Morts suspectes

Morts suspectes

Post by Lavandière de Nuit - November 25, 2007 at 1:55 AM

Le soleil était encore bas dans le ciel quand un cris déchira le rose du ciel. À peine levé, celui-ci fût la lumière qui éclaira l'horrible meurtre qui avait été commis durant la nuit. La femme près de la teinturerie venait de laisser tomber son bac de linge blanc au sol. Comme tout les mois, elle prenait les vêtements neuf de ses maitres et allait les porter a la teinturerie de très bonne heure. Si elle avait sût ce qu'elle découvrirait cette journée là, personne ne douta qu'elle se serait faite porter malade pour éviter cette scène d'horreur.

Tout près du lieu de destination, deux corps, visiblement un homme est un femme, gisait sur le sol, évicéré de tout leur long, tellement amochés que personne n'aurait réellement pu les reconnaîtrent. Leurs membres inférieur avaient été soigneusement disloqué de leurs orifices, puis grugé semblerait-il, par des loups affamés, jusqu'à la moelle. Ici et là, des bouts de chairs étaient éparpillés, le sang inondant les dalles grise et le mur blanc de la batisse dans une odeur écoeurante. Les yeux avaient été arrachés de leur orbite et aucune trace de ceux-ci n'étaient apercevable.

Bien sur, cela ne pris que peu de temps avant qu'on essaie d'empêcher les curieux de piétiner la scène du crime. Avant qu'on évite aux enfants fringant ce tableau immonde. La jeune bonne toujours près éait visiblement boulverser. Les teinturiers ne cessait de répéter des fables à propos de la lanvandière de nuit, la dame qui était annonciatrice de mort, une prophète en quelque sorte.

Mais tout portait à croire que c'était une bête qui avait agit sur ses deux jeunes gens, tellement jeune, 18 ans tout au plus. Les marque de griffes, ainsi que les morsure de grande canine était que trop visible. Quelques personne parcontre, osait, à voix base, prononçer ce que tout le monde pensait : des Tiefling?

Qui sait...? souhaitons seulement que ce genre de meurtre ne se reproduise pas de si tôt. Souhaitons que la garde redouble d'Ardeur dans les ruelle systérienne. Souhaitons que tous soit assez vigilent pour apercevoir la Lanvandière ou le monstre qui avait commis cet horrible meutre. Mais qui peu réellement savoir à quoi est dû se tableau horrible et sanglant?


Post by Gannd Auréalis , OdS - November 25, 2007 at 6:24 AM

Une fois de plus ''Le Chasseur'' reprit sa traque mais en regardant les corps et leurs blessures il su aussitôt que cette chasse serai très différente de ces précédante. Tieflings? Démons? Vampires? Qui pouvais le savoir...Il tenterai de trouver qui ou quoi était derrière ces meurtres , ayant comme seuls armes que sa persévérence et sa Foi innébranlable.


Post by Anonymous - November 25, 2007 at 10:10 AM

Quand félix passa examiner le cadavre, des personnes le pointère immédiatement du doigt, lui, le dresseur chevronnée d'avoir amené la créature qui avait fait se carnage.

Il se fichait bien de leur opinions accusatrices
, il était si facile de blâmer la félix pour tout les maux causés par la nature.

On le vit partir sur son destrier démoniaque et revenir a pied très amer


Post by Lavandière de Nuit - November 25, 2007 at 9:44 PM

Quoi qu'observer, disséquer, identifié, rien ne permettait de connaitre la cause exacte de ses morts. Les traces de morsures si animale, celle de griffe encore plus naturelle, mais surtout, la position des corps trop humain laisser presager le pire pour certain.

Effectivement, les corps affalés au sol avait les paupières fermer, les bras en croix et un crucifix était poser près d'eux. Serais-ce l'oeuvre de la bête qui avait un brin d'humanité en elle, ou encore celle d'un passant catholique qui aurait éviter de signaler les meurtres. Ou bien celle du meurtrier elle même, qui avait commander a ses bêtes ces assasinats? C'était vague, trop vague. Par contre, si on regardait bien, dans la main d'une des victimes, l'on pouvait voir une mêche de long cheveux noir, soyeux, brillant, on aurait pu penser à des faux tellement ils étaient beaux et vivant.

Qui pouvait bien être à l'origine de se meutre sanglant, ou quoi? Seul les plus téméraires le trouveront peut-être... avant qu'il frappe a nouveau.


