Parfois les méchants gagnent...
Post by La Panthère - May 3, 2008 at 8:31 PM
...Non toujours quand on ai la panthère.
C'était par une petite journée, tout avait commencée qu'elle se réveille, se levant du grand tapis tellement confortable, qu'elle aimait tant... C'était tellement mieux que dormir à l'extérieur. Elle se vêtit de jolis vêtements gardant tout de même des dagues sur elle, après tout on allait aller en plein coeur de ce morceau de village, où tout était hostile et qu'il fallait être très prudent à ne pas révéler sa véritable identité, sinon on se faisait tuer.
Elle entre au coin chaud, toujours vêtue de ces plus beaux morceaux de linges, bijoux et compagnies. C'est donc ainsi qu'elle salut une amie, discute un peu et s'assoit à côté d'un mercenaire...
Elle sirote son thé tranquillement, discutant de choses très véridiques avec le mercenaire, ne cessant pas de s'enjoliver en ce complimentant, en parlant de son passé, en discutant comme la sagesse elle-même. Puis, par la suite, elle parle de Ludovick qui avait insulter les mercenaires. Elle décide finalement de monter en haut, question de peut-être être visitée.
Ce fut le cas, le mercenaire avec qui elle discutait, était venu lui dire qu'il trouvait effectivement le type en question louche. Par la suite il redescend en bas. C'est quand le mercenaire revint une deuxième fois, que ce fut plus dure. Ils recommencèrent à engager la discussion, puis une recrue arriva dans son dos, lui pointant le katana, prêt à la pourfendre. La Panthère n'avait plus le choix, c'était soit se faire pourfendre ou être capturé et tuer.
La panthère se dit alors, pourquoi ne pas narguer la mort au lieu de la donner pour une fois, c'est un beau défi ! Elle savait que si elle ne ferait rien, ce serait la mort assurée. Alors, rapidement, au lieu de lever les mains, elle dégaina sa dague et l'envoya directement à la gorge du mercenaire armé, question de le mettre hors combat le temps de s'occuper de l'autre et fuir. Ce fut le cas. L'homme s'écroula rapidement comme la foudre s'abattant sur un arbre.
Puis, elle fonça vers l'autre homme et, guidée par sa vitesse de frappe et l'agilité de ses coups coupant comme le rasoir, elle tentait de poignarder le plus possible l'homme, question qu'il goûte au poison et à la souffrance, que les griffes de la panthère pouvaient affligées.
L'homme dans un élan de réflexe, comme si sa lame ne faisait qu'un avec lui, affligea une coupure de lame dans le dos de la femme, abîmant la robe et la blessant. Ouff.. Elle serait beaucoup moins agile le temps de guérir. C'est donc ainsi que, guider par l'étincelle de la dernière espoir, elle se dirigea, du plus vite possible en basse, là où elle trouverait repos et guérisons, le temps que les recherches soient moins nombreuses.
On entendait les gardes s'entremurmurer qu'il fallait retrouver une dénommée Azurya, question de la mettre derrière les barreaux. Son destin était scellé, elle se devrait de vivre dans l'ombre, pour l'éternitée.
Post by La Panthère - May 3, 2008 at 10:17 PM
...Mais toute bonne chose signifie également un obstacle de plus.
C'est ainsi que, après plusieurs heures, elle ne se sentait plus en sécurité dans sa cachette en basse, c'était un erreur de trop. Voyez à quelle point la criminalitée est parfaitement dure à maintenir. Avant de partir, elle laissa un mot. Dans la taverne, c'était Germund qui avait essayé de la capturer. Elle devait en informer ses amis, questions qu'ils l'éliminent avant qu'il ne fasse plus de grabuge.
Mon doux mon frère,
Je vous écris ce message aujourd'hui, car je suis très mal au point. Premièrement rappellez-vous toujours de nos projets, et n'abandonnez pas je crois en vous. Rappellez-vous de notre dernière rencontre, nous n'avons pas longtemps eut affaire ensemble, et cela m'attriste. Je vous faisais confiance, et j'avais raison de croire en une taupe, car c'est le cas.
