Le sang du combattant.

Le sang du combattant.

Post by William Menethil. - October 27, 2009 at 7:11 AM

L’annonce d’un décès.
Une fin un début…

- William cesse d’agir en mauviette, frappe bon sang!! Tes coups son faibles et lâches, tu peux faire mieux!

Le jeune gamin de sept ans était grandement essoufflé et à bout de forces, il tentait d’atteindre son père avec ses coups de pied et de poings. Cependant son père était un grand combattant, il esquivait beaucoup trop rapidement pour le jeune garçon. Son père lui racontait souvent que c’était dans leurs gênes, là d’où il venait, les duels et les combats était des compétitions très populaires et bien apprécier de la haute noblesse. Les combattants de la ville natal de son père, était tout fois très loyale et accompagnaient leurs affrontements ainsi que leur chasses de plusieurs règlements. Leurs désire de toujours se surpasser et de repousser la limite de leurs puissance était démesuré. Lorsqu’ils combattaient, ils retiraient énormément de plaisir face au défis, plus l’adversaire étais expérimenté et puissant, plus le jeu devenait plaisant.

En grandissant, William apprit à s’entraîner chaque jour sans relâche. Le monastère ne lui fut pas de la plus grande aide sur se coté, chaque jour on leurs enseignait la discipline a travers les arts martiaux. Développant ainsi son potentiel déjà grand a travers les années, le jeune blondinet ne cessa d’accroitre son désire de combattre. Joignant la plus part du temps son devoir de protecteur a sa passion, il allait régulièrement au cimetière ou dans la crypte sous le temple. Pour dire vrai, il faisait rarement autre chose…

Son entraînement continu, fit de lui un gamin de 17 plutôt doué et discipliné. Cependant il n’avait pratiquement aucun ami, ce qui faisait de lui un jeune homme bien solitaire. La seul famille qu’il lui restait jusqu’à ce jours, était sa mère…

Il la cherchait depuis sa sortie du monastère, mais toujours ses recherches n’aboutirent en rien. Jusqu'à cette soirée, deux pourpres qu’il connaissait plus ou moins, lui annoncèrent la mort de sa mère en lui signifiant de s’adresser a Surumë Eringyas pour plus de détaille… William fût fortement ébranlé, il sortit aussitôt du coin chaud puis se téléporta on ne sait trop où…

(…)

Il y a une silhouette perché au sommet du cloché de la cathédrale… il fait tellement sombre… Ce n’est peu être que mon ombre. C’est fort probable, je me sens si seul... Je regarde la ville et elle semble être tout et rien à la fois, elle est tout ce qu’il me reste, mais pourtant je n’y connais pratiquement personnes. Je n’ai maintenant aucune famille, le seul port d’attache me restant est l’ordre du soleil. Je n’y vois aucun changement. Depuis maintenant longtemps j’avais appris à vivre sans elle. Sa mort ne fait qu’apaiser mes craintes, je sais maintenant qu’elle ne souffre pas…Ou ne souffre plus… J’aurais aimé lui dire au revoir, j’aurais voulut qu’elle voit ce que je suis devenu, mais les regrets ne sont cependant que des chaines retenant l’avancement du court normal de la vie. Je me dois d’être fort, je dois rester debout ne pas m’écrouler. Je suis un protecteur du culte de Thaar et je me dois de protéger les habitants de Systéria. Tel est mon devoir… Maman veille sur moi.

Alors que la lune éclairait pleinement le clocher de la cathédrale à travers le ciel sombre de la nuit, William s’enroula dans sa cape en croisant les bras, puis il fit un pas dans le vide en murmurant quelques choses d’inaudible et disparut dans sa chute, avant de toucher le sol. Nul ne sait ou il réapparût mais quelques heures plus tard on retrouva un bouquet de fleur mauve sur une tombe ou un casque de sanguine fût jadis gravé dans la pierre…


Post by Feu, Arthas Menethil - November 3, 2009 at 7:29 PM

Malgré la détresse morale de son fils, de haut des cieux il veillait sur son héritier. Laissant parfois présentir une faible présence à chaqu'un de ses combats. Parfois même lorsque le jeune Menethil pouvait river son regard vers le ciel, dans un élan de détresse, il pouvait toujours y perservoir une lueure enflamée tout prèt du soleil. Appaisant la populace par ses chauds rayons et procurant la vie aux êtres si fragile de la nature.

Même si il reposait désormais en paix, il s'efforcait de toujours garder un oeil sur son fils si précieux.