L'association des commerçants au travaille
Post by Farric, AdC - December 29, 2008 at 7:42 PM
On pu voir un nain à la tête d'une petite équipe de menuiser de l'association des commerçants quitter la ville en compagnie de quelques chevals de traits. Ils se dirigèrent vers la maison des artisans. Peu après, on pu voir les menuisier décharger les chevaux de planches de bois. Ils se mirent à la tâche de construire une clôture assez haute tout autour de la maison des artisans et du chantier naval. Aucun trou n'était visible dans cette clôture. Pour en être certain, les menuisiers avait installés une deuxième couche de bois à la clôture, mais les planches parallèle à l'horizontale cette fois.
Bien évidemment, avant de compléter tout ça, ça prendrait un certain temps.
Post by Elrohir Elanessë, Ind - December 31, 2008 at 12:15 AM
*De nombreux autre chevaux de bât ainsi que de charrettes au couleur de l'association se dirigeaient vers l'endroit donné, pour ainsi rentrer dans le chantier. Peut de temps après le son de marteau sur enclume s'ajoutait au menuisier présent sur le chantier. *
Post by Farric, AdC - December 31, 2008 at 2:03 AM
Les réserves de bois furent rapidement asséchées, et bientôt une équipe de bûcherons de l'association s'occupa de fournir le bois nécessaire à la construction de la clôture. Bien évidemment, ils avaient tous leurs permis pour bûcher. Des chevaux de traits arrivaient régulièrement au chantier, pour ravitailler les travailleur en bois. La clôture avançait bien et était complétée au trois-quarts.
Quelques tentes de l'association furent installées afin de loger les travailleurs. Ils commençaient tôt le matin et finissait tard le soir. C'était quelque chose d'important, pour que quelque chose nécessite autant d'heures de travailles et en si peu de temps.
Post by Farric, AdC - January 2, 2009 at 8:08 PM
La clôture étant terminée, les bucherons buchaient maintenant afin de refaire une petite réserve de bois sur le chantier naval. On disait que le temps de son utilisation approchait.
Les gens de l'extérieur ne pouvait maintenant pas voir ce qui se déroulait à l'intérieur. Du moins à une hauteur normale. La clôture faisait toute le tour du chantier et de la maison des artisans, jusqu'au bord de l'eau. Une clôture longeait également la mer, afin de rejoindre les deux extrémités. Rien n'était visible de la mer non plus.
Post by Farric, AdC - January 7, 2009 at 6:43 AM
Finalement, un beau jour, le feu vert fut finalement apporté par un messager de l'association des commerçants, et on pu entendre peu après des bruits d'outils différent pratiquer sur le bois. Quelque chose se faisait construire à l'intérieur, mais seuls ceux à l'intérieur savaient ce que c'était.
Les travaux venaient de commencer.
Post by Garibald Adalard, Ad - January 8, 2009 at 2:52 AM
L'oeil des rôdeurs autour de la ville de Systéria était vigilant. Là où bien souvent certains gens de la ville, semblaient souhaiter s'approvisionner des richesses qu'offrait la nature.
Il n'est pas dire que les murailles construites au tour du jadis atelier de menuiserie, plus particulièrement à la fabrication de navire leurs attira l'attention. D'un pas vif et souple ils contemplèrent les allez et venu de cette association.
Tout ces voyages de bois, tout ces précautions allaient sans nul doute leurs porté réflexion.
Post by Koenzell Pandora, Cp - January 8, 2009 at 3:43 AM
C'est assie dans son bureau que Koenzell Pandora s'occupais des dépences et des sorties de bois des réserves de l'Association des Commerçants. Farric avait reçu le feu vert pour débuter les travaux a la tête des menuisiers et bricoleurs de l'Association. Cyanne Longeau a la charge des forgerons pour le peu que nous ayons devra ce charger des piesces de fer et d'acier que naisséssitera le projet. De nombreuses missives fûrent envoyé affin de demander aide et informer les gens concernés des avancement du projet.
