Une sortie de mercenaire
Post by Asphaar Meliamne, AdM - July 29, 2011 at 5:03 AM
Ce n'est que le soir venu, au couché du soleil, que les gens avaient pu remarquer que les mercenaires s'étaient rassemblé devant leur caserne en moyenne ville. Une centaine d'homme tout au plus. Le caporal Asphaar Meliamne était debout sur les marches de l'entré de la caserne et semblait leur faire un bref discours. Cela parlait d'honneur, de gloire et de victoire apparement.
Ensuite il prit la tête du bataillon suivit d'un soldat qui tenait l'étendard mercenaire bien haut dans les airs. Tous prirent le chemin de la sortie de la cité pour se diriger vers le nord apparemment. Que se passait-il donc? La ville était-elle en danger une fois de plus? Les questions se posaient parmi les citoyens qui avaient assisté au départ. Sans réponse pour le moment...
Post by Gardtalang, ind - August 11, 2011 at 10:50 PM
Cela ne prit pas beaucoup de temps avant que les échos de la sortie des mercenaires pour faire la guerre au brigand parvint jusqu’aux oreilles du demi-monstre. Un jour plus tard, il rassemblait ce qu’il avait trouvé de guerrier de Vaerdon pour s’en aller là ou les mercenaires campaient.
L’arrivée des barbares de toutes sorte ne passait pas inaperçu. Contrairement à leurs homologues guerriers mercenaires qui étaient disciplinés, identiques dans leur uniforme et droits dans leur marche, les guerriers de Vaerdon, essentiellement barbare, marchaient en foule, portaient des armures et uniforme différents les uns les autres et gueulait ici et là pour se faire valoir et se faire voir. Dans ce groupuscule d’une 20aine d’individu, on y voyait généralement des demi-orques, des humains et quelques demi-efle et un efle. À la tête de ceux-ci se trouvait le très connu Gardtalang. Il leur fit signe de s’arrêté alors qu’il se trouvait à l’entré du camp des mercenaires.
D’un pas lourd et lent, le Colosse s’avançait alors qu’il portait dans son dos son énorme et massive hache aux innombrables insignes tribales en l’honneur du dieu de la destruction. Quelques mercenaires curieux se ressemblaient à l’entré à la vue de ce petit groupe de guerrier hétéroclite. D’une voix grave, roque et même rude, le demi-orque prenait la parole au nom de ce groupe.
Je veux parler à celui qui commande ici.
Pour les mercenaires qui ne le connaissaient, ils pouvaient se demander si celui-ci avait des mauvaises intentions, car le demi-monstre s’exprimait avec une agressivité qui ne disait rien qui vaille. L’orque n’était pas reconnu pour sa patience…
Post by Asphaar Meliamne, AdM - August 20, 2011 at 11:21 PM
L'un des mercenaire s'adressa à lui banalement, lui disant que le Caporal Meliamne et le Capitaine Maeda allait venir les rejoindre sous peu. Il devrait retourner en ville pour s'adresser à eux deux.
Post by Conteuse Tornade - September 3, 2011 at 10:16 PM
Pourtant calmes depuis un moment, les brigands semblaient s'agiter à présent. Beaucoup de vas et viens étaient visibles dans le campement. Les mêmes individus partaient quelques jours avec des sacs remplis pour revenir étrangement vides... Si les Mercenaires étaient bien aux aguets, ils s'apercevraient que leurs allées et venues étaient en direction de la ville de Systéria. Le reste d'entre eux s'affairent aux mêmes tâches quotidiennes sans même aller à la chasse aux voyageurs. À croire qu'ils se moquaient des Mercenaires postés un peu plus loin.
Post by Le pénitent - September 3, 2011 at 10:34 PM
« Un avant gout des enfers... C'est donc à cela que cela doit ressembler, une armée d'orques, de demi sang armés jusqu'aux dents qui quittent la cité pour la défendre alors qu'eux même ne sont que des animaux. Pourquoi ne pas demander à des bergers de faire garder leurs brebis par des compagnies de loups? »
*L'homme enfonca ses mains dans ses poches, le regard détaillant la masse humaine ou pas qui défilait devant lui, se perdant dans ses réflexions personnelles. *
*« Systéria, la lie du monde libre, je te hais... pourquoi me suis je enfermé ici ? » *
*Il reprit la route de la cité, se gardant bien de croiser à nouveau les ... fiers ?! ... combattants ? *
Post by Gardtalang, ind - September 4, 2011 at 3:58 AM
C'est quand on attaque? Je vais pas rester encore ici à rien faire!
S'exclamait un des barbares avec impatience alors qu'un petit groupe faisait bande à part du camp des mercenaires.
Ouais, j'ai attendu assez longtemps. Je suis un guerrier de Vaerdon, pas un foutu humain comme Gardtalang
Allez, on a assez attendu! On attaque et au diable le chef! Nous sommes des guerriers!
L'impatience se faisait sentir dans ce petit camp d'une vingtaine d'individu le plus hétéroclite les uns des autres. Les mercenaires pouvaient même se demander ce qu'il se tramait avec ce bruit de plus en plus audible. Gardtalang, le chef des guerriers de Vaerdon n'était pas sourd. De sa tente au multitude rune dédiées au dieu de la destruction, il pouvait entendre ces revendications. Agacé mais surtout en colère, il se leva et vient prendre sa très massive hache de guerre à deux mains. Son énorme hache en main, il sorti de sa "demeure" et s'adressa directement à celui qui semblait vouloir se démarquer des autres.
On attaquera lorsque je l'aurai décidé, guerrier! Déclarait-il avec rudesse mais surtout rempli d'agressivité.
Ah ouais? Mais peut-être que ça ne me tente plus d'attendre. Peut-être que t'es qu'un humain en fait et que tu es à la solde des mercenaires?
Tu veux te battre? Allez vient!
L'Orque vient prendre sa hache dans ses deux mains alors que le demi-monstre s'avançait vers l'humain habillé de plusieurs peau et équipé d'une épée longue de piètre qualité ainsi que d'une pièce de fer plus ou moins ressemblante à un bouclier.
Alors que les deux individus se jugea un instant en tournant simultanément dans le sens des aiguilles d'une montre, les barbares et les guerriers se mirent en rond pour délimité l’arène improvisée. Ils se mirent à crier et gueuler. Si les mercenaires avaient des doutes, maintenant, ils n'en avaient plus. Quelque chose devait se produire à en juger tout le vacarme qu'il en découlait.
L'humain fut le premier à porter les hostilités. Gardtalang ne cherchait même pas à éviter le coup. Une blessure à sa taille était bien voyante mais le demi-monstre semblait l'avoir encaissé comme si rien n'était. Un brin de surprise se transforma rapidement en de la colère de son ennemi. L'Orque semblait bien patient et même s'il venait de se prendre un second coup à la jambe. Massif, puissant et robuste, Gardtalang se déplaçait cependant très lentement.
Pendant ce temps, les guerriers de Vaerdon criait à qui mieux mieux et couvrait les grognement et le crie de guerre de Gardtalang lorsque celui-ci en eux assez.
