Des disparitions?

Des disparitions?

Post by La Bête - November 22, 2009 at 9:17 PM

Beaucoup d'histoires s'échangeaient, en cette merveilleuse Systéria. Et une faisait le tour, ces temps-ci, une autre histoire morbide qui causait beaucoup de frayeurs aux gens. Des disparitions.

-Pas question que j'retourne me balader en forêt, moi! La dernière fois que j'suis allé couper du bois près de l'ébénisterie es Commerçants, j'ai vu une carcasse de cerf, non-loin! J'sais pas c'qui a fait ça mais ça m'fout les j'tons!

-Et ben moi ça fait une semaine que j'ai pas vu Dreval. Quelqu'un m'a dit qu'un type avait retrouvé son anneau en mortine sur le chemin vers le cimetière, tu sais, juste avant la forêt? Et y'avait des traces de sang, en plus. À mon avis c'pauvre Dreval a été emporté par une bestiole, on l'reverra plus.

Et d'autres histoires circulaient, des familles pleuraient la disparition mystérieuse des leurs enfants, qui étaient partis se balader en forêt avec leur nounou alors que certains remarquaient des reste d'animaux morts à certains endroits. Que se cachait-il en dehors de la ville?

Post by Koenzell Pandora, Cp - November 22, 2009 at 9:40 PM

Une histoire de disparition circulait donc en ville. Elle avait su se rendre à de bonnes oreilles. Il ne serrait pas surprennant de voir les Pourpres ratisser les forêts entourant la ville. Bien que bien des rumeurs reste bien souvent que des rumeurs, la vie des citoyens étaient en dangé et de plus cette chose pourrait être un exellent spécimène pour le laboratoire.

Post by Shigeru Maeda, Adm - November 22, 2009 at 9:44 PM

Flânant dans les couloirs de la caserne, la première classe Maeda mit un certain temps avant d'entendre le soldat Wilenbar l'apostropher, certainement trop plongé dans ses songes. Glissant sur l'homme un regard qui se voulait dur, ferme et pour le moins austère.

Suite à l'échange des saluts protocolaires, Maeda l'invita à parler d'un signe de main digne de l'officier Mel'viir.

"Selon les rumeurs, il y aurait de nombreuses disparitions du côté ouest de la muraille. Devons-nous entamer une enquête Première Classe?"

Un long soupire s'en suivit de la part du supérieur hiérarchique. Puis d'un ton las, se tournant déjà à moitié pour continuer sa route, il lança:

"Il y a une forêt infestée de goules et autres créatures guillerettes de ce genre dans ce coin là... Si les gens sont assez idiots que pour s'y balader, ne vous étonnez pas qu'il y ait des morts... Ou des disparus dans ce cas-ci. De toute façon, il s'agit là d'une zone contrôlée par la meute. Fin de discussion, au revoir."

Le soldat resta un bref instant stoïque, interdis et décontenancé puis baissa la tête et laissa à son supérieur la joie de terminer sa balade martiale...

Post by La Bête - November 23, 2009 at 12:20 AM

Rivel était en compagnie de sa douce Mathilde, qui ne le quittait jamais. Ils étaient mariés depuis plus de 15 années, toujours heureux, toujours amoureux. Ils avaient en main un panier empli de denrées, préparées pour un simple pique-nique dans le petit bois, non-loin de l'ébénisterie, mais assez loin pour ne pas être dérangés par les coups de marteau de Russ.

Le couple s'installa sur une couverture, à l'orée du bois, les arbres leur offrant de l'ombre. Les deux étaient souriant, ce modeste pique-nique étant pour eux un moment grandiose. Après tout, quoi de mieux que de partager un repas avec son âme-soeur, en écoutent le pépiements des oiseaux?

Mais ce moment idyllique allait voir un désastre sanglant, parce qu'une silhouette humanoïde aux yeux brillants de sauvagerie observait le couple, qui se délectait de petits plats soigneusement préparés. La silhouette dégingandée grogna doucement, observant le couple et se promenant doucement dans le bois, cherchant le meilleur angle d'attaque.

Rivel versa un peu de vin à sa douce. Elle était si belle, même après toutes ces années. ce pique-nique, comme tous les autres qu'il avait eu avec sa douce femme, resterait gravé dans sa mémoire autant que le jour de leur mariage.

Les sourires disparurent malheureusement, remplacés par des hurlements atroces, car l'être vêtu de haillons tachés de sang séchés couru hors des bois en hurlant et en grognant, se dirigea vers la douce Mathilde, qui hurla. Rivel vit la créature tabasser rageusement sa femme, la tirant par les cheveux.
L'homme voulait faire quelque chose, il l'aurait voulu. La terreur le paralysait, face à cette créature qui, bien qu'ayant la forme d'un homme, ne pouvait être qu'un horrible monstre difforme. Car, comment un être comme celui-ci, tuant avec sauvagerie, pouvait-il être réellement humain?

La créature agrippa la gorge de la femme, lui lacérant le visage des ses "griffes", qui n'étaient que de longs ongles sales et usés. Il arracha un morceau de chair de sa gorge, les hurlements de la victimes se muant en gargouillis écœurants. La bête acheva sa victime, lui ouvrant complètement la gorge. Rivel, horrifié, ne pu que fuir en hurlant, espérant que la créature ne lui courrait pas après.