Le projet devrais offrir emploie a de nombreux charpentier et autres rtisant vivant dans la misère. Pour les mois a venir, le chantier ne chaumera pas...
Post by Farric, AdC - January 13, 2009 at 3:58 AM
Les travaux avançaient de bon train et le tout était rentré dans une espèce de routine.
Post by Feu Zaō Minh Yu, AdM. - January 13, 2009 at 2:30 PM
C’est lors d’un reconnaissance pour la chasse que l’homme passa auprès de l’endroit. D’abord interessé par le bruit et ensuite piqué par la curiosité qui emanait du lieu, il ne lui en fallu pas plus pour grimper à l’un des arbres à proximité du lieu et de se rendre compte que l’endroit était vraisemblablement reutilisé à des fins de charpenterie marine.
D’un bon leste il rejoignit la terre avant de prendre la direction de la cite se massant les poignets. Dans l’air chargé de neige, ses paroles auraient pu se faire entendre par l’un ou l’autre.
*“ J’ai le moyen de gagner n’importe quelle guerre en mon sein et ils se bornent à construire des choses de bois qui n’auront qu’une utilité limitée. Le recent décrèt pour l’abolition de l’esclave apporte pourtant son lot de matière pour peupler ces galères.” *
*Marchant dans les bois, sur le sentier rendu détrempée par la neige fondante, il pris la route de l’auberge de l’indépendance. *
Post by Farric, AdC - January 16, 2009 at 6:53 PM
Les travaux continuaient sur la même lancée, et on pouvait y voir un messager sortir de l'endroit pour se diriger en ville et n'y revenir que plus tard. C'était surement pour informer des gens de ce qui se déroulait.
Post by Koenzell Pandora, Cp - January 21, 2009 at 2:44 AM
Les travaux avançais plutôt bien. De nombreux batîments fûrent batît. Les homme étais attendu pour peupler ces mastodontes.
Un homme de l'Association arriva sur le chantié pour donne une missive a Farric
Négoçiant Farric,
Je vous convoque dans mon bureau affin de discuter sur les rendus du projet.
Huissier Koenzell Pandora
Post by Farric, AdC - January 21, 2009 at 3:12 AM
Farric lut la missive et donna une réponse à l'homme, qui alla donner la réponse immédiatement à Koenzell.
Huissier Pandora,
Voici certaines de es heures de disponibilités
Négociant Farric.
Mercredi: Après 18:00
Jeudi: Pas pantoute
Vendredi: entre 13:00 et 15:00
Samedi: Avant 15:00
Dimanche: Pas en après-midi
Post by Thomas Bolton, Emp - January 22, 2009 at 7:32 AM
Le carrosse sombre de l’Intendant, arborant son austère blason, franchit à toute vitesse la porte ouest de la ville, celle-là même qui donnait sur le quartier portuaire. Le cocher pressait les chevaux, plus par peur de ce qui se trouvait dans l’habitacle derrière lui que pour ne pas être en retard. C’est comme s’il tentait, en vain, de s’éloigner de son maître. Peine perdue, évidemment. Six immenses navires de guerre mouillaient au port, en plus des habituels navires de commerce. Devant chaque ponton était installé des bureaux de recrutement semble-t-il. Chacun avait son capitaine et son second et… de longues files d’attentes.
Le cocher freina net près des quais. Lentement, la petite porte s’ouvrit en grinçant et le ministre sortit du véhicule, s’aidant de sa canne pour descendre les petites marches et enfin poser le pied au sol. Son regard sévère détaillait chaque commandant de navire avec attention. Il se dirigea vers le bureau de recrutement le plus proche. Un capitaine était en train d’embaucher un jeune homme.
« Mouais, tu feras l’affaire toi. Un jeune mousse comme toi, avec des bras solides, c’est ce qu’il me faut. Tu cuisines, petit ? »
« Non, m’sieur. J’ai pas c’te tour dans mon sac. Mais j’ai mon cousin qu’est v’nu avec moi et peut l’faire, pour sûr. »
« Ah bah sacré nouvelle. Embauchez, les deux ! Embarquez, foutredieu ! Et vous voila citoyen de l’empire, les gars ! »
Le capitaine allait passer au suivant quand il remarqua une silhouette sombre, ascétique et cette canne d’ébène qu’il ne connaissait que trop… de réputation.
