D'autres pantalons...?

D'autres pantalons...?

Post by Zig - October 23, 2011 at 9:36 AM

Alors que Nicolas était toujours manquant, un Druide de l'Assemblé fut alerté par la présence de deux pantalons, un de couleur bleu et l'autre de couleur rouge vin, autour du Havre Mélodieux. Visiblement, ils rodaient autour du Havre comme des charognards affamés. Le pantalon violet, quant à lui, demeurait introuvable...


Post by Erkha Delile, AdM - October 23, 2011 at 10:32 AM

Depuis la fermeture du Coin Chaud, Erkha s'était retrouvée plus souvent au Havre Mélodieux et elle n'avait pas manqué le message qui avait été laissé à l'intention des propriétaires. Une histoire absurde mais bien réelle de pantalons en pleine révolte. Difficile à croire mais la verte, même si elle était techniquement en congé de maternité, allait garder l'oeil ouvert, au cas où les plaisantins qui avaient eu l'idée de cette farce se montreraient.


Post by Cyriel S. Selaquii, Adc - October 23, 2011 at 5:08 PM

**Bleu et rouge, ensemble. Qu'est-ce que ces pigments mélangés donnent? Violet. Ce serait peut-être que le premier pantalon se reproduit par division? **

De dire la jeune scribe et artiste.

Une telle allégation absurde aurait pu être entendue de toutes oreilles. Gageons qu'elle atteindrait celles de Monsieur Corvus, et les intéressés du cas.


Post by Cyriel S. Selaquii, Adc - October 23, 2011 at 7:18 PM

La demoiselle mécontente fit un autre périple au Havre. Confrontant la boue, les sous-êtres (lire, les gens de la Basse), la saleté, les désagréments du voyage.

C'est irascible qu'elle entra dans la taverne. Et aborda le tavernier de bien directe façon.

-L'Association requiert que vous cessiez toute vente de boisson et toute exposition ostentatoire de bouteilles. Cela prend office immédiatement.

-Mais je..

-Pas de mais. Pas de je. Vous surveillerez les passages des pantalons. Je déposerai une affichette. Mais si les pantalons viennent, vous leur direz que.... -comme c'est ridicule, parler à des pantalons... - enfin, direz que l'alcool a été transféré dans son ensemble à l'Académie Pourpre. Et que l'Association s'est entendue avec la Pourpre pour que l'alcool soit remis aux pantalons sans condition. Dites leur que nous avons choisi cette option car les lois Systériennes nous proscrivent le contact avec des créatures magiques potentiellement dangereuses, voilà. S'ils poussent le raisonnement si loin, ce dont je doute...

Une affichette ensuite, fut posée au Havre, sous le mot laissé par les pantalons. Des phrases simples, sans doutes destinés aux morceaux de vêtements enchantés. Pas de doute, certains gitans et ivrognes seraient bien vite mécontents.

Le Havre n'a plus d'alcool.

L'alcool a été cédé par l'Association à l'Académie Pourpre, dont les membres chargés de remettre celui-ci aux pantalons s'ils en faisaient la demande.

Les pantalons doivent donc se présenter, sur place à l'Académie Pourpre, pour obtenir leur dû.

Vrai? Peut-être, peut-être pas. En tout les cas, au Havre, plus une bouteille n'était visible. Au nom d'une cession réelle, ou d'un subterfuge? Ça, nul ne savait, sauf peut-être à l'Association et dans la Pourpre. Mais à toute chose, malheur est bon : les ivrognes auraient tout intérêt à se remuer : ils ne reverraient leur nectar que l'incident passé.


Post by Freuf Lombouque, Adc - October 23, 2011 at 7:55 PM

On disait de ci de là que l'Association des Commercent avait charger le gnome de surveiller a ce que tous se passe sans encombre dans le havre. On pouvait d'ailleurs voir tous les soir le gnome derrière le bar a servir de succulent jus de canneberge, melon d'eau et autre a des homme barbue et féroce.. Bien que les affaire en fut diminuer une nouvelle clientèle semblait s'y installer.

