Pour l'amour
Post by Célestia, FdC - August 3, 2009 at 10:04 PM
Cette affiche était placarder un peu partout dans la ville. Une écriture distingué et douce, chaque lettre avait été vaporisé de parfum
À ceux qui croit en l'amour, celui qui vit de flammes, qui traverse la mort et résiste au feu, à ceux qui croit que l'amour est la raison de la vérité, qui crois que tout ce qui était, est et sera est fait d'amour, pour ceux qui pense que nos cœurs battent sans ce soucier de l'age, du nom ou de la facon d'être des gens..sans discrimination , que ces gens lisent les quelques ligne qui suivront... et qu'ils les récite, fredonnes, chantes à n'importe quel moment de la journée, n'importe où...
Je voudrais suspendre le fil du temps
Que tout ne devienne que des larmes d'antan
Que je croise à nouveau ton visage
Pour que s'efface l'orage
Laisser moi mes illusions
qu'elle s'envole à l'union
Je sais que ce n'est qu'un leurre
Mais j'en rêve tout les heures..
J'ai ton visage en mémoire
Qu'il ne ce brise comme un mirroir
Je cherche la pénombre
Sans toi je ne suis qu'une ombre...
Ils t'ont détruite... enfermer... tuée .. Mais sache que je t'aime toujours... et que peu importe ce qui arrivera.. nous allons être réunis dans un futurs proches.. Veilles sur moi jusqu'à ce que mes lèvres puisse rencontrer à nouveau les tiennes. Tu étais leur reine, tu étais ma reine, je te garde en mémoire comme la seule que je n'ai jamais aimée...... Je t'aime, et aucun feu salvateur, aucune menace ne changera ce que j'éprouve pour toi..
Signé
Amour et liberté......
Post by Ärold, AdC - August 4, 2009 at 1:10 AM
Le pas lourd, frappant de ses talons les pierres de la ville, usant alors à chaque enjambée le cuir de ses bottes, Ärold passa devant l'affiche et fut tout de suite attiré par le doux parfum qui s'en réchappait des mots.
Approchant sa carcasse, il lu de façon attentive les multiples vers rimant, tel un tourbillon d'encre exécutant un ballet. Passant sa main à son crâne tatoué, comme il avait si bien l'habitude de faire, Ärold ne pu s'empêcher, sachant ou non ce que signifiaient ces mots, d'attraper un brin de mélancolie en parcourant son regard sauvage et jaune sur le parchemin.
Comme il pu constater plusieurs exemplaires en ville, il se permit d'en garder un sur lui.
Tellement peu de gens prônaient les valeurs fondamentales, ne s'arrêtant qu'à leur guerres des dieux se dit-il. Le pas pesant il continua alors sa route, un papier réchauffant ou glaçant son cœur selon la façon dont il pouvait être perçut.