Demi-orque chaotique
Post by Gardtalang, ind - August 31, 2010 at 3:15 AM
Un demi-orque à Saint-Élisa
Et son se demande bien pourquoi...
Voilà que plusieurs jours s'étaient écoulés depuis l'embauche du demi-monstre barbare comme bucheron. Jusqu'à maintenant, aucun grave incident n'avait été répertorié et aucun membres d'humains déchiquetés non plus. Oh, certainement, on le traitait de rustre, le racisme des humains planait sur lui et on le sous payait à son insu. Comme si on le considérait comme un peuple vaincu de qui ont pouvait exploité. Cependant, personne n'osait lui dire de telles phrases de peur de retrouver fracasser d'un peu partout. Le demi-orque hachait avec une arme de guerre faut-il le rappeler... Néanmoins, le GArdtalang faisait le travail qu'il avait à faire dans la plus grande anti-sociabilité qui lui était maintenant connu. Avec sa force et sa constitution à demi surhumaine, il récoltait facilement une fois et demi, voir deux fois, ce qu'un humain pouvait faire en journée. On le gardait pour cela malgré son air mauvais et son refus de se faire des "amis".
Plus les journées passaient, plus une certaine habitude s'installait dans la manière d'agir du demi-orque. Il arrivait, écoutait les directives générales du supérieur, allait faire son travail au camp qu'on lui avait assigné, il revenait pour être payé à un salaire de pauvre et il quittait sans aucune salutation, sans aucun merci et encore moins prendre une bière avec les autres hommes après la journée de travail. Que faisait-il? Il continuait à observer attentivement l'entraînement et la vie de mercenaire comme un homme étudiant ses rats dans son laboratoire. En silence, et toujours de son air mauvais habituel, il s'entrainait avec eux en étudiant et en jugeant des techniques apprises. Cherchant à apprendre sans participer aux exercices, ce pourquoi des humains avaient réussi à vaincre les guerriers qu'ils croyaient être ultime en combat. Certainement avec un agacement qu'il les examinait, mais sa quêtes de réponse était plus importante que son sentiment d'humiliation faces aux humains...
Lorsque le soleil agonisait après une autres journées de travail, Gardtalang traversait le quartier le plus miteux et le plus bas de la basse-ville. Avant cela, il avait prit l'habitude de laisser sa hache contre le mur de pierre près de la porte de l'entré de la basse. Il la retrouvait à chaque matin jusqu'à maintenant. L'idée de ne pas avoir droit à une arme en ville était toujours aussi stupide à son avis. Il était difficile pour un humain de lever une hache de guerre aussi lourde et qui plus est usée et parsemée d'ici et là de quelque taches de rouille. C'est peut-être l'une des raisons pourquoi il la retrouvait chaque matin... Quoi qu'il en soit...
Nooooon, lâchez moi, Nooon....
Un des hommes ivres vient mettre sa main contre la bouche de la jeune femme afin de la bâillonner.
Aaaah, vient là ma petite. Tu vas voir, tu vais aimés ça. Laisse toi aller...
Quatre hommes visiblement ivres avaient "abordés" sans aucun tact une jeune femme de la basse-ville, trop imprudente de sortir à cette heure-ci, en l'attirant dans un coin sombre entre deux grandes bâtisses. En temps normal, le demi-orque aurait ignoré ces brefs appels à l'aide avant d'être étouffé dans la main des ravisseurs, mais quelques chose d'explicable s'était produit dans l'esprit du demi-monstre. Comme si c'était un appel de la nature. Une voix bizarrement familière...
De son pas lent, il se dirigeait sans aucune crainte vers la petite ruelles du crime. Lorsque son ombres obscurcissait l'allée déjà noir et faiblement éclairé par la fin du crépuscule, les quatre hommes étaient en train de déshabillés contre son gré la jeune prisonnière. Sauf celui qui séquestrait la pucelle, les homme se tournèrent rapidement d'un bon.
Hey toi, le monstre. Fou nous la paix, ça ne te regarde pas, Retourne d'où tu viens sale peau verte! Dit l'un des hommes pour tenter de dissuader Gardtalang d'invervenir. Malheureusement pour eux, le demi-monstre continuait de s'approcher avec un même rythme comme s'il avait envoyer des mots en vain à un imposant mur qui s'approchait. Pendant ce temps, le quatrième homme tentait d'enlever les sous-vêtements de la fille en la maintenant au silence.
À ce moment, le plus près des hommes sortie une dague alors que Gardtalang, lui, ses crocs.
Encore un pas de plus et je...
Il était trop tard. Contrairement aux humains, le demi-orque agissait au lieu de parler. Lorsqu'il faut frapper, ne parle pas et frappe. Telle était sa philosophie guerrière. De sa grosse main de monstre, il empoigna la figure du premier violeur pour le plaquer violemment contre le mur de la bâtisse. Sous le choc, l'homme perdit immédiatement connaissance. D'abord sous le choc, tous les hommes restant ne se préoccupaient plus de leur objet d'obsession.
Maudit bâtard, lâche le!
