

Hanzo avait pris monture dans la cour de la caserne, il pris les rennes que le palefrennier lui tendait et tapota le cou du cheval. Alfred le regarda faire et se permit un petit commentaire que seul lui avait l'audace de proférer.

Sans tenir compte de la remarque, il se diriga au petit galop dans la direction du port saluant au passage les mercenaires. Arrivé aux quais, il descendit de son cheval et vérifia l'avancée des travaux de réparation de son bateau.

" Alors ca avance les travaux ? "Le Dremas" devrait être capable de prendre la mer d'ici quelques lunes."
" Oui capitaine, plus que deux ou trois jours et il sera comme neuf. Je ne pensais pas que nous aurions tant de travail a faire sur un si petit navire. les artisans de l'archipel ont très bien travaillé, ce sont des pièces faites ici qui ont laché."
" Bien, si jamais un menuisier portant une cape des mercenaires vient vous donner un petit coup de main, écoutez le c'est un artisan de renom que j'ai fait engager dans l'armée pour combler le manque de service de l'association. Sinon continuez de travailler. Je passerais vérifier la qualité des finitions dès demain."

Le marin, repris ses outils de charpentier alors que le consul déja remonté a cheval se dirigait vers les mercenaires qui gardaient le pont près de l'auberge de l'indépendance. La encore, il se fixa dans un salut et demanda des nouvelles a ses hommes.

*" Alors plus de soucis aves les barbares qui ont tués vos camarades de combat ? *
" Non consul ! "
*" Continuez d'ouvrir l'oeil et le bon ! vous êtes mes meilleurs éléments vous et votre 22ème Division." *
" Merci consul ! "

Reprenant la route de la foret, il ne s'arreta qu'au détour du chemin ou une forme sombre attira son attention. D'un geste leste, il descendit de selle, serrant les renes de son cheval dans son poing et s'approcha de celle ci. Trop petit pour être un humain, trop grand pour être un nain, la forme allongée ne bougait pas, une touffe de cheveux ou de poils noirs flottaient au vent et c'était le seul mouvement que l'on pouvait voir. Lachant son cheval, il posa la main sur le pommeau de sombrefil, sa longue épée, et s'approcha de la forme. Ce qui était sur le bord de la route était un demi corps, d'une chose qui était humaine ou elfe impossible à déterminer pour l'instant. Le consul s'approcha et posa le gant sur une tache de sang, il était poisseux.. pas fluide mais collant aux gants, il le frotta sur son pantalon et regarda les traces sur le corps, il était la depuis quelques heures tout au plus.

Il n'avait pas la connaissance de cassandre d'Estré pour les morts et pour faire parler les corps mais il était sûr d'une chose, c'était une bête qui l'avait tué, il avait rodé plusieurs années sur les champs de bataille de l'archipel et se souvenait de la trace des morsures que les loups attirés par l'odeur du sang laissaient dans les corps de ses compagnons morts au combat et que le proximité des enemis empechaient d'approcher. Souvent il était alors convenu d'une trêve et chacun allait rechercher ses morts non sans avoir criblés les animaux nuisibles de flèches puis le combat reprenait comme si il ne fut jamais arreté.

En quête d'informations, Il se diriga vers les maisons a portée de vue, mais elles semblaient toutes verouillées et personne a l'intérieur ne répondait. L'une d'entre elle était meublée avec faste et semblait déserte manifestement une maison de campagne d'une personne de la haute ville. L'autre était vide, comme déserte, les vitres salies par les toiles d'araignées et le parquet constellé de poussière puis comme il n'avait pu assouvir sa curiosité, il reprit le chemin de l'auberge et s'arreta de nouveau devant les mercenaires.

" Soldats, n'auriez vous pas vu une bête roder dans les environs ?"
" Sauf votre respect consul ! c'est chose courante ici en lisière du bois."
" Un animal dont la machoire permettrais de couper une personne en deux ? "

Le mercenaire eu un temps d'arret et regarda son frère d'armes avant de secouer la tête de manière énergique.

" Non consul ! pas de choses pareilles."
" Bien, restez sur vos gardes soldats. "

Rentrant a la caserne, il ne put s'empecher de remarquer le sourire de alfred lorsqu'il le vit le consul rentrer a cheval.


Post by Feu Hanzo, AdM - April 29, 2007 at 8:02 PM

Après voir ratissé plusieurs fois la foret, la consul se mis a la recherche de personnes qui auraient vu cette bête. Il trouva dans les fermes une petite vieille qui gardait ses moutons, lorsqu'il s'approcha elle s'écria :

D'un geste vif, Hanzo fit venir un mercenaire a ses cotés et celui ci avait un don certain pour le dessin, il lui fit faire un tracé de l'animal sur base des dires de la vieille.

Le consul ne put s'empêcher de frissonner a la vue du croquis du mercenaire, il n'avait jamais vu bête pareille. Il rangea le croquis après l'avoir montré a la vieille et s'empressa d'en écrire une note a l'intendant.


Post by Feu Hanzo, AdM - May 3, 2007 at 2:33 PM

Nul trace de témoignages en la cité d'un animal tel que celui la, les seuls témoignages venaient de fermiers qui avaient vu leur troupeau decroitre de manière considérable, l'on comptais tous les jours des personnes manquantes a l'appel et des troupeaux décimés par dizaines. Personne n'avais réchappé a la bête sauf lorsqu'un jour un mercenaire arriva en courant.

