Enfances T'sennoises
Post by Setsuko Maeda, Ind - February 8, 2012 at 8:34 AM
La petite Maeda, sur la pointe des pieds, vint au réveil ouvrir la chambre de son frère ainé. Espérant le surprendre, à pas se voulant feutrés, elle se dirigea vers le lit pour y bondir. Hélas, il était vide. Les mentors de Kenji se faisaient plus pressants, à l'Académie Mercenaire, au grand désarroi de la fillette.
Elle parcourut la demeure Maeda de fond en comble, espérant donc y trouver l'un de ses deux parents, en vain. Eux aussi, l'avaient délaissés, pour aller vacquer à leurs occupations auxquelles elle n'entendait rien.
Tant pis! Elle jouerait seule, donc, et ce serait bien fait.
Elle commença donc par mettre le nez dans les armoires, caisses et coffrets, chose qu'on ne lui laissait pas souvent assouvir. Aux cuisines, elle se fascina pour une réserve de poissons qui reposaient dans la glace. À la rencontre de ces compagnons morts, mais compagnons tout de même, elle se décida d'inclure ces défuntes bêtes en son jeu. De quoi faire envie à l'Assemblée Druidique, elle se décida à reposer ces braves bêtes glacées dans un milieu naturel : lire, la baignoire. Elle transporta une pleine brassée de ces nouveaux amis vers le vaste bain, dans lequel flottaient déjà des carpes sculptées. Et dans une grande éclaboussure, tout finit à l'eau. Elle meubla quelques heures en faisant des vagues des pieds, et admirant s'ébattre de concert les poissons, morts comme artificiels.
Puis, enfant capricieuse, elle se désintéressa de sa composition. Il fallait préparer, vaille que vaille, une surprise pour le retour de Kenji. Voyage de coussins après voyage de coussins, voyage de plantes séchées après voyage de plantes séchées, elle approvisionna abondamment le dojo. Abeille frétillante, elle allait d'une caisse à l'autre, afin de composer une autre création qui ferait la... surprise de sa parenté.
Derrière une montagne de coussins, s'étendait une forêt de plantes décoratives. Par delà cette inhospitalière forêt, un monstre en peluche, et sa poupée captive. De quoi donner à son ainé, éreinté par ses entrainements, un mandat supplémentaire.
Pour la petite T'sen, tromper l'ennui se faisait en grand. Sans doute au grand dam de ses géniteurs.
Post by Setsuko Maeda, Ind - February 12, 2012 at 8:16 PM
La cadette des Maeda, entre les absences de plus en plus fréquentes de Kenji pour ses leçons chez les Mercenaires, le déménagement, et les clochards hurlant à la lune sur le pas de sa porte, se trouvait bien chamboulée.
Tant et si bien qu'on la laissa derrière, au moment du déménagement. Peut-être voulait-elle s'imprégner une dernière fois de cette maison qu'elle chérissait (malgré l'odeur persistante de poisson mort qui flottait depuis la dernière mésaventure de la jeune T'sen). Mais toujours est-il qu'elle n'emboita pas le pas de son géniteur, occupé à surveiller la ènième charette et son contenu qui prenaient le chemin de la haute-ville.
Dans l'ancienne demeure Maeda, désormais vide et silencieuse, il ne restait qu'elle, à jouer avec l'écureuil de Kenji et son jeune chiot. Chiot qui devenait maussade à mesure que la faim venait à le tarauder.
Les parents Maeda s'apercevraient-ils avoir oublié derrière eux un petit quelque chose?
Post by Shigeru Maeda, Adm - February 13, 2012 at 5:19 PM
Bien que les impressions de la jeune enfant purent être fondée, c'était sans compter sur l'instinct de préservation du patriarche de clan qui revint une fois le déménagement des caisses récupérer sa fille et lui permettre de prendre ses marques dans sa nouvelle demeure. La cadette du clan prit connaissance des lieux très rapidement, et sa possession ne laissait de place au doute tant elle pouvait créer l'action au sein de la famille.