« Oh, Vot’ Seigneurie ! Bonjour ! J’peux faire quoi pour vous ? »
« Je venais vérifier par moi-même si le recrutement avançait. Faites-moi votre rapport. »
Ton monocorde, calme. Regard sévère et froid.
« Et bien ça va vite. Me manque qu’un ou deux gars et je prends le large pour former tout ça. Ca va pas être simple au début, mais on a de bons éléments. Les demandes débordent de partout ! Promettre la citoyenneté en échange, ça attire pas mal de monde. »
Une lueur brilla quelques instants dans le regard d’acier de l’Intendant. Il ne répondit pas.
Un cri de joie retentit, ça venait du bateau. Des marins, des anciens expérimentés et des nouveaux, avaient débouchés un tonneau de rhum et commençaient à entamer une chanson.
« (…) Dix-huit nœuds, quatre cent tonneaux : J’y suis fier d’être matelot ! (…) »
Le capitaine s’étouffa, bafouilla quelques mots. En vain.
« Je sais, vous ne comprenez pas, vous vous demandez comment ce tonneau se trouve là et vous m’assurerez que ça ne se reproduira plus. Je me trompe ? »
Le capitaine bafouilla encore quelques mots et finit par hocher la tête vigoureusement.
Thomas fit le tour de tous les autres navires. Quatre avaient comme modèle La Bonne Impératrice, deux avaient été copiés sur les plans du Puissant Alur’Indel. Le Grand Maemor, l’Indépendance, la Dame des Mers, autant de navires nouvellement baptisés qui se constituaient petit à petit un équipage. L’Intendant s’était arrangé pour que chaque vaisseau contienne des marins ayant roulés leur bosse afin que les jeunes puissent être formés convenablement.
Décidemment, la flotte de Systéria était en pleine expansion…
Post by Farric, AdC - January 22, 2009 at 4:03 PM
Les menuisiers travaillaient toujours d'arache-pied à partir de tôt le matin, à tard le soir, et couchaient sur le lieu de travail, dans des tentes aménagées à cet effet. Tous étaient sous l'influence du Négociant Farric. Ce dernier avait l'air fatigué, mais ça ne l'empêchait pas de sourire en voyant le projet avancer à cette vitesse.
Post by Thomas Bolton, Emp - January 25, 2009 at 12:59 AM
Un beau matin, quelques jours après l’arrivée du navire du Bastion Berguenois, alors que le recrutement battait toujours son plein, une petite mais bruyante délégation perturba le travail des capitaines. Venant tout droit du palais, traversant la grande avenue et débouchant sur le port, Heimdall Ymir, Chef des Batailles sur l’Eau, accompagnés de ses ingénieurs et de quelques domestiques qui portaient de lourdes caisses de bois. Et ça beuglait, ça beuglait, ça beuglait sans cesse !
« Allons, dépêchons, bande de chiffes molles ! C’est pas des bras que vous avez, ce sont des cure-dents, ma fois ! Allez, on se dépêche, on se dépêche ! On a du pain sur la planche, c’est moi qui vous le dit ! »
Un des commandants, un peu plus brave que les autres se décida d’aller à la rencontre du grand costaud.
« Dis donc, on essaye de recruter, faites un peu moins de bruit. »
« Ben tiens ! Je suis mandaté par l’Intendant pour former tes gars, alors pousse moi ces fesses et laisse-moi faire le boulot ! »
Il écarta d’un geste du bras le recruteur. Ce n’était pas violent, mais sa force était-elle que l’autre tomba sur le côté. Heimdall se retourna et frappa dans ses mains pour attirer l’attention de ses ingénieurs.
« Bon, vous allez m’étudier tous ces bateaux et vous allez vous arranger pour faire ce que vous savez avec vous savez quoi ! »
De nouveau, il fit volte-face et s’embarqua dans un des nouveaux navires de ligne où l’équipage fraîchement recruté s’affairait aux tâches quotidiennes. Les domestiques le suivirent avec les quatre caisses pleines à craquer.