Post by Gannd Auréalis , OdS - November 25, 2007 at 9:52 PM

Camoufler par le sombre rideau de la nuit il marchait a pas feutrer , détaillant chaques recoins , chaque personne passant près de lui. La nuit était chaude et cette chaleur lui fesait perdre sa concentration , il décida de sortir doucement et sans bruit sa gourde accrocher a sa ceinture. Déttachant son attention quelques seconde sur la ruelle sombre lui fesant face. C'est a se moment , lorsqu'il remonta la tête afin de boire une gorger d'eau qu'il appercu une ombre. Tout au fond de la ruelle , a peine visible quelque chose passa en courant sans faire le moindre bruit. Il ne put dire si cette vision était la conséquence de la chaleur ou simple mirage causer par sa fatigue. Il prit sa gorger , réaccrocha sa gourde et marcha lentement vers la ruelle....


Post by Lavandière de Nuit - November 27, 2007 at 10:33 PM

Quelque part dans le grand systéria, un homme âgé à qui lui manquait plusieurs dents, et dont une était visiblement en or, s'égosillait dans une taverne fort achalandé. Il aimait à faire sensation, il aimait raconté toute sorte de chose, bobards ou non, mais personne ne pouvait réellement déceller la part de vérité dans ses propos. Mais tous pouvait l'entendre se vanter ses visions.

-J'vous dit drette comme chui là! Je l'ai vu moé la meurtrière. Et ben oui, s't'un femme vous savez ben, y'a que les femmes pour être aussi cruelles et aussi insensible dans ce genre de meutre. À l'était au fond de la ruelle même ou les jeunes ont été retrouver. À l'était toute habillée de blanc, in blanc pure comme la robe de l'impératrice à son mariage v'savez? Et pis là, à lavait du linge, plein de linge blanc. Et pis drette comme je vous parle, quand elle essorait les linges blanc, et ben l'eau qui coulait ben, atait rouge... rouge comme le sang. Sur et certain, aussi vivant que j'aurais pu être mort, à lavait le sang de ses victimes. P'tête ben qu'à les avait déja tué qui qui dit? Mais à l'avait plus l'air d'in fantôme j'vous dit avec le blanc. Et pis qu'à lave les linges sales, s'tu assez étrange a vot' gout?
Et pis la vous m'savez fringuant hein? Et ben ne bon gars que j'suis j'y cris d'ou-ce que j'suis :
-Vous auriez pas b'soin d'aide ma p'tite dame?
Et pis là a lève la tête, et pis v'savez les yeux des chats quand qui fait noér? et ben s'tai pareille, pas d'différence!! J'vous dis, approchez vous pas d'elle si vous voyez quelqu'un lavez quelques chose dans l'noir, c'Est malsain pis sa va vous tuer, comme le couple!
Mais l'pis vous savez c'Est quoé? à chantais! Ouin a chantait toé! Pis à l'avait une maudite belle voix à part de d'sa! La voix d'un ange. L'ange d'la mort peut-être ben... qui sait? p'tête qu'y'était du pour mourir eux autres t'sé? En tout cas, sa a donner frette dans l'dos... j'vous souhaite jamais d'tomber su elle!

Et puis les autres gens dans la tavernes riaient de lui, tous plus saoul les un que les autres, tous plus agard, il riait comme s'il s'était agit d'une plaisanterie. J'Espère que vous vous n'êtes pas aussi facile à avoir... j'espère que vous, vous vous ferez pas prendre aussi facilement, dans ce qu'on pourrait appeler des contes pour enfants, parce que vous savez, chaque légende à une part de vérité.

La silouhette se fige, elle te regarde. Un moment, un court moment dans cette nuit sans lune tu peu apercevoir l'écat des yeux orangé. Le temps d'un respire, la silouhette gracieuse se sauve. La nuit, tout les chat son gris. Mais sans nulle doute, cette silouhette était cele d'une femme au corp svelte, à la silouhette gracieuse et au proportion filiforme. Mais ses yeux... ses yeux si, inuhmain? Était-ce bien une femme? Ses yeux était si envoutant, si attirant. Un regard et on crois s'y perdre, on s'y sauverait! Loup-garou? femme? tiefling? La lavandière elle même peut-être, que l'on apparente parfois a des nymphe aquatique et qui, présage la venue de la mort. Mais ce qui est certain, c'est que dans sa fuite, tu pouvais l'entendre fredonner, un long moment même après que sa silouhette ce soit évanouie, tu pouvait entendre ce chant comme un murmure, un murmure envoutant. Qui peut-elle bien être?