Un troisième coup fut porté, une bonne entaille sur le torse alors que l'épée avait pénétré dans sa chair d'un bon centimètre. Le sang ruisselait de ses trois blessures et pourtant Gardtalang semblait tout aussi vif et fort qu'au début de l'engagement. Sa constitution sur-humaine était maintenant plus un mythe mais bien une réalité et ce aux yeux de ses guerriers. Dans une colère noire, l'Orque lève sa hache alors que le déplacement d'air témoigne de toute la lourdeur de son arme.
Le coup fut foudroyant projetant son adversaire dans la petite foule. L'humain fut mis K.O. dès le premier assault du monstre qui avait bien prit soin de frapper avec le plat de sa hache. L'Orque poussa un cri de guerre assourdissant à son adversaire exprimant toute sa colère qui résonnait dans toute la vallée.
Le demi-orque faisait demi-tour de son pas lourd et lent. Le message était très clair. Ils attaqueront lorsque celui-ci l'aura dit. Très bientôt sans aucun doute...
Post by Adjakyee, Ind - September 4, 2011 at 4:04 AM
Sur le chemin qui menait au campement brigand, une sombre silhouette allait parfois, discrète. Elle observait. Elle ne se montra pas aux guerriers. Peut-être l'auraient-ils méprise pour une brigande dont elle n'avait pourtant pas l'apparence.
Pour ceux qui avaient une telle envie d'en découdre, cela importerait peu, qu'elle soit prête à rallier leur cause, ou croiser le fer contre eux. Elle qui ignorait la pitié, présumait de la même ignorance, tant chez ses ennemis que ses alliés, mais aussi des pur étrangers comme ceux faisant partie de la troupe.
Mais elle attendit, la patience semblait de mise.
Post by Adjakyee, Ind - September 4, 2011 at 4:39 AM
Boum.
Avait-on entendu, aux portes de la ville. Une femme, couverte d'estafilades légères, parée de grosses plaques arrachées à l'exosquelettes de fourmillions divers, était rentrée en maugréant, retenant un ouvrage. Les petites plaies qu'elle arboraient ne l'importunaient pas outre mesure, elle en avait vu, après tout, de bien pires. Elle se présenta ainsi au Coin Chaud, de fort méchante humeur. Elle brandit un ouvrage miteux. Qui avait sans doute à voir avec le "présent" des brigands.
-Quelqu'un sait lire?
Post by Adjakyee, Ind - September 4, 2011 at 6:23 AM
Un autre "Boum".
Cette fois en Basse-Ville. Un légionnaire en patrouille sur le pont témoignait qu'une femme noire, ainsi qu'un homme du même teint, s'étaient rendus là-bas un instant avant.
Garibald, des Adalard, pourrait sûrement témoigner de ce qu'il avait vu, ou fait, puisqu'il était cet homme noir bien connu dont on parlait.
Un mercenaire rapportait avoir vu la femme noire parée de quelques cendres et estafilades légères, sortir en compagnie de son compère de race aux portes de la Basse.
Fort était à parier qu'une annonce des mercenaires à la population éclaircirait le mystère.
Entretemps, en Basse et au Port, une femme noire avertissait sur son passage, de ne pas toucher aux colis blancs si ils étaient aperçus.
Plus tôt, dans un Coin Chaud pratiquement désert, une sommation aux mercenaires avait été lue à haute voix par le même Adalard, à qui le papier avait été présenté par la femme noire de peau. Elle prédisait le courroux des brigands sur les citoyens de Systéria, si les mercenaires s'obstinaient à pousser leur campagne martiale plus avant.
Post by Garibald Adalard, Ad - September 4, 2011 at 9:00 AM
Une poignée d'hommes aux couleurs de l'Armée des Mercenaire, mené par le Caporal Adalard vinrent filer en direction des bois de l'ancien campement gitans. Ceci au crépuscule de la nuit. Vêtu de légère apparat, la petite troupe de rôdeur débutèrent le marquage des lieux.
Suffisamment déjà d'explosions avaient sonner en cette fin d'après midi. Que les rapports à la caserne en moyenne-ville s'accumulèrent. Il n'en fallu pas plus, avec quelque maigre description des possibles fautifs... Bien que quoi, un doute plus que plausible planait sur des artificiers en provenance du camps des brigands. Que les compagnons d'armes vinrent prendre le sentier de la chasse au gros gibier.
Silencieux comme des fauves, le début de soirée allait se montrer long pour les malheureux qui auraient la fortuite malchance de laisser suffisamment de trace derrière eux, en partenance de la citée mère de l'empire Systérienne. Les quelques anciens loups de la jadis Meute, se chargeraient le temps d'une nuit d'offrir le doute aux futurs renégats de venir fouler les dalles de la ville.
Post by Conteuse Tornade - September 4, 2011 at 6:02 PM
Pourtant, personne ne passa dans les prochains jours, sauf peut-être les habituels rôdeurs de la région. Les quelques explosions avaient fait des remous, à quelques endroits clés de la ville, mais maintenant, c'était le calme plat. Quant au campement brigand, de grandes soirées festives semblaient se déroulées, mais plus personne de louche ne semblait en sortir.
Post by Gardtalang, ind - September 4, 2011 at 10:11 PM
Du haut d'une petite colline un peu plus en retrait, l'Orque observait la plaine avec un regard rude et mauvais. Un faible grondement laissait paraître qu'il réfléchissait à la situation et ce malgré son sang orque. Sans qu'il ne veule l'avouer, ses capacités de réflexion étaient grandement augmentées avec sa moitié humain contrairement au sang pur de sa race. Du haut de cette colline, il apercevait le camp des brigands et les activités de celui-ci laissait croire ce qu'il attendait d'eux. Accompagné de son second, celui avec qui il venait de se battre il y a deux jours, il pointait le camp.
Alors, on attaque? demande-t-il avec toujours cette impatience. Gardtalang savait qu'il ne pouvait plus retenir longtemps son groupuscule.
Après avoir examiné longuement la situation, il prit parole d'un ton impératif et dure.
Toi, Boris, Karfa, Tête de loup, Dentik, Vegar et Gros Dur vous passerez par la montagne. Vous aurez jusqu'à l'aube pour vous y rendre et vous préparer. Moi et les autres, nous attaquerons de front pour faire diversion. Lançait-il de manière impératif. C'était des ordres pur et dur.
- Contrairement à ce que l'on pensait, l'Orque usait de stratégie. Bien simple mais qui pouvait fonctionner. Il savait que leur nombre n'était pas leur force alors qu'il était qu'une vingtaine de barbare tandis que le camp ressemblait à une petite village.*
Lorsque l'aube arrivera, ces humains seront tous endormi de boisson après leur fête. On les attirera à leur porte avec l'assaut frontal. C'est alors que toi et les autre vous passer par les montagnes et vous mettez le feu et tué homme, femme et enfant. Ensuite vous foutez le camp Aucune émotion dans cette directive. Tel un barbare, il donna l'ordre de tuer tout le monde sans exception. Mais cela ne semblait pas faire l'affaire de son second...
Je refuse de me battre en lâche! Nous allons te joindre après
Mmgrrrr...
L'Orque vient donner un sale coup derrière la tête de son comparse barbare avec colère. Cette remarque ne l'avait pas du tout plus.
Tu fou le bordel et ensuite vous sacrez les camps. Si tu veux mourir au premier assaut alors t'auras qu'à rester! Mais laisse les autres faire le combat comme ils l'entendent.