*"Consul ! la bête ! On a une personne qui l'a vue.. elle l'a attaquée mais elle s'en est sortie.." *

Le consul se retourna laissant tomber son encrier dont l'encre s'étala sur le document qu'il était en train de modifier. D'un geste, il pris sa toge et emboita le pas au mercenaire qui se dirigait vers les écuries, Albert vit les deux hommes arrivés et avant qu'il ne put dire quoi que ce soit sur le bien être des chevaux, le consul avait déja enfoncé a plusieurs reprises ses talons dans les cotés de l'animal pour lui faire augmenter sa vitesse de course.

Ils prirent la direction de la basse ville, le soldat fit une halte peu après la sortie de la ville, a coté d'un champ de mais et d'un grange brulée qui rapellait des souvenirs au consul.

"C'est ici qu'ils vivent consul, les parents, les trois enfants dont la petite qui a été attaquée."
*"Bien entrons.." *

Ils s'avancerent dans une ferme a moitié en ruine dont les traces poussières se mélangaient a l'odeur des animaux mal entretenus, lorsque l'éblouissement du soleil fut passé, qu'il fut entré dans la pièce et habitué a l'obsurité, il remarqua les gens réunis autour d'un lit. Tout le monde était autour d'une petite fille et semblaient vouloir la protéger d'un inquisiteur, la mère en larmes leva des yeux implorants vers le consul.

" Ma petite Isabelle a étée attaquée un peu plus bas dans la foret... vous savez monsieur, nous sommes obligé de les envoyer faire paitre les moutons car sinon nous ne pourrions pas manger."
" Je comprends madame, je ne vous juge pas, je viens ici pour récolter des renseignements afin traquer la bête et de nous en défaire. "

La mère se mit encore à sanglotter et une forme qui sentait mauvais dans le lit bouga, une odeur écoeurante, un mélange aige de sueur et de sang envahi un peu plus encore la pièce, le visage d'une petite fille d'environ 9 ans, bouffi par la douleur et d'un teint de cire emergea des oreilles et elle serra les doigts sur les bords du couvre lit. une faible voix fluette se fit entendre :

" Maman ? c'est qui ?"
*" Un monsieur qui vient te voir pour que tu lui racontes ce qui t'es arrivé ma fille." *
*" Le méchant animal qui m'a attaqué ? " *
*" oui ma puce..." *
" Je me souviens pas de tout maman.."
" Ce n'est pas grave ma puce..."

Le consul tira une chaise a lui et s'approcha du lit. A la lumière de la bougie, le visage de la petite semblait de cire, un teint jaunatre qui aurait été beaucoup plus a sa place sur le visage d'une personne de quatre-vingt ans en fin de vie.

*" Dis moi petite.. racontes moi ce qui t'es arrivé. Je suis Hanzo, c'est moi qui m'occupe de chasser le méchant animal qui t'a attaqué." *

La petite tourna la tête vers mère qui s'empressa de hocher la tête comme pour l'encourager a raconter ce qu'elle savait. De nouveau la voix fluette se mit a envahir l'espace pour se porter aux oreilles du consul.

*" J'étais en train de faire paitre les moutons et le soir commencait a tomber... Alors, j'ai guidé tous mes moutons sur le chemin et lorsque je me suis mis a les compter, il y en avait deux qui manquaient. je ne pouvais pas les laisser la, un mouton vaut pas moins de 20 pièces alors.. deux.." *
"Donc tu es partie a leur recherche. " termina le consul.

*"oui monsieur, j'ai pris Dodo mon chien préféré et je suis repartie a la lisière du bois... et c'est la que je l'ai vu... J'étais en train d'avancer dans les bois quand j'ai entendu Dodo qui jappait puis il a crié et puis plus rien... La nuit était tombée et j'ai entendu des feuilles bouger près de moi.. Puis de yeux.. deux yeux verts.. grands comme un couvercle de tonneau qui me regardaient.. Je me suis mis a courrir et je suis tombé c'est la que je me souvient plus... j'ai sentit quelque chose m'attraper et me retenir mais .. je me suis évanouie." *

Le père de la petite hocha la tête et repris la suite du récit d'une voix bourrue et rocailleuse.

*" Quand j'ai vu qu'la ptite rentrait pô. M'suis mis en route, et j'a r'trouvé les moutons seuls avec un chien seulement. Alors j'ai pris ma torche et ma fourche et j'ai avancé jusqu'au bois ! la j'ai entendu ma ptite qui criait ! j'suis arrivé en hurlant et en agitant m'torche mais j'suis arrivé trop tard. moi j'ai j'uste vu qu'chose qui partait en courant mais a toute vitesse. J'suis sur que s'tai un démon ! " *

La petite regardait son père avec une petite sourire qui fendait le coeur, elle savait que son père n'était pas la cause de ce qui était arrivé. Le consul repris la parole :

*" Donc l'animal était très grand, des yeux verts et il avait un pelage ?" *
*" Oui monsieur, un pelage noir comme la nuit... J'ai sentit que l'on m'attrapait aux jambes et que l'on me secouait avant de me lacher, j'ai heurté un tronc et je me souviens plus. Tout ce que je sais c'est que ca m'a fait très mal et que j'ai encore mal maintenant." *

Se tournant vers le guérisseur qui était toujours a son chevet la petite émit une petite plainte de douleur. Le consul se leva, ébourrifa les cheveux gras de la petite et se diriga vers la porte. Puis se retourna et adressa la parole au guérisseur, lui enjoignant de le rejoindre ce que l'homme fit très rapidement.