Au retour du père en soirée, qui l'eut encore une fois couverte de cadeaux, il prit le soin de la border, installé proche d'elle, observant le cyclone si calme lorsque plongé dans le sommeil, laissant, du bout des doigts, quelques caresses tendres dans la chevelure sombre de sa dernière, profitant même de l'occasion pour s'endormir, bordé par le calme d'une maison en plein ameublement, les bras autour de sa fille, protecteur et bienveillant pour les siens.
Lorsqu'enfin la petite chaotique Maeda ouvrit les yeux au matin, elle trouva son père, dans un sommeil lourd, en carapace autour d'elle, loin d'être une entrave, une simple dose d'affection.
Post by Kenji Maeda, Ind - February 13, 2012 at 8:33 PM
Être un Maeda en quête d'ami...
Là ou les titres et le nom ne servent pas...
Cela faisait maintenant plusieurs jours qu'on voyait courir dans les rues de la moyenne et de la haute ville un petit garçon t'senois vêtus de rouge et de noir. Le gamin semblait fouiller tout les recoins de ces deux quartiers à la recherche de quelque chose. Tantôt il courait ci et là, tantôt on le voyait tourner autour des gens. On le voyait surtout au Havre Marchand à admirer les choses en vente chez les artisans du deuxième étage. Tout particulièrement au comptoir de la toute belle Nìmora. Il avait un œil ou plutôt deux yeux sur les beaux livres qu'elle mettait en vente chaque jour. Et chaque jour notre grand garçon de 10 ans revenait pour voir les nouveautés. Parfois même il en achetait un avec l'argent de poche qu'il se faisait lui-même! Mais le petit avait un autre but dans la vie que d'acheter des livres enluminés. Il cherchait aussi quelque chose de très importent qui visiblement n'était pas achetable chez Nìmora; un ami.
Le petit avait beau fouiller la ville à la recherche d'enfants de son âge, en vain! Il faut dire que notre petit ami n'allait pas à l'école normal, non lui il étudiait à l'école militaire de l'Armée afin de devenir un grand soldat plus tard. Alors son horaire était loin d'être comme les autres enfants normaux de Systeria. Tandis qu'il était libre, les autres étaient à l'école, vise versa quand les autres étaient libres. Comment se faire des amis alors? Comment trouver ceux qui voudront jouer avec lui? Heureusement qu'il avait sa petite sœur sinon il trouverait le temps long! Ce qui est dure quand on est seul, c'est la solitude! Le gamin cherchait donc, tant bien que mal. Il était un peu plus triste chaque jours de ne trouver personne. C'est un soir d'ailleurs que l’évidence fut évidente, assis avec sa petite sœur dans sa chambre de l'ancienne demeure alors qu'ils rangeaient des choses dans des cartons...
-Setsuko... Toi, est-ce que tu aimerais d'autres amis que moi?
-Je veux bien qu'on ait d'autres amis pour jouer. Mais tu es mon meilleur ami et je préfère jouer avec toi.
-Mais juste moi c'est pas ennuyeux?
-Non, je m'ennuie jamais avec toi. Mais parfois tu es pas là et je m'ennuie.
Il lui adressa un sourire, s'il existait une chose que Shigeru et Miyuki avaient réussi à faire ensemble, c'était bien ça; une famille très unis qui s'aimait vraiment. Le petit Kenji ressentait quand même le besoin d'avoir des amis. Malheureusement pour lui, il ne savait pas comment s'y prendre et outre son inexpérience qui laissait à désirée, il était maladroit. Même à l'école militaire il n'avait aucune chance. Étant le fils du Major, les professeurs attendaient de lui une parfaite discipline, de bonnes notes et une réussite dans toutes les matières. Et évidement, qui dit ''choux-choux'' dit ''rejet''. Sur son passage les gamins s'écartaient, mais derrière son dos ils parlaient. Parfois Kenji entendait ce qu'ils disaient de lui.
''C'est lui, le fils du Major, moi je l'aime pas! Il vie en haute, il va nous snobé tu verras.''
''J'ai peur de lui parler, je pense que si je le fais je serai pas soldat plus tard! Je suis pas aussi fort que lui.''
''Maman à dit que Kenji était trop bien pour moi, alors j'ai pas le droit de lui parler!''
''Élite? Je le bat quand je veux! C'est juste un moucheron qui se prend pour une guêpe!''