Ensuite, l'Orque laissa passer un grand souffle par ses narines, comme s'il cherchait à se calmer et élaborer la stratégie.
On brule leur maison et on tue leur femmes et leur enfants. Ensuite, ils seront d'une telle colère qu'ils viendront à nous tête première et en colère. Nous aurons notre combat digne des rituels Vaerdonien d'antan. Les mercenaires n'auront d'autre choix que de se défendre s'ils sont attaqués et nous seront de la bataille. T'as jusqu'à l'aube!
Le second hochait de la tête et partie en direction du camp des barbares pour partager le plan avec le petit commando. Gardtalang prit un moment encore pour observer le déroulement de leur fête. Lorsqu'ils seront paisiblement endormi et fier de leur coup, les barbares leur apprendrons que la faiblesse coûte cher...
Les heures passèrent jusqu'à ce que le silence plane dans le camps des brigands. Quelques oiseaux annonçaient la venu du matin avec leur chant alors que l'aube pointait le nez. Un terrible cri de guerre orque résonnait dans la vallée. Puis, suivait le crie de guerre du groupuscule. Les barbares chargeaient le camp du nombre de 14 guerriers de Vaerdon! Pris par surprise, les trois gardes à l'entrée fut vite anéanti par les puissants coups des barbares et le troisième prit la fuite à l'intérieur des murs.
Réveillez-vous! On est attaqué! RÉVEILLEZ VOUS! AUX ARMES! AUX ARMES!
Dans la confusion la plus totale, les hommes aptent au combat empoigna leur arme pour défendre le camp. Gardtalang menait l'assaut et comme un véritable monstre, ses ennemis étaient projetés à quelques mètres du point d'impact de son énorme hache. Du camp des mercenaires, ils pouvaient voir que quelqu'un avait décidé d'attaquer.
De l'autre côté, le petit groupe de barbare attendait que la portion nord se vide pour aller défendre les portes. Puis, il passèrent à l'action, mais plus discètement. Cependant, cela fut de courte durée alors qu'on attendait le cri de femme horrifiée ainsi que le pleure d'enfant et des nuages de fumés se formés ici et là.
Alors que la bataille faisait rage, le groupe de barbare était maintenant 2 contre deux et très vite 5 voir 6 contre un. De la palissage, des flèches se mirent à siffler sur le groupuscule. Un trait vient se planter dans la jambe de Gardtalang. Dans un grognement de colère et de douleur, il sorti la flèche de sa jambe pour donner ensuite le cri de retraite. Un autre puissant cri orque résonnait à travers le bruit de métal des lames et des jurons de la bataille.
Les barbares retraitaient et les brigands se mirent à crier leur joie. C'était de toute évidence une victoire pour eux... à la première vue. Allait-il en être si heureux en retournant dans le campement et constater le carnage qui avait été fait?
Alors qu'il était 14 au départ, voilà qu'il n'en restait que 6, Gardtalang inclusivement. Ils retournèrent tous au campement. Le demi-orque attendait avec impatience le retour du petit commando...
Post by Garibald Adalard, Ad - September 6, 2011 at 6:25 PM
La traque n'avait pas été fructueuse. Trop de temps séparait les proies des prédateurs. Les pistes menant au nord, c'est là que les anciens de la Meute poursuivirent leurs marches, mener par le Caporal Adalard.
Suivant la chaine de montagne débutant à la mer et finissant loin dans les plaines aride. Le groupe vint atteindre les bords du campement de fortune Mercenaire. Cette pogné de cent hommes, les attendaient là. À l'affut des ordres futurs du Caporal Meliamne.
Aux abords des tentes, la venu du groupe de rôdeurs fut annoncé. Le guet s'en chargea...
Soldat ! *Vint il s'adresser sèchement au premier homme qui osa croiser son chemin. *
Ou est le Caporal Meliamne ? Je dois lui parler, maintenant !
Le Nguelundien n'y alla pas par quatre chemins, démontrant déjà ses humeurs massacrante. Depuis le départ de la citée, la route su se faire longue durant la nuit.
Le sous gradé, bon soldat qu'il était. Fit son salut militaire au supérieur qui en avait cure. Dégringolant au pas de course vers la tente du supérieur de la légion.
Durant se temps... Deux hommes portant le foulard vinrent déambulèrent en direction du campement d'un pas hâtif, très hâtif. Annoncé eux mêmes de leurs arrivés par le même guet du campement. Ils vinrent s'arrêter droit comme des poteaux face au blason du Caporal Adalard. Entre deux souffles saccadés, ils vinrent porter nouvelle.
Cap.. Caporal ! Nous venons porter information sur le campement des brigands ! Il... il y a eu attaque... tôt se matin. Guère nos hommes. Un groupe de sauvage les auraient pris d'assaut. Ils ont pris retraite, le campement semble sans dessus, dessous.
Le Caporal Meliamne ne devrait pas tarder à arriver. Le temps n'est plus à la patience, il est temps d'agir... Souffla l'Adalard, hargneux.
Post by Asphaar Meliamne, AdM - September 6, 2011 at 7:49 PM
Malgré les informations qui lui avaient été données, le caporal Meliamne manquait toujours à l'appel. Quelque chose l'avait assurément retenu en ville, quelque chose de très important pour sur puisqu'il n'était pas du genre à se cacher et éviter la battaille, c'était bien connu. Les hommes sélectionnés par le demi-elfe, attendaient toujours et encore les ordres de ce dernier pour avancer sur le camp brigands, mais il était évident désormais qu'ils ne pouvaient plus attendre d'avantage.
Asphaar avait eu vent de la venu du caporal Adalard au front dans le nord, il dépêcha un messager afin de lui envoyer quelques précisions. Il n'était pas spécialement ami avec Garibald, mais il ne doutait pas que celui-ci ferait amplement l'affaire pour organiser les mouvements de l'armée en son absence. Ainsi donc, garibald put recevoir une courte missive de la main d'un messager essouflé.
Caporal Adalard,
Je suis retenu en ville. Je vous épargne mes préoccupations. Je vous sais capable de mener le début des opérations. Prenez la tête de nos hommes en mon absence et marchez vers le camp brigands. Le capitaine Maeda viendra vous seconder avec quelques hommes en renforts. C'était ce qui était prévu. Je vous rejoindrai pour ma part dès que j'aurai réglé mes problèmes ici.
Si les hommes de Gardtalang vous gênent, n'hésitez pas à les renvoyer, ils n'ont rien à faire à la guerre et n'ont aucun droit de faire la guerre à notre place. Je sais qu'ils peuvent être utile, mais ils risquent de ne pas être très obéissant et désordonné.
Je vous rejoindrai sous peu.
Caporal Meliamne
Post by Garibald Adalard, Ad - September 8, 2011 at 7:31 AM
Les choses se précipitaient dans le campement depuis l'arrivé du Nguelundien, visiblement...
Une courte note fut retourné au Caporal Meliamne.
Meliamne,
Il en sera faite ainsi. À l'arriver des renforts nous frapperons.
J'étais présent lors de l'incident. Prends soin de celle si. Que la Trinité la remette sur pied sans séquelle...