« LES GARS ! ON S’RASSEMBLE !! AUJOURD’HUI, J’VAIS FAIRE DE VOUS DES VRAIS MARINS !!! »
Et la formation débuta. Les techniques étaient celles des marins berguenois. Alors que les amiraux et autres capitaines de navires étudiaient la science des calculs lunaires apportés par l’émissaire Munesame de l’archipel Tsen et s’échinaient à en comprendre l’essence, le gros des équipages passaient aux travaux manuels.
Et le temps passa…
A la fin de la journée, à nouveau le fameux carrosse noir passa la porte ouest de la ville. Les recruteurs n’en pouvaient plus. Un malheur n’arrive jamais seul, dit le proverbe… L’Intendant sortit de l’habitacle, une fois arrêté près des quais, pendant que le cocher prenait soin de ses bêtes.
D’un pas réglé comme un métronome, le ministre avança vers un des seconds. Son regard sévère examina La Dame des Mers avec minutie.
« Faites votre rapport. »
« Et bien, heu, c’t’à dire, c’est un peu compliqué, m’seigneur. »
« Faites votre rapport », fut énoncé de nouveau, sur le même ton monocorde.
« Et ben, vous voyez la barre du navire là ? La forme dessus, bah c’est l’berguenois qui s’est étalé d’ssus ya moins d’une heure. »
Et effectivement, Heimdall Ymir ronflait bruyamment sur la barre, complètement amorphe.
« Les marins, par cont’, sont tous étalés un peu partout, m’seigneur. Ah oui et ya un doc de vot’ hosto qu’est passé prendre que’ques mousses. M’a dit qu’y avait à peu près quatre gommes titiliques. Savez c’que c’est, des gommes titiliques ? »
Thomas tourna lentement la tête vers le second qui était toujours aussi mal à l’aise. Après avoir laissé un silence de mort s’installer pendant une dizaine de seconde, il répondit sans ciller :
« Des comas éthyliques. Ils ont trop bu, tout simplement. »
« Ah, oui, titiliques, quoi. Bah sinon, ya les ingénieurs qu’ont bossé sur le bateau. Apparemment, on a la même chose demain sur les autres. »
« Bien. Vous enverrez les ingénieurs vers l’Association pour la modification des plans pour les rames. »
« Soit, m’seigneur. »
Et bien, la journée de demain s’annoncerait difficile pour tout un équipage. Et ça n’était pas prêt de s’arrêter…
Post by Thomas Bolton, Emp - January 31, 2009 at 6:32 AM
Un beau jour, longtemps après la venue d’Heimdall Ymir, le carrosse sombre de l’Intendant déboula du quartier portuaire et franchit à toute allure le pont qui séparait la cité du chantier naval. Alors que le cocher calmait les chevaux, des bruits sourds de sabots se faisaient toujours entendre un peu plus loin. Des charrettes remplies de bois franchissaient elles aussi le passage de pierre. Le contremaître qui gérait les ouvriers sortit en hâte accueillir le ministre.
« Monseigneur ! Nous ne nous attendions pas à une visite de votre part. »
Thomas ne le regarda même pas et avança de son pas régulier vers la grande porte du bâtiment.
« Je n’en doute pas. »
Son regard se posa alors sur la charpente d’un navire de ligne de type B. C’était la dernière sorte de vaisseau à construire, les Cybelle et Alur’Indel étaient déjà tous terminés. Son œil expert remarqua que les instructions de l’ingénieur du Bastion avait été prise en compte, le placement des rames était légèrement différent de celle des bateaux de l’empire.
Alors que l’Intendant s’entretenait avec le contremaître sur le délai de construction, un individu vêtu de marron et de vert fit intrusion dans l’établissement et se planta devant Thomas et son interlocuteur.
« C’est inadmissible ! »
Le regard sévère du ministre se braqua dans les prunelles de l’intrus.
