"Le Coin Chaud"
Post by Meliandre - June 27, 2007 at 1:16 PM
Voilà quelques semaines que les travaux au coin chaud avait reprit bon train. De nombreux ouvriers et autres hommes de métiers ammenaient des poutre, planche, clou, peinture, sac de chaux et autres matières premières pour la reconstruction du lieu.
De nombreux bénévoles étaient venus donner un coup de main et dans l'optique de reconstruire au plus vite.
Et lorsque le soleil commençait à disparraître à l'horizon, la voix du Crieur public retantit :
"Oyé oyé! Christobald d'Orbrillant dans sa grande bonté à décidé de faire reconstruire votre Auberge préférée! LE COIN CHAUD EST DES A PRESENT RE-OUVERT!
Le Seigneur Marchand Lidenbrock est remercié pour l'apport des matières!
L'ouvrier en Chef Alain est remercié pour son efficacité!
Les Bénévoles sont eux aussi remercié pour leur persévérance et leur aide!
Allez! Et amusez-vous!"
Post by Mundus, près de Thaar - June 27, 2007 at 1:23 PM
L'Intendant eut vent de la nouvelle. Il avait fallu des mois et des mois pour la reconstruire et les résultats étaient enfin là. Les citoyens n'auraient plus à errer des heures et des heures afin de trouver un lieu aussi célèbre et fréquenté que le Coin Chaud.
Dès que son emploi du temps le lui permettrait, il irait redécouvrir cet excellent restaurant dans lequel il avait noué d'innombrables relations. Cela remontait à tellement loin, mais il s'en souvenait comme si c'était hier. Encore un point positif à rajouter pour le compte de l'Association...
Post by Maelthra Mizzrym, Emp - June 27, 2007 at 9:25 PM
Étant une des bénévole, Maelthra prit la peine d'y aller quelques fois déjà depuis son ouverture,
l'endroit semble chaleureux et paisible et plutôt plaisant à fréquenter.
Post by Cassandre D'Estré, Cp - June 27, 2007 at 9:51 PM
Alors qu'elle se rendait au palais, le cheminement de la jeune femme la conduisit devant le Coin-Chaud.
Sa surprise fut fort grande de le découvrir réouvert. Il faut dire que tout espoir semblait presque perdu après la longue période durant laquelle le local resta clos.
Par curiosité elle poussa la porte. La salle était enfumée, un brouhaha incessant s'élevait des tables encombrées où s'accoudaient une population baroque et gouailleuse. Pendant un instant le volume sonore s'atténua, le temps que tout un chacun puisse étudier l'arrivante. Puis au bout de quelques secondes les clients reprirent leur discussion sans accorder plus d'intérêt à celle qui, d'un pas nonchalant et gracieux, prenait la direction des salles réservées du fond.
Elle avait du temps avant son entrevue au palais et un agréable diner ne serait pas déplaisant.