Garibald
Une fois la missive remis au coursier, il sorti de sa tente d'officier, nouvellement acquise aux mains d'Asphaar. Posant pied sur une estrade de fortune, en une caisse qui ne trainait non loin de là. Il vint interpeller les troupes sévèrement sous quelque aboiement.
Soldats !
Nous nous tenons sur le pied de guerre. À l'arriver des renforts rapporter par le Capitaine Maeda. Nous marcherons vers l'ennemi ! Que les lames soient affûtés et les armures prêtes à être servis ! Ils payeront le prix de leurs insolence de s'être attaquer à Systéria.
Les éclaireurs me rejoignent. Nous avons stratège à préparer.
Rompez !
Le Caporal suivis de sa suite de deux hommes prirent chemin vers la tente de l'officier... L'assaut allait sous peu débuter.
Post by Adjakyee, Ind - September 8, 2011 at 7:37 AM
Les champs de bataille avaient toujours leur lot de charognards. Au réveil, elle aurait sans doute chassé de sa tenue un peu de la mousse de sang sur laquelle elle s'était assoupie, pour remonter vers le nord, où on avait requis d'elle quelle cherche des balles de neiges.
Mais, on avait aussi requis d'elle qu'elle ramène des os.
Inéluctablement, le tracé de sa route la mènerait des égouts au campement gitan détruit. Puis, vers le nord et la montagne. Et le campement des brigands.
Elle retournerait jeter un oeil curieux à la marée des hommes qui avaient leurs flux et reflux. Peut-être enfoncerait-elle sa lame dans un corps ou l'autre d'un brigand qui tentait de filer en douce, susurrant en sa langue maternelle une prière d'offrande à des Dieux et entités dont les noms demeuraient encore obscurs aux Systériens, mais à travers lesquels on devinait Vaerdon.
Elle demeurait discrète, de peur qu'on la méprenne pour un des brigands. Néanmoins, elle demeurait là, embusquée dans les herbes hautes, comme un vautour silencieux qui planait, comme l'insecte sous le rocher, comme certains fauves tapis qui voulaient disputer aux lions leur part.
Post by Gardtalang, ind - September 11, 2011 at 6:06 AM
Du haut de sa colline, après le raide, Gardtalang, observait la confusion qui semblait encore régner au sein du petit village des brigands. Des bâtiments fumaient encore et on avait à peine continué les fortifications de défenses. L'attaque, sournois certes, n'avait pas pour but la victoire mais de ralentir les activités de et désorganiser leur efforts. S'il prenait le temps d'enterrer leur femmes et leur enfants, il ne le prenait pas pour préparer leur défense.
Alors qu'il réfléchissait, les 6 derniers combattants de Vaerdon se présentaient à lui. L'un d'eux s'adressait au demi-monstre
C'est quoi le plan?
Mmgrrrrr.... On va voir les mercenaires.
Ils descendirent la colline pour se diriger vers les diverses tentes des mercenaires parsemées ici et là plus loin. Le petit groupe hétéroclite ne passaient pas inaperçu et ce même s'il n'était que 6 maintenant. Alors qu'il se présentait aux hommes à la cape verte, Gardtalang semblait être le porte parole.
Qui commande ici?
L'un d'eux les apportèrent à la temple de l'homme au visage foncé tout en leur disant bien spécifiquement de ne pas faire d'ennui.
Les mercenaires devaient attaquer, et maintenant!
Disait-il de manière impératif et rude comme il le fait toujours. Même s'il était encercler de cape verte.
Post by Garibald Adalard, Ad - September 13, 2011 at 2:10 AM
Bande d'incompétents, pu il maugréer à son fond intérieur lorsqu'il vit apparaitre dans sa tente le groupe de barbares mener par Gardtalang. Maudissant ses sous gradés, broyant du noir devant la scène qu'il voyait déjà se dessiner à l'arriver de l'hargneux demi-orque.
Il vint se relever de son siège de bois. Une large table était déployer devant lui. Divers plans, brouillons, des symboles ornaient le papier, tel des positions d'attaque mélanger à des simulations. Un vrai champs de bataille quoi ...! La mâchoire crisper, sans être guère plus impressionner de se retrouver devant l'Impératrice elle même. du haut de ses 5 pied 11, se qui semblait fort petit face au géant. L'Adalard le targua du regard, droit dans le blanc des yeux. Il ouvrit alors la bouche, il fulminait et il ne s'en cachait pas. Surtout après avoir entendu se que le demi-orque avait à lui dire.
Gardtalang, dis à tes hommes de sortir de cette tente maintenant ! Ou je vous met au fer sans même écouter se que tu as à me dire.
Une forte respiration de l'aire chaude et humide remplissa ses poumons sans néanmoins calmer ses ardeurs.
Que veux tu, que fais tu ici et explique toi ! J'ai un combat à mener, je n'es pas de temps à perdre.
Il croisa les bras sur son torse, le menton toujours relever pour faire face au regard de la créature de Vaerdon.
Post by Gardtalang, ind - September 13, 2011 at 8:41 PM
Foutez le camp dit le géant vert à sa petite troupe sans grande politesse. En grommelant, les autres barbares quittèrent la tente. Le demi-orque se soumettait au volonté du mercenaire sachant pertinemment qu’il n’était pas dans son territoire.
Néanmoins, son humeur était toujours aussi massacrante et naturellement hostile envers l’homme à la peau foncée même s’il lui lançait des menaces. En d’autre mot, cela ne semblait pas du tout l’affecter. Cependant, intérieurement, il aimait cela. Une discussion qui s’annonçait courte et directement au point. Il jeta qu’un bref coup d’œil aux cartes et aux divers plans d’attaque. Cela ne lui disait rien qui vaille. Il avait sa stratégie déjà écrite dans sa tête.
Sans même qu’il lui donne explicitement le droit de parole, le géant du haut de ses 2 mètres 40 expliquait ce qu’il était venu faire ici.
Ils sont désorganisés, ils enterrent leur mort au lieu de se préparer à combattre. Surtout, ils sont émotionnellement instable. Tuez les pendants leur moment de faiblesse.
Attendez encore ils érigeront une défense, ils s’organiseront. Les mercenaires doivent attaquer maintenant et les guerriers de Vaerdon seront en première ligne.À la toute fin de sa phrase, un ton plus solennel s’échappait de son attitude barbare. Comme si être en première ligne était un rituel auquel tout guerrier de Vaerdon devait se faire.
L’orque poussait un faible soupir par ses narines démontrant ainsi de l’impatience. Il avait perdu des hommes dans son raide pour affaiblir l’ennemi. Cela ils s’en foutait à vrai dire. Ils sont mort dans un combat comme un vrai guerrier de Vaerdon doit le faire. Non, la raison était autre…
Néanmoins, le demi-orque fixait le mercenaire dans les yeux, attendant avec plus ou moins de patience sa décision. Sans aucun doute elle aura des répercussions dans un avenir proche, il en va de soit.
Post by Garibald Adalard, Ad - September 13, 2011 at 11:57 PM
Il vint s'exclamer de son habituel. Ah! *Après avoir écouter les quelques phrases qu'avait à dire la peau verte. Il ne s'attendait rien de moins de cette poignée d'homme, certes téméraire mais néanmoins idiot qu'il en jugeait. *
Tu es donc l'investigateur avec les tiens du raide sur le camps des brigands ? Qu'as-tu chercher à faire ? Mener la mort à tes hommes Gardtalang ?! Faire face avec tes quelques guerriers à tout se regroupement d'homme, en reviens à du suicide. Qu'as-tu songé !
