Une arrivée mouvementée

Une arrivée mouvementée

Post by Kenichi Eringyas, AdC. - August 12, 2009 at 12:04 AM

Une arrivée mouvementée
Du sport dans le quartier du port

" Hé toi ! Le petit ! Viens par ici "
Le cri provenait de l'intérieur du quartier portuaire, les bruits de pas sur le sol glissant couvrait presque les paroles des deux malandrins qui s'étaient donnés la chasse à l'homme dans le petit quartier. La nuit était tombée depuis peu quand ils l'avaient découvert près d'une barrique de bois endormi, les mains serrées autour des ses genoux pour conserver la chaleur de son corps dans les pauvres vêtements qu'il portait.

" Je l'ai vu passer ici ! J'en suis certain, il ne peut pas être loin."
Les deux compères qui avaient réveillé le demi elfe d'une série de coups de pieds avaient perdu sa trace depuis presque une demi heure, il semblait s'être fondu dans l'ombre le peu de luminosité ne les aidaient pas le moins du monde. Ils le retrouvèrent près d'une maison qui tenait lieu de journal, l'endroit était désert et les mercenaires de garde semblaient avoir déserté l'endroit pour aller se rafraichir le gosier d'une bière à la taverne " Engajin voo !"

Le demi Elfe les attendait dans l'allée principale, alors que même les rats tentaient de quitter l'endroit qui semblait devenir l'endroit parfait pour un mise à mal du nouvel arrivé. Dans les flaques d'eaux, se mélangeaient les reflets de la lune et ceux des lames que les voleurs avaient sortit de leur poche.

" Tu va nous donner tout ce que tu as sur toi blanc bec à la peau grise ! tout ce que t'as ! même tes loques."
La remarque amusa beaucoup l'autre voleur qui s'avança d'un pas rapide sur le jeune homme dont l'origine laissait deviner le métissage de sang. Une main armée vint à se tendre à hauteur du ventre de celui ci, d'un mouvement de l'avant bras il dévia la lame rapidement, un pied vint se poser sur celui de l'assaillant, la main remonta à toute vitesse au cou de celui qui l'agressait, traçant une ligne rouge au point d'impact. Voyant son compère mis au sol en un seul coup, l'ambition de vider la bourse d'un pauvre débarqué fut semble t'il mise en péril. Lâchant même la dague qu'il tenait, il s'évapora dans les ruelles du quartier. Au lieu de perdre sa bourse déjà si mince, il venait de récuperer une dague de bonne qualité, il devait quitter les lieux avant le réveil de celui a qui il venait d'offrir un repos bien mérité.

Une cité calme.. Qui lui avais dit cela ?

[Post ouvert à tous]


Post by Ronald Lagerfeld, Adc - August 12, 2009 at 4:12 AM

A peine descendu du bateau le menant à Systéria, l'élégant Azcalen de Sainte-Valériane ne put que prendre connaissance de l'état de délabrement plus qu'apparent du vieux port et de ses habitants, le sourcil levé. Les deux pauvres porteurs de malles postés en arrière croulèrent sous les coups des quatre brigands en haillon qui tentèrent, et à juste titre, de les détrousser. Fort d'un nombre plus que double, ils partirent avec ses effets, ne lui laissant qu'une simple chemise mal-odorante et un pantalon de jute sans élégance. Les lèvres pincées, il n'était en rien l'occasion de crier vengeance et son humilité, bien que amoindrie ne laissa pas place à l'énervement. Non, s'abaisser à un tel acte de violence à l'encontre de coquins et vilains alors que l'on découvre à peine une terre ne lui plaisait en rien. Ou était-ce simplement une couardise mal placée.

Il posa une main sur le torse de son fidèle conseiller et ami, lui intimant de ne pas chercher à rattraper ces brigands et il congédia d'un geste leste ses porteurs.

D'un geste agacé il leur intima de partir, ce qu'ils firent sans demander leur reste, remontant à bord du bateau la mine basse.
C'est en baguenaudant au gré des ruelles de cet endroit infecte que le bourgeois tomba en plein combat opposant le jeune garçon fougueux aux facultés martiales étonnantes et les malandrins. Lorsqu'il en eut fini du premier brigand et que l'autre prit la fuite, il esquissa un bref sourire à son attention, sortant de derrière deux caisses de bois pourris, suivit de prêt par son protecteur Jacomo de Serano et le félicita d'un applaudissement au bout des doigts, exécuté avec style et justesse.