Le pauvre Rivel raconta aux autorités, avec de multiples sanglots, comment sa bien aimée fût emportée par et horrible monstre. Homme fou et sauvage ou monstrueux goule? Personne n'en était sûr mais Rivel pu donner une description de ce cauchemar ambulant à qui le voulait...

Post by Lamalia Lunavae, AD - November 23, 2009 at 12:54 AM

Les membres de la Meute bien sûr arrivèrent sur les différents lieux, ils remarquèrent rapidement avec la nature des blessures qu'il ne s'agissait pas d'un animal normal. Les échos de l'homme-bête vint aux oreilles de l'Alpha qui déploya plus de rôdeurs dans les bois afin de maitriser la dites créatures. Toute la Meute resterait en alerte dans les prochains jours. En groupe de deux, les membres tâchaient de suivre les traces qui remonteraient éventuellement à la bête tout en restant subtiles dans leur déplacement comme à l'habitude. Rien n'était laissé au hasard et Lamalia ne pu que remarqué elle-même la violence qu'avait pu subir les carcasses laissées ici et là. Une annonce circula alors en ville:

Avis à la population de Systéria,

La Meute de la Fraternité du Chêne tient à vous informer de vous promener le moins possible dans les forêts entourant Systéria pour le moment. Si vous avez à le faire, restez armé, vigilant et n'y aller pas seul. La Meute vous assure que tous les efforts sont déployés pour la sécurité et que la menace qui se promène dans nos forêts sera arrêtée rapidement. Ce message est à titre préventif pour votre sécurité.

Post by La Bête - November 23, 2009 at 1:03 AM

L'être sauvage était dans sa tanière, se repaissant de sa dernière prise. Le sol était jonchés de restes, humain et animal, certains étant là depuis longtemps, d'autres ayant encore quelques morceaux de chairs pourrissant sur lesquels les mouches se faisaient un festin.

La créature releva la tête en grognant, aillant entendit quelques bruits faibles non loin. Était-ce son imagination? Ses instincts de bête sauvage l'empêchèrent de se poser des questions, il sortit doucement la tête de son antre et vit des hommes se promener sur son territoire, des hommes qui ne l'avaient pas repéré.

La créature siffla avec rage, revenant dans sa tanière. Il se sentait menacé. Qu'étaient ces être vêtues de fourrure et de métal, tenant dans leur mains des objets mortels, qui venaient empiéter sur son territoire de chasse? L'être aux formes humaines attendit que le champs soit libre avant de camoufler un peu mieux son antre, revenant à son repas par la suite.

On remarqua que le taux de disparitions avait diminué. Peu importe ce qui se cachait dans les bois, il ou elle devait se méfier des patrouilles de la Fraternité.

Post by Hydre, gdo - November 23, 2009 at 6:17 PM

"Promenons-nous dans le bois pendant que le loup n'y est pas....

Car si il y était...

Il nous...

Mangerait!"

Comptine innofensive chantée par un être indéfini. Silhouette indéterminée, fondue entre les ombres des fourrés. Un enfant qui s'amuse et chante? Bien sûr que non, vous le savez tous. On dit que les monstruosités attirent les monstres.

Étais-ce le cas?

Post by La Bête - November 23, 2009 at 10:52 PM

Les alentours étaient maintenant plus tranquille, depuis que les gardes de la Fraternité y patrouillaient. Enfin, jusqu'à ce jour.
La frêle silhouette restait dans les ombres, ses yeux emplis de rage bestiale fixant une fenêtre d'une ferme. Un père de famille était assis devant la fenêtre, sur un tabouret, un livre de comptes pour enfants dans les mains. Sa fierté, son petit ange qui deviendrait un homme fort dans les années à venir, en bon père, il se devait de lui donner la tendresse qu'il lui fallait, tendresse qu'il lui démontrait en lui lisant son histoire préféré avant de dormir.

Hélas, la bête avait fin et les fermes contenaient plus de nourriture qu'il ne pourrait en manger. La créature grogna doucement, serrant ses dents usées par des années à dévorer de la chair crue et de racler les os à chaque bouchée.
Le petit garçon poussa un cri horrifié lorsque la sauvage créature brisa la vitre, attrapant son père et le tirant vers l'extérieur. La mère du petit garçon arriva en courant, inquiète et fût tout aussi horrifiée que son fils de voir le père de famille se faire crever les yeux par les ongles longs et sales de la créature.

-Fuyez! Allez chercher les gardes de la Fraternité, vite!, hurla la malheureuse victime, qui essayait de se libérer de l'étreinte des mains osseuses de l'horreur à forme humain.

Lorsque la femme arriva avec les gardes de la Fraternité, ils ne firent que des traces de sangs et de chair. Ils suivirent une piste laissée par l'être, qui avait traîné le corps, mais ils trouvèrent la dépouille ouverte, la créature n'était plus là. Le corps avait été vidée de ses organes et des lambeaux de chair avait été arrachés.
Même les fermes n'étaient plus sûres, dorénavant...