Celui en qui vous croyiez, celui en qui vous affirmiez qu'il était propre, il fallait redouter. Oui, aujourd'hui dans l'auberge, je l'ai rencontré et parler du saint. Il avait l'air d'affirmer mes dires, et savait lui aussi que c'était nul autre que ce Ludovick. Seulement, il n'était pas de confiance.. Je montai donc en haut du coin chaud, question de voir si le saint allait venir me rencontrer. Par malheur, c'est nul autre que Germund qui est venu, celui qui me montra la mort dans un regard, t'elle la lueur de la nuit dans sa belle fête de minuit. Son allier, une recrue me pointa du katana. S'en était fait celons moi, il n'y avait plus rien à faire.
C'est donc ainsi qu'une lueur d'espoir ou de folie me parvint, celle qui me redonna vie, celle qui me donnait autant d'adrénaline que le coeur du combat lui-même. Cette lueur était de narguer la mort. Ce que je fis et réussi. J'égorgeâmes donc la recrue, et fit goûter à mon courrou à Germund. Je le martelait de coup de poignard, voulant sa mort à tout prit, il nous avait trahit. Il tomba presque, empoisonné.
Alors je prit jambe à mon cou, et disparût vers ici, ta maison. Je dicta mes dernière salutation à ma belle salfina, et écrivit cette lettre. Je devait fuir, le temps que la poussière retombe... Si je revienderait ? Je ne crois pas, c'est pour cela que, destin scellée, lame partout sur mon corps, armure, fleur dans la chevelure, celle que tu me donnas avec tellement de sincérité... J'allais brandir une dernière fois mes épées. J'allais lutter pour vivre, lutter pour mon honneur, lutter afin de ne pas me faire tuer.
Sur ce cher amour, cher frère d'arme, chers amis, je vous adores.
Azurya d'Ambrâme, Votre Panthère bien aimée.. Une fleur avec des cros à la place des feuilles à côtés de la signature, main tremblante signée, comme le reste de la lettre fut écrite avec hâtivitée
Elle partit ensuite en direction des bois, malheure elle croise des mercenaires qui la recherchait. Elle réussi à les semer sans trop mal, et alla se cacher dans une mine.
Mais... Sur le chemin il y avait des gardes aussi. La battue avait commencé, elle aurait du rester planqué. Elle finit par aller se cacher dans une mine, se croyant à l'abris de tous. Proche de s'endormir, elle entendant la douceur, mais la froideur de cette voix elfe noire, celle de la sous-consule mercenaire. Alors dans sa tête, pendant que le temps semblaient filer trop rapidement vers la fin, elle se disait... Pourquoi n'ais-je pas réussi à garder ma place comme elle ou Siinriia... Suis-je à ce point un boulet pour ce monde ?
Larmes aux yeux, guider dans la noirceur de la mine, elle se dirigeait vers l'autre sortie dans une furtivité presque parfaite.. Mais ce fut trop difficile, un autre mercenaire entrait par là c'était la sous-consul, elle s'était trompée de direction... Avec les écos de la grotte, c'était difficile de comprendre d'où venait les voix.. Ils étaient si nombreux.. Elle essaya de prendre en otage la sous-consul, en vain dans une félinitée, elle esquiva, et les autres arrivaient déjà.. Elle fut contrôlé, après avoir réessayer d'empoisonner ce traitre... Attaché, puis trainer...
Ce monde était à ce point un désastre.. Elle qui aurait tellement voulu voir la fin...
Pendant le voyage jusqu'à la caserne, La Panthère ne cèssa de tout leur rapprocher, les provoquants de plus en plus, les mettants en colère. Oui, la folie venait de s'emparrer d'elle. Pas seulement la folie de la survie, la folie tout simplement. Ce qui était capable de s'emparrer de tout être vivant, et maintenant elle le savait. Dire que plus tôt elle se croyait à l'abris...
