Vent et éclairs

Vent et éclairs

Post by Anonymous - December 7, 2007 at 1:54 AM

D'épais nuages semblent s'être immobilisés au-dessus de la cité...

À quelques reprises, de gros éclairs viennent frapper le sol, ou bien des filets électriques parcourent ces nuages, mais une seule chose reste constante : Le vent, qui gagne en force petit à petit...


Post by Aerandir Finwë, CdP - December 7, 2007 at 4:29 AM

Partout où Aerandir rencontrait des gens, il les invitait à acheter des provisions pour un certains temps. Les citoyens devraient sortir le moins possible de leur résidence.

Il savait très bien que les vents forts serraient le pour un bon moment et ce n’était que le commencement. Il aida également au besoin, les retardataires à terminer les finitions pour leur maison.

Sur son chemin de retour, il invita quelques sans abris à trouver refuge dans le temple, là où les immenses murs de pierres devraient les protéger des intempéries.


Post by Théodore de Lagarde, AdM - December 7, 2007 at 4:55 AM

On pu voir le Templier Christian aider de nombreux gens à diverses choses de dernières minutes


Post by Elrog Minh Yu - Mort - - December 7, 2007 at 11:56 AM

Dans l'ambiance sombre de la demeure du diplomate, les volets fermés et les chandelles allumées, se trouvait le demi-elfe. Assis a table, il sirotait son thé dont la fumée se transformait en arabasques sous le souflle du vent qui provenait du jardin. L'eucalyptus planté dans le jardin n'était plus que l'ombre de lui même, malgré les soins de l'homme, agité par les souffles et les bourrasques il perdait les quelques feuilles qui servaient a faire le thé dont le diplomate abreuvait ses invités.

L'on frappa a la porte, il se redressa pour ouvrir délaissant le précieux breuvage, la porte s'ouvrit en grand sous l'effet du vent et cela malgré son poids. Un mercenaire était dans l'encadrement de celle ci.

"Je viens pour protéger la demeure. Dans quelle pièces voulez vous que je me place ? "
Un bref sourire passa sur le visage du descendant des Minh Yu *
" Au dehors Mercenaire, accrochez vous au piquet a chevaux car le vent souffle bien."*

Il referma la porte et alla se poster devant la fenetre pour voir combien de temps le mercenaire tiendrais debout sous les bourrasques. *
" Dans deux jours, si le vent continue, je le retrouve en plein quartier gitan ce mercenaire."*

Délaissant la fenetre, il ouvrit un sac de toile et admira une fois encore les lames qu'il avait commandé au Forgefer.


Post by Lili - December 7, 2007 at 4:44 PM

Invitée par Gelvin dans la demeure de Kiam, Aiyana et lui virent la tempête se lever. Une étrange tempête remplie d'éclairs qui parcouraient les nuages comme une main parcours un sac. Se détachant l'un l'autre, avant même de s'être vraiment rapprochés, la jeune indigène prit soin de bien fermer les volets à l'étage. Il va sans dire qu'elle n'était pas à son aise dans la demeure d'une personne qu'elle ne connaissait pas, mais cru que c'était important du moins, puisqu'elle y était, de s'assurer qu'elle y reste en bon état. Alors, les grandes fenêtres furent fermées, révisées et vérifiées. Gelvin, lui était descendu pour s'occuper du rez-de-chaussée.

      Un instant, un foudroiement. Tellement d'éclairs étaient tombées au même endroit, juste devant la demeure, juste devant l'entrée. Cette tombée de foudre n'avait rien de normal. Le bruit de la foudre qui avait touché le sol, des nombreuses éclairs, n'avait fait aucun bruit. Puis, au rez-de-chaussée, plus aucun bruit ne se faisait entendre, ormis la porte batante qui claquait et ouvrait. Un grand frisson saisit Aiyana et elle descendit avec prudence vers le bas. Gelvin n'était nulle part, enfin, oui il y était, dehors, électrifié. Son corps se secouait avec de larges spasmes, carbonisé. Il se consumait. Sans réfléchir, sans penser que la foudre pourrait lui tomber dessus aussi, Aiyana sortit ses bras à l'extérieur. Elle aggripa son ami et le tira dans la maison de Kiam. Cherchant à tout prix de lui donner les premiers soins, de façon bien rudimentaire.

      Coupable, c'est ainsi qu'elle se sentait. Dans cet environnement qui n'était pas le sien, elle ne savait plus où se mettre. Cherchant à s'assurer qu'il était toujours en vie, elle nettoya d'abord ce corps qui ne cessait de convulser, puis avec des bandages imbibés d'eau de ralentir les brûlures qui couvraient le corps de Gelvin. Une fois que tout fut fait, elle le serra contre elle, pour calmer ce corps, qu'elle ne croyait pas pouvoir revenir à la vie. Les yeux de Gelvin qui fondaient devant elle, ses cheveux, sa barbe brûlés, sa peau fondue par endroits. Comment pouvait-on survivre à pareil choc? 