*" Dites moi.. qu'a cette petite comme blessures? " *

*" Des traces de griffes très profondes, la griffe devait être de la taille d'un index humain environ. La bête devait être puissante, elle l'a saisit dans sa gueule, lui a broyés les jambes a un point tel que nous avons du lui couper. Elle souffre aussi de quelques cotés brisées et je craint qu'un poumon ne soit percé car elle crache de temps en temps du sang, elle aurait semble t'il étée projetée sur un arbre. Puisse thaar être bon et l'amener au plus vite a ses cotés." *

Remerciant le guérisseur, il lui fit don de sa bourse afin qu'il puisse la remettre a la famille et remonta a cheval en même temps que le mercenaire qui l'avait accompagné.

" C'est une saloperie de bestiole hein consul? "
" Je ne vous le fait pas dire soldat, il est grand tant que nous lancions une traque."
" Ouais consul.."
" Soldat, vous me ferez trois tours de la caserne avec votre bardas sur le dos pour écart de language face a un supérieur."

Ils se remirent en route vers la caserne, l'esprit encore auprès de la petite Isabelle qui rejoint thaar la nuit même.


Post by Feu Hanzo, AdM - May 14, 2007 at 1:11 PM

Des dizaines de loups gisaient sur le sol, accroupis auprès d'un animal de forte taille, les mains dans son ventre, Le consul et Heylaine fouillait celui ci a la recherche de membres humains mais rien... rien ne semblait correspondre à cela... Ils laissèrent les corps sur place et se remirent en route, la recrue Hajime avait été blessée a la jambe et ne semblait pas très bien en point. Une sueur glacée semblait perler de son front comme l'humidité perlait sur les murs des geoles de la caserne.

Ce n'était pas ces loups qui avaient causés ce carnage, les témoins parlaient d'un animal seul, pas d'une meute. La chasse devrait se continuer quitte a se débarasser de tous les loups du pays.


Post by Mundus, près de Thaar - May 14, 2007 at 1:38 PM

Mundus venait de quitter Eloedyn et rejoignait la sortie de la ville basse pour la partie de chasse à laquelle Hanzo l’avait convié. Arrivé à l’extérieur de la ville, le mage remarqua une silhouette cachée dans les fourrées. Se penchant, il attrape un caillou de bonne taille, qu’il fit rebondir dans la paume de sa main et qu’il envoya en plein dans les buissons. Ce fut un consul de l’armée avait une bosse sur le crâne qui sortit de sa cachette, emmitouflé dans son épaisse toge verte. Au milieu de la route, Mundus mit ses mains sur ses hanches et fixa l’homme meurtrit en face de lui.

- Ah, c’est vous Hanzo, bah c’est malin de se planquer ici !

- A votre avis, qui est-ce qui se cache avec une toge verte de mercenaire, Mundus ?

- N’importe qui peut avoir une toge verte. Et puis de toute façon dans les fourrées je distinguais mal vos habits. On est prêt de la ville basse alors je me méfie.

La discussion continua pendant plusieurs minutes. Petit à petit, de nouvelles têtes arrivèrent pour participer à la chasse : le soldat Iburi Hajime, Séphyr de Sorgrad, Heilayne et enfin Umrae Shal’haen, qui passait là par hasard. Après s’être préparé, le groupe fit marche vers les fermes, notamment vers l’endroit où une petite fille avait été découverte, morte et horriblement déchiquetée par la bête. Heilayne remarqua des traces de pattes qui s’enfonçaient dans des cultures de maïs. Tous y entrèrent et battirent les plantes, pour tenter d’apercevoir la bête ou de l’obliger à se retrancher. Mais apparemment elle n’y était plus.

Finalement, ils décidèrent d’approcher de la lisière de la forêt. Hanzo voulut faire un appât du soldat Hajime, qui refusa. Mundus alla avec Umrae dans une ferme du coin pour acheter un poulet. Une fois la bête acquise, il sortit une petite dague et égorgea le volatil affolé afin que l’odeur du sang fasse venir l’étrange créature qui rôdait. Malheureusement, cela ne fit que venir une meute de loups affamés, dirigé par un puissant mâle alpha, plus gros que les autres. Les flèches et carreaux d’arbalètes fusèrent, ainsi que les sortilèges offensifs. Mundus les cribla de projectiles enflammés, tandis qu’Umrae invoquait les éléments pour réduire leur nombre.

Le groupe fut victorieux, mais ça ne se fit pas sans blessure. Iburi perdit beaucoup de sang, touché à la jambe par une des mâchoires des loups. Séphyr lui banda sa plaie, la compressant pour enrayer l’hémorragie et Mundus lança quelques sortilèges pour calmer la douleur et accélérer la cicatrisation. La baronne Shal’haen ouvrit un portail qui ramena les deux hommes en centre-ville. Le mage conduisit le soldat estropié chez le soigneur qu’il paya pour prendre soin de lui…


Post by Mr Trovénère - July 23, 2007 at 6:32 PM

La maisonnée était calme et le bois s'enflammait à grand peine dans la cheminée colossale de la ferme, assis autour du maître de maison, toute la petite famille se réunissait autour de lui, se serrant les un contre les autres.

Dehors, depuis 4 jours et 4 nuits, l'on entendait des griffes sur le perron qui entourait la maison, Cela avait tout d'abord commencé par des hurlements dans la nuit, ensuite les cris s'étaient rapprochés et l'on avait pu voir de l'étage des yeux aux reflets bleu dans les fourrés entourant la maison. Cette nuit, l'on avait vu le souffle chaud d'un animal sous la porte qui avait créé un nuage de vapeur, comme si il s'agissait d'un signal, un groupe de l'oups se mirent à hurler a la lune de concert.