C'est comme si d'un coup sec, son instinct d'elfe noir malfaisant avait totalement prit sa tête. Comme si même la douleur était passion, comme si rien ne pouvait l'arrêter. Elle allait se faire torturer, se faire dénigrer.. non.. elle allait prendre le contrôle de cette sale prison sur une île. Elle allait se faire une place là, mais une place pour elle qui est rendu de folie. Elle allait recevoir la fesser avec joie et plaisir. Elle allait continuer à foncer et persévérer. Elle adorait la douleur, c'était comme si elle ne voudrait tellement pas mourir, qu'elle allait faire de la douleur son allier, ne faire qu'un avec la souffrance. C'était maintenant sa son but. La Panthère devenait une ombre, une réelle ombre. La même ombre qui provoque souffrance de tous et chacun, elle allait ne faire qu'un avec cette propriété de la mentalitée, la souffrance.
Elle promettait à la sous-consule et à Ryu des nuits palpitantes. C'était son domaine à elle seule la souffrance, pas les leurs. Elle attendait la souffrance à pied ferme, pour en savourer le gout exquis du fait d'avoir mal.
La Panthère n'était plus...
...Elle n'était maintenant qu'avatar de souffrance si bien promise par les mercenaire...
Sujet à la vengeance et condamner à vivre comme une ombre...
N.B. Pas le temps de corrigé, je le ferai ce soir, sa dois être en masse lisible
Post by Yriel Asuryan - May 3, 2008 at 10:42 PM
Assis au sol au fond de la pièce Yriel venait de prendre la lettre et de commencer sa lecture.
Une bougie, placée à ses cotés, éclairait le papier d'une lueur faible, qui permettait à peine de voir à l'autre bout de la pièce.
Le visage sereint, il semblait plutôt calme. Une dague dans l'autre main, il faisait glisser la lame sur le bois lentement dans un léger grincement.
Une fois la lecture terminé, il replia le papier et le lança au milieu de la pièce, la feuille vogua un peu dans l'air avant de se poser quelques mètres plus loin.
Yriel avait le regard vide, plongé dans la flamme de la bougie, il la souffla en expirant d'un coup bref.
Il reignait dans la pièce plongée dans l'ombre un silence de mort, on peut entendre un bruit sec d'acier plongé dans le bois, puis celui de la porte de la maison grinçant légèrement.
Post by Anisse Beige, Ind - May 6, 2008 at 12:53 AM
Anisse avait appris la capture d'Azuya ...
Son sang n'avait fait qu'un tour et malgré la bonne impression qu'elle avait tenté de contenir, elle ne put retenir ni pleure, ni rage envers les mercenaires.
Elle se rendit compte d'une chose qui l'avais tourmenté durant de nombreux jour après le baiser qu'elle avait eu avec Azurya ... Un baiser rapide qu'elle n'avait pu retenir après une longue discution ... Elle venait de comprendre que tous les sentiments qu'elle avait pour Azurya n'êtes pas en rapporte avec une amitié, mais avec un amour du coeur ... une passion ... ce dont avait toujours rêvé lorsqu'elle était au plus profond des bas quartier de Briganne.
Azurya ne devait pas mourir ... Anisse mettrait sa vie en jeu s'il le fallait pour sauver la personne que son coeur avait choisi.
Post by Ryu Hattori, Adm. - May 6, 2008 at 10:43 AM
La nuit était tombée sur la quartier mercenaire, dans le dortoir, Ryu regardait le plafond de la salle. D’où il était ne lui parvenait que les cris des prisonniers dans les geoles, il pensait à la panthère.