Post by Lamalia Lunavae, AD - November 23, 2009 at 11:38 PM

Au quartier de la Fraternité, le mot fut lancé rapidement. Lamalia voulait voir tous les membres de la Meute se pencher sur cette affaire, il fallait impérativement arrêté la Bête. Des expéditions de recherche étaient envoyées plus régulièrement. Le but n'était plus seulement de patrouiller, mais de dénicher cette créature. La demi-elfe partie elle-même avec un groupe près d'où avait été trouvé la dépouille du fermier. Leurs armes sorties, les membres de la Meute s'avançaient en silence au travers les arbres, visitant au passage plusieurs tanières connues. Malgré leurs connaissances des animaux sauvages, ils n'avaient entendu que très peu de témoignages sur ce qu'ils allaient affronté. D'ailleurs, la bête avait des traits humains à ce que l'on racontait. C'était donc une Lamalia effrayée, mais attentive qui s'enfonçait avec son groupe dans la forêt...

Post by Asphaar Meliamne, AdM - November 24, 2009 at 3:40 AM

Depuis quelque semaines déjà, Asphaar avait quitté l'armée des mercenaires et avait prit l'habitude de rôder régulièrement dans les bois. Les nuits étaient sombre et bien plus morbide qu'à leur coutume dut à toutes ces histoires dont parlaient les citoyens de la ville. D'horribles histoires parlant de bête sauvage, de sang et de chair. Plusieurs victimes apparemment avaient déjà perdu la vie par la main de cette créature.

L'Ex-Sergent ne savait quoi en penser et visiblement il ne s'en souciait pas réellement, puisque chaque jour comme chaque nuit, il errait autour de la ville sur son cheval, visitant la forêt qu'il avait depuis si longtemps négligé. Était-ce simplement sa curiosité qui le poussa à faire un petit détour vers la palissade ouest de la cité ce soir là? Assurément, il aimait savoir le fin fond des choses et ne manquerait pas de corriger cette créature si elle devait par hasard se dresser contre lui.

Une forme humaine disait les habitués de la taverne du havre... Sans armes apparemment, seulement avec l'aide de ses mains, il écorchait la peau de ses victimes pour les manger sans vergogne. Décidément, sa seule chance d'atteindre réellement ses victimes pour les dévoré était d'être bien furtif et sournois, autrement, face à face, cette chose n'avait aucune chance contre un homme armé.

En marchant dans le petit sentier qui menait au coin des fermes, il vit se déployer quelques rôdeurs de la meute qui entamèrent une approche dans le bois. Asphaar savait se faire discret lorsqu'il le fallait. Il décida donc de les suivre subtilement d'arbre en arbre bien penché. Cherchaient-ils la fameuse créature? Est-ce que tout ceci n'était pas pur ragot? Des questions encore sans réponses...Mais gageons qu'il en découvriraient un peu plus en les suivant voir en les écoutant murmurer...

C'est donc avec un curieux petit sourire que l'ancien mercenaire prit part à la chasse à la créature. Un beau défi en soit, mais il en avait vu d'autres...

Post by La Bête - November 25, 2009 at 7:49 PM

Le monstrueux cannibale fulmina de rage, grognant et crachant. Les êtres vêtus de métal et de fourrures empiétaient encore sur son territoire de chasse, tous armés d'objets de métal tranchants. Ils surveillaient beaucoup les grands abris aux toits de chaumes, où il avait capturé sa dernière proie.

Disparaissant dans les bois, la bête poussa des grognements furieux, maudissant ces créatures à fourrures qui se promenait sur son terrain de chasse. Cette fois, les disparitions se firent plus près du village-arène, les fermiers purent être en paix....pour le moment....

Post by Shigeru Maeda, Adm - November 25, 2009 at 9:05 PM

Le bruit des bottes claquants contre le dallage de la caserne interpella Maeda qui se tourna lentement vers le Soldat Wilenbar, encore lui, en pleine course.

Encore meurtris par les récents événements, la mine lasse, il soupira. D'un geste simple il l'invita à parler, son regard sévère posé sur son subalterne.

"Ca continue... Il y a des disparitions du côté de notre base d'entraînement Première Classe. Les hommes en garnison là-bas demande un soutien."

Shigeru ramena alors sa main le long de son arête nasale pour la masser lentement, les yeux clos plongé dans la réflexion.

"Organisez une battue, repoussez là vers le cyclope et les élémentaires de vent. Affichez partout en ville que nous cherchons des volontaires pour ramener sa carcasse à la caserne, et notez également qu'une belle récompense sera offerte à ceux ou celui qui l'attrapera. Doublez les effectifs présents sur place. Rompez!"

Le soldat hocha puis salua son supérieur avant de faire volte face et s'exécuter, visiblement troublé.

Plus tard, une cohorte de quinze mercenaires vint se placer tout autour de l'endroit, prêtre à en découdre avec la créature... si elle fût encore présente...

Post by La Bête - November 25, 2009 at 9:47 PM

L'être sauvage grogna de plus belle, puisque des hommes sortant encore plus de métal et d'objets dangereux surveillaient son nouveau terrain de chasse. Quelques recrues eurent parfois l'impression d'apercevoir deux yeux dans les buissons...était-ce réellement une impression?