Il y parvint, et avant que la propriétaire de la maison n'ait le temps de revenir, Aiyana trouva Eloedyn et une demi-elfe qui l'aidèrent à ramener Gelvin chez le soigneur de la moyenne ville. Tous deux restèrent à cet endroit. Lui, cherchant à reprendre le dessus sur la vie, elle, à veiller sur lui.


Post by Elrog Minh Yu - Mort - - December 9, 2007 at 2:05 AM

Une partie de chasse en bonne compagnie et un mauvais coup, je rentre près de l'hopital pour me soigner quand soudain l'air se déchire...

Une sifflement... un craquement et l'impression de voler pendant quelques secondes, le contact au sol est rude.. très rude mais pas autant que la douleur qui me taraude la tête, il me semble avoir été transporté ailleurs, rien ne me parvient, pas d'odeur d'ozone, de pluie et de la foret.. Juste une odeur de brulé qui m'étouffe...

« Nonnn ! Laissez moi ! Lachez moi !! »
Ces bruits.. Ces murmures... ils me frolent et me parlent, je ressens leur présence a mes cotés, une paume me passe sur le cou, un doigt me passe sur les yeux et ...

Lorsque je me suis réveillé, j'ai heurté quelque chose, cela s'est brisé dans un bruit de porcelaine.. J'étais donc en vie, pas vraimment mort. Le noir.. absolu ? Non.. quelques touches de mauves parfois, comme des éclairs dans le noir. Une infirmière m'a donné les premiers soins, il paraît que je m'en sortirais.

Cette odeur de brulé qui ne me quitte pas... je suis dans une chambre de l'hopital St Elisa et l'un des pages va prévenir le Dr D'Estrée que son fiancé occupe l'un de ses chambres, je me suis surpris a tenter de marcher.. Sans résultat, je me suis effondré par terre et suis resté sans conscience épuisé plusieurs heures...

Noir... il m'entoure... Je suis aveugle...


Post by RoseNoir - December 9, 2007 at 6:48 AM

Sur le mur de la Caserne de l'Ordre entre la banque et celle-ci était gravé

La vengence contre le bien périras encore une fois.. Mais le carnage de la tempête seras la un moment encore.. Vague de Chaleur, Vent Violence, Éclair.. Tout cela semble très interessant.

Une rose noir avait été abbandonner au pied du mur


Post by Phoebee de Sorgrad, AD - December 10, 2007 at 8:37 AM

*Du haut de sa monture, le vent jouait dans ses longs cheveuxs, fouaitait son visage. Elle regardait faire les ouvriers placer des planches de bois dans les arches et fenetres de son chateau. Meme si elle ne craignait la foudre, pourquoi tenter le diable ? Le bien de sa famille etait le plus important. Elle reserra sa cape autour d'elle avant de guider sa monture a un endroit sur pour mieux retrouver ceux qu'elle cherissait. *


Post by Anonymous - December 12, 2007 at 7:19 AM

Deux vieillards discutaient, à l'abris du vent dont la force ne faisait qu'augmenter.

Un des deux vieillards perdit sa moumoute, le poussant à courir après, brisant ainsi la conversation...


Post by Saevan Al Kazar, AdM - December 12, 2007 at 8:22 AM

Saevan avait réussis a ''détruire'' cette chose en voulant proteger 3 personnes qu'il venait a peine de connaitre, mais il en était resortit presque mort.

Grégoire raconte a qui veu bien l'entendre, que Saevan fut laisser a son propre sort un long moment sur le plancher du coin chaud pendant que plusieurs personne dont Kalidor le regardait agoniser sans rien faire.


Post by Elrog Minh Yu - Mort - - December 12, 2007 at 11:14 AM

Deux jeunes gardes mercenaires discutaient en basse ville.

"T'as vu le diplomate Trenor ? Il a recu de la visite, je l'ai vu en allant discuter avec son garde devant sa demeure."

"L'efféminé la ? "

"Ouais lui.. Il est avec un bandeau sur les yeux, son valet dit qu'il a recu le foudre."

" Ouais ? comme l'autre la ? Gelvin ?"

" C'est ca.. Tu devrais voir le teint du diplomate, on dirait qu'il est pâle comme la mort. A mon avis, il va pas tarder a y passer."


Post by Anonymous - December 17, 2007 at 7:16 PM

Le nombre de tornade dans la région entre la montagne et le Nord, au Nord du Camp Gitan, allait en grimpant. Parfois l'on comptait six à neuf tornades... Parfois aucune.

Cette région avait été totalement ravagée par celles-ci. Plus aucune végétation, que de la terre, quelques cristaux violets qui dégagent des éclairs, et les tornades...