Course poursuite au départ de la basse ville, mise à sac d'un tas de ruine, poursuite au travers des fermes… Puis la mine… Personne à première vue dans l'endroit, mais à l'aide de Germund, il avait coupé du bois et enfumé l'endroit pour mieux la faire sortir.. Elle était la, armée jusqu'au dents, le sourire au lèvres, glaciale et pourtant si attirante… et maintenant, Il l'imaginait, transie de froid, dans la chaleur humaine et l'odeur de la paille pourrie, accompagnée par les remugles des odeurs corporelles humaines qui l'assaillaient. Valait mieux être dans un dortoir qu'a sa place, comme un félidé en cage, elle aurait du le savoir la cité de Systéria ne pardonnait pas et l'armée moins encore… Surtout lorsque que l'on tuait des mercenaires..
Post by Le Châtiment - May 6, 2008 at 2:43 PM
La lettre était posé en dessous de sa porte comme glissé avec rapidité.Il prit place sur sa chaise,alluma la bougie sur son bureau puis entama la lecture.
Son poing tapant la table qui se brisa sous la fureur de l'homme.Une larme de haine glissa sous sa joue,crispé de fureur il dit d'une voix sombre ...
Germund ... Se fils de chient nous a trahis,je te donnerais sa tête promis ... Ma Douce,ce n'était que pure folie,pourquoi nous a t'il trahi ? De sa vie je trouverai la réponse,je te jure qu'il ne pourra plus parlé ...
*Il enfila sa tenu,accrocha sa cape puis partit en claquant la porte ... La nuit allait être sombre ... La trahison n'a pas de prix ... *
Post by La Panthère - May 7, 2008 at 3:20 AM
Un obstacle goûtant le sang...
Ce faisais un bout de temps que la panthère était emprisonner. Sujet à cette saletée, et cette odeur de pourriture qui empestait les murs, elle était assise, attendant avec impatience quelqu'un sur qui frapper, question de se changer les idées, et se défouler. Au fond, a part l'horrible figure des prisonniers qui la relookait sans arrêt, elle les attendait, question de leur montré ce que c'est d'affronté, celle qui a tellement tuer...
Dans sa tête elle ne voyait qu'une seule chose, le sang de tout les êtres vivants de cette île pourrâve, ruissellant dans les profondeur infini de la mer, t'elle la rivière qui coule vers le fleuve...
Chaque jour, chaque nuit, elle revoyait dans sa tête, les scènes de meurtres qu'elle avait fait, elle se disait que dès qu'elle sortirait... Elle ne laisserait plus aucun ennemi vivant... Elle n'avait pas le choix après tout de se cacher, à travers les corps découper, et l'ombre qui veillait sur elle en permanence.. Non c'était sa cellule qui était sombre.. Fleur brunâtre dans la chevelure, celle que celui qu'elle aurait tellement voulu aimer plus longtemps lui avait donnée, gant chaîner prêt à tuer, botte épaisse pour résisté, elle attendait patiament...
À chaque fois, les ténèbres de sa cellule, et le crissement du rat vivant dans la fourrure de ce qui est supposé servir de couche, réussissait à la ramener sur terre, arrêtant de rêvasser... Alors l'envie du sang lui revenait à chaque fois... Elle y avait goûter, son propre sang. Maintenant, l'envie était indéniable de goûter celui des prisonniers. Elle voulait leur montré qu'elle mordait, et ne serait pas si facile que cela à approcher.
Elle attendait... Toujours assied sur la pierre qui était sous les barreaux, certains disaient qu'elle ne dormait jamais.. Si c'était vrai.. Nul ne le savait, sauf ces fourbes vivant dans ces cellules désatrée. Elle attendait avec impatience une prochaine victime, comme si elle ignorait tout du danger de perdre sa vie... Comme si elle était invincible...
Post by La Panthère - May 12, 2008 at 7:42 PM
Le goût de l'espoir qui perdait de l'éclat, suffira-t-il à retirer toute la haine que Azurya ne cessait pas de contenir ? Non.