Il le targua toujours du regard, de ses mauvaises humeurs habituel. Se surtout depuis que l'horde de barbare avait débarquer à la porte de sa tente.
Tu dis qu'ils sont toucher émotionnellement ? Ils sont tous aussi prêt au sacrifice de leurs hommes que nous de les nôtres ! Ils ne doivent qu'être plus avertis d'une prochaine contre attaque.
Il pris une pause, tenant l'ambiance toujours aussi tendu. Sèche et franc dans ses propos à ses habitudes il reprit.
Tiens toi pour dis que tes sacrifices ne me concerne pas et encore moins l'Armée. Tu as agis sous ta propre bannière. Se n'es pas toi qui me dirige, mais moi. Si je souhaite de tes bras.
Il conclu ainsi pour le moment, les dés étaient jeter. Il savait oh combien comment le barbare allait pouvoir réagir à ses derniers propos. Un ouragan se préparait peu à peu. Il le sentait.
Post by Gardtalang, ind - September 14, 2011 at 1:44 AM
En effet, un ouragan! Au fur et à mesure que le mercenaire lançait ses propos, il pouvait voir de toute évidences les sourcils du demi-orque en permanence froncés le faire encore plus! Un rictus s'agrandissait ce qui avait pour effet de dévoiler sa dentition hérité de son sang orque. Pour ne pas perdre son sang froid, le demi-orque vint prendre une bonne inspiration et soufflé par ses grandes narines de demi-monstre une forte expiration. Garibald pouvait même presque sentir cette brise?!.
C'est évidement avec plus de hargne et d'agressivité qu'il lui répondit après avoir laisser planer un fort grondement peu amicale.
Je n'ai donné la mort à personne! *grognait-il pour bien faire passer son message avant de reprendre un *
Tous et chacun savaient pourquoi il était là et de leur propre volonté. Que Vaerdon les aient jugé fort dans cette guerre!
Il prend une autre inspiration, question de ne pas trop s'emporter et d'expliquer plus rationnellement sa vision des choses. Néanmoins, cela ne voulait pas dire qu'il se montrait plus courtois.
Si j'ai bien appris une choses des humains, c'est bien d'attaquer au moment le plus opportun. Je ne suis pas ici pour donner des ordres aux mercenaires, je suis venu te dire que l'ennemi est présentement désorganisés et en colère. Frappe le maintenant.
Il marquait une pause, pour détailler la réaction du mercenaire qui ne bronchait pas de toute évidence. Gardtalang poursuit donc avec son ton de voix roque et grave d'orque.
Ils se battront avec acharnement mais ils viendront à nous en frustré et stupide.
À cet instant, le demi-orque ne mentionna pas pourquoi ils auront cette attitude selon lui. Il savait bien que les humains étaient sensible envers les plus démunie. Annoncer qu'il avait ordonné de tuer femmes et enfants aurait sans aucun doute fait quelques émois... Il continua pour terminer ce qu'il avait à dire.
Les guerriers de Vaerdon n'acceptera pas d'être nul par qu'en première ligne lorsque qu'il y'aura l'attaque.
Après quoi, le géant se défait du mercenaire pour se tourner et se diriger vers la sortie. Son pas lourd et lent qui se faisait entendre dans la tente laissait amplement au mercenaire de lui donner une autre réplique cinglante.
Post by Erkha Delile, AdM - September 19, 2011 at 12:51 PM
Loin du camp mercenaire et du village brigand, des préparatifs étaient en cours à la caserne de la moyenne-ville. La sergent avait prit un peu d'initiative et, avec l'aide de recrues, soldats et caporaux, rassembla tout le nécessaire pour aller prêter main forte à Garibald et aux autres capes vertes. L'Armée, déjà aidée de Gardtalang et de ses barbares, n'auraient sans doute pas besoin de plus qu'un petit contingent mais Erkha tâcha tout de même de prendre assez d'hommes pour remplacer les effectifs perdus pendant les batailles contre les bandits.
Post by Adjakyee, Ind - September 19, 2011 at 5:33 PM
Les voix s'élevaient de la tente. Quelques bribes audibles.
Sur le champ de bataille, après la frappe éclair des barbares, quelques cris venus du camp. La terreur, l'horreur, pouvaient y être entendues.
La fumée s'élevait en lentes volutes.
Quelques gardes brigands avaient rejoint leur postes, tendus, livides et aux aguets. La prophétie de Gardtalang s'accomplirait-elle?
Outre ces cris dans la tente. Outre ces cris dans le camp éprouvés, rien. Le sombre être tapi dans les herbes faisait passer ses prunelles d'un lieu à l'autre. Était-ce normal? Elle n'en savait rien. Elle attendit, curieuse de voir comment les Systériens menaient leur bataille.
Mais vu les éclats de voix incompréhensibles et emportés venus de la tente, c'est bien entre eux qu'ils semblaient la mener, la bataille. Les brigands en partie démoralisés, ou du moins le peu qui semblait visible à cette heure terrible pour eux, en feraient-ils leurs choux gras? Après tout, au chagrin et à l'effroi suit souvent un sursaut de colère terrible qui nourrit la vengeance ourdie.
Post by Asphaar Meliamne, AdM - September 19, 2011 at 10:29 PM
On pu voir en soirée le caporal Meliamne, escorter de quelques soldats, se rendre au campement mercenaire au galop. Il était visiblement pressé de se rendre sur place, probablement qu'il n'aimait pas être en retard lors des attaques. Une fois entré dans le camp mercenaire le caporal prit le chemin de la tente des gradés. Probablement qu'une stratégie allait être mise sur pied...
Post by Shigeru Maeda, Adm - September 20, 2011 at 3:11 PM
Dans la nuit, au travers des échos du vent sur les montagnes dans ses plateaux dégagés, un cheval lancé au galop, laissant sur le sol le vrombissement d'une course rapide et lourde alors que les sabots de l'animal frappent le sol violemment. Non loin de lui, quatre hommes équipés laissant derrière eux un voile épais de poussière et les bruits caractéristiques d'armures lourdes frappant sur une selle.
L'entrée dans le camp, n'est qu'une suite de salut et d'hommes pressés de se redresser qui accueillent le Capitaine, qui selon toute logique se dirigeait vers la tente des gradés au pas, ralentissant la mesure de sa course pour clôturer sa chevauchée devant le lieu de rassemblement de l'Armée.
Un regard froid vers les barbares de Gardtalang, rien qui n'annonce un bon présage pour ces derniers alors qu'il glisse par-dessus sa selle jusqu'à poser pied à terre, secondé par un soldat arrivé à sa suite. Ce dernier plaçant la cape du Tsen sur ses épaules se dirige vers la tente pour lui ouvrir les battants alors que le guerrier fait enfin irruption, insondable, le visage fermé par la sévérité, le regard inexpressif se glissant sur l'ensemble de ses hommes. Patientant leur salut, il s'avance dans la pièce, toisant le demi-orque.
"J'ignorais que vous portiez à présent nos couleurs... à moins que cela ne soit pas le cas?"