Les disparitions diminuèrent de beaucoup, on retrouvait beaucoup plus de carcasses animales avec, à l'occasion, le cadavre d'un promeneur qui s'était un peu trop éloigné des patrouilles. À l'évidence, le monstre devenait beaucoup plus méfiant.....

Post by Venoss M. Nazgaroth, AdC - November 25, 2009 at 11:23 PM

Comme à son habitude, Mystique faisait sa tourné de réactifs afin de complété ses commandes de sa clientèle habituelle. Elle rôdait depuis un moment hors de la cité sans jamais réellement vu de danger. Qui oserais attaqué une femme aucunement armée mise appart d’un Ka’ Bar de devas se disait-elle.

Par un début d’après-midi donc les températures était favorable à la cueillette en forêt, Venoss s’aventura vers l’Ouest de la ville en direction du cimetière, la jeune hybride recherchait souvent du ginseng dans se coin. Malheureusement, elle ne trouvait que de l’ail donc elle prit part à sa cueillette. S’accroupissant au sol, genoux au sol puis retira les gousses du plant terreux. Une fois toute ses gousses cueillit, Nazgaroth continua son chemin, longeant le mûr de la cité balayant du regard l’horizon à la recherche de réactifs.

À son grand étonnement elle vu un homme, accroupi au sol se délectant un petit lapin. Elle arrêta son pas légèrement surprise de cette réaction complètement animal. Dès que son pied craqua une branche, l’immonde chose se retournant vivement. Mystique pour sa part reculant d’un pas sans trop ne savoir quoi répondre.

D’une fraction de seconde la bête se rua sur elle la plaquant au sol puis la griffa dans la nuque. La chose hideuse tentait de la mordre de la mordre à la nuque, mais la petite noiraude la retenait d’un gémissement saccadé et blessé. Après un combat ardu à tenté de prendre son ka’ bar à sa taille elle tentait bien que de mal de poignardé dans les côtes de l’horrible chose qui l’attaquait. Brassé comme un vulgaire pantin contre le sol, Mystique réussie à planté son arme dans le côté inférieur de la bête qui la relâche rapidement pour se sauvé dans les bois en hurlant et en gémissant.

Main à gorge, elle quitta les lieux d’une course incoordonnée s’enfargeant dans tout se qui était sur son chemin, la petite hybride semblait apeuré à voir le sang qu’elle perdait.

Un ange ou elle était simplement une droguée ? Peut importe, Mystique bue rapidement une fiole bleuté qui lui donna un faible regain d’agilité pour la permettre de courir jusqu’à sa ville, Systéria.

Arrivé dans la cité, les passants la regardait et la pointait du doigt.

-Non de Thaar ! Elle a besoin d’aide ! Aidé là quelqu’un !

Mystique continua sa course vers la caserne tâchant tout se qu’elle touchait de son sang de bâtarde. Arrivé dans la caserne des mercenaires tous veina l’entourée voir se qu’elle avait jusqu’à l’arrivé d’un Supérieur.

-Retournez à vos postes Soldat !

C’était Shigeru de sa moue des plus froides et désagréable aux yeux de l’hybride. Il lui apporta rapidement son aide pour effectuer les premiers soins avant de la prendre dans ses bras tel un jeune couple de marié en direction de chez Ramla.

Post by Asphaar Meliamne, AdM - November 26, 2009 at 5:48 AM

C'est devant le havre mélodieux qu'Asphaar apprit pour Mystique Nazgaroth. Un geste de trop posé sur la mauvaise personne décidément. Il prit le temps de prendre des nouvelles d'elle et de la bête avant de repartir en route vers la banque où il alla se changer afin d'enfiler des vêtement plus sombre et uniquement de cuirs et de tissu. Le but de l'exercice aujourd'hui était d'être bien discret et camouflé. Il ne prit avec lui qu'une dague bien affilé et une belle corde qu'il enroula à son épaule. Pour être bien certain de ne pas être repérer, il délaissa son fidèle cheval.

En route vers la forêt, la nuit commençait à tomber, il avait juste le temps de régler un dernier petit détail avant que l'obscurité l'en empêche. L'ex sergent se mit à la chasse au premier animal qu'il croiserait. Évidement il fit attention de ne se faire remarquer par personne et surtout par aucun membre de la fraternité, quel drame ça ferait se dit-il à lui même. C'était évidement pour une bonne cause et puis il n'avait guère à se soucier d'eux dans le moment. Quelques instants plus tard un jeune cerf passa non loin de la cache du demi-elfe...ce n'était pas trop tôt. Il suffit d'un bon lancé de dague dans la gorge de l'animal pour l'abattre après quelques cris de souffrance venant d'elle. Il espérait que ce ne fut pas suffisant pour se faire prendre, mais il fit vite tout de même pour ramasser le jeune cerf plutôt maigre et le trainer plus loin sur son épaule...