Post by Gannd Auréalis , OdS - November 28, 2007 at 4:07 AM

Kalidor l'avait vue , aussitôt qu'il la vie d'instinct son regard se porta à ces yeux , des yeux qui na rien a voir avec ceux d'une pucelle...Encore moin avec ceux d'un démon...Ils était humain et inhumain a la fois. Comme envoûter , Kalidor ne put détacher son regard du sien et avant d'avoir put bouger un bras elle partie dans la nuit. Secouant la tête il entra chez lui car il savait que se soir là la chasse avait prit fin. Demain peut-être il retenterai sa chance mais pas avant d'avoir trouver a qui il avait affaire...


Post by Lavandière de Nuit - December 3, 2007 at 6:00 PM

La lune n’était qu’un mince croissant à l’heure que se déroulent ses événements. La cité endormie est si silencieuse que l’on peut entendre les loups crier dans les montagnes au loin. Le paysage qui se dessine semble être extrait d’un rêve, une légère brume est vaporisez en abondance dans les rue de pierres ce qui rend le tout encore plus…étrange.

La silhouette aussi fine et silencieuse fût-elle, ne manqua néanmoins pas l’oreille attentive de l’homme. Mince, svelte et à la grande crinière, on aurait d’abord pu croire à une bête de la mythologie, ou bien à celle des dieux, qui sait ? Néanmoins, le premier coup d’œil pouvait laisser présager un être humain, une femme de tout évidence, à cause de ses rondeurs peu proéminente, mais présente tout de même. Elle s’arrêtât net en voyant l’homme, et il ne pût qu’en faire autant. La nuit tout les chats sont gris dit-on, mais pour lui, le dicton prenait une forme réelle, parce qu’il était réellement grisâtre de peau, et d’une stature imposante. Quelque pas en sa direction, les yeux orangés vif tâchant de le percer littéralement.

Elle se mouvait avec une grâce féline, ses grandes jambes fines en étaient pour beaucoup dans son allure. Sans doutes qu’en plein jour elle n’était qu’une femme banale parmi tant d’autre. Mais malgré tout elle se sentait attirer vers la silhouette de l’homme qui ne bougeait pas d’un poil à la sortit de la ruelle. Le fredonnement qui sortait d’elle aurait été d’ordinaire, presque inaudible, mais dans le silence inhabituel qui régnait - parce que oui, c’était bien irréel dans une grande cité toujours en mouvement - il était comme multiplier par 10 en terme de force. A quelque pas seulement, tout son corps se figea, observant comme une bête curieuse l’homme qui était planté devant elle. Le mince faisceau d’une fenêtre avoisinante laissait voir une partie d’elle, presque trop pour se demander si c’était réel, et si peu que l’on voulait en savoir plus. Dans cette nuit particulièrement glaciale, le corps de la femme était nu et dépourvu de tout artifice. Il se montrait dans toute sa splendeur humaine, sa splendeur féminine. Mais si on y prenait garde, un jet de lumière aussi minime soit-il, renvoyait l’éclat de quelques écailles sur tout le côté droit du corps. Des écailles d’un noirs ténébreux qui s’apparente que trop bien à la chevelure de la créature, du moins, si on peu l’appeler ainsi.

Une décade était passé depuis la découverte des premiers meurtres. Déjà, la lune avait fait un cycle complet dans le ciel, et à nouveau, cette nuit, la lune ne serait pas la pour éclairer faiblement les ruelles systérienne. Beaucoup de gens parlait de la Lavandière. Elle agissait en soir sans lune disait ton, les nuits ou tout était noir, on s'attendait au pire, et on gardait les enfants à l'intérieur.

Fredonnant au bout de sa ruelle, vêtue de vêtement d'un blanc si pure qu'il était presuqe surnaturelle, la femme fredonnait. Doucement, lentement, sa voix était douce et chaleureuse, elle était magnifique et l'on pouvait deviner sa grâce malgré l'ombre sur son visage. Un étranger passe, elle le remarqe, fixe ses yeux sur lui. Toute suite, il s'y perd, il semble tout engloutit par ses yeux si... inhabituelle.

Vient, vient...approche. Vient m'aider bel homme et tu en seras récompenser. Laisse tes sens te guider, laisse tes pas te mener à moi.