Un regard bref se posa sur la carte d'état major dépliée sur ce qui leur servait de table, puis à nouveau sur le demi-orque sans aucune expression visible, croisant lentement ses bras sur son torse.
"J'imagine que vous êtes au courant du fait que l'Assemblée ne peut avoir de force armée... Si vous devez combattre les brigands, ce sera avec nos capes, nos valeurs et nos stratégies. La Guerre est laïque et nous ne laisserons rien de religieux se mêler à cela. Ai-je été assez clair?"
Puis il se désintéressa du puissant et bien trop large Gardtalang pour donner son attention à ses hommes, oeuvrant à la construction d'un plan de bataille avec eux...
Post by Gardtalang, ind - September 20, 2011 at 7:54 PM
Lorsque le capitaine franchissait les portes du campement, ils pu apercevoir le petit regroupement de barbare. Gardtalang ne s’y trouvait pas. Comme il le soupçonnait, le demi-orque se trouvait dans la tente des gradés de l’Armée. Déjà, il semblait avoir des tentions entre le groupe de barbare et les mercenaires…
Lorsque le mercenaire entra dans la tente, le demi-orque tournait la tête lentement et son expression n’était pas plus accueillante que celle du t’sen, même plus monstrueuse. Un rictus d’irritation dévoilait ses canines d’orque jaunies.
J'ignorais que vous portiez à présent nos couleurs... à moins que cela ne soit pas le cas?
Le demi-orque répliquait donc avec une certaine agressivité alors qu’il sentait un hautain dans l’expression. Comme si c’était bien une chose qu’il détestait venant d’un humain.
Mmmgrrrr, corrige ta vue, humain! Elle te fait défaut.
C’était là juste une réplique de bonne guerre. Gardtalang était connu pour ne jamais laisser une attaque quelle qu’elle soit sa forme sans contre attaquer. C’était dans sa nature.
J'imagine que vous êtes au courant du fait que l'Assemblée ne peut avoir de force armée... Si vous devez combattre les brigands, ce sera avec nos capes, nos valeurs et nos stratégies. La Guerre est laïque et nous ne laisserons rien de religieux se mêler à cela. Ai-je été assez clair?
Les sourcils déjà froncés du Geant-vert le faisait d’avantage. Ce genre de commentaire était inadmissible pour lui. Le capitaine le savait déjà et il prévoyait sans aucun doute sa réaction.
Ce n’est pas un mercenaire qui m’arrachera mon honneur guerrier, mon arme et le jugement de Vaerdon. On ne reniera jamais ce que l’on est.
Amusez-vous à jouer à la guerre sur votre table si ça vous chante, mais moi et mes hommes, on ne restera pas indéfiniment sans bouger.
- Le demi-orque laissa donc le capitaine et les autres membres de l’Armée entre eux. Comme quoi les barbares n’aimait en rien la théorie. Le demi-orque était plutôt pragmatique. Il fallait que les choses bougent autre que la stratégie papier… Pourquoi ne donnait-il pas son opinion au mercenaire concernant leur plan d’attaque? Il l’avait déjà fait. Les barbares excelleraient dans les petites batailles, les raides, mais pas celle d’envergure qui demandait de l’organisation comme durant la guerre contre les orques. Dans une attaque contre un village brigant, c’était comme le « bon vieux » temps. Malgré ce que pouvait penser les mercenaires, Gardtalang était convaincu que son expérience et son savoir était meilleur que le leur pour ce cas précis.*
Après quoi, le demi-orque quittait la tente. À quoi allait-il faire encore? Les mercenaires pouvaient sans problème le suivre à l’aide d’éclaireur. Les barbare ne cherchaient en rien à se faire subtile.
Gardtalang était un véritable vétéran de guerre. Son passé orque n’était que basé la dessus et plus particulièrement sur des raides de village en village. C’était une véritable tradition orque à en juger la légende de Bornak. Que les mercenaires le veuille ou non, le Colosse vert allait faire profité … ou non, son expérience guerrière.
Il savait que le nombre restreint de guerriers qu’il avait sous la main ne lui permettait pas de faire une attaque frontale. Ça c’était le travail des mercenaires et il était pleinement conscience de ce… handicape. Cependant, cela ne lui empêchait pas d’affaiblir l’ennemi et ce même au désaccord de l’Armée.
Alors, qu’est-ce que l’on fait? On va la faire la guerre là? Demanda impatient l’un des barbares.
Non, tant que les mercenaires n’attaque pas.
Quoi? Va te faire foutre! J’en ai marre d’attendre ces foutus humains!
Par Vaerdon que j’en ai marre aussi, mais je ne vais pas rester à rien faire. Amenez-vous…
Allait-il attaqué avec leur petit nombre? Garibald avait raison, c’était un véritable suicide que de faire cela. Les barbares le suivent curieux mais aussi soulager de bouger et faire quelque chose. Attendre était un véritable calever pour eux.
Les éclaireurs pouvaient donner aux mercenaires leur destination. Les montagnes qui bordait le village des brigands. Ils étaient en train de l’escalader. Pour attaquer une fois de plus par la même stratégie? Cela semblait plutôt grossier.
Après plusieurs heures, ils pouvaient rapporter que les barbares soulevaient d’énorme rocher le plus sphérique possible pour les apporter aux rebord de la montagne en altitude. Il faisait cela une bonne partie de la nuit. Plus de 16 grandes roches, plus ou moins circulaires avaient été placé ainsi en hauteur. Trois demi-orque, comprenant Gardtalang, avait grandement contribué à prendre les plus massives possible. La force sur-humaine du Colosse n’était plus à prouver.
Les éclaireurs et les mercenaires pouvaient facilement comprendre ce qu’il en sera. Les avaient l’intention de faire débouler d’énorme roche le long de la montagne pour qu’elle roule violement contre le village et brise et fracasse partiellement une partie de leur infrastructure et par le biais faire des percés dans leur fortification. C’était en quelque sorte une artillerie primitive mais avec du potentielle.
Les mercenaires avaient encore le temps d’intervenir, car les intentions des barbares étaient claires mais prenait du temps à préparer. Cela incombait maintenant dans les mains du plus haut gradé. Gardtalang présentait-il intrinsèquement un sens de la guerre ou était-ce au yeux des mercenaires un acte complètement déraisonné?
Quoi qu’il en soit, si les mercenaires n’intervenait pas, ils pouvaient être sur d’une chose. Gardtalang allait jusqu’au bout lorsqu’il avait une idée en tête. Ça, ils le savaient tous sans aucun doute…
Post by Asphaar Meliamne, AdM - September 21, 2011 at 12:40 AM
Du camp mercenaire, le caporal Meliamne examinait, non sans une pointe d’agacement, les barbares qui escaladaient la montagne pour bien évidement se mêler une fois de plus de ce qui ne les regardait pas. Asphaar avait prévenu Gardtalang de ne pas lui mettre de bâton dans les roues et une fois de plus il en avait fait à sa tête. Le demi-elfe prit alors la décision d'envoyer un dernier avertissement au demi-orque. Il ordonna à une poignée de soldat de seller des chevaux et de se rendre à la montagne afin de délivrer son message aux barbares.