La nuit était tombé enfin, Asphaar s'était approché non loin de l'endroit où la créature avait été vu pour la dernière fois, mais il resta tout de même assez loin dans la forêt histoire de toujours rester dans l'ombre de la nuit. Il installa la carcasse de cerf encore bien fraiche sur le sol juste à côté d'un petit buisson. Pour sa part il alla se planquer à quelques mètres de là. Il s'assit au sol, bien adossé sur un arbre, il se permit même d'allonger ses jambes et poser ses mains derrière sa tête, tel un homme se prélassant sur une plage chaude. L'ancien mercenaire ferma les yeux ainsi, et resta bien attentif au moindres mouvements anormal dans la forêt, le moindre craquement, souffle, pas, au moindre son qui ne ressemble pas au son du vent qui fait virevolter les feuilles dans les arbres, il saurait comment agir. Sa rapidité légendaire ne lui avait jamais fait défaut, il était bien réputé pour être l'un des plus agile et rapide guerrier de la cité, il profiterait de cet avantage très certainement.

Il attendait donc son ennemi, là dans la pénombre, espérant que la bête était encore assez près pour renifler l'odeur du sang encore tiède du jeune cerf qui gisait à quelques mètres d'Asphaar...verrait-il enfin la bête?

Post by La Bête - November 26, 2009 at 6:11 AM

L'odeur métallique du sang frais s'était rendue jusqu'à la maigre créature, qui huma l'air en déambulant discrètement dans les bois. Il n'avait jamais senti l'odeur du sang frais avant d'avoir tué lui-même sa proie. Y avait-il de la nourriture proche? Il avança prudemment. Peut-être un autre animal venait-il de dépecer une poire? Si tel était le cas, la créature devrait redoubler de prudence et de sauvagerie.

Sa blessure s'était plus ou moins refermée, elle faisait encore mal mais cela ne devait pas l'empêcher d'accomplir son objectif quotidien: trouver de la nourriture. L'être mince dont le visage était couvert d'un morceau de tissu était pourtant une proie aisée, si ce n'était de cet objet pointu qu'elle tenait à la main. Cet objet qui lui avait fait mal, très mal...

Le monstre avança encore, à pas de loup, poussant quelques grognements. L'odeur de sang frais se fit de plus en plus forte, jusqu'à ce que la créature aperçoive une carcasse de cerf laissée là. Il eût la forte envie de se jeter dessus, un festin en perspective qu'il n'avait pas eût besoin d'attraper. Mais quelque chose clochait.
Il huma l'air. Une autre odeur se mélangea à celle du sang de la carcasse. Une odeur difficile à percevoir, mais bien présente. l'odeur d'un autre animal.

L'être grogna doucement, restant dans les buissons. Quelque chose surveillait l'endroit, son territoire de chasse était à nouveau envahi, sans doute les créatures vêtues de métal. Il huma l'air attentivement. Un arbre. Sur la droite, non loin de la carcasse. L'intrus y était, ou en était proche, en tout cas. La créature grogna doucement. Il voulait se rendre là où il croyait que l'intrus se terrait mais la douleur à son flanc lui rappela des conséquences. Ces autres créatures avaient des objets en métal très douloureux. Pourtant, la plupart de ceux qu'il avait attrapé avaient été plutôt inoffensifs?

La bête se déplaça discrètement, s'éloignant de l'endroit. Plus tard, le chasseur pu entendre des hurlements, du côté du chemin qui menait au bois, près de chez Russ l'ébéniste. Seul le cadavre d'un passant y était, défiguré et les entrailles arrachées...

Post by Lamalia Lunavae, AD - November 26, 2009 at 6:34 AM

Pendant ce temps, au quartier de la Fraternité, deux membres de différentes guildes que l'on sait en mauvais termes étaient entrain d'élaborer un plan incluant un effort commun des deux guildes. Les deux guildes allaient-t-elles vraiment collaborer ensemble malgré leurs différents? Tout se mettait tranquillement en place pour le moment du moins...

Post by Asphaar Meliamne, AdM - November 26, 2009 at 7:14 AM

Asphaar avait entendu la bête grogner quelque peu et avait ouvert un oeil, juste assez grand pour le voir. Cependant, il senti que son plan n'avait pas fonctionné comme il l'aurait souhaité. La bête sauvage n'avait pas touché le jeune cerf, mais était bel et bien passé tout près de celui-ci. Cela pouvait dire que deux chose, soit la créature préférait réellement chasser elle même ses proies, ou alors, elle avait senti sa présence et s'était méfié de lui, ce qui causait problème au chasseur.

L'ex mercenaire haussa un sourcil et entama sa marche en direction des hurlements. Bien décidé à l'attraper, il devait changer de technique cette fois, ce qui n'était pas simple en soit, car la bête connaissait son odeur désormais et l'avait probablement associé à de la crainte. Le mieux pour cette nuit était sans doute de le laisser filer afin qu'il retrouve son esprit un peu calme et naïf.

En arrivant près de la scène du crime, il pu constater le décès d'un homme dont il serait impossible de dire le nom du aux dégâts subits. Il fit une brève prière à côté de lui, puis retourna dans la forêt, aussi silencieux que la nuit, il devait passer à la prochaine étape de sa chasse.