Partout dans la prison, on entendait parler qu'un nouveau prisonnier allait se joindre à eux sur l'île prison. On parlait d'un certain elfe... Qu'elle autre elfe était un criminel ? Il n'y avait rien à cacher, c'était assurément lui. Azurya allait le revoir... Mais elle lui avait pourtant dit de ne pas la rejoindre, à quoi il jouait ! Chaque jour, elle surveillait le corridor pour le voir arrivé et dire aux gens de la mettre dans la même cellule que lui... Mais merde elle ne voulait pas d'amis en cellules, mais des sale brigands, comme celui qui fut transféré et re transférer sur un lit d'hôpital après s'être fait durement blesser...
Oui, les mercenaires semblaient se servir de la force et la haine d'azu pour en faire une conséquence envers les prisonnier. Après avoir vu l'état de la première personne à tenter le coup, la plupart des brigands se sentaient petit dans leur pantalon... Dire qu'eux s'attendaient à pouvoir se vider... Là-bas ils pouvaient se vider mais... Uniquement de sang... D'autres brigands faisaient des parie, sur qui serait capable de soumettre cette petite panthère agressive, qui mord très fort.
Chose certaine, à chaque fois qu'elle entendait parler d'elle dans d'autres cellules, Elle s'approchait du mur qui lui permettait d'avoir le contacte visuelle avec la cellule. Ainsi, pour les nargués, leur envoya des trucs comme... Des bisous volants, des clins d'oeil, un petit rire... Sinon quand elle était plus d'humeur à paraître violente elle égratignait les grilles de ses ongles légèrement aiguisée après avoir retiré son gant, seulement pour les excités, tout en les provocants. Elle adorait ça, elle se sentait pratiquement chez elle ici, seulement le contacte concret avec des gens, comme parler, s'amuser, discuter lui manquait... Ses amis de l'extérieur aussi. Mais bon, en attendant elle pouvait s'amuser à pleine humeur. Le temps n'allait peut-être pas être si long finalement...
Au final, peut-être que son elfe s'était faite capturé, mais elle savait qu'elle avait encore pleine de possibilité... Puis au pire elle allait continuer à vivre sa vie de la prisonnière qui mord fort. Elle adorait ce rôle qu'elle jouait, comme on joue à quelconque jeu. La vie en cellule de la prison n'était pas si dure qu'elle en avait l'air, fallait seulement se faire une bonne place de choix.
Post by La Panthère - May 21, 2008 at 8:34 AM
Les cris du désespoir...
C'était un matin, Azurya apprit à travers les rumeurs qu'elle recevrait visite aujourd'hui. C'est donc ainsi qu'elle prépara sa cellule pour acceuillir ses invités. Elle étendit du sang dans sa cellule, celui d'un mec dont elle avait cassé le nez plus tôt. Disons que, les plus pires des voyous, avaient un arrangement avec un garde, celui qui veillait très souvent sur les cellules, celui-ci permettait à des prisonnier de changer de cellule, pour aller avec azurya, si ceux-ci se sentaient de taille à la soumettre. Les gens gageaient et perdait.. Sa faisait toujours ça...
Maintenant, il était temps de se dissimuler dans l'ombre de la cellule sombre en permanence. Elle attendait à pied ferme, ses dits invités vert. Les heures passaient, un rat lui tombait sur les nerfs, alors elle le prit et le lança à l'extérieur de la cellule... Tout à coup, des pas se firent entendres dans le corridor menant aux cellules. Elle se redissimula, et attendait que ceux-ci arrive, question de voir si elle se révèlait ou non. C'est là qu'elle vit la jeune humaine qu'elle blessa jadis, Lawdoris. Celle-ci arborait un visage colérique, emplie de haines envers Azurya. Elle s'approcha des barreaux et cria une insulte à Azurya pour qu'elle sorte de sa cachette. La discussion s'engagea, peu après qu'elle se soit approché, face à face avec l'humaine. Arborant un sourire terrifiant, mais un charme merveilleux, azurya la fixait d'un air amusé, on pourrait qualifier son comportement de fou.
-Tien donc, je croyais pas que vous surviveriez à ces blessures, un peu comme votre ami, comment déjà... ah oui, Garett. Et bien félicitation d'avoir survécu jusqu'à maintenant.