Son regard bienveillant glissa des pieds à la tête du jeune bretteur non sans faire preuve d'une analyse critique de son habillement alors que le sous voletait dans les airs jusqu'au garçon.

Il esquissa un sourire entendu à l'attention de Jacomo suivit d'un rire étouffé et discret qu'ils échangèrent tout deux. Puis il invita le jeune garçon à le suivre jusqu'à une source d'eau afin de lui laver le visage...

Qu'en serait-il de sa réaction face à cette invitation?


Post by Mikhael Lestat - August 12, 2009 at 8:44 AM

Une arrivée des plus simple.

Un bateau arriva au village portuaire, Un jeune homme y débarqua avec des vêtement tout délabrer. il semblait désemparer. Il regarda les autres passager descendre du bateau, les un après les autres fixait le jeune homme. après quelques instant, il se décida d'avancer, car sur place, il ne réussirais surement pas a survivre dans cette archipel. sur le chemin boueux du village, il vit une vielle dames qui semblait transporter des objets lourd. Le jeune homme alla immédiatement porter son aide.

- Laissé moi vous aidez, cela semble un peu lourd.

une fois que les caisse en question étais maintenant dans la maison de la vielle femme, celle-ci lui demanda son nom.

-Je me nomme Mikhael Lestat, ravi de vous rencontré.

la vielle dames étais encore surpris de voir qu'il y avait encore du monde polies et serviables. Il commença a faire noir dehors, le jeune homme n'avait nulle part ou dormir, la vielle femme l'invita donc a dormir dans la grange. Elle lui avait préparer un ragouts pour le remercier de son aide.

Mikhael lui sourit.; " C'est grâce a mes parents qui mon donné une bonne éducation.." puis il entama le repas avec faim. Après quelques bols de ragouts, Mikhael était intriguer par ce qu'il l'attendais dans ces contré. il posa donc quelques question a la vielle dames.

-** En fait, je me demande bien pourquoi vous êtes venu en ces terre... Ces terre sont vraiment pitoyable... Les guildes contrôle tous ici.. Par exemple, les mercenaire, eux sont payer par de riches bourgeois afin d'assuré leur sécurité mais ils sont avide de richesse. Ils ne veulent que l'argent, tu te fait volé devant eux, il ne front rien..**

-Je vois... cela est très fâcheux...

la femme ce tut pendant quelques instant, puis regarda un "ordeux" passer a l'extérieur. Sont visage ce ornas d'une grimace en voyant cette homme passer a l'extérieur. Mikhael semblait intriguer.

- Et les ordeux eux... Ordre du soleil.. eux ne cherche qu'a contrôlé les Grand Quartier. Si tu n'est pas de leur avis, tu est un Hérétique. et tu est amené dans leurs prisons afin d'y pourrir vivant ou d'être brûler sur le buché..

Mikhael afficha un sourire en coin, ce leva puis s'inclina.

- Je ne peu accepter l'offre de rester ici pour la nuit, je dois apprendre de moi même, et je suis curieux de voir a quoi ressemble ces terre durant la nuit.

La vielle dames continuait sont long chemin vers sa chambre, pour y reposé son corps fragile, puis la lumières qui dansait dans sa chambre s'éteignit ; " Très bien, bonne chance dans votre aventure... "

Mikhael était maintenant arriver dans la cité. Systéria y était écrit sur l'arche d'entré de la ville. Il avança, prêt a toutes éventualité. marchait calmement, puis arriva a une taverne, "Coin Chaud" étais inscrit sur une pancarte.


Post by Kenichi Eringyas, AdC. - August 12, 2009 at 2:33 PM

Le jeune homme regarda le sou voler, tourbillonnant dans le peu de clarté, renvoyant parfois un reflet d’une lanterne ou d’une autre source lumineuse. D’un pas de coté il se décala et laissa la pièce tomber dans une flaque d’eau, ce qui ne manqua pas de consteller son pantalon d’une série de taches supplémentaires.

D’un poigne solide, il redressa l’homme qui avait tenté de l’attaquer pour le déposer contre le mur ou il s’affala un peu plus avant de pouvoir reprendre ses esprits ce qui ne tarderait pas, d'un geste souple il se baissa pour prendre la dague au sol et la glisser à sa botte. Sa voix sifflante comme tout T’sen se fit entendre quand il déclina l’invitation de celui qui lui proposait de le suivre puis son regard se posa sur la pièce à moitié enterrée dans la flaque de boue et il rendit un faible sourire au lanceur.

