De la basse-ville à la Haute-ville...
Post by Miséricorde - November 2, 2009 at 6:36 AM
Une flèche sifflait dans le ciel de la basse-ville celle-ci passa les grand murs et semblait avoir terminé sa course dans le Quartier de notre cher Ordre du Soleil
Post by Armahel Maelwen,Ind - November 2, 2009 at 6:58 AM
Armahel passa dans le quartier, allant récupérer son salaire afin de le déposer devant une croix Thaarienne. Il entendit un sifflement et, par réflexe, se tourna vers l'origine du sifflement. Il attrapa la flèche en vol, mais pas avant que la pointe ne lui est fait une estafilade à la joue. L'elfe examina la flèche, cherchant un quelconque signe qui pourrait y être gravé.
Il jeta un oeil vers la direction d'où venait la flèche.
"La basse-ville..."
L'elfe décida de conserver la flèche, essuyant le sang qui coulait de la coupure sur sa joue et se dirigea vers la basse-ville, chapelet à la taille. Qui pouvait bien être assez cinglé pour tirer des flèches ainsi? Quelqu'un qui en voulait sans doute à l'Ordre, puisque la flèche aurait fort bien pu se planter dans la couenne d'un garde ou autre citoyen du quartier saint....Armahel respira calmement, ses sens à l'affût. Il alla dans un coin plus reculé du quartier, où le coupable se trouverait sans doute.....
Post by Noür/S. Eringyas, mortes - November 2, 2009 at 7:34 AM
De la fenêtre de Zon'Jiru, un regard carmin, curieux.
Aurait-il percé le voile de la nuit, le passage des badauds? Entrevu quoi que ce soit, qu'un autre n'aurait pu voir, en Basse, de son perchoir?
Qui sait...
Post by Miséricorde - November 2, 2009 at 7:36 AM
Heureusement que deux exemplaires avaient été tiré de la basse-ville. Un avait atteind son destinataire et détruit un jolie Rosier d'une belle infection.
Pour les habitants de la ville, une simple Chevalière vétu de blanc et de rouge aurait pu être perceptible.
Post by Miséricorde - November 2, 2009 at 10:11 PM
*La chevalière blanche avait su que l'une de ses lettres avaient été intercepté par un autre membre de l'Ordre du Soleil. Parfois, il faut apprendre à se mèlé de ses affaires... Trop en savoir apporte souvent le Chaos dans l'esprit des plus tordues. Et le chaos apporte la peur et la peur mène à la misère de soit même. **Trop de misère mène au suicide même si souvent il n'est pas voulu. ***
Un ricanement des plus lugubre et froid transperçait la nuit de La Basse-Ville.
Post by Armahel Maelwen,Ind - November 2, 2009 at 10:40 PM
Armahel revenait bredouille de la basse-ville. Il n'avait trouvé aucun suspect, ni aucun indice. N'importe quel coupe-jarrets de la basse pouvait avoir tiré le projectile empoisonné.
L'elfe restait maintenant sur ses gardes. Ayant trouvé la flèche et l'ayant envoyé à ses supérieurs, le moine pouvait très bien devenir la cible de la personne qui voulait faire éliminer Shaytan, pour la simple raison qu'il venait de se mettre en travers du chemin du coupable.
Post by Kenichi Eringyas, AdC. - November 2, 2009 at 10:42 PM
Le ciel était remplit de nuages dans la basse ville, les pas des passants s'arrachaient à la boue avec un horrible bruit de succion, comme si la terre voulait englober les chaussures ou les sandales des gens de passage. Alors qu'il plaçait une potion de grande agilité dans une fiole propre, un rire démesuré le fit sursauter.
Le contenu de la fiole s'épancha sur le banc de bois qui absorba la moitié, fou de rage d'avoir ainsi perdu le travail d'une journée entière, le demi elfe s'avança sur le pas de la porte détaillant l'obscurité d'un regard rapide. Les deux légionnaires le toisèrent amusés, l'un d'entre eux eu même ces mots.
" Oh vous inquiétez pas, j'ai été un moment de service à l'asile St Elisa, celui qu'on a transformé en hopital maintenant. Des cris de malade comme ca j'en ai entendu des centaines, les dingues à Systéria c'est pas ce qui manque."
Le jeune homme passa une main tremblante à ses cheveux, replaçant une mèche blanche derrière son oreille, il s'adressa à l'homme en retour.
" Je ne doute pas que les déséquilibrés soient en manque dans cette cité. Je pense que je vais m'enfermer dans mon laboratoire jusqu'à nouvel ordre."
Sur ce, les verrous furent tirés pour la nuit alors que l'homme tentait de se coucher sur le futon qu'il avait placé au ciel, espérant que de mauvais rêves ne viennent pas le hanter une fois encore.
Post by Noür/S. Eringyas, mortes - November 2, 2009 at 11:45 PM
Alors que la noblesse, le gratin des bonnes gens acclamait les leurs à grands cris et vivats, lors de la joute, un rire dissonant et d'une force sans pareil fit dévier le pinceau de l'hybride, qui essayait vraisemblablement de peindre, maculant la toile de papier de riz d'une barre d'encre.
Relief d'une folie, d'une de ces folies qui couvent et fleurissent en Basse. Peut-être avait-elle laissé trop de ses devoirs en plan?