Tout se calma ensuite comme si un cataclysme se passait, plus aucun bruit, même les animaux de la nuit se firent muets, le vent même s'arreta et seul le craquement du bois se fit entendre. Comme des pas bien lourds qui semblaient vouloir faire exploser les noeuds du bois sur lequels il marchait. Intrigué par le bruit et muni d'une courte dague, Le père quitta le fauteuil, fit signe aux enfants et à son épouse de reculer vers le fond de la pièce et s'avanca dans la maison en direction de la porte quand soudain celle ci explosa en fragments sous l'impact d'une masse qui semblait énorme. Lla dernière chose que la famille vit fut un animal au poil noir d'une taille énorme qui se fondit sur celle du père.

Ce fut la vieille Martha, le lendemain matin, qui venait apporter des pommes à la famille tomba sur une maison en ruine dont l'intérieur était tapissé de fragments de chair, sous le choc la vieille dame tomba inconsciente. Dès son réveil, elle courut informer les mercenaires de sa triste découverte.


Post by Gannd Auréalis , OdS - July 23, 2007 at 7:17 PM

Le Haut Paladin Majere fut bien entendu mis au courant de ce massacre. Il arnacha son destrier et se prépara avec attention. Une heure plus tard , les gardes poster près de sa demeure le vit partir en direction des fermes. La Sainte Cape Dorer volant aux vents le fier Paladin était désormais en chasse pour délivrer la campagne de cette créature.


Post by Sakamae Nakaki, CP - August 3, 2007 at 8:37 PM

Après un long moment d'inaction vis à vis un drame de ce type, les rumeurs s'étendent, se déforment.

Et une jeune étudiante pourpre tomba sur un cadavre qui fit penser au même type de meurtres. Une enquête fut montée, à l'aide de l'ordre, cette fois ci.

Les morceaux de cadavres furent ramassés et envoyés à l'académie pourpre, où la jeune aurait sans doute sa première autopsie à livrer, tandisque l'ordre devait à son tour fournir des interrogatoire aux fermiers aux environs où le cadavre fut trouvé.


Post by Feu, Arthas Menethil - August 3, 2007 at 9:34 PM

Les paysans sortirent de leurs demeure, voyant au loin dans la nuit une flamme avançant a vive allure, rendu à leurs portes, le vengeur Menethil, dans son armure de pyrolithe s'adressa haut et fort à la populace paysanne de Systéria.

Chèrs citoyens paysans et fermiers, un évènement des plus troublant c'est produit parmis, l'un des vôtres à été attaquer sauvagement par une bête ! Vous n'êtes plus en sécuritée la nuit, prennez garde a bien verrouillé vos porte et tennez toujours en votre possession des armes ou autre objets en argent !

Et si vous croiser une bête vous paraissant étrange, éviter de vous faire mordre ! Cela vous causerais plus de tord qu'a nous ! Mais rassurez vous, l'ordre est présentement sur le coup, nous ne vous laisserons pas dans ce guaitapant par Thaar ! Vous pourez bientôt dormire en paix, l'âme rassurée.

Pour le moment, veuillez évitez de sortire la nuit de vos demeures ! Qui sait se qu'il peut y avoir dans les boisés.


Post by Anonymous - August 10, 2007 at 1:04 AM

Les crieurs publiques annonçaient la nouvelle.
Une autre aggression avait eu lieu dans les fermes, causant la mort d'une vache, d'un boeuf et d'un fermier...

Oyez! Oyez! On nous rapporte qu'il y a eu une autre aggression dans les fermes! Évitez de sortir seul le soir, présence de loups féroces et dangereux!


Post by Gannd Auréalis , OdS - August 10, 2007 at 3:03 AM

*Le Haut Paladin n'en avait maintenant asser. Il prit ses meilleurs armes et enfila son armure de Devas. Sitôt prêt il sortie de chez lui et fila droit aux écurie. Le palfrenier le voyant arriver en épouvante lui tendis les rennes de son fier destrier. Il monta en selle et partie au galop en direction des fermes. La chasse était ouverte et il se promis que cette fois-ci la bête tomberai , dû t'il la pourchasser jours et nuit. *


Post by Malice Mizzrym, Cp - August 10, 2007 at 3:07 AM

Les deux bêtes qui avait attaquer le fermier était désormais morte. L'une d'entre elles reposait dans le laboratoire d'autopsie de l'Académie, et la seconde quelque part sur les routes.

Seulement, en avait-il d'autre ?


Post by Sakamae Nakaki, CP - August 10, 2007 at 5:25 PM

Lycanthropie, fièvre jaune.

Une erreur de jugement? Non, sans doute pas. Une conclusion biaisée, peut-être. Il restait néanmoins que le dossier était important, lourd et que les décès s'additionnaient. Les dossiers, les thèses, les rédactions et l'amour. Assise dans la salle de repos, à la maison, Anna avait entendu Trévor rentrer, se diriger à la chambre et se coucher directement. Comme une voleuse, elle vint le voir sans faire de bruit, il dormait déjà. Étrange, peut-être, il devait avoir guerroyé une bonne partie de la journée, sans l'ombre d'une hésitation, elle vint placer la couverture jusqu'à son cou. Elle vint placer des bûches dans le four qui leur servait également de foyer, et secoua les braises pour que les flammes reprennent de plus bel. Voulant que son promis ait le repos qu'il semblait nécéssiter, elle sortit pour se rendre à la taverne du coin chaud.

Croisant les innombrables crieurs publics qui avaient étrangement poussés en si peu de temps, postés autour de sa demeure, elle eut cet agaçant sentiment d'être espionnée. Elle n'en fit néanmoins pas de cas, du moins, pour l'instant. Anna entra au Coin Chaud, n'ayant en tête que de rester une heure ou deux. Elle y croisa Saevan et Sariya Mizzrym qui lui semblaient bien silencieux. Invitée à s'y asseoir, s'en suivi des discutions animées remplies d'humour subtil et de sarcasmes bien mesurés. Vint enfin le sujet des loups voraces. Le sujet fut effleuré avec intérêt, où elle apprit que même Trévor fut mordu par les bêtes ainsi qu'une équipe complète qui était tombée sous les effets de la fièvre provoquée par les morsures des animaux.

