Vol, Punitions et petits bocaux

Vol, Punitions et petits bocaux

Post by Armika Recaedre, CP - January 23, 2008 at 5:44 PM

Les serviteurs tremblait dans le manoir Recaedre. Tous alligné dans le grand passage, la jeune Armika, maitresse de maison, déambulait l'Air grave devant eux, scrutant leur visage un a un. Malgré sa grande beauté, la colère déformait ses traits.Parce qu'en colère, oui elle l'était réellement, elle fulminait même. Des années de récoltes ardues, Ses biens unique qui faisait d'elle quelqu'un de différent que tous ses petits barons... et finalement, le fait qu'on aille souiller sa demeure avec des pattes sales de voleur. Elle ne pouvait pas tolérer tout cela, pas chez elle, pas tandis que, normalement, il y avait toujours des gardes en faction devant chez elles et d'autre qui parcourait invariablement la haute ville.
Qui avait bien pu oser s'en prendre à elle, sans doute ne la connaissaient-ils pas.

Les visage stoïc et clos des seerviteurs restait fixer sur le mur d'en face, mais cela n'empêchait pas la sueur de couler de leurs fronts, cela n'empêchaient pas leur yeux de s'écarquiller par la peur. Ils avaient déja vu leur jeune maitresse congédier, non sans faire fouetter d'abord, les hommes qui étaient charger de garder le manoir, pour les faire remplacer par d'Autre tout aussitot. C'était maintenant à leurs tours.

Mais étrangement rien ne se produisit. Ils détalèrent tous comme des lapins quand la Duchesse leur ordonna de se remettre rapidement au travail. De toute manière la leçon donner aux gardes avaient été suffisante pour eux, sans nulle doute.

La Jeune femme blonde se retira dans son laboratoire. Elle s'assied sur sa chaise, et durant un moment regarda tous ses flacons poser les uns à coter des autres. Puis secoua la tête. Elle s'empara d'une feille et d'une plume et se mis à écrire de sa propre main la missive qu'elle s'apprêtait à apporer. Elle fit sonner une cloche, demanda son messager et lui remis la lettre lui fesant savoir que son contenue était strictement confidentiel et qu'il devait arriver a la première heure à l'armée des mercenaires. Puis elle se releva et, après avoir enfiler manteaux cape et chapeau, s'engouffra dans le froid hivernale qui frappait systéria. Direction la basse ville. Quelque personne se demanda bien ou elle se dirigeait, mais rapidement elle réussit a faire en sorte qu'on l'oublie, et elle passa innapercue, ou presque, aux yeux des autres passants.