Évidement le caporal se doutait qu'aucun de ces sauvages ne savaient lire ou écrire, alors le message allait être transmit verbalement. Les soldats se mirent en route et rejoint rapidement le bas de la montagne. Ils débutèrent l'ascension de celle-ci. Une fois arrivé près des barbares, l'un des soldats prit la parole.
- J'apporte un message pour Gardtalang et ses hommes de la part du caporal Asphaar Meliamne. Cessez immédiatement vos activités. La guerre est le domaine de l'armée et l'empire se fit à elle pour la gagner. Vous risquez de nuire et même faire échouer les plans établies par l'armée des mercenaires. Vous êtes prié de vous rendre sans délais au camp mercenaire. De là, vous serez escorté en sécurité jusqu'au quartier de l'assemblée druidique où demeure votre vraie place.
Le soldat attendait une réponse et de la coopération de la part des barbares, espérant que ceux-ci n'allait pas banalement les envoyer promener, car il était évident que les tensions entre Gardtalang et les mercenaires allaient se serrer encore un peu plus.
Post by Gardtalang, ind - September 21, 2011 at 4:31 AM
Les barbares étaient déjà bien avancés dans l'élaboration de leur plan lorsque les mercenaires étaient parvenus au flanc de la montagne. Les barbares sortirent leur arme à l'approche de ceux-ci. Dans l'obscurité, il ne savait pas s'il s'agissait d'ami ou d'ennemi, quoi que les mercenaires se montraient de plus en plus hostile envers eux. Une fois que GArdtalang reconnu les capes vertes.
Baissez vos armes, ordonna-t-il aux sauvages.
C'est alors que le Grand Chef de l'Assemblée druidique vint à leur rencontre.
Mmgrrrr. qu'est-ce que tu veux le mercenaires?
Le messager inclina donc tous son message qui sonnait étrangement comme un ultimatum. Après celui-ci, Gardtalang pris un moment pour répondre. Il évaluait ses options. Pendant ce temps, les autres barbares continuaient leur travail. Puis, le demi-orque répliquait après que quelques minutes se soit écoulés. Réponse que les mercenaires ne voudraient sans aucun doute entendre. Il s'approchait de lui d'un air plutôt menaçant. Gardtalang voulait bien se faire comprendre. Le messager portait sa main à son arme, incertain de la réaction du demi-monstre. Au cas ou il devait dégainé.
J'ai également un message pour ton caporal. Notre véritable vraie place c'est en dehors de mur de la cité.
Il expira par son nez, lui aussi bien agacé de voir l'Armée aussi bornée. Aussi bornée que lui ironiquement. Il poursuivait son message en pointant les énormes roches que les barbares portaient avec leur puissant muscle au bord de la falaise.
Si les mercenaire se soucient tant des défenses et fortification du village, dit leur que l'on a un moyen de les bousillées. Ce qu'il suffit c'est que d'une poussés.
À en juger la taille des roches, cela allait être très difficile pour des humains moyens...
Une fois balancé, on attaque par le flanc de la montagne. On attendra le signale peu importe ce qu'il est.
Après quoi, le demi-orque se retournait et ignorait les répliques du messager pour reprendre le travail avec les autres barbare. Il était mal aviser de les arrêtés par force. Le petit nombre de mercenaire allait être insuffisant ou ils auront bien du mal. De toute manière, le vrai ennemi se trouvaient en bas de la montagne.
Post by Asphaar Meliamne, AdM - September 21, 2011 at 5:44 AM
Le messager ne semblait pas étonné de la réponse de Gardtalang. Il avait visiblement été prévenu que ce genre de réponse lui serait donné suite au message, le contraire l'aurait sans doute étonné. Il répondit simplement au demi-orque qui s'éloignait de lui.
- Vous courrez à votre perte Gardtalang et celui de l'assemblée druidique, en tant que chef, il était de votre devoir d'y songer.
Après quoi les soldats retournèrent au galop vers le camp mercenaire, ramenant avec eux les nouvelles décevantes du demi-orque Gardtalang, qui une fois de plus était tomber sous le regard noir du caporal Meliamne. La suite des évènements allait probablement lui déplaire...
Post by Adjakyee, Ind - September 21, 2011 at 6:05 AM
Les voix du Mercenaire et du Chef résonnaient dans la plaine. Les pâles échos de celles-là se perdaient par moment, dans les bruits, les cris, les mugissements du vent.
Ces voix étaient celles de deux hybrides de nature différente. Le demi-elfe, le demi-orc, qui épousaient pleinement leurs valeurs, inflexibles, immuables comme deux colosses.
Les brigands avaient recommencé à s'activer, dans le lointain.
L'odeur du brasier, les cris, les sinistres effluves fouettaient son visage, la ravivaient, la ramenaient à une époque qui était toute autre. Cela lui faisait du bien.
Elle se parait d'un pâle sourire. Embusquée dans les herbes de loin. Voilée par la nappe des ombres. Un brigand le moindrement rusé, un éclaireur, aurait pu avoir sa place. Et qui sait, il y en avait peut-être, qui voilaient leur souffle et leurs pas, non loin.
De son embuscade improvisée et solitaire, elle détailla les loups haut-perchés qui grognaient l'un vers l'autre. L'un paré de rouge. L'autre de vert.
Des Systériens.
De ces loups, qui se mangeaient entre eux. Qui n'avaient rien d'une Tribu, de l'unité guerrière. Elle se prit à lorgner vers le camp brigand. Qui devrait tôt ou tard se relever de l'adversité. Et, peut-être, profiter de la désunion ainsi que de l'absence de stratégie coordonnée, qui étaient si flagrantes.
À ce moment, le fauve tapi pourrait bondir. Entretemps, elle attendait.
Post by Erkha Delile, AdM - September 21, 2011 at 7:47 AM
Peu après le départ du capitaine, un autre groupe de soldats partirent de la caserne avec, à leur tête, Erkha, Il y avait deux chevaux de trait chargée de provisions et de munitions afin d'assurer un rationnement adéquat pour les mercenaires du campement. Après une bonne heure de voyage, le groupe arriva au camp, là où il y avait, en plus des soldats, des barbares. Que faisaient-ils ici? C'était sans doute Gardtalang qui avait décidé de se mêler des affaires de l'Armée. Erkha fît décharger les provisions et les munitions. Une bataille se préparait et il fallait que tout soit en place, aussi, la sergent s'empressa de se mettre au courant de la situation.
Post by Garibald Adalard, Ad - September 21, 2011 at 8:06 AM
Et Garibald dans tout cela ?
Maître du camps jusqu'ici, vit tout ses supérieurs et ou ses subordonnés apparaitre en si peu de temps. Le mot c'était donner dans cette Guilde, visiblement.
Il était retourner s’assoir derrière ses plans et ses stratégies, attablé avec Maeda, détestable personnage... Oh, il aurait craché tout son venin à Gardtalang, mais le Capitaine s'en chargea. Il en était satisfait, il n'avait pas à ruiner ses bons contacts avec l'Assemblé pour... si peu ? Le T'sen pouvait encaisser aisément. Songea t'il.
Ainsi, la journée se poursuivit, Asphaar sur le dos des barbares. Erkah en route avec les troupes. Maeda et Garibald dans la tente à préparer les stratèges d'attaque, les affutés. Et Adjakyeequelque part dans les plaines prête à sauter telle une fauve au moment opportun.