Une équipe complète mordue, et ils étaient libres. Choquée par les révélations, Anna se décida de ne pas en dire le mot. Elle repartit, avec Trevor qui était venu la rejoindre, incapable de dormir. Ces gens auraient dû être sous observation, nuit et jour, jour et nuit. Qui sait quelle épidémie ils pouvaient porter, qu'est-ce qu'ils pourraient transmettre. Dans un sérieux de libraire, elle prit un échantillon du sang de son amoureux, dans le but de l'analyser elle-même. En s'occupant de lui aux petits oignons, elle entreprit de le surveiller pour s'assurer que son état de santé ne change pas...

Vraisembablement, l'enquête sur les attaques de loups n'était pas terminée.


Post by Ghoule - August 10, 2007 at 8:17 PM

La Ghoule flattait avec attention son propre Loup de l'ombre qui lui était lier magiquement. Depuis la venu de ce familier, il avait établit un contact particulier avec la race des loups.
- Grace à lui, je peux communiquer avec vous chère créatures... Vous avez surment un maître qui vous dictes vos actions. Qui vous a lancer a l'assaut des terres de Systéria? Dirigez moi vers lui, j'aimerais bien retrouver un allier dans ce monde... Ou l'autre...

La Ghoule observait avec attention le comportement de ces bêtes sanguinaire, elle les aimait... plus que tout.


Post by Sakamae Nakaki, CP - August 12, 2007 at 2:01 AM

Entre le sommeil profond et les excès de délire inévitables de Trevor, Anna avait parfois besoin de sortir, prendre l'air. Une fois des calmants administrés, et qu'elle lui fit manger et boire par on ne sait trop quel moyen.

Tourmentée par les nombreux dossiers qu'elle tentait de suivre auprès de la Confrérie, elle avait décidé d'aller observer un des loup, qui était resté près de la cité. Plongée profondément dans ses pensées, elle avait demandé au dit "David" de lui montrer où il était, une brève visite s'en suivit, mais elle décida de revenir plus tard, pour que ses observations ne soient en rien dérangées par une tierce personne.

Elle foula la route pour traverser le bon vieux pont de marbre qui séparait la cité des campagnes Systériennes, puis elle se dirigea à l'ombre des arbres. Ses talents de camouflage étaient évidemment de mise pour ne pas se faire repérer par la bête sauvage. Elle avait pris soin de se placer contre le vent, pour que le loup noir ne la sente pas. Dans une extrème discrétion, elle grimpa dans un arbre, plateau d'écriture à la main, avec une mine de charbon afin d'écrire ses observations. Couchée sur le ventre, contre la branche du vieil érable, Anna avait coincé le plateau d'écriture contre deux branches qui s'enjoignaient en "Y", mais elle n'entreprit pas d'écrire immédiatement. Pendant au moins une heure, elle épia le comportement de l'animal, qu'elle avait pris soin, au préalable, d'étudier dans les livres avant de venir faire ses observations. Ainsi, tout comportement étrange serait détectable pour elle, puisqu'elle avait fait l'étude de son sujet. Sa plus grande surprise fut la solitude de l'animal. Normalement, un loup est toujours en meute, et lorsqu'il est seul, ce n'est que pour un court moment.

Ses premières notes écrites furent entre autre la taille de l'animal, sa couleur, sa réaction face aux créatures qu'elle croisait. Elle regardait aussi la posture que l'animal prenait, s'il semblait souffrant, irrité ou encore malade d'une quelconque manière. S'il avait des "tics nerveux" ou encore des manies étranges. Elle voulait le connaître avant de le rencontrer pour une première fois, connaître ses réactions pour pouvoir les anticiper et ainsi trouver le mal dont il souffrait.

Épidémie...? Lycanthropie...? Démonologie...?


Post by Mr Trovénère - August 12, 2007 at 2:30 AM

il était en bordure de foret.. seul comme à l'acoutumée... Levant le nez au ciel, l'animal se mit à respirer bruyamment, nul doute a posséder il se sentait quelque chose... Il secoua la tête de droite a gauche avant de fixer un point au détour du bois puis se mit à l'abri dans les fourrés.

Quelques minutes plus tard, alors que le vent venait de se lever et soufflait maintenant vers le sud, une petite bergère d'une dizaine d'années émerga du chemin en chantonnant une contine bien connue des enfants de village.

« Promenons nous dans les bois.. tant que le loup n'y est pas.. car si il y étaaait.. Il nous mangerait ! »

A peine la chanson finie que l'animal fut sur elle. De son poids, il l'écrasa comme un chat immobilise une sourit et lui croqua la gorge en arrière. A plus de 100 pas, l'on avait pu entendre le bruit gras des cervicales de l'enfant en train de se rompre tellement l'animal semblait être vigoureux. Une fois encore, l'animal leva le nez au ciel et tourna la tête vers le chemin de l'auberge puis gloutonnement se mis a déguster son repas.

Les fesses, l'intérieur des cuisses et le ventre, des pièces de choix qu'il ne délaissa pas, fixant a plusieurs reprises un point élevé vers le pont de pierre son poil noir ,brillant au clair de la nuit tombante, agrémenté de reflets bleus. Puis, laissant le corps a demi dévoré, d'un bond sauta dans l'ombre de la foret.. peu à peu la foret repris ses bruits habituels et l'atmosphère fut moins lourde, la vie reprennait son cours... tous les autres animaux semblaient avoir frolé l'aile de la mort...