Post by Nathaniel de Sorgrad,ADM - November 27, 2009 at 4:18 AM

Nathaniel avait entendu parler de la bête depuis un moment. Comme a son habitude, il décida de surveiller les bords de la ville. Les troupes de la fraternité avais laissé un coin sans surveillance…un oubli ?

Près de la petite ruine, au sud-est de la Basse-Ville, une carcasse de biche s’y trouvais. La personne qui avait me cela la, était déjà beaucoup plus loin.

Post by La Bête - November 29, 2009 at 9:15 PM

Les gens avaient-ils oublié le danger qui rôdait hors de la cité? Sans doute que non, les attaques continuèrent, bien que moins fréquentes. Heureusement, on trouva plus de cadavres d'animaux que de gens, les patrouilles de la Fraternité rendant la chasse difficile pour la créature.

Cependant, l'être avait fait preuve d'une certaine audace, puisque le corps d'un patrouilleur fût retrouvé, mutilé et presque méconnaissable. Sa lame était dégainée et couverte de sang, nul doute que l'homme avait vendu chèrement sa peau. Désespérée d'avoir de la viande fraîche, la bête ne semblait pas avoir peur de faire des attaques surprises sur les patrouilleurs qui se promenaient seuls.

Post by Domilixia Segal, AdC - November 29, 2009 at 11:09 PM

*Une druide avait décidé de passer du temps dans une bâtisse aux fermes, plus reculée à l'ouest, à côté du nid des araignées. Isolée, elle y passait de plus en plus de temps, y dormant par ailleurs. La nuit, les vaches beuglaient et l'empêchaient ainsi de dormir. En plus d'être incapable de manger suite à sa séparation temporaire ou permanente, l'insomnie devenait un problème. Que provoquait tout ce chahut? *

Post by Lamalia Lunavae, AD - November 29, 2009 at 11:28 PM

Les patrouilles des rôdeurs et barbares se faisaient moins fréquentes au sud-est de la forêt de la Basse-Ville, pourtant elle semblait tout aussi présente, si ce n'était pas même plus présente dans le reste des bois entourant Systéria. Ces dites patrouilles étaient toujours faites en équipe, les gens étaient prévenus qu'il était dangereux de s'y promener seul.

L'Alpha avait aussi posté quelques gardes supplémentaire près des fermes par mesure de sécurité. Elle ne pouvait s'empêcher d'avoir une certaine inquiétude pour Nathaniel qui lui avait dit qu'il partirait seul dans la zone moins fréquentée. Elle ne l'avait pas revu depuis non plus... Lamalia semblait un peu plus irritable qu'à l'habitude toujours concentrée dans ses pensées lors de ses rares pauses qu'elle se donnait.

Post by Nathaniel de Sorgrad,ADM - November 30, 2009 at 12:04 AM

Depuis un moment deja, des corps de biches et autres animaux sont posé près de la ruine au sud-est de la ville. A chaque jours, un nouveau corps fraichement tuer était posé. Sans laissé de trace Nathaniel posait le corps et disparaissait loin après.

Espérent que la bête mangerais ses dons a place de ses patrouilleurs.

Post by La Bête - November 30, 2009 at 12:26 AM

*Les morts se firent moins fréquentes à cause des patrouilleurs qui évitaient maintenant de se disperser. Certains se faisaient quand même attaquer mais la créature se sauvait dans les bois lorsque les compagnons des patrouilleurs arrivaient en courant. Des descriptions un peu plus élaborées de la bête circulaient parmi les rôdeurs de la Fraternité. *

-Je l'ai vu de près, cette "bête"! D'ailleurs, je crois que c'est pas une bête mais un homme! Un homme cinglé! Il était tout maigre, comme s'il était malade et qu'il mangeait mal, pas surprenant, vu qu'il bouffe de la viande crue! Enfin, il avait l'air d'un cadavre, il portait des loques et se promenait penché, comme s'il s'attendait à ce que les arbres lui sautent dessus!

-La vache, ça m'a l'air d'un cas pour Ste-Élisa, ça! C'est peut-être un type possédé par un démon?

-Ah, ça, j'en sait rien! Enfin, il a essayé de m'arracher la gorge, il me grognait au visage en me fixant avec son regard de cinglé, il avait les dents pourries et usées, comme s'il avait rongés des os toute sa vie. Et ses ongles, longs, sales et usés aussi, on aurait dit des griffes! Enfin, presque. Et il attaquait comme un sauvage, il me foutait des coups de points sur la gueule et essayait de me griffer avec ses ongles en plus qu'il m'a arraché un bout de chair au bras!

Mais ce qui m'étonne, c'est qu'il se démenait tellement pour me tuer qu'il suait, alors tout d'suite j'en ai conclu que c'est finalement pas un zombie, parce que ça en avait l'air, au début, j'peut vous dire! Un zombie ou une goule, quelque chose comme ça.

Et le rôdeur continua ainsi, décrivant tout ce qu'il avait vu de la créature. Certains seraient sans doute moins nerveux, en sachant que la créature était un homme, fou et sauvage, certes, mais rien d'immortel ou de parfait.