Maintenant libre, la jeune femme quittait les lieux en pleure et en sous-vêtements tout aussi effrayé de ses tortionnaires ainsi que du sauvage demi-orque. Dans la bataille, les mouvements du demi-orque était très solide et pesant mais d'une lenteur aberrantes. Les humains avaient non pas trop de difficulté à l'éviter. Néanmoins, un seul coup ou deux étaient suffisant pour les mettre hors combat.... Tous les trois, armée d'épée courte et de dague commencèrent un combat à leur avantage. Bientôt un cri de guerre puissant et monstrueux réveillait assurément les gens aux environs et les mercenaires aux alentours en ronde de nuit à proximité. Le demi-orque se fâchait voyant qu'il n'arrivait à prendre le dessus sur les humains
Pendant ce temps, plusieurs lacérations de divers importantes gravaient le corps endurant du colosse de muscle. Soudain, l'un des poings trouvaient sa cible et l'un des hommes était projeté hors de la ruelle pour glisser et élever un nuage de poussière dans la rue principale vide de foule. Les cries de douleurs humains et les fort grognement orques résonnaient entre les murs jusqu'à ce que le colosse mette un pied à terre sous les nombreux ruisseaux de sang sur son corps avant de perdre connaissance. Plusieurs blessures et endroit percés sur son corps, le colosse était tombé lourdement et son liquide vitale imprégnait le sol de poussière du plancher de terre de la basse-ville.
L'un parti en courant en se tenant le ventre tandis qu'un autre boîtait fortement en trainant de la patte en se lamentant. Les mercenaires qui arrivaient sur les lieux n'auront aucune difficulté à le rattraper. Pour sa part, le demi-monstre était inconscient et gravement blessé tandis que deux hommes bordaient celui-ci dans le même état. Une féroce bataille bestiale s'y était déclenchée. Les soupçons allaient sans doute peser sur le demi-orque près des mercenaires.
Néanmoins, deux mercenaires transportèrent difficilement le très lourd Colosse jusqu'à Saint-Élisa. Sans doute une charmante infirmière de nuit allait devoir penser les nombreuses blessures du demi-monstre. Néanmoins, personne sauf les protagonistes qui étaient sur les lieux, on ne connaissait pas les circonstances de l'événement...
On ignorait ce qu'elle allait être la réaction de Gardtalang à son réveille. Des vigiles seront demandés sur place?
Post by Asphaar Meliamne, AdM - September 1, 2010 at 1:51 AM
La nuit venant de débuter, les cris en basse-ville étaient plutôt coutumiers, cependant ce soir ils étaient un peu trop inhabituels pour pouvoir passer inaperçues. Dans les ruelles sombres, à peine éclairé par les reflets de la lumière de la lune, un homme tentait de fuir, boitant, essoufflé et apeuré, visiblement le moins discret du monde. Il s'égarait un peu plus loin de la scène du crime qu'il avait tenter de commettre avec ses petits comparses brigands. C'est en tournant le coin de la ruelle qu'il fut stopper plutôt durement dans sa course.
Un mercenaire bien camouflé dans la pénombre de la nuit lui fit un croc en jambe bien effectué et l'homme tomba violemment au sol. À peine le temps de réaliser ce qui s'était passé et de visualiser le mercenaire devant lui, l'homme fut rapidement maitriser au sol par un second mercenaire qui s'était caché de l'autre côté du bâtiment au coin de la ruelle. L'homme apeuré s'écria donc...
- Laissez moi bande de chiens!! Laissez moi je n'ai rien fais!!!
Mais le mercenaire qui le retenait au sol eu tôt fait de le faire taire en le frappant d'un coup et en le bâillonnant. Pendant ce temps, le mercenaire toujours debout regardait autour pour examiner les alentours, afin d'éviter des renforts de brigands. Puis sortant de l'ombre, le sergent Meliamne, s'avança dans le reflet de la lune afin qu'on le remarque, il tenait captif une femme qui pleurait et qui était visiblement terrifié. Elle était enveloppé dans une cape mercenaire. Le sergent fixa l'homme au sol avant de poser son regard sur le mercenaire encore debout.
- Caporal, au rapport.
- L'homme ici présent se sauvait, probablement de la bataille sergent! Il est mal en point, il se déplaçait très mal, sa jambe semble le ralentir énormément, cependant elle n'est sans doute pas cassé. Je suppose une entorse. Il nous a insulté, mais n'a pas tenté de fuir.
Après le petit rapport du caporal, Asphaar hocha la tête puis tira la femme légèrement pour la faire avancer, à côté de lui. Elle lâcha un petit cri, puisqu'elle était visiblement sous le choc, mais elle lui obéit sans résistance. Puis le sergent lui fit signe de regarder le brigands au sol, sans un mot, visiblement ce n'était pas le premier que les mercenaires croisaient ce soir, la femme savait ce qu'elle avait à faire. Elle hocha la tête vivement, puis pleura à nouveau. Asphaar posa son regard sur l'homme puis sur le caporal.
- On l'emmène. Caporal Jozan, fouillez les alentours afin de voir si vous ne trouvez pas une autres de ces crapules. Je vais raccompagner cette femme à sainte-Élisa et je vous rejoins. Soldat vous vous chargez de ramener celui-ci à la caserne en basse-ville. Ne vous arrêtez sous aucun prétexte. Faites vite!
Les deux subalternes saluèrent donc leur supérieur et s'exécutèrent sur le champ. Quant à Asphaar il traina la jeune femme jusqu'à sainte-Élisa, où il croiserait sans aucun doute le demi-orque Gardtalang, que ses hommes avaient trainé un peu plus tôt.