*« Ne me prenez pas pour ce que je ne suis pas. Je ne suis ni mercenaire ni ronin, ma défense était simplement la sauvegarde de ma santé et de mon intégrité physique. » *
Il replaça ainsi ses longs cheveux blancs qui lui tombaient dans les yeux derrières ses oreilles et s’avança en silence dans l’obscurité du quartier pour y trouver un autre endroit afin de s’y reposer du moins jusqu’au lever du soleil.

L’animation commençait tout doucement dans le port, des navires partaient pour prendre le salaire du jour, d’un métier dur qui n’épargnait pas les douleurs ni les pertes tant en vie qu’en matériel.


Post by Noür/S. Eringyas, mortes - August 12, 2009 at 5:39 PM

À l'aube naissante, la Sorcière Blanche T'sen, une demi-elfe à la chevelure de jais et aux yeux carmin en amande, cueillait des fleurs de belladone et amassait racines et tiges de mandragore dans un panier qui pendait à son bras. Son kimono, du même ton que ses yeux, voletait dans la brise venue de la mer, non loin.

Ce panier, désormais presque plein, pendait encore à son bras lorsqu'elle s'en fut au quartier portuaire, profitant de la brise saline qui cinglait, jetant un regard sur les prises qui, la plupart du temps, ne la satisfaisaient jamais autant que ce qui pouvait se faire prendre dans les filets d'Hatôshima. Un petit panier d'huitres noires proposé par un des vendeurs finit par attirer son attention. Après avoir tiré de son panier un petit sac, elle en tira une gemme de petite taille, par un réflexe qui ne s'était pas encore effacé depuis l'an passé à Systéria, puis quelques écus après que le marchand eut spécifié son désir de paiement.

Les éclats de voix trop animés déjà, dès l'aurore, ne semblaient pas troubler sa sérénité ni son masque impassible.

Achevant sa promenade, les voix émanant d'une ruelle attirèrent son attention.

Puis, voyant qu'il n'y avait pas d'esclandre, posément, elle inclina la tête à la manière des siens, vers ceux qui se tenaient là et qui auraient peut-être entraperçu son regard.


Post by Kenichi Eringyas, AdC. - August 12, 2009 at 9:07 PM

Quand le port ressemble à l'archipel.

Son regard se posa sur la demoiselle qui s'aventurait dans le quartier du port, la couvrait t'il du regard ? Regardait t'il son sac ? Ou avait t'il vu le rubis qu'elle avait sortit de sa bourse ? Mentalement il en fit une brève description avant de la saluer d'une timide avancée du corps vers l'avant, à la méthode T'sen.

Il pris le chemin qui le menait vers le centre de la cité, il était temps de s'aventurer dans cette cité, il était temps de prendre ses repères, de connaitre le monde tel qu'il l'était en cette ile. Manifestement l'archipel T'sen avait déversé quelques un de ses habitants dans la cité. Assis sur ses talons, il regardait le peuple de systéria passer, ses yeux noirs fixés sur l'un ou sur l'autre, replaçant ses cheveux blancs derrière ses oreilles dans un geste rapide.

On put l'apercevoir rôdant dans les environs, visitant quelques endroits, jetant son regard sur tous les détails que peut offrir une cité à un homme qui débarque d'un endroit qui ne ressemble en rien à tout ceci. Voir la multitude de races mélangées, voir et entendre les sons de plusieurs langues, c'était une nouveauté pour celui qui se nommait Kenichi. Quand il dépensa sa dernière pièce pour s'acheter un morceau de pain, il se rendit compte qu'il lui faudrait trouver un travail rapidement dans l'une de toutes ces guildes. L'on était jour du soleil, beaucoup se dirigeaient vers les différentes chapelles de la cité, c'est la qu'il se trouva, suivant la vague du troupeau de fidèles.

Son regard parcourut un instant les personnes présentes, comme si il s'attendait à croiser le regard de l'un ou l'autre.


Post by Nikita, OdS - August 12, 2009 at 10:30 PM

Peu à peu, le ciel s'assombrissait.
Les passants se faisaient de plus en plus rares.

Sur son chemin, la Prêtresse n'eut d'autre choix que d'allumer une torche pour éclairer ses pas. Elle empruntait un chemin secondaire, allant rejoindre le Sanctifiant Télesphore à l'auberge à plus populaire de la Moyenne-Ville, d'un pas feutré, presque furtif.

C'est lorsqu'elle tourna doucement au coin du chemin que la lueur dégagée par sa torche se refléta dans une paire de yeux qui se tenait à l'écart et qui observait les quelques passants téméraires qui s'aventuraient dans les environs. Il n'y avait que cette paire de yeux sombres qui la fixait incessamment, le reste n'était qu'obscurité.