Étrange vision, durant une seconde, cette seconde, le monde semble s'être arrêter. Tous semble retenir son souffle tandis qu'un silence de mort se fait entendre. Ironique vous ne trouvez pas?

La fenêtre reste ouverte quelques seconde, à peine un instant pour tenter de tout voir, mais ou, malheureusement, c'est impossible.

Un cris perce le ciel, un autre cadavre est retrouver. Un adolescent, un enfant, a peine 18 ans et il a été charmé ... executé par la Lavandière. Quel vice d'aimer la beauté et la bonne chair. Quel vice de vouloir aimer et se faire aimer. Les paupière sans globe occulaire fermer, les bras en croix, le corp semble avoir été gruger encore une fois jusqu'a la moelle. Les abats disparue, sans doute dévorrer, et le coeur... ce jeune coeur idiot et insouciant, poser près du corp, comme si cela signifiait quelque chose, mais également dans une vision atroce et sanglante.

Agit-elle toujours les soirs sans lunes, qui est-elle?


Post by Les rumeurs - December 3, 2007 at 11:22 PM

Le Jeune pécheur s'arreta, fixant l'animal / Femme de ses yeux ronds puis laissa tomber sa canne. Il savait pourtant qu'il ne faisait pas bon de rester dehors, tout ces coupes jarrets, tous ces .. soucis. Mais il ne pensait pas a tomber sur un os tel que celui la. Sa peur était bien présente mais son jeune age l'obligait a regarder les formes de la choses, formes féminines. Une grâce, une beauté, si la peur ne lui serrait pas les tripes il aurait tendu la main pour carresser les écailles noires luisantes à la lumière de la lune.

Soudain, une chaleur l'envahit et le troubla.. La peur avait bien repris possession de son corps et une tache à hauteur du bas ventre s'étendait sur le tissu de son pantalon. Laissant tout ce qu'il avait sur place, il ne put que prendre la fuite dans les ruelles du quartier, préférant la dague froide d'un inconnu plutot que la bouche de cette créature. Ce ne fut que quelques heures qu'il fut capable de prononcer un mot, il retira ses gants et regarda ses mains... Tremblantes...


Post by Gannd Auréalis , OdS - December 4, 2007 at 1:55 AM

Kalidor arriva trop tard se soir la ayant été retenu par l'entrainement d'un jeune guerrier de la Haute ville. Mal lui en prit lorsqu'il apprit a son grand désarois la mort d'un jeune homme en Basse. Sitôt mis au courant du meurtre il se diriga vers les Bas quartiers. Arriver au cadavre il ne put que constater l'horrible mutilation du corps. Prenant soin de vien regarder les moindre détails du corps , de la scène et des alentour il se mis en marche vers les ruelles les plus sombres. La main poser sur le pommeau de son épée , capuchon remonter et marchan a pas feutrer il était attentif au moindre bruits suspect...

-Ou te cache tu ....Et qui es tu....

Il avait dit ces mots tout bas semblant se parler a lui même . Cette chasse ne ressemblait a aucune autre a laquel il avait participer car habituellement ces ennemis laissait des pistes ou un indice mais pas dans se cas. Il semblait pourtant être tenace car les nuits suivante il était poster en sentinelle dans une ruelles , jamais la même a chaque soir de peur de se faire surprendre par La Lavandière...


Post by Lavandière de Nuit - December 4, 2007 at 2:52 AM

Quoi qu'obscure, on pouvait tout de même apercevoir, quand on y prenait bien garde, la silouhette sauter de toit en toit, se déplacer avec une vitesse et une agilité tel qu'on l'aurait associer à la race des félins, mais s'en était tout autre. Un soir pluvieux, elle prit le temps de s'arrêter, dans un silence quasi-parfait, derrière la haute silouhette du guerrier.

-Pourquoi me cherche tu homme de loi? Ne suis-je pas qu'une autre bête de plus dans le monde des hommes?