Post by Sakamae Nakaki, CP - August 12, 2007 at 2:55 AM

Le regard d'Anna s'était posé sur l'enfant trop tard. La vivacité de l'animal l'avait surprise et elle fut témoin de son repas glouton. Observant toute la scène avec un oeil d'analyste, aucun sentiments présent. Les gargouillis que l'enfant produisait même si elle était morte, par les nerfs vivement sectionnés, le pied gauche qui tapottait par la mort qui l'avait trop rapidement emportée.

Les yeux d'ambre de l'apprentie Pourpre restaient rivés sur le spectacle macabre sans arriver à s'en détourner. A la fois fascinée et horrifiée, elle était servie dans ses observations, pour certains autres ç'aurait sans doute été un peu trop, mais lorsqu'on a déjà vu beaucoup, un peu plus n'est rien de plus... qu'un peu plus.

A multiples moments, Anna voyait le loup relever la tête vers elle. Il l'avait détectée, elle le savait. Toujours immobile sur sa branche, son regard croisa celui de l'animal. Pour elle, le temps s'était figé. La scène, tout ce sang, celui qui dégoulinait de la gueule de l'animal. La goutte figée dans le temps, dans ce moment, entre la gueule et le sol. Puis tout se mit à tourner rapidement, un coup que les regards s'étaient connectés, il entreprit de terminer son copieux menu, prenant soin de laisser ses restes et repartit.

Anna attendit un moment. Encore émue du spectacle qu'elle venait de voir, encore sous le choc qu'un tel regard, celui d'un animal, ait pu lui sembler si intelligent. Lorsque les oiseaux se remirent à chanter, elle se décida à redescendre de son arbre, non pas sans avoir traqué chaque animal qui rôdait près d'elle, par leur son, par leur odeur ou par les traces laissées. D'un pas prudent, elle vint approcher du cadavre de l'enfant.

En enfilant ses gants de cuir, elle entrepris d'examiner les plaies laissées sur l'enfant. Sans avoir de haut le coeur, sans avoir le moindre indice de dégoût au visage. Elle souleva les membres, un à uns dans son observation, en prenant des notes, puis entrepris de rouler le reste du cadavre dans sa cape de la confrérie pour le ramener à un hôpital. En ramenant avec difficulté le cadavre vers la cité, elle se perdait dans ses réflexions, avisant les gardes qu'elle avait retrouvé un autre cadavre victime des loups.

Beaucoup de travail restait à faire, mais cette première rencontre lui avait paru... proche d'une invitation.


Post by Mr Trovénère - August 12, 2007 at 3:09 AM

Une fois encore la rumeur fut relancée, les pleurs d'une famille de village se firent entendre et les crieurs publics annoncèrent la nouvelle de toute leur puissance vocale.


Post by Argon Zombalèze, Banni - August 12, 2007 at 6:50 AM

Argon malgré qu'il était recherché, décida de faire le tour près des fermes, beaucoup de personnes avait déclarer le voir s'y promener.


Post by Argon Zombalèze, Banni - August 14, 2007 at 5:25 AM

L'ont racontait dernièrement avoir vue roder Argon souvent près des fermes, des forêts... Puis à un moment donner, plus rien..

L'ont le racontait disparue, même en fuite, ou simplement mort...

Puis un jour près des forêts de l,entrer principal de la cité de Systéria, un vent fort s'y leva.. L'ont entendit de nombreuse éclairs et un troupeau de loup y gémissant. Alerter par les bruit d'éclair dans un ciel bien dégager, le mercenaire et le membre de l'Ordre accoururent vers le membre de la Confrérie afin de se renseigner.

Celui-ci trouvant bien étrange le phénomène, en alerta quelques légionnaire qui sur leur garde avancant lentement parmis la forêt ou abritait une meute de loup dangeureux.

Près de la petite plein, il appercurent, 2 élémentaux de vent, ainsi que vortex d'énergie sur place, qu'il dissipa aussitot. Tout prèt des élémentaux qui furent dissiper, le corp de 5 loup affamés, grillait au sol.. Plus loin sur un arbre arrosé de teinture dans le bas, afin d'être remarquer. Une missive était accroché et disait ceci.

Connaissant le danger que procuraient ces loups contaminé, j'ai pris le soin, de faire ma part d'humanité et d'aider le peuple, les enfants et les passants.. Je tente donc de m'occuper de mon mieu de ces loups.. Mon chatiment seras le plus décisif sans doute se coup-ci, mais sachez que je suis toujours tout près pour aider le peuple.. Je n'en veux de plus aucunement à la vie de sa Majesté, mais les raisons qui me pousse à me cacher se coup-ci sont personnel en priorité.

Argon Zombalèze

La rumeur circulait parmis tous rapidement, plusieurs se demandait quelle était le réel but d'Argon, était-ce un piège? Beaucoup parlait d'un moyen de le contacté.. Rumeur ou Vérité ?


Post by Mr Trovénère - August 15, 2007 at 12:05 PM

Il courait a perdre haleine, Suant et salé comme une tranche de lard, la sueur l'aveuglait coulant dans ses yeux quand soudain il fut stoppé par une force immense et puis plus rien...

Tout avait commencé dans les fourrés ou il était parti chasser le lièvre, il était a l'affut derrière un arbre et bandait son arc pour décocher la fleche qui ferait de lui un héros dans sa petite maisonnée. Ses doigts tremblant sous l'effort de la traction décochèrent une fleche qui transperca l'animal de part en part.