Post by Shigeru Maeda, Adm - November 30, 2009 at 7:57 PM

Tôt dans la matinée ce jour là; l'on aperçut une division de Mercenaires se diriger vers la sortie de la Basse-ville, en arme, dirigés par un Première classe antipathique, sévère, mais juste avec ses hommes.

Ceux-ci rangés dans un ordre impeccable partirent alors à la rencontre de certains rôdeurs de la meute. Des regards austères s'échangèrent, des regards, quelques grondements de part et d'autres bien vite dissipés par la voix de leur supérieur tranchante et vive.

Des groupes se formèrent ensuite, composés hétéroclites de rôdeurs, de druides et de mercenaires armés de lances, d'arcs et d'épées. Jetant un regard à son homologue de la Meute, la jeune Lunavae, il acquiesça lentement.

"Ils sont sous votre autorité, je resterai en retrait pour le reste de l'opération, mais je veillerai à ce qu'ils ne soient pas trop dissipés par des apparitions sporadiques. Bon courage."

Se tournant ensuite vers ses hommes, déjà mélangés, d'une voix digne d'un père en pleine éducation de ses fils, il s'exprima très brièvement.

"Ne me décevez pas,je saurai vous récompenser... ou vous punir!"

Puis il tira sur les brides de son fidèles Kaze et prit la direction de la ville, salué par ses hommes. Quelque chose se préparait...

Post by La Bête - November 30, 2009 at 8:24 PM

La créature grogna fortement de rage, il devenait de plus en plus difficile de chasser à cause des hommes vêtus de métal qui rôdait dans les bois. Le monstre décida que les hommes empiétaient une fois de trop sur son territoire de chasse et, discrètement, il suivit les patrouilles et les observa, attendant juste que l,un d'eux fasse l'erreur de s'éloigner de son groupe.....pour que la bête puisse lui déchirer la gorge et se nourrir de sa chair. Patience...patience....

Post by Yuri Minh Yu, AdC - November 30, 2009 at 9:28 PM

Mais comme elle est étrange cette madame Yu!

Comme ça, pour se changer les idées, pour sortir de ses obligations, un panier à la main, elle se promenait. Tout près de la scierie, dans la forêt des chants éteints. Seule. Peur? D'une créature sauvage? Elle avait déjà amadoué des bêtes difficiles. Regardez l'Inquisiteur de Nogar. Tellement confiante, elle en chantait tout en avançant. Évitant avec brio les endroits hantés par les âmes en peine et autres fantaisies fantômatiques.

Non, pas d'odeur de métal, non, pas d'odeur de cuir. Cependant, de nombreuses odeurs mélangées d'herbes, de souffre, de fromage, de vin, de viande cuites ou séchées et de parfum. Tant de confiance, au contraire de la plupart de tous ces gens qui semblaient chercher à traquer "La Bête". Seule et d'apparence sans défenses notables. Seulement ces étranges odeurs...

Du poison? Peut-être, mais avec toutes ces odeurs... Comment savoir?

Post by Asphaar Meliamne, AdM - November 30, 2009 at 9:38 PM

Asphaar avait suivit les mouvements de la bête depuis quelques jours de par les carcasse qu'elle laissait derrière elle. Il savait à peu près dans quel coin elle s'était caché. Il allait pouvoir passer à la phase deux de sa chasse. C'était certe plus risqué, mais il était bien motiver à attraper cette erreur de la nature.

Il installa donc un petit camp de fortune pendant le soir avant que la nuit tombe. Un petit camp composé d'une vulgaire tente et d'un petit feu pour attirer l'attention de sa proie. Dans la tente, il avait caché quelque roche et bouts de bois formant vaguement une silhouette humaine, mais il ne se contenta pas que de ça, il prit la peine de cacher un peu de charcuterie, préalablement acheté la journée même, un peu partout sur son faux humains en pierre et en bois. Il cacha ensuite son œuvre sous une belle couverture chaude, laissant croire que l'humain c'était endormie.

Une fois que tout était bien mit en place, il retira ses vêtements et il les enterra un peu plus loin , ne gardant sur lui qu'un sous vêtement, sa dague et sa corde. Pour bien camoufler son odeur, il s'enduit de la boue et de la terre mouillé sur les bras et les jambes, ainsi que sur son torse. L'ex sergent alla se poster un peu plus loin, bien caché dans un buisson, et il attendait patiemment que la bête se prenne à son jeu. Si il ne s'était pas trompé, elle suivait quelque chose dans le coin, elle chassait probablement, ou alors elle se vengeait. Quelque chose était sur, il y aurait encore des gardes pris au piège si cette bête n'était pas rapidement maitrisé.

L'ancien mercenaire attendait ainsi dans la froideur de la nuit, sans armure ni vêtements tout comme son adversaire. Si la bête devait se montrer, le combat serait probablement plus juste qu'à sa dernière tentative, mais il avait confiance en ses capacités et ne se souciait guère des risques. C'était l'occasion pour lui de se prouver qu'il valait encore quelque chose...

Post by Nathaniel de Sorgrad,ADM - December 1, 2009 at 2:40 AM

Encore une carcasse, a la même endroit. La précédente disparu, mangé par un autre prédateur? qui sais. Nathaniel prennait constament les précautions requise pour ne pas être vu, entendu ou sentie. L'homme des bois savait ce qu'il fesait, il vivait dans la forêt depuis toujours.