On entendait parfois des grognements puissants en provenance du Nord, mais un mur invisible semblait empêcher les gens d'entrer dans le Nord.


Post by Lavandière de Nuit - December 17, 2007 at 9:30 PM

La lavandière se fesait discrète depuis le début de ses catastrophes naturelles. Aucun meurtres n'avaient été commis depuis un moment. Cela ne durerait surement pas.

Les soirs ou le vent soufflait moins fort, on pouvait voir la longue silouhette se faufiler tel un félin dans les coin d'ombres, pour se percher ensuite, pendant l'oeil de la tornade, sur le clocher de l'église systérienne. Et quand elle disparaissait, tous savait à présent qu'il fallait mieux partir aussi. Son départ coincidait toujours avec l'arrivé d'une tornade, ou la continuation d'une autre, comme si elle avait un isntinct animal.

Étrange...


Post by Gannd Auréalis , OdS - December 18, 2007 at 2:40 AM

Celui qui était sur les traces de La Lavandière était introuvable. Deux semaines qu'il n'avait été vue en Systéria , a sa demeure ni lumière ni bruit...La tavernière qui avait échoppe non loin disait qu'il avait probablement quitter la ville.


Post by Anonymous - December 18, 2007 at 3:07 AM

Une femme, vêtue d'un long manteau, s'approcha d'un matelot au port.

La femme hocha de la tête.

Le matelot s'approcha de la femme, déposa un baiser sur ses lèvres et ensemble, ils se dirrigèrent vers une maison.


Post by Les rumeurs - December 19, 2007 at 7:19 PM

« Deux personnes ont perdu la vue.. »
« Bah faut voir le bon coté des choses, ils verront plus leur femme.. »


Post by Lili - December 20, 2007 at 8:22 AM

Un chemin de cadavre jonchait le port, le sang, lavé par le sel des eaux, teintait l'écume de la mer. Quelques soupirs de souffrance, là où les blessés expiaient leurs dernières fautes avant de rencontrer le passeur. Aiyana et Aérandir passaient là. L'ancien paladin vérifiait l'état des morts, espérant du moins en sauver un. La sauvage, elle, les enjambait. Un mourrant reste un mourrant, et on ne peut pas les sauver. Plus guère que des amas de viande qui expirent pour une dernière fois. Cet ensemble de soupirs, à peine plus élevés que la colère des vagues qui venait s'écraser contre les parois du port, semblait être un aperçu du gouffre des enfers. Cependant, ils ne cessaient de progresser jusqu'à la source de cette boucherie. Sang, jambes, pleurs. Le monde semblait désolé, à l'abandon. Au tournant d'une chaumière, un navire s'amarrait. Prêt à partir, la source de ces meurtres y était.

Méphistos, le sanglant guerrier était près du navire, à échanger avec le noble de Sorgrad, lorsqu'Aiyana arriva. Secouée par cette vision d'enfer, elle ne pu que regarder ce qui s'y passait, jusqu'à ce qu'Aérandir n'arrive à sa suite. Le guerrier Méphistos se moquant, Aérandir qui lui réplique, un affrontement entre eux. L'indigène vint à se défiger, mais que faisait-il...? Puis Meläya, dans le navire adressa quelques paroles à son guerrier, mais le seul qui avait de l'importance pour Aiyana fut le nom de Lana. Lana...

-Laisser je venir, je juste vouloir prendre soin de Lana...

Son désir fut accordé. On lui céda le passage vers le navire, et pu aller rejoindre l'enfant qui était captive de la sorcière. L'entourant, petite tremblottante de froid et de peur. Puis ils s'éloignèrent de la rive, secoués par les très grosses vagues. Le vent hurlait les voix des marins morts dans la mer. Mais la chasseuse restait contre la petite, la soutenant, s'attachant à Lana et au mât. La mer était houleuse, les vagues s'intensifiaient, la hauteur d'une petite chaumière, puis le navire se heurtait aux récifs de coraux qui entouraient la baie de Systéria. Un écho sous-marin qui avait tôt fait d'attirer les serpents de mers. La sorcière, affaiblie par les éléments qui se déchaînaient, gardait les créatures à distance du navire, qui craquait sous le poids que les vagues exerçaient sur la coque. Pas avoir peur Lana... je être là, je jamais laisser tomber tu... Une vague de la taille du château impérial vint frapper le navire, l'horizon se mit à tourner, à tourner, et le ciel devint de l'eau. Le vaisseau de la sorcière avait chaviré, et en luttant contre les vagues, à soutenir la tête de la jeune Lana hors de l'eau, tout s'éteignit.

Noir.