Laissant éclater un cri de joie, il s'avanca sur le sentier pour récuperer son du, un lièvre d'au moins quatre livres qui allait régaler son palais lorsqu'il serait agrémenté de pruneaux. Mais voila, alors qu'il s'avancait a grand pas vers sa prise, quelque chose dans les fourrés bougea... Il pris rapidement une seconde Flèche et l'engagea dans son arc. Les fourrés s'écartèrent et il remarqua que les bruits de la foret s'étaient éteints.

Debout devant lui, un animal au poil bleu-gris le toisait attendant qu'il déchoche sa flèche. Celle ci fendit l'air et en moins de quelques secondes traversa la courte distance qui les séparaient l'un de l'autre.

L'animal réagit promptement et se déplaca juste assez pour l'éviter, l'archer jetta son arc a terre et contre toute attente se mit a courrir en direction de l'auberge de l'indépendance. Il n'était pas arrivé au détour du pont que tout était terminé.

Une fois encore, les crieurs de rue lancaient leur éternelle complainte disant de prendre garde, qu'un corps avait été retrouvé dans le sentier menant à la fôret, près de l'auberge. Les gens se mirent à craindre les sorties de la ville, certains parlaient même de fermer les portes de la ville. Les enfants quand a eux continuaient pour s'amuser a crier " Au loup ! au loup " afin de voir les ménagères et les soldats suer à grosses gouttes. On parlait même de renommer l'auberge de l'indépendance en " Auberge de la gueule du loup. "


Post by Ediurd Valadon Mort - August 15, 2007 at 6:53 PM

Comme à son habitude, Ediurd partait tôt le matin sur son cheval afin de récolter quelques plantes mais surtout pour voir la beauté du paysage pendant une douce matinée. Il avait entendu, la veille, les crieurs publics annoncés le décès d'une autre personne et s'était dit le matin même qu'il n'irait pas jusqu'au ferme comme à son habitude.

Rendu au pont de marbre, il partait pour faire demi-tour quand il vit une espèce de longue bosse noire bloquant la route au loin. Ediurd s'avança prudemment jusqu'à la bosse regardant autour de lui pour vérifier s'il n'y avait pas de danger. Redéposant son regard à ses pieds, il s'aperçut que la bosse était en faite un cadavre d'un jeune homme dague en main.

Voyant la tête à moitié coupé et le ventre mangé, Ediurd ne put s'empêcher de dégobiller tout se qu'il avait mangé le matin avant de partir. C'est alors qu'il entendit un bruit venant des fourrées à ses côtés. Il ne se fit pas prier pour faire partir son cheval au galop vers la ville.

Sentant très bien l'haleine pestilentiel de la bête, Ediurd savait qu'il allait se faire attraper mais n'avais guère le choix que de continuer a essayé de se rendre à la ville. Quand tout à coup son cheval tomba sur le côté. Ediurd, avec l'élan qu'il avait quand il tomba avec le cheval, se mit à rouler le plus vite qu'il pouvait sur le côté afin d'éviter de se faire prendre une morsure venant de la bête. Arrêtant de rouler, il s'aperçut qu'il était rendu dans les fourrées sur le côtés du chemin.

Il retourna son regard vers le cadavre de son cheval et aperçut un spectacle des plus horrible. La bête tirait sur les bouts de chair afin de mieux les arracher et de les manger. Il ne se souciait guère d'Ediurd comme s'il en avait assé de son cheval. Finissant son repas, il repartit vers les fermes comme si de rien n'étais.

Ediurd, quant à lui, prit son bâton et s'en alla le plus vite qu'il pouvait vers la ville. Il annonça au crieur public qu'il y avait eu un autre mort et repartit chez lui...


Post by Argon Zombalèze, Banni - August 16, 2007 at 3:23 AM

Une grande rage avait pris Baduck en moyenne-ville, lorsqu'il vit Dune Kazar se faire tuer devant la banque de la moyenne citée par un de ces loups. À cette suite, le garde impérial Trevor, fut arrivé trop tard lui aussi... L'ont raconta que l'homme partit en furis vers les forêts massacrant tout les loups qu'ils croisaient, du loups des bois au plus féroce contaminé qui se situais dans la forêt, seul la senteur d'animal brulé restait dans l'air..

Les témoins qui s'aventurais tout de même vers les forêts avait pus remarquer plusieurs corp d'animal calsiné, tous de races des loups.


Post by Gannd Auréalis , OdS - August 17, 2007 at 3:39 AM

Dans sa demeure Kalidor préparait depuis plusieurs jours son sac a dos. Il y mis vivres et gourde d'eau , sac de couchage ainsi qu'une panoplie d'autres effets divers. Arnachant son destrier le palfrenier vérifia une dernière fois l'équipement de Kalidor. Un sourire forcer se lue sur le visage du palfrenier , s'efforcant d'être optimiste sans doute car il ne savait pas quel danger attendait le Haut Paladin . Deux objets avait attirer l'attention du palfrenier dans ces vérifications , une lance et un long cimeterre d'argent. Kalidor donna quelques pièces au palfrenier et monta en selle. Ont le vie sortir de la cité par la porte sud , en main il tenait la lance d'argent et s'enfonca dans les boisés non loin...


Post by Asphaar Meliamne, AdM - August 17, 2007 at 4:36 AM

La nuit venu, quand le calme avait envahi la cité, Maal sortit du coin chaud, où il avait déjà asser trainer toute la soirée. Il était vêtu sombrement comme à son habitude et semblait prendre un malin plaisir à faire preuve de furtivité dans chacuns de ses mouvements.

