Odeur suspect au quartier pourpre.

Odeur suspect au quartier pourpre.

Post by Durnik Eclatfer, Adc - October 11, 2009 at 12:51 AM

Les premiers rayons de soleil perçait l'horizon, peut à peu la cité s'éveillait au chant des coqs qui criaient un peu partout. L'activité prenait de plus en plus d'ampleur lorsque les heures approchèrent de l'apogée du soleil.

Comme à son habitude un jeune apprentie légionnaire revint vers les locaux pourpres quand il fut interrompu par une vieille personne.

*Levant légèrement le doigt à ce qu'elle disait, elle semblait pointer le bâtiment de la Légions pourpre. *

Elle ne pu achever sa phrase, le jeune apprenti semblait déjà filer vers le lieu.

Approchant du lieu, l'apprenti senti peu à peu l'odeur particulière qui lui chatouillait les narines, l'odeur semblait est de plus en plus forte à l'approche du bâtiment de la légion, apparemment une chose étrange semblait si produire.

Plus le temps passait et plus les rumeurs se propageaient sur cette affaire dans toute la ville.


Post by Noür/S. Eringyas, mortes - October 14, 2009 at 2:51 PM

Érudite Eringyas...

Avait lancé l'apprentie Légionnaire, qui un temps après était venue cogner à Zon'Jiru. Blême, son foulard à demi remonté sur le visage, le regard affolé.

Damoiselle?

Vous êtes Médecin-Chef à Sainte-Élisa, aussi, non? Je... venez.

Dit la jeune femme, à court de mots, la voix blanche, hésitante. Surumë enfila ses getas, sa cape et lui emboita le pas jusqu'au bâtiment de la Légion. qu'importe ce qu'elle pourrait y trouver


Post by Durnik Eclatfer, Adc - October 15, 2009 at 12:09 AM

Érudite... Nous avons trouvé la source ...de cette puanteur...

Regardant droit dans les yeux la jeune femme, il semblait un peu hésitant

Mais nous avons un petit problème.

Se retournant, il prit la direction de la bâtisse à côté où deux légionnaires semblaient garder l'entrée de celle-ci.

Il nous faut l'autorisation de pouvoir entrer dans cette maison, car son propriétaire, le Navarque Menethil semble encore absente. Nous avons essayé de regarder à l'intérieur mais c'est fort sombre.

*S'écartant légèrement, il laissa l'érudite vérifier quelque chose, si elle devait le faire. *


Post by Noür/S. Eringyas, mortes - October 15, 2009 at 1:26 AM

Après avoir accompagné le Légionnaire au lieu dit, la damoiselle Eringyas arrêta son regard dans le sien

Légionnaire, vous conviendrez que la logique nous impose d'aller vérifier ce qui se trouve derrière ces portes closes. Je prend sur moi les conséquences de cette digression, les circonstances ne sont pas usuelles et nous imposent des mesures exceptionnelles. Je m'occupe pour l'instant des instances immobilières du Quartier Pourpre et des droits de notre confrérie sur son immobilier avec sieur Shaytan, si quoi que ce soit pose problème, je saurai régler la chose.

Faites fondre le loquet, abimez le, usez de télékinésie afin de le crocheter, peu me chaut. Mais les circonstances nous imposent d'entrer là-dedans et de faire les vérifications nécessaires. Que ceux qui sont présents soient prêts à tout. Vous savez quoi faire.


Post by Durnik Eclatfer, Adc - October 20, 2009 at 2:11 PM

Hochant la tête en direction de l'érudite, le légionnaire se tourna vers la porte de la maison, murmurant d'un faible mot tout en regardant la serrure. Essayant d'ouvrir le légionnaire ne fut pas surpris de voir que la serrure n'avait pas bougé. S'essayant avec d'autre sortilège le résulta restait le même. Grommelant légèrement en voyant que ça lui résistait, il prit le plus simple moyen, défoncer la porte.

A l'ouverture de la porte, la forte odeur déjà présentent dans les alentours, s'intensifia, laissant à plusieurs, l'envie de remettre leur dîner.

Ce n'est qu'après quelques minutes que plusieurs légionnaires masqués d'un foulard purent rentré inspecter la maison, fouillant les moindres recoins de celle-ci toujours sur leurs gardes.

Ce n'est qu'après plusieurs longues minutes que le légionnaire de tantôt revint près de l'érudite.

Nous avons trouvé la source du problème, Erudite...

*Accompagnant la Dame au lieu demander, le légionnaire la regarda faire. *


Post by Noür/S. Eringyas, mortes - October 24, 2009 at 9:01 PM

L'Érudite s'avança d'un pas sûr, dans la maison obscure, au milieu des Légionnaires verdissants. Les lieux sentaient la mort, odeurs de putréfaction, de la chair qui s'étiole. Elle y était usée, après tout comme Médecin-Chef et responsable des autopsies, elle avait pu voir bien des choses, bien des horreurs.

Des traces de pas dans la poussière accumulée, plusieurs étaient passés. Des pillards, sans doute, puisque les lieux étaient dépouillés. Le sac de la femme, gisant dans une mare de sang coagulé, était aussi éventré. Dans cette cité, on préférait souvent l'avoir à l'être...

Et la femme, ancienne Navarque, gisant là dans la mare sanglante, en son torse s'épanouissait la fleur grenat de ses entrailles, courtisée par le ballet et le chant des mouches. La femme, une rune abimée, ayant permis cet ultime retour, crispée en sa paume.

Surumë donna l'ordre qu'elle soit transportée à Sainte-Élisa pour autopsie, elle préviendrait les gens de la Confrérie... ainsi que le sieur Menethil, qui en était sans doute parent. Laissant le loisir aux légionnaires de se remettre de tout cet émoi... pour peu qu'ils ne rendent pas leur diner.