Il serait patient, c'est tout de même la plus dure et belle des vertues.

Post by Domilixia Segal, AdC - December 1, 2009 at 4:38 AM

La druide passait de plus en plus de moment près de ces vieilles ruines. Elle y venait seule, quoiqu'accompagnée de son fidèle ostard. Cherchait-elle quelconques ennuis? Certains pouvaient croire que oui puisqu'elle avait toujours été plus habile dans les soins que pour les attaques. Néanmoins, la proie tombait toujours au moment où nul ne s'y trouvait. Une question de chance? Elle tomba sur le corps mutilé d'une harpie. Elle dégagea les morceaux de viande, allant jusqu'à les jeter. Elle tua les rats qui traînaient près du mont péril et enleva le peu de viande. En revenant du cimetière, elle trimballa jusqu'à l'endroit un cerveau et un foie. Son parfum naturel était transporté par le vent. Peut-être la sentirait-il.

Post by La Bête - December 4, 2009 at 2:26 AM

De nouvelles attaques furent rapportées, du côté ouest de la cité, en majeure partie. La créature concentrait-elle ses attaques sur les passant qui passait non-loin du mur ouest?
Les gens paniquaient encore.....

Post by Lamalia Lunavae, AD - December 4, 2009 at 8:55 AM

Les patrouilleurs avertirent Lamalia des nouveaux développements. Un peu embêtée, elle passa un long moment au Havre à réfléchir. Puis après quelques discussions avec les autres, elle avait décidé que la méthode douce était terminée. Dès l'aube le lendemain, elle réunit la Meute complète ainsi que les Mercenaires venus aider. La battue allait avoir lieu sans plus attendre, les équipes bien équilibrée entre rôdeurs, druides et Mercenaire allaient frapper dans la partie ouest de Systéria, tandis que les barbares et le reste de la Meute allaient ratissé sans subtilité le reste de la forêt en même. Les troupes s'avançaient donc maintenant avec pour seul but de capturer la Bête morte ou vivante.

Post by La Bête - December 6, 2009 at 9:04 AM

La créature fût repérée plusieurs fois, un rôdeur avait même failli l'attraper, sans succès. On apprenait maintenant qu'elle continuait à rôder près des fermes, échappant de justesse aux barbares et aux mercenaires. Et là où des appâts furent laissés, on n'y retrouvait plus rien, signe que le monstre était passé par là pour se nourrir.

Post by Nathaniel de Sorgrad,ADM - December 6, 2009 at 6:48 PM

Deux ou trois jours, c'est le temps que Nathaniel avait prit pour préparer ses hommes. Bien qu'il n'avait qu'un bras opérationnel, il entraina lui-même des hommes, des femmes à se battre. Lamalia et les autres le pensaient couché pour se reposer, mais il n'en était pas capable. Alors il déguisa les Rodeurs et druides qui prendrons le rôle de fermier.

Les fermiers et leurs familles fut entré dans les murs de la cité et remplacer par les faux fermiers. Il ne restait plus personne incappable de ce battre a l'extérieur des murs de la cité.

Qui était au courrant? Nathaniel et les personnes impliqués. Espérons que la bête mordera.

Post by Brehan de Nogar, OdS - December 6, 2009 at 11:03 PM

La bête restait une créature. Elle avait daignée s'aventurer dans la gueule de tous ceux donc elle avait attisé le courroux. Elle continuait à rôder près des fermes... sûrement n'avait-elle pas réalisé que cette fois, elle n'était plus dans son domaine. Si ce n'était pas des Systériens qu'elle se faisait prendre dans cet endroit clos et sans issue, ce serait sûrement les menaces extérieure, comme les non-morts qui se faisaient voir de plus en plus souvent à l'extérieur des murs de la citée, qui retirerait le dernier souffle de vie de cette pauvre créature.

Pour l'instant... peut-être que la bête réaliserait dans la position dans laquelle elle s'était mise:

Elle s'était aventurée dans une passoire, elle ne tarderait sûrement pas à le constater d'elle-même.

Post by Anteïa Meserole, Adm - December 7, 2009 at 5:58 PM

Mais quel plaie! Asraxioliel, cette bête... plus la vie qui continuait... comment réussir à tout coordonner? Comment réussir à se débarrasser de tous ses fléaux à la fois?

Les gens des fermes étaient en sécurité, femme et enfants était dans les murs de l'enceinte, et pour le moment, nul doute que celle qui se nommait elle même la "Seigneur des rêves" était un problème de taille comparer à cette bête seule. Mais parions que les gens ne laisseraient pas cet homme impuni.

Post by La Bête - December 14, 2009 at 5:08 AM

Des grognements et des hurlements se répercutèrent sur les murs des geôles des mercenaires. Les disparitions avaient cessés. La créature avait visiblement été capturée, elle se repaissait d'un cadavre brûlé laissé dans la cellule, on ne sait pourquoi. Nul doute que le chasseur qui avait réussi à la ramener vivante aurait quelques éloges...