Les vents avaient cessés, et les vagues venaient lécher les jambes d'Aiyana. De l'herbe chatouillait sa joue. Comment étais-ce possible de ne pas ressentir la tempête? Elle l'ignorait. Il y aurait donc un endroit sur ce monde qui n'était pas affecté. Une île, une île entourée de montagnes avec un unique chemin en ses entrailles. Elle avait trois choix: Rester sur la berge et attendre, essayer de nager pour regagner le continent et risquer de mourir ou aller dans le chemin. Elle choisit bien évidemment le troisième choix. Seule. Personne d'autre n'avait échoué au même endroit qu'elle. Une grande muraille se dressait au bout du chemin, taillé à même la montagne, et par la grande porte, elle pouvait voir un gros démon gris dormir. D'abord pétrifiée par la crainte, elle parvint à se ressaisir et à avancer. Une lueur rouge lui parvint de derrière le démon où elle se dirigea, en prenant bien soin de ne pas être trop proche de son compagnon ailé.

Sous la voûte de pierre qui s'ouvrait sur une grande pièce se trouvait un portail rouge. Un portail d'où des voix sortaient. Des formes floues s'y formaient, et elle parvenait à interragir avec eux. Reconnaissant la voix de la petite Lana, elle passa sa main au travers du portail, et quand elle se décida à le traverser enfin, elle se retrouva dans une pièce complètement noire aux dalles de la couleur du sang. Elle ne ressentait plus l'air des mondes, elle ne ressentait plus la présence de la nature. Complètement seule dans le noire, effrayée, elle se mit à chanter une berceuse, en se fermant les yeux, pour se redonner du courage. Puis plus d'une dizaine de mains touchèrent à ses pieds et tout devint noir à nouveau.

Des battements de coeur.

Morte ou non? Elle n'en savait rien. Aiyana se retrouva surprise d'être assise au Coin chaud. Le Coin chaud certes, mais vide. personne à l'intérieur. Des papiers et des débris partout et de la poussière qui s'était accumulée depuis des années. Les portes étaient verrouillées, et à la fenêtre, elle pouvait voir les rues désertes, abandonnées. Au bout d'un moment, un mouvement se fit sentir dans les pièces privées du Coin chaud et elle vint y cogner. Une voix de vieille femme lui parvint, et elles finirent par se voir. Lana était là, avec l'aspect d'une grand-mère. Trente ans s'étaient passés, disait-elle. Mais Aiyana n'avait pas vieilli. Alors Lana expliqua tout ce qui s'était passé à la sauvage, saluant leur retrouvailles. Lorsqu'elles revinrent dans la pièce principale, Lana se mit à devenir floue, s'éloigner.

Des battements de coeur qui s'accélèrent.
Aiyana se cramponna à son coeur, la douleur devint persistente.
IiiiiiiiaaaaaaaaaïïÏÏ!!

Des voix, des voix qui lui semblaient familières lui parvint. Elle chercha mais ne trouva pas. Elle arrivait à communiquer avec elles, étrangement, mais la solitude gagnait son coeur, et elle s'enroula dans le tapis d'ours polaire du coin chaud, jusqu'à ce que son dernier hurlement de terreur ne parvint.

Noir.

La pièce noire à nouveau, tout se déroulant à la renverse, vivant une analepse physique. Puis le portail rouge, dans l'antre du démon, jusqu'à ce que les voix lui parvinrent. Le portail, non ne pas s'en approcher. Le portail finit par exploser. Seule à nouveau, non, pas seule, elle et le démon.


Post by Anonymous - December 24, 2007 at 11:05 PM

Une tornade était apparue dans la zone morte...

Mais cette tornade était particulière. Elle ne disparaîssait pas, et ne s'éloignait pas d'où elle était apparue. Elle était là, immobile, à tourner sur elle-même à un endroit précis...


Post by Aerandir Finwë, CdP - December 25, 2007 at 2:34 AM

Quelques personnes s'avaient aventurés dans la zone morte au cours de la journée. Les dernières personnes en être revenus étaient Aerandir qui portait sur ses épaules sa jeune ami qui était inconsciente, Aiyana.

Une fois arrivés en ville, l’ancien paladin se dirigea aussitôt à l’infirmerie, là où il déposa sa « petite sœur » afin de la confier à Ramla.

Le rôdeur traversa le cadre de porte jetant un dernier regard anxieux vers son amie puis parti à la recherche du gnome Dimble. Incapable de le trouver il laissa un message à la confrérie à son intention.


Post by Anonymous - December 26, 2007 at 1:09 AM

Du ciel, un Temple violet s'écrase, faisant tomber plusieurs débris de roches ainsi que des corps, à l'Ouest de Systéria...

Le vent semblait avoir disparu, ainsi que les nombreuses tornades et tempêtes. Il n'y avait plus aucun éclair et enfin, on pouvait revoir le ciel bleu et le soleil chalereux...