En effet après être assurer que tous avait un délicieux jus a boire, on voyait le gnome littéralement sur le bar luth en main et jouez des aire de fête. Le publique semble t'il dansait jusqu'à très tard dans la nuit et parfois même lorsque le havre fermait ses porte on pouvait entendre le bruit de la luth qui poursuivait sont œuvre prés du feu a l’extérieure.


Post by Erkha Delile, AdM - October 23, 2011 at 8:04 PM

Le changement de menu avait bien affectés la clientèle, bien des clients avaient cessé d'aller en taverne, en l'absence d'alcool au menu. Mais lorsque l'on était déjà préparé, ce n'était plus un problème, comme dans le cas de la demi-orc la plus connue de la ville. Erkha ne commandait que des jus ou de l'eau et elle mangeait des fruits en quantités ahurissantes. Malgré le manque d'alcool, le Havre pouvait encore espérer faire quelques affaires.


Post by Zig - October 23, 2011 at 8:22 PM

Un «frottement» de rage. Les pantalons, tapis dans l'ombre, eurent vent du déplacement de l'alcool... Les Systériens ne s'en sortiraient pas ainsi, oh non! Une paire de sous-vêtements accrochée à une flèche fut projetée contre le Havre. Sur le sous-vêtement, on pouvait y lire: «Vous l'aurez voulu».


Post by Cyriel S. Selaquii, Adc - October 23, 2011 at 8:41 PM

Et évidemment la demoiselle fut prévenue de l'attaque, car oui la projection de flèches et pire, de sous-vêtements, tenait pour la demoiselle d'une attaque.

Et une autre tournée de missive ce fut.


Post by Freuf Lombouque, Adc - October 23, 2011 at 9:27 PM

On racontait que le Gnome le plus joviale de Systéria aurait écrie une nouvelle sorte de poésie qu'il résistait sur un aire monotone de luth. ( Genre, comme, style du Slam tsé!)

À l'aube de la dominations Pantalonique
Les force du bien se rassemble
Dans un bruits d'arme cacophonique
Les Systérien s'assemble

Une aire nouvelle arrive
Serait vous prés a périr
Afin que plus jamais l'on nous prive
Du délicieux nectar qui enivre!

Levez vous homme!
Levez vous femme!
Pour le cidre de pomme.
Pour le vin agréable

...

Ainsi les Systérien pouvait tous entendre cette poésie musical si il passait au havre.


Post by Zig - October 27, 2011 at 3:36 AM

Certains citoyens avaient remarqués que certains de leurs vêtements disparaissaient... Un lien possible? Où allaient-ils?


Post by Cyriel S. Selaquii, Adc - October 27, 2011 at 3:56 AM

**-Oh non. Oh non. **

Dit la demoiselle. On raconte qu'elle piqua une colère monumentale au Manoir d'Orbrillant, dont les employés se souviennent encore des cris et de leur ampleur. Puis, partirent un ensemble de petits parchemins.

Un pour l'Assemblée.
Un pour l'Armée.
Un pour la Légion Pourpre.
Un pour Claudius Corvus.

Tous portaient le même message.

Des vêtements disparaissent.
Ils se multiplient. Sont désormais un troupeau.
Je vous avais prévenu d'agir vite.

Mlle. C. S. Selaquii.


Post by Zig - October 27, 2011 at 6:15 AM

Un premier affront fut fait en soirée: La statue, à l'entrée de la ville et devant la caserne Mercenaire, fut victime des flammes et de vandalismes. Sur un poteau de bois fut placé bien en vu un pantalon rouge sur lequel on pouvait lire: «Systéria sera à nous».

Le pantalon fut rapidement décroché, mais comme tous ceux trainant autour de la scène de crime, il prit la fuite.