Visiblement les étoiles étaient enligner vers une victoire éclatante pour le blason vert. Mais de ceci, il en était encore trop tôt pour le proclamer. La suite... nous le saurons demain. À cet assaut.
Post by Norah Aubryel, CP - September 21, 2011 at 7:39 PM
On racontait, dans les rues et ruelles, qu'une jeune femme avait trouvé un petit livre ainsi qu'un colis suspect. Après avoir terminé la lecture, adressée aux mercenaires, apparament le coffre à explosé violemment. On raconte aussi qu'un être elfique, aux cheveux d'un blanc lunaire, était présent sur les lieux et n'a fait aucune tentative pour aider la jeune femme...
Post by Gardtalang, ind - September 21, 2011 at 10:14 PM
La nuit bien avancée, les barbares avaient terminés de placer les gros rochés prêt à déferler contre la montagne et défoncer partiellement les fortifications et les défenses du village des brigands.
Du haut de la montagne qui surplombait le village en entier, le demi-orque pouvait y voir que quelques tâche de lueur éclairé par des torches ici et là. L’odeur de bruler qui en dégageait se rendait jusqu’à leur altitude. Les brigands n’avaient pas réussi à sauver de l’incendie tout les bâtiments. Avec de la chance, c’était peut-être l’armurerie, la forge ou encore l’entrepôt de nourriture, le moulin ou encore le planque d’arme et de munition? Sans compter les dégât que pourrait faire ces rochés balancés sur le village. Quoi qu’il en soit, ce raide les avaient affaiblie d’une manière ou d’une autre et ce peut importe ce qu’en pensait l’armée. Enfin, c’était la conviction de Gardtalang. L’assaut des mercenaires allaient faire la lumière la dessus.
L’un des barbares vint le rejoindre pour questionner le chef des opérations.
Tu crois qu’ils vont nous donner un signe quelconque?
Gardtalang prit un moment pour répondre, analysant la situation du haut de la montagne d’un regard sévère.
Je suis persuadé qu’ils ne le feront pas.
Alors, on a tous fait ça pour rien? Maugréait-il
Les mercenaires sont convaincu de tout connaître sur la guerre. Ils sont sûrs que ce ne sont pas des sauvages et un orque qui a perdu la guerre qui leur montrerons comment la faire.
C’est bien des humains, ils font la guerre sur du papier. Pour une guerre d’envergure, je leur concède que ça la fonctionné sur des champs de bataille. Mais pour un village d’humain fortifié en plus, les mercenaires perdent leur temps a établir un si grande stratégie. Une fois à l’intérieur, ce sera de la guerilla, aucune stratégie ne fonctionnera. L’improvisation le fera.
Voilà donc ce qui mettait le feu au poudre. Deux manières différentes de faire la guerre. L’un sur des théories, des simulations et un plan bien établi et stratégique tandis que l’autre sur l’improvisation, sur moment et changeante selon la situation. Cela pouvait bien faire des flammèches avec deux pensés complètement opposés! Rien n’était parfait, l’une et l’autre avaient ses forces et ses faiblesses…
D’ailleurs, peut-être cela qui expliquait la défaite des orques dans la précédente guerre. Ils excellaient dans de petite guerrilla par tradition des tribus mais lorsque venait une guerre d’envergure, l’organisation et la stratégie leur faisait défaut chez les montres. Dans ce cas-ci, Gardtalang avait l’impression de revivre son époque lorsqu’il était parmi les siens. Un village a pillé et à éliminé. Le Colosse poursuit pour répondre à son camarade.
Soient, ils prennent en considération notre artillerie improvisée pour pulvérisé leur défense et leur fortification, soit ils vont devoir affronté une véritable guerre de guerrilla si ces brigand savent se défendre. Je suis bien curieux de voir comment ils procéderont sans notre aide…
Tu vas faire ce qu’ils te disent? Dit-il avec un profond désaccord dans sa voix
Détrompe-toi, si ce n’était que de moi, je leur balancerais ces rocher une fois que les mercenaires sont à l’intérieur! Ils pourraient voir par eux même les dégâts que ça ferait* Cela était dit avec amertume, mais une phrase du messager avait tout de même résonné dans la tête du gros monstre. Il était le Chef de l’Assemblée Druidique. Il avait des responsabilités…*
Gardtalang retournait son attention vers le camp des mercenaires, un peu plus loin du village.
On verra bien si ces humains savent faire la guerre comme des orques
Post by Conteuse Tornade - September 22, 2011 at 1:37 AM
Les brigands s'agitaient de plus en plus en voyant le tout autour d'eux... les préparations pour la défense semblaient aller bon train... L'attaque était imminente à présent. Troupes Mercenaires, guerriers en tous genres et brigands étaient fins prêts pour l'affrontement final.
Post by Erkha Delile, AdM - September 22, 2011 at 6:14 AM
Les troupes mercenaires, menés par la sergent Erkha, le caporal Adalard, le caporal Meliamne et le soldat Al'Kazar et assistés par Adjakyee avaient lancé l'assaut sur le campement brigands. Les bandits étaient très nombreux, mais le surnombre ne voulait rien dire contre la discipline et les entraînements des mercenaires. Les soldats massacraient les brigands, le sol du camp se couvrant de monceaux de cadavres. La bataille fût rapide, bientôt il ne resta plus que des fuyards. Cependant, les brigands avaient prévu une surprise pour les soldats, après la bataille: Des barils de poudre noire avaient été allumés et avaient explosés, mettant le feu aux camps. Erkha et Al'Kazar avaient failli griller, alors que les autres avaient pu passer par un interstice dans la palissade avant que le feu ne bloque le chemin mais grâce à Saevan, les deux furent saufs. Le feu fût éteint et les mercenaires pouvaient compter une nouvelle victoire, au grand dam de Gardtalang, qui était arrivé beaucoup trop tard.
Les Systériens n'étaient pas en sécurité pour autant, car le chef des brigands courrait toujours, une autre bataille aurait sans doute lieu dans les semaines à venir.
Post by Adjakyee, Ind - September 22, 2011 at 7:18 AM
La présence d'Adjakyee ne manquerait certainement pas de soulever des questions au sein des troupes. Que faisait-elle là? Était-ce elle, qui avait massacré tous les éclaireurs, avant l'arrivée de l'armée? D'ailleurs, comment savait-elle que la bataille se déroulerait à ce moment, comment avait-elle pu les précéder?
Pourquoi les têtes dirigeantes avaient-ils semblé sensibles à ses idées? Quid du trou dans la muraille, dont elle connaissait l'existence sans qu'on sache pourquoi? Et cette chaine, pour éteindre les feux, qu'elle avait proposé et auxquels les soldats, sans distinctions de grade, s'étaient pliés de bonne grâce?
Bref, le passage de la noire silhouette ne serait pas sans causer de vives interrogations en caserne. Était-ce une mercenaire qui avait perdu sa cape? Une gradée, même, qui avait eu l'excentricité de prendre des initiatives et de proposer des idées, choses qu'une recrue n'aurait jamais eu l'audace de faire... Un être qu'un mercenaire ou un autre avait pris sous contrat pour agir en éclaireuse? Ma foi, nul ne savait, mais beaucoup spéculaient.