*Son regard était vif et jaune sous le mince croissant de lune, son corp nue laissait réflétait ses écailles. Ses traits semblait parfait dans sa grace, des muscles galber, de longue effilé, de petit seins sans prétention, et un visage plonger dans le pénombre de ses long cheveux noirs. Elle était imposante, elle avait visiblement du caractère, mais dans toute sa beauté, on ne pouvait réellement dire que cette femme était belle. Du moin pas comme l'entend la plupart des gens. Mais elle trouvait le moyen de l'être dans sa manière de se mouvoir, dans sa manière de parler dans un murmure d'une voie douce, dans sa manière de regarder malgré la couleur inhabituelle de ses yeux. *

-Je suis ton dessein malgré ce que tu crois. Voila ton problème à toi, Kalidor Mejare. Tu tâche d'associer l'apparence extérieure à l'apparence intérieur, mais tu t'y m'éprend et un jour, tu te fera prendre à ton propre jeux.
Puis elle se tue, regardant le guerrier avec toute sa grâce, mais en même temps réflétant une bête horriblement magnifique. Le laissant pensé, le laissant trouver les mots juste pour s'exprimer. Attendant le signale pour qu'elle déguerpisse a nouveau, loin de là, loin des hommes aux idées préconçues


Post by Le Corbeau - December 4, 2007 at 3:53 AM

Le Corbeau avait eu vent de cette créature, la Lavandière. Une femme disait-on, le Corbeau s'y était interessé. Ces histoires lui rapellaient quelque chose... quelque chose qu'il avait déjà lu il y a longtemps.. mais où? Pendant quelques temps il cherchait dans de nombreux livres, en quête de réponses...

Lorsque la nuit étendait son voile noire sur la belle Systéria, il sortait.. homme noir encapuchonné, sillonnant les rues de la Basse-ville, d'un pas calme. Depuis peu, ses sens avait faiblis... ses yeux ne perçaient plus le noir comme avant, ses oreilles manquaient de finesse.. et il ressentait le froid que l'humidité amplifiait..

Pourquoi recherchait-il la "Dame Blanche"?

Ses recherches étaient davantages orientées sur la berge de la rivière, qui séparait la basse-ville de la moyenne-ville.


Post by Gannd Auréalis , OdS - December 4, 2007 at 3:55 AM

Plissan les yeux , il tourna lentement la tête et regarda vers le toit d'une petite chaumière. Un présentiment étrange , espèce de picottement a sa nuque , guida son regard vers se toit. Là , il vue la Lavandière et sa lui donna un frisson qui lui parcouru l'échine. Des yeux jaune , un éclat qui lui semblait être des écailles puis la vision changea pour laisser place a un corps de jeune femme. Tournan lentement sur ces talons il lui fit face , muscles tendu a tout rompe , prêt a dégainer si elle se montrait menacante. Son épée resta dans son fourreau car elle ne semblait pas bouger , elle semblait observer le Guerrier , attendant probablement une réaction de sa part. Un bruit de verre d'une ruelle voisine fit relacher l'attention du Guerrier et il détourna le regard. Une seconde? Peut-être deux tout au plus mais lorsqu'il releva le regard la silouhaite avait disparut...


Post by Lavandière de Nuit - December 4, 2007 at 7:08 PM

Le pays des contes
Contes et légendes du Bastion Berguenois

Celle qui lavait la nuit
Première partie

Fanta Lezoualc'h, de Saint-Trémeur, pour gagner quelques sous, se louait à la journée dans les fermes des environs. Aussi ne pouvait-elle vaquer à son propre ménage que le soir. Or, un soir, elle se dit en rentrant :
"C'est aujourd'hui samedi, demain dimanche. Il faut que j'aille laver la chemise de mon homme et celles de mes deux enfants. elles auront le temps de sécher, d'ici à l'heure de la grand-messe, car la nuit promet d'être belle."

Il faisait, en effet, un magnifique clair de lune.
Fanta prit donc le paquet de linge et s'en alla laver à la rivière. Et la voilà de savonner, et de frotter, et de taper, à tour de bras. Le bruit de son battoir retentissait au loin, dans le silence de la nuit, multiplié par tous les échos :

Plic ! Plac ! Ploc !

Elle était toute à sa besogne. Quel que fût l'ouvrage, elle y allait ainsi hardiment, des deux mains. C'est sans doute pourquoi elle n'entendit pas arriver une autre lavandière.

Celle-ci était une femme mince, svelte comme une biche, et qui portait sur la tête un énorme faix de linge aussi allégrement que si s'eût été un ballot de plume.

-Fanta Lezoualc'h, dit-elle, tu as le jour pour toi ; tu ne devrais pas me prendre ma place, la nuit.