« Un problème ? »
« Vous enfreignez le codex de la Fraternité ! Nous avions dit qu’il ne fallait plus prélever de bois tant que le dossier ne serait pas réglé ! Frère Gianni l’a dit dans sa lettre, Intendant ! »
« Mais je n’enfreins pas la loi, rôdeur. »
L’homme lui lança un regard colérique – il était dans son droit, qui plus est.
« Ah oui ? Alors il faut m’expliquer ce que font ces dix charrettes pleines de bois devant le chantier ? »
« Ce n’est pas le bois de Systéria. », répondit le ministre d’un ton parfaitement neutre.
« Vous ne manquez pas d’air ! Il vient d’où, ce bois, alors ? Des fesses de Vaerdon ?! »
La tension était palpable, mais elle semblait glisser sur le marquis comme l’eau sur les plumes d’un canard. Visiblement, la colère de l’homme semblait justifiée au regard de Thomas.
« Heimdall Ymir, Chef des Batailles sur l’Eau du Bastion Berguenois nous offre leur savoir-faire… »
Son bras désigna le navire en construction, ses doigts s’agitèrent au niveau de l’agencement des bancs de rameurs…
« … ainsi que la force des forêts berguenoises qui font de leur flotte une arme solide et souple. Pour des prix défiants toute concurrence. »
Le rôdeur restait méfiant – et à juste titre, l’Intendant était connu pour avoir l’esprit particulièrement alambiqué.
« Vous voulez dire que ça n’a pas été coupé ici ? »
« Vous êtes perspicace. »
L’Intendant se tourna alors vers le contremaître.
« Pour les prochains vaisseaux, vous utiliserez ce bois qui attend dehors. C’est une propriété impériale. »
La dernière phrase sonnait comme un avertissement…
Alors que le contremaître retournait à ses ouvriers, le marquis et le rôdeur sortirent et se dirigèrent vers un des véhicules. Une petite planche en fut sortie et tendue au membre de la Fraternité.
« Une essence qui ne se développe pas ici. Gardez-la, étudiez-la. Considérez ceci comme un présent. Néanmoins, sachez que ça ne remet pas en cause le dossier sur la sécurité des remparts nord. »
Et sur ces bons mots, les deux hommes se quittèrent, l’un moins en colère qu’à son arrivée. Et partout à Systéria, les habitants de l’archipel pouvaient voir que la flotte de la Couronne augmentait sans cesse. Les patrouilles se faisaient plus nombreuses, une abondance de navires mouillait au port…
Post by Farric, AdC - January 31, 2009 at 6:18 PM
Farric avait prit le tout en compte et les modifications furent apportés, bien évidemment.
Le travail tirait à sa fin et on pouvait sentir une certaine satisfaction du devoir accomplit dans le camp des travailleurs.
Post by Farric, AdC - February 2, 2009 at 4:42 PM
Après des mois au travaille, l'entièreté du travail était terminé, disait-on, les travailleurs avaient enfin droit de prendre un peu de repos avant de commencer à ramasser le tout.
Post by Farric, AdC - February 3, 2009 at 3:20 AM
Tous les artisans, y compris Farric, quittèrent les lieux excepté pour deux ou trois d'entre eux qui restèrent pour garder les lieux en ordre. Les murs étaient toujours là et le resterait encore pour un bout. D'autre travail à venir viendrait bientôt. Pour le moment, tous avaient droits à un peu de repos.
Post by Thomas Bolton, Emp - February 15, 2009 at 12:23 AM
Deux mois plus tard, les ouvriers du chantier naval profitaient toujours de leur congé bien mérité. Il n’y avait aucun travail à faire et la cadence qu’on leur avait imposée ces derniers mois justifiaient amplement cet arrêt d’activités. Les ingénieurs, par contre, ne se trouvaient pas dans la même situation. Le Surintendant les avait tous convoqués sur le quai afin d’embarquer dans un immense navire sans pavillon – et donc sans allégeance.