La Prêtresse s'immobilisa, et malgré tout, probablement contre toute attente, elle s'en approcha ... braquant sa torche droit devant elle en marchant lentement, d'un geste calculé et réfléchi.

Petit à petit, une longue chevelure argentée lui parut de plus en plus définie. Nikita déglutit faiblement alors qu'elle devinait les orgines de l'individu qui se tenait là, sans broncher. Elle n'en fit qu'à sa tête et continua son approche.

Une fois qu'elle fit pleinement face à l'inconnu qui n'avait qu'élevé son regard pour la regarder, la Prêtresse Nikita lui adressa la parole, sur un ton de voix intrigué mais distant, totalement dépourvu de crainte ou d'offense.

- Sieur, que faites-vous ainsi dissimulé dans les ombres?

Et elle resta ainsi, torche bien élevée au dessus de leurs têtes, attendant que l'étranger s'explique.


Post by Kenichi Eringyas, AdC. - August 12, 2009 at 10:44 PM

Le jeune visage se redressa vers celle qui tendait une torche vers lui, comme un paladin qui souhaite allumer un bucher sur lequel se trouve un infidèle, les ombres de la torche jouant avec les ombres de son visage. Son regard noir la détailla, passant en revue ses habits, tentant de reconnaitre en sa tenue la guilde dont elle faisait partie. Il savait déja que le pourpre était aux sorciers, le vert au mercenaire mais ce fut la croix qui battait la cuisse de la demoiselle qui l'informa que le blanc couleur du deuil sur l'archipel était celle du saint ordre de thaar.

Toujours assis sur ses talons, il croisa son regard avant de lui élever la voix, sifflante comme l'est toujours une voix de l'archipel, sifflante mais douce à la fois, impossible presque à la description de celui qui se tenait devant elle de savoir si il s'agissait d'un être masculin ou féminin. Les mauvaises langues ne disaient t'elle pas que chez les elfes noirs cela avait peu d'importance et celui ci n'était t'il pas à moitié bâtard ?

" Je cherche un emploi au sein d'une guilde et je voulais voir à quoi ressemblait votre culte en cet endroit. Je n'ai pas l'habitude de toute cette agitation en fait, quels sont ces symboles sur la place ou ils se signent avant de se rendre dans cet endroit ?"
Il tourna la tête vers l'entrée de l'église ou les personnes entraient peu à peu pendant que les cloches résonnaient dans toute la cité, c'était l'heure de la prière et beaucoup du petit peuple se pressait aux portes du temple. Au sol, les vertus de thaar étaient illuminées comme si un flambeau était braqué sur eux.


Post by Phoebee de Sorgrad, AD - August 13, 2009 at 10:43 PM

Fidèle a elle-même, la jeune femme suivait ses pieds avec une certain detachement a ce qui l'entourait. Évitant le flux de circulation du chemin principale de l'entré de Systeria, zigzaguant parmi la foule, Elle n'aurait pas vraiment attirer le regard si ce n'etait du corbeau qui la suivait de près. Son gros bec croassait en se pausant devant elle, sautillant de coups d'ailes. Un sourir s'accrocha a son visage tendit qu'ele se pausa sur les marches de la fontaine principale. Elle garda son vieux tambour entre ses jambes pour mieux fouiller dans son sac.

On pouvait vraiment voir tout les gens a Systeria, ce qui rendait les differences de chacun plutot commun. Néanmoins, on pouvait sentir le parfum des nouveaux venu; celui du sel de mer, d'algue, cette puanteur des bateaux de voyage mais aussi une fragrance d'exotisme. Le regard perdu, les vetements a la mode des autres pays. Phoebee avait encore un peu de ses distinctions meme si elle semblant d'avantage exotique. La peau basané et ses cheveux indiciplinés etait ramasser par deux tresses passant derrieres ses petites oreilles effilés. Cette coiffure accentuait les trait defini de son visage, a la machoire carré, les levres genereuse et les yeux en amande typique de larchipel t'sen. Ses yeux jaune faucon se posait sur les personnes qui passait tout en lancant des petits bouts de fruit sechés a son ami ailé.

Le corbeau sautait en agitait les ailes comme un amuseur de foule quêtant de la nourriture. Certains passants s'arretaient croyant voir la un spectacle de saltimbanque.... Ses traits devint un peu plus tendu avec un mal aise croissant... Elle maudissa le corbeau silencieusement qui s'amusait d'elle comme un esprit malin.