Post by Cyriel S. Selaquii, Adc - October 27, 2011 at 7:54 AM

La journée avait été horrible. Entre une rencontre d'une Nguelundienne (une de plus, horreur!) et celle d'une demi-orc. Ses enchantements rendus difficiles par l'intimidante présence de la verte, quelques explosions à l'appui. Sa capacité de transmuter le rêve et la trame magique en enchantements durables pour un pécule négligeable. L'acquisition de la connaissance qu'elle côtoyait non seulement un monstre, mais un monstre engrossé qui se reproduirait pour créer d'autres petits monstres aussi verts et odieux...

Et l'attaque renouvelée des pantalons ravageurs, kidnappeurs, incendiaires et hargneux. La découverte de la nature de cette édifiance création destructrice... Gageons que quelqu'un ferait les frais, de la demoiselle qui rentra au Manoir d'Orbrillant sur le point d'exploser, après avoir laissé partir quelques missives.


Post by Axel Aerigson, AdC - October 27, 2011 at 7:38 PM

De l'herbe brûler, du marbre noircie. Rien de bien jolie. Et pour Axel, inacceptable à l'entrée de la ville. Comme elle avait du temps à perdre, elle se mis donc à la tâche, ganté et ciseaux à la main, c'est en chantonnant qu'elle élimina toute les tiges les plus noircies.

Après une bonne demi-heure de travail. Les genoux endolories, elle se releva pour voir ce que cela donnait. Affreux. Terriblement affreux. Il ne restait pratiquement rien. Plus de couleur, plus de jolie fleur, plus de verdure. Un rapide coup d'oeil autour d'elle afin de trouver une solution. Quelque chose de potable.
Un talus bien fournis tout près lui donna l'idée. Transplanter oui. Diviser pour mieux régner! Armer d'une pelle, elle divisa donc le vivaces près du marbres, là ou ça ne paraîtrait pas, et les emmena près de celles brûler, divisant au maximum afin de remplir le pourtour, histoire de camoufler les noircies le temps que les racines se décident de faire d'autres.

Une autre demi-heure plus tard. Elle regardait l'oeuvre de loin ainsi que les talus divisés. Autour de la statue, c'était un peu dégarnie comparer avant, mais quelques bonne pluies et un peu de temps fera le travail. Et pour ceux ou elle a prit des fleurs, rien ne paraissait.

Ranger, ramasser, jeter les ordures, se débarrasser de ce qui est inutile. Un petit nettoyage à l'eau et au torchon sur la statue, et on y voyait pratiquement plus rien!


Post by Cyriel S. Selaquii, Adc - November 11, 2011 at 10:07 PM

Le sac plein d'ingrédients.
La pluie.
La nuit qui tombait.

La demoiselle trottina jusque dans une grotte, non loin de la ville, maugréant, pestant contre la vie, l'univers et le reste. Mais surtout contre le mauvais temps Systérien.

Un feu dansait dans la mine, illuminait l'entrée béante. La frissonnante rouquine trouva refuge près de lui.

Son chien s'ébroua dans l'entrée. Loin de la demoiselle. Avant de venir s'asseoir aux pieds de sa maitresse, trop sagement même pour un animal dressé. Visiblement, les dons de télépathe de la demoiselle servaient à quelque chose, pour une fois, et dictaient la conduite de l'animal.

Elle posa ses vertes prunelles devant elle, sur un massif coffret laqué de noir.

Uh?

*De commenter la zanthéroise. Soit les Systériens avaient un drôle de gout pour les noms de coffres et leurs modèles. Soit il y avait anguille sous roche. Elle détailla les lieux, méfiante. Et en particulier le coffre tout près, affectueusement nommé, de ce patronyme gravé dans son métal : "coffre Num num". Cela avait-il a voir avec les frasques magiques des pantalons? À son retour, en tous les cas, la confrérie serait avertie. *