Post by Kenichi Eringyas, AdC. - November 10, 2009 at 3:32 PM
Miséricorde et la basse ville.
"Je l'ai vu ! je l'ai vu je te dis ! toi tu t'en fais pas pour ca, t'es dans un laboratoire gardé par des poupres il peut rien lui arriver à ton domicile.. le laboratoire Zonnejinru c'est ca ?"
" Zon'Jiru... Ca signifie compréhension en T'sen."
" Ouais ouais mais moi mon échoppe elle risque d'en pâtir si jamais il fait encore des siennes le miséricorde. Je l'ai croisé, habillé de noir, il était armé d'un arc dont les flèches étaient vertes, mais un vert malsain tu vois !"
" Je vois, peut être faudrait t'il que tu informe l'ordre de ce que tu as vu non ? Maintenant, si tu veux être sûr, je te conseillerais de demander à l'armée des mercenaires de te déplacer un homme pour faire garder ton commerce parce que ton chien c'est certain cela ne sera pas suffisant. "
*C'est sur ces mots que Kenichi prit la route de son laboratoire délaissant Brugnon le forgeron à ses idées de délation et d'information pour la confrérie pourpre ou pour l'ordre. Des choses se passaient en basse ville, lorsque l'on était commerçant on se sentait toujours au risque de voir une diminution de la fréquentation de son commerce parce que la sécurité du quartier n'était plus assurée. *
Post by Shigeru Maeda, Adm - November 10, 2009 at 6:23 PM
Le fort ne peut exercer sa colère sur le faible, car lors qu'arrivera la sentence, le courroux du valeureux s'abattra sur lui.
Depuis trop longtemps, le guerrier avait mit de côté les préceptes de son Senseï pour se focaliser sur l'éventuelle recherche du bonheur. L'important étant qu'à présent, un nouvel adversaire avait fait son apparition en basse-ville, sanctuaire de ce que pu être jadis la fierté de Maeda.
Selon ce qu'il pu soutirer à ce qui ressemblait maintenant à un amas de déchets et qui fût jadis un revendeur d'objets soutirés à d'honnêtes et moins honnêtes citoyens; la cible présentait un aspect féminin camouflé derrière une tenue blanche et écarlate, et se présenterait le plus souvent montée sur un canasson d'emblée, banal.
Aux dires de la petite frappe, le message mystique laissé par cette femme concorderait avec une certaine recherche absolue de la folie derrière des aspects glauques de grande libératrice.
C'est donc dans un esprit de traque, le visage fermé à toute forme de miséricorde ou l'envie d'être magnanime que le guerrier prit en charge le dossier « Archère lugubre de la Basse-ville » et qu'il prit aussitôt position devant le commerce du pauvre Brugnon, qui malgré sa carrure impressionnante, ne semblait pas avoir l'étoffe d'un grand combattant.
En tenue de Mercenaire complète, arme au fourreau et armure correctement ajustée, Shigeru prit position sur le coin de l'échoppe, confortablement assit sur un petit tabouret à trois pieds, se délectant par la même occasion d'un morceau de gibier en guise de repas.
Bien qu'il n'ait rien d'une sentinelle, le Mercenaire veillerait à consolider ses informations et qui sait, mettre la main sur cette étrange cavalière; avec toujours un regard pour ce qu'il appelait par le passé, l'antre de la belle.
"Je t'attend..."
Post by Anteïa Meserole, Adm - November 10, 2009 at 8:33 PM
Les mercenaires avait doublé d'effectif en basse ville. Nul ne peux savoir ce qui c'était dit à la caserne, mais quoi qu'il en soit, les mercenaires allaient tout faire pour retrouver cette femme au flèche empoissonné.
Anteïa aussi avait redoubler ses rondes. Elle se rendait maintenant deux fois plus souvent en basse ville, fouillant tout les recoins, transmettant un peu de nourriture au pauvre comme elle le faisait toujours.
Va savoir ce que cette cavalière risquait vraiment.
Post by Hydre, gdo - November 10, 2009 at 9:06 PM
Un... Deux... Trois...
Les petits pieds sautent d'une pierre à l'autre. Tout contre la berge de la rivière, la silhouette faible ressemble à un enfant. Aucune ondulation, aucune perturbation. Des voix.
Un... Deux... Trois...
Les petits pieds sautent d'une pierre à l'autre. Les pans d'une jupe à la main. Mâle ou femelle? Quelle importance! Androgyne. Une flèche siffle au dessus de sa tête. Petit oiseau vole bien haut.
Un... Deux... Trois...
Les petits pieds sont désormais posés. Et le chant est entamé. Qui donc, qui est assez fou pour chasser sur son terrain de jeux? Surtout sans la permission. Tut, tut, tut... Quelle erreur.
Un... Deux... Trois...
Qui est-ce qui l'a? C'est la vieille Stella! Un cri fugace dans la nuit, et le chant se tut. La vieille affirme, au détour du crépuscule, qu'une bête affreuse était restée posée à l'ombre d'une ruelle, les yeux dans le ciel.
Post by Miséricorde - November 13, 2009 at 11:02 AM
Le chaos n'a pas de maître. Simplement une voit à faire et respecté. L'ombre de lumière continuait de rôdé dans la basse-ville. Tous ne sont pas vil. Certain sont seulement insistant.
La peur... Craignez-là. Car elle vous tuera.