Sans se faire voir réellement, il se dirrigea vers la sortie de la ville et se mit à courrir à toute vitesse vers la forêt aussitôt qu'il mit le pied en dehors. Il fouillait la forêt sans laisser ni trace ni bruit. Ni vu ni connu, mais bien présent, il traquait sa cible depuis quelques heures, d'ailleurs, il n'avait pas vu le temps qui passait déja. La lune avait déja commencé à redescendre. La fatigue venait s'en prendre à lui à quelques reprises, mais il se voulait persistant ce soir là. Persuadé qu'il finirait bien par trouver quelque chose, il s'enfoncait d'avantage dans les ténèbres de la forêt.

Ses yeux avaient largement eu le temps de faire avec toute cette luminosité affaiblit. Il était visiblement très à l'aise pour sa chasse, mais commençait à douter qu'il trouverait quoi que ce soit ce soir la. Pourtant, pour plusieurs, il ne suffisait que de marcher sur la grande route pour tomber face à face avec ces loups fércoces se disait-il. Si cela se trouve, ils auraient eu tôt fait de percevoir leur proie qui se permettait avec amusement de fouler leur territoire sans permission. Hélas non...toujours rien en vu sinon cet arôme puant qui se faisait de plus en plus lourd et difficile à supporter. Probablement un animal mort, une vieille carcasse pourrissante abandonné la par son assassin, victime de la cruelle loie de la foret. ''Mais oui une carcasse'' se dit-il à lui même. Il utilisa son flair peu développé pour trouvé la source de l'odeur, il était tout prêt, cela se sentait comme un vieux canal d'égout infesté de rat galeux.

Enfin, il tomba sur celle-ci. Comme il le pensait, cette chose indescriptible vu l'état où elle était, était belle et bien morte depuis plusieurs jours, voir même des semaines. Il ne s'y approcha pas d'avantage, soupçonnant toujours un piège. Remontant son foulard sur son visage, il se camouffla dans l'ombre et se mit à attendre quelque temps. Une créature rôdait près de lui, il avait sentit sa présence et l'on pouvait entendre le son lourd de son souffle affamé. Sans doute avait-elle renifler l'odeur d'une chair fraiche parmis celle pourrissante. Le guerrier était malgré tout rusé, il dégaina sa dague discrètement et se dit à lui même ''Si tu me cherches tu devras me trouver''. Sans l'ombre d'un doute, la créature mit tout ses doutes dans l'ombre et continuait à avancer vers l'odeur...


Post by Mr Trovénère - August 17, 2007 at 10:17 AM

*Déja plusieurs heures qu'il avait sentit cet... odeur d'humain dans la foret mais rien n'indiquait ce que l'on ressentait avec les autres humains, ce délicieuse odeur de sueur et de peur. Il rodait dans les environs, les petites branches éclatants sous ses pattes comme des petites brindilles sèches. Soufflant tout autour de lui, il tentait de savoir ou se cachait cet humain qui ne le craignais pas... Levant le nez, il renifla l'air. *


Post by Asphaar Meliamne, AdM - August 17, 2007 at 6:32 PM

Maal tenta en premier lieu de rester calme et de tenter de regarder autour de lui pour arriver à percevoir cette créature avant qu'elle ne le trouve, pour éviter une mauvaise surprise. Elle n'était plus bien loin, on pouvait très clairement l'entendre respirer et marcher. Tout ces sons laissaient même croire qu'un peu d'écume sortait de sa geule aux crocs bien définis. Tournant la tête lentement il plissa les yeux pour mieux voir les détails. Puis sous la lumière de la lune, il pu voir une silouhaite bouger entre eux buissons, à sa droite, à une quinzaines de pas de la. La silouhaite repassa dans l'ombre continua sa route.

Une goute de sueur coulait sur la tempe de Maal, il ne savais pas vraiment à quoi s'attendre cette fois-ci. Était-ce cette créature étrange ou simplement un autre de ces loups affamé? Gardant son calme, dague à la main il se positionna en position d'attaque en silence dans sa cachette...


Post by Mr Trovénère - August 17, 2007 at 6:50 PM

Soudain, il disparut de toute vue dans la noirceur de la nuit, l'obsurité semblait être son alliée en tous les sens du terme. Puis sans bruit aucun se rapprocha de l'humain sans peur, S'avancant a découvert, les cros découvert, le poil gris parsemé de rayures bleues, il le fixa pendant une dizaine de secondes de ses yeux blancs sans aucun iris.

Puis d'un bond sauta dans les fourrés. Un sentiment de malaise s'en alla en même temps que l'animal et d'un coup, les bruits nocturnes se remirent à animer la foret entourant le garde impérial. L'animal hurla une fois encore mais il semblait être à une lieu de la..


Post by Asphaar Meliamne, AdM - August 17, 2007 at 11:41 PM

Maal qui reprenait peu à peu ses esprits, rattrapé par les premières lueurs du jour, fixa un petit moment encore l'endroit où il avait vu la bête pour la dernière fois. Yeux plissés il tourna les talons et retourna vers la cité. Il n'avait certe pas ramené sa proie avec lui, mais il en savait un peu plus sur celle-ci. Un mystère qui s'éteint en engendre un autre, la suite des évènements ne se déciderait pas sur un coup de tête. Il savait qu'il n'avait pas affaire à une créature dépourvue d'intelligence.

Le mieux pour l'heure était d'aller prendre du repos chez lui en paix et réfléchir à tout ce qu'il avait été témoin cette nuit là dans la forêt. L'intrigue l'avait poussé à aller voir plus loin, mais sa vie d'Écuyer ne lui permettait pas de s'y attarder d'avantage il en était conscient. Mais en tant qu'aventurier curieux et téméraire, il avait très envis de retourner à la rencontre de cette bête. Un jour surment, probablement très bientôt...espèrait-il