Le Grand Cavalier, dirigé par le capitaine Brun'Dox Bar’Dun. Ce navire était bien connu par deux fonctionnaires de l’administration impériale, tout comme le nain qui le commandait d’une main de fer. Quelle allait être leur réaction, voyant ce vaisseau de guerre d’Exophon accoster à nouveau à Systéria ? De l’appréhension ? De la peur ?
Quoiqu’il en soit, ce n’était pas le sujet. Le ministre s’était déplacé en personne pour parler aux ingénieurs et leur donner diverses instructions.
« Bien le bonjour. Aujourd’hui, vous allez avoir l’honneur d’embarquer sur le Grand Cavalier. Navire exceptionnel de l’ancienne Exophon. Malgré l’ancienneté du régime, il possède d’intéressantes caractéristiques. Le capitaine Bar’Dun a eu la gentillesse de nous en autoriser l’accès. »
Le ton était froid et monocorde. La gentillesse, mais pas seulement. Une lettre de créance de 110.000 pièces avait évidemment aidé le nain à se décider. Ainsi qu’un accès gratuit à la taverne du port.
« Par chance, nous avons essuyé l’attaque d’un kraken aux abords de l’océan. »
Les ingénieurs se regardèrent alors, les yeux ronds comme des billes, se demandant si le marquis ne s’était pas trompé. Avait-il pris un coup sur la tête ?
« La coque a pris quelques dégâts, aussi vous pourrez étudier l’architecture interne sans trop de difficultés pendant les travaux de réparation. »
Ah, c’était donc pour ça. Décidemment, cet homme voyait un côté pratique à toutes les situations…
« Nous n’avons aucun plan, aussi je compte sur vos talents et votre sens aigu de l’observation pour vous représenter l’entièreté de ce navire. Je suis conscient que nous ne pourrons le dupliquer, mais je compte sur vous pour en dégager plusieurs innovations que nous pourrons incorporer à notre propre flotte. »
Un murmure d’approbation s’éleva. Deux navettes embarquèrent les techniciens vers le vaisseau en question. Le Surintendant, quant à lui, retourna au chantier naval où la plupart des ouvriers se la coulaient douce avec le contremaître.
« Monseigneur ? Heu.. que me vaut le plaisir de cette visite ? », annonça ce dernier en jetant sa chope de bière dans l’eau.
« Je suis venu vous annoncer la réouverture du chantier. Vous pouvez commencer à sortir ce qu’il vous reste de bois du Bastion. D’ici dix jours, vous devrez relancer la construction à partir de nouveaux plans que vous fourniront les ingénieurs de l’administration. »
« Oh bien monseigneur. Autre chose ? »
Le Surintendant lui lança un regard glacial et ajouta d’un ton qui l’était tout autant :
« Soyez sobre, quand vous commencerez la construction. »
Ca sonnait clairement comme une menace. On n’était pas tenté de passer outre cet ordre.
« Et faites prévenir le négociant Farric et l’huissier Pandora de l’imminence de la reprise des travaux. »
Puis le ministre repartit au palais, pendant que les ingénieurs passaient au peigne fin le Grand Cavalier sous les rires gras du capitaine Bar’Dun…
Post by Koenzell Pandora, Cp - February 15, 2009 at 2:32 AM
Le message étant parvenue aux oreilles de Pandora, Un homme arriva sur le chantier un parchemin doré a la main. Plusieurs ouvrilliers arriva et l'amménagement du chantié pour une éventuelle réouverture vennait de commencer. Bien que les plans ne sont pas encore entre les main de chantier, quelques travaux avait commencé. ''La confection de planches ne demande pas de plan non?'' Lança Koenzell a un ouvrillier qui critiquais cette manoeuvre lancé par le huissier. L'ouvrillié ce taisa et retourna aux Chantier Naval.
Farric,
J'ignore si vous avez eu les nouvelles sur la réouverture, mais, je vous demanderais de tenir un rapport régulier sur les travaux et je vous prit de prendre contact avec l'Intendant pour l'obtention des plans. N'oublié pas de lui préciser que c'est moi qui vous a affecté a cette tache pour éviter toute confusions.
Huissier Koenzell Pandora