-Cèce de parler comme si tu savais tout et que tu connaissais tout...
-Je ne fais pas comme si, je le sais.
-Tu m'énerves, j'ai hâte de te voir mourir
-Quoi ? Tu me tueras pas toi même ? Donc tu laisserais garett sans le venger ?
Visiblement, les paroles d'azurya blessait fortement Lawdoris, et comme d'habitude dans un débat, elle ne trouvait rien pour renvoyé directement au visage d'Azurya. C'était toujours comme ça avec elle après tout... Toujours à retourner les paroles qui sont supposé être blessante sur son expediteur, sans montrer aucun sentiment.
-Je trouve sa vraiment triste, je me demande comment il aurait réagie à votre place... Il m'aurait surement déjà massacré à l'heure qu'il est..
-Tait-toi tu ne connais rien de Garett ! Sale garce !
Azu esquiffe un rire.
-Aller qu'attend-tu ? Tue-moi, tu en meurs d'envie !
Corrompu et anéantie par la tentation, elle prit son arc et faisait semblant de tirer. Azurya lui riait à la figure.
-Heureusement qu'ils m'ont enlevé mes flèches, car tu serais déjà morte !
Dit Lawdoris sous l'effet de la tentation intense.
-Dans le pays des morts, je dirai à Garett à qu'elle point tu as failli à seulement sa vengeance, a quelle point tu fus nul dans la vengeance de Garett. Je lui dirai a qu'elle point tu ne t'ai pas préoccupé plus que cela de lui !
-Tu ne le rejoindera pas, tu iras te faire torturé car tu es le déshonneur totale de ta race ! Vermine !
Dit la sous-consul en s'approchant. Ce fut donc son tour de rabaissé azurya, comme quoi elle n'était pas digne d'être elfe noir. Elle continuait comme cela... un bout de temps...
La conversation se terminait après quelques autres paroles sur la vengeance que Garett aurait droit.. Alors que la sous-consule disait à Lawdoris de revenir. Azurya anéantie par le besoin de sociale, s'écriait:
"Lawdoris, tu es une sote totalement déshonnorable, surtout à laissé Garett peiné, attendant une vengeance"
Ce fut les dernières paroles d'Azurya.
Post by Ryu Hattori, Adm. - May 27, 2008 at 1:15 PM
Le temps était à l'humidité comme depuis plusieurs mois maintenant, les vetements collaient à la peau rendant les vetements désagréable au possible. L'odeur d'algues et de sel se mariaient mal avec les reflux et les déjections humaines qui tapissaient le sol des cages.
Ryu s'approcha de la première grille de sécurité auquel il avait accès, il était à plus de vingt metres de la cellule de la panthère et n'avait aucun moyen de s'approcher plus près sans se faire remarquer et remettre à l'ordre par un membre du personnel de l'armée présent sur le site. Replacant ses mains en porte voix autour de sa bouche, il siffla la pantère afin qu'elle le voye.
- « hé ! Tu te plais dans ton nouvel environnement ? »*
* Un des gardes, le repoussa violemment à l'intérieur de son endroit, il ne semblait pas apprécier que l'on s'adresse à la panthère tant que son jugement n'étais pas passé en cour martiale. *
- « Recule soldat ! J'ai recu des ordres, personne ne s'adresse à elle ni ne vient la voir sans présence de la sous officier. »*
* Ryu opina du chef et salua le soldat dans un garde à vous irréprochable, son air était sérieux, il avait repris le contrôle de sa personne et la haine qui l'habitait envers Azurya commencait à s'enfoncer dans le néant de son esprit, il aurait été capable de faire des bétises si on l'avait laissé seul avec la belle dame au sourire d'ivoire, sa dague l'aurait démangé... mais ce temps la était révolu, il faisait confiance à la justice de Systéria. Il passa les portes verrouillée de l'île sous protection des gardes et repris son rapport sur l'intervention de l'hopital et sur les charges qui pesaient contre lui. *