Fanta qui se croyait seule sursauta de frayeur, et ne sut d'abord que répondre. Elle finit enfin par balbutier :

Fanta Lezoualc'h, que ces paroles avaient rassurée, répondit à la Maouès-noz, à la femme de nuit :

-Ma foi, ce n'est pas de refus. Seulement je ne voudrais pas abuser de vous, car votre paquet semble plus gros que le mien.

Et la femme de nuit de jeter là son fait de linge, et toutes deux de frotter, de savonner et de taper avec entrain.

Tout en besognant, elles causèrent.

Et elle se mit à raconter son aventure.

Son homme l'écoutait, allongé dans son lit où il achevait de fumer sa pipe. Dés les premières paroles de Fanta, son visage devint tout soucieux.

Fanta Lezoualc'h obéit en hâte. Elle suivit de point en point les recommandations de son mari. Le trépied fut assujetti à son clou, le sol de la maison nettoyé jusque sous les meubles, le balai renversé, le manche en l'air, l'eau qui avait servi à laver les pieds de Fanta répandue sur les marches du seuil.

Juste à ce moment, la femme de nuit cognait à la porte.

Une seconde, une troisième fois, la femme de nuit répéta sa demande d'ouverture.
Même silence à l'intérieur du logis.
Alors on entendit au dehors s'élever un grand vent.
C'était la colère de la Maouès-noz.

Le grand vent tomba aussitôt. Fanta Lezoualc'h entendit la voix furieuse qui s'éloignait en grommelant :

Fin

Source : http://breizhvibes.free.fr/mythologie/


Post by Lavandière de Nuit - December 10, 2007 at 8:06 PM

Un cycle de lune, jour pour jour, c'était écoulé depuis la découverte du dernier corp. Encote aujourd'hui, la nuit se promettais d'être noir comme les antres d'une caverne. Noir comme en dessous de la terre que certains diront.

Les mères sont nerveuses, les hommes confiants, les enfants ne comprennent pas toutes l'agitations, mais quoi qu'il en soit, on peux ressentir dans l'air que quelques choses va arriver.

-Approche mortel... vient m'aider à tordre mon suair, je me sens si faible... approche.
Certaines personnes auraient du mieux s'informer, ou si non, jamais il n'Aurait été l'aider. Mais elle était tellement belle avec ses yeux, tellement envoutante. Et ses long cheveux noirs, quelle beauté!
Me confessera tu t'es pêcher jeune homme? Me confessera tu ton adultère? Me confessera-tu le viole sur ta benjamine? Dit moi bel homme?
Sa voix est enjoleuse et douce, l'homme dans toutes ses faiblesses de l'alcohol n'y voix que du feu, quoi qu'éberlué par les paroles de la femme, il ne peut s'empêcherde rire.
Alors rien ne te viens a l'esprit? tu n'a donc rien a me dire? Dommage... pour toi. Crois tu être capable de laver des suaires toute ta vie?

Au matin, le sang est répandue sur les dalles, le sang si écarlate si sale. L'homme estropié de ses membres virile git au sol, sur le dos, ses orbites arracher, les paupière fermer, les bras (sans main) en croix au sol. Une petite mêche de cheveux blonde dans sa poche, sa femme peux la reconnaitre comme celle de leur benjamine, la petite Marjorie. Que veux donc dire tout cela? à la place de son pantalons, un drap remplis de sang et de sperme est étendu sur lui. Mais que veux bien dire tout cela...?


Post by Gannd Auréalis , OdS - December 11, 2007 at 5:36 AM

Kalidor arriva que trop tard...Une fois de plus mais sa détermination semblait décupler a chaque mort que la ''Dame Blanche'' laissait derrière elle...


Post by Feu, Arthas Menethil - December 11, 2007 at 5:51 AM

Lorsque la nouvelle venue aux oreilles du paladin, il ne put s'empêcher de se questioner sur le sujet, bien des conaissances informait le paladin mais cette fois il était incertain de ces dires souffler à ses oreilles.

Il se tourna vers la fenêtre puis murmura.

J'ose essperer qu'elle ne se prend pas au sérieu...Car jouer avec le feu peut-être très...Dangereu.


Post by Lavandière de Nuit - December 17, 2007 at 10:02 PM

Comme ils sont amusant ses humains, père aurait dû me dire à quel point c'était drôle de les voirs aller.
Qui sera le prochain. (comptine chanter à l'air, la silouhette sur le toit pointant une personne différente à chaque chiffre nommé)

1...2...3... je m'en vais au bois.
4...5...6... ceuillir des cerises
7...8...9... dans mon panier neuf
10...11...12... elles seront toutes rouges!

Toi! Joli, montre moi tes pêchés et je saurai t'en absoudre.

Perchés sur le haut de la taverne de basse ville, la nuit sans lune ne réflétant a peine qu'une ombre noire, elle regardait les hommes et les femmes y sortir parfois en titubant, d'autre fois la main sur le poignard, suivant sa prochaine victime. Nulle ne se doutait que l'ange de la mort se tenait près...trop près pour qu'ils puissent s'en sauver à présent.

L'homme choisit était jeune, un jeune marié semblait-il en voyant son alliance toute brillante. Les cheveux bruns porter long, les dents droites et blanches (ce qui était rare pour se type d'individu) le nez droit, les lèvres mince, le front ni trop fuyant, ni trop trappu, de bel allure et de bel prestance. Il s'engouffra dans une ruelle sombre avec une femme, une prosituée sans aucun doute à voir son allure. Il en ressortit trois quarts d'heure plus tard, remontant et attachant son pantalon défait, la femme de joie, étranglé morte dans la ruelle.

Elle le suivit jusqu'à sa demeure, elle le regarda même battre sa femme à coup de poing, comme si elle n'était qu'un vulgaire chien. Son ventre proéminent presqu'à son terme, elle eu pitié d'elle. Elle ne se formalisa pas de sa précense pour s'engouffrer dans la demeure, pour empoigné le gringalet par le pourpoint et pour le transpercer de sa dague. Un seul coup, cruel et fatidique. Pas trop, juste assez pour lui donner le temps de la voir, juste assez pour qu'il la voie sourire.

-Tu ne feras plus jamais de mal a personne, petit escroc de pacotille. Sa voix était froide, dure, presque inhumaine. Et ses yeux, ils l'ont surement hypnotiser jusqu'à la toute fin, jusqu'à ce qu'il pousse son dernier soupir.

La femme pour sa part était tétaniser de frayeur, elle n'osait ni bouger, ni parler. Quand la Dame Blanche planta ses yeux dans les siens, elle ne pût que la remercier. Certes, ce merci ne consistait qu'en un hochement de tête, vague même, on aurait pu penser qu'elle ne fesait que dodeliner de la tête, mais la dame blanche savait.

À venir, point de vue de la roturière


Post by Lavandière de Nuit - December 18, 2007 at 7:36 PM

Le récit qui suit est tirer d'un vieux livres de la bibliothèque impériale de Systéria, il fait à présent partie des annales, de ses vielles légendes qui aujourd'hui ne sert qu'a faire peur aux enfants. Aujourd'hui, en l'an 1889, ils ne sont que choses du passé. Tous se déroule en l'an 1241, au temps ou Cybelle première était sur le thrône.

Le récit qui suit est unepreuve irréfutable de l'Existence de la dame blanche, la roturière Eva Milan l'a réellement rencontrer une nuit sans lune, lisez attentivement son récit, peut-être vous sera-t-il familier.

Il était tard cette journée là, la mi nuit était sans nulle doute passé. J'étais marié depuis peu, un an tout au plus. Mes parents avaient tenue à me marier avec un riche marchand, peut-être pesaient-ils que celales sortiraient de la misère. Quoi qu'il en soit, cela fesait une année que j'était mariée, et déja, j'étais grosse de plus de 7 cycles de lunes. Cela fût pénible, surtout qu'Yvan n'était que très rarement à la maison. Et c'était mieux ainsi si vous voulez mon avis. Quand il venait, c'était pour boire, ou après avoir but, et son passe temps favoris, c'était de me tapper dessus. Que vouliez vous que je fasse, je n'étais qu'une simple roturière, avec rien à moi, je ne pouvais décider de quitter cet homme qui me permettait de vivre... et mon enfant, vous y avez penser. C'était impossible pour moi de le quitter. Mais je m'égare, je sais que ce n'est pas là les propos que vous souhaitez entendre, vous voulez connaitre tous les détails du meutre de mon mari, de ma rencontre avec la Dame Blanche. Oui j'utilise les mots dame blanche car je ne peux croire qu'elle s'apparente à la Lavandière de Nuit, qui tue sans pensé. Elle, elle avait bien une conscience, elle savait ce qu'elle fesait. Du moins, j'aime à y croire.

Bon j'en était ou. Oui bon, la mi nuit était passé, et je ne dormais toujours pas, je devait terminer le ménage avant qu'Yvan revienne, si non sa colère aurait sans doute été terrible. Quand il arriva, il empestait le sexe et l'Alcool, il s'était encore fait une femme de joie, comme s'il n'en avaitpas assez de violer presque chaque soir que Thaar lui permettait de vivre. Je fit attention pour me tenir retirer dans un coin, pour ne pas qu'il me vît. Mais j'eus le malheur d'Accrocher le balai qui tomba en un bruit sourd. Trop tard, toute son attention était sur moi, et ses yeux voyait rouge de colère. Par habitude, par peur pour mon bébé, je me recroquevillai au sol, protégeant de mon mieux mon ventre. Vous comprenez, c'est tout ce qui me restais, se ventre proéminent.
Il s'avança comme prévue sur moi et il le va la main, me frappa, encore et encore. J'avais appris a ne plus geindre, ne plus gémir, car si non il redoublait d'effort... frappant plus rapidement, plus fort.
Quand il eu terminer de frapper,il m'aggripa le bras et porta son autre main a mon corsage pour le défaire.
Pitier Thaar, pitier, pas aujourd'hui.... pas encore.
J'avais peur, j'était tétaniser de frayeur, et tout ce passa si rapidement.
Je me rapelle d'un éclair blanc, et puis il ne me tenait plus. Une femme, grande blanche, filiforme le tenait par le cou. Ses yeux... ils étaient tellement beau, tellement terrifiant. Je ne savais pas si je devais avoir peur, j'avais peur oui, a bien y penser. Et si elle s'en prenait a moi pour la suite? Qui sait c'était bien possible.
Ce fût court et rapide à la fois. Un simple coup de dague. Longue effilé, tout près du coeur, mais pas trop. J'ai vue l'entaille après, on dirait qu'elle l'a manquer depeu, surement un manque d'Expérience. Elle semblait si jeune. La peau de son visage était blanche et semblait douce, comme celle des bébé, et ses traits si juvénile, je ne lui donne pas 20 ans. Une fois la dague enfoncer, elle l'approcha de lui et murmura. Oui ce n'était qu'un murmure, mais je l'ai très bien entendu, comme si elle me murmurait à l'oreille.

-Demande Pardon à la dame, et peut-être que Thaar consentira à sauver ton âme des flammes éternelles.

Cette voix...si douce, si fine, je ne pouvais croire qu'elle l'avait tuer, que tant de haine se trouvait en elle, comme si elle était moi, comme si il l'avait violer et battue elle aussi. Avec ses mots qu'elle avait prononcer, un certain poid c'était lever de sur mon coeur, elle ne venait pas pour moi, quoi que si, mais pas pour me tuer, pour me venger. Je ne pus dire si le gargouillement qui sortit de la gorge d'Yvan était un pardon, mais tout porte a croire que oui. Elle le laissa choir au sol comme une vulgaire chose sans importante et elle fixa ses yeux sur moi. Se mélangeais de la compréhension, de l'amour? de l'envie je dirais... c'étais tellement étrange. Comme si elle m'enviait moi.... si elle savait à quel point moi je lui en était reconnaisante, a quel point j'enviais cette femme forte et brave. Je ne pu que la remercier d'un vague signe de tête, mes lèvres refusait de s'ouvrir un tant soit peu. Quoi qu'il en soit, elle ne s'attarda pas chez nous, elle s'engouffra aussi rapidment qu'Elle était entrer par la fenêtre, sa robe blanche se mélangeant drolement avec les rideaux.

Je ne sias pas pourquoi je pensais au rideaux en cet instant même. La suite est fugace, l'ordre, les mercenaires, je répétai tant de fois l'histoire que je pouvais la réciter par coeur à présent. Quelques personnes restèrent septique... et je ne peux que les comprendrent, moi même je n'y aurait pas cru si on me l'avait rencontrer. Mais la dame Blanche existe réellement, elle sauve les gens, il faut me croire. Aujourd'hui ma fille est née. Je l'ai apeller Blanche. Pour remercier la Dame... en hommage à elle, parce que sans elle, sans doute serait-elle morte aujourd'hui.

Et vous savez.... je n'ai jamais dit à personne, mais derrière elle, elle a laisser une grosse bourse remplie de gallion d'or des terres Brégunienne. Étrange vous ne trouvez pas?