La pression est toujours grande quand on est le meilleur, quand on attend de nous la perfection en tout temps. Porter le nom de Maeda est un honneur immense mais aussi, jusqu'à un certain point, une malédiction. Il échangerait sa place pour rien au monde, cependant il aurait aimé que les autres garçons le voit comme il était vraiment. Il était dans l'hombre de son père, en d'autre circonstance il aurait été content. Malheureusement pour lui, le petit Kenji était forcé d'endurer cette solitude. Une drôle de combinaison avec sa joie de vivre intarissable et son optimiste monstre. Mais même les plus beau cygnes on des algues gluantes aux pattes.
Post by Setsuko Maeda, Ind - February 13, 2012 at 9:00 PM
La gamine aux yeux sombres ouvrit les yeux, et se découvrit enlacée par son paternel. Elle sourit, et se prélassa un peu dans cette étreinte jusqu'à ce que des fourmis aux jambes l'atteignent. Une fois éveillée, la petite T'sen pouvait difficilement tenir en place, et sa famille en faisait les frais au quotidien.
Elle se tortilla, pour se glisser hors de l'étreinte sans réveiller son père, qui reposait parmi ses trophées : la boule sombre renfermant le liquide ectoplasmique en constante évolution, le jeune louveteau endormi au pied du futon, et la délicate poupée t'sen.
La gamine débuta une entreprise fastidieuse : préparer à déjeuner pour son père.
Elle tracta les tables à grand fracas, en les trainant au sol, et y poser un mélange disparate. Pain, miel, ce jus que buvaient les grandes personnes seulement -le saké-, une pâte plus ou moins cuite mais dont elle trouvait la texture amusante, et une tarte au fruit, la seule pâtisserie qui subsistait dans la maison.
Après le déjeuner, elle s'investirait dans une nouvelle mission. Faire en sorte que des jeunes gens deviennent amis avec son frère. De gré, ou de force.
Post by Setsuko Maeda, Ind - February 14, 2012 at 4:59 AM
La petite Maeda émerveillée réceptionna une caisse de bois au manoir. La réponse de l'Association des commerçants, sans aucun doute! Ils avaient bien fait de mettre cet ami dans une caisse, pour ne pas qu'il se perde en chemin, ou pire, soit volé, songea-t-elle.
L'enfant, ravie, ouvrit donc la (http://www.au-crepuscule.com/forum/viewtopic.php?f=62&t=40950&view=unread#unread).
Puis elle eut une moue mitigée. Peut-être s'attendait-elle à y trouver un enfant vivant?
Elle y découvrit la poupée de chat vêtue d'habits T'sen, qu'elle disposa soigneusement sur le futon improvisé de Kenji. Oh certes, c'était là une jolie poupée, et un éventuel réconfort pour son ainé... La poupée était ravissante, mais ce n'était pas ce que la jeune t'sen espérait. Qu'à cela ne tienne... au moins Kenji aurait un cadeau, pour patienter en attendant la réception d'un ami de chair et de sang, qu'il ne pouvait trouver.
Ainsi, elle devrait poursuivre ses tentatives, pour trouver un ami vivant à Kenji. Peut-être l'Association était-elle en rupture de stocks d'amis? Ce qui serait fâcheux, il faudrait le trouver ailleurs... Qu'à cela ne tienne, la cadette Maeda avait plus d'un tour dans son sac...
Post by Setsuko Maeda, Ind - February 16, 2012 at 6:02 PM
Il faisait nuit noire quand son père rentra, boueux, dans la vaste demeure Maeda. Elle accueillit son père, d'abord allègre, puisqu'il trompait l'ennui de cette nuit sans sommeil.
Puis, le doute s'instilla...
-Mais.... Mais...! Pourquoi tu peux jouer dans la boue, et pas moi!
Âprement, elle défendit le droit fondamental de jouer dans la boue, avec coeur et passion. Tant et si bien que le Major, inflexible aux demandes de ses soldats, céda une nouvelle fois au caprice de sa cadette. Elle passa une jupe de tout les jours, et ils s'en furent au jardin où il pleuvait à verse.
La quiétude de la haute-ville, cette nuit là, fut rompue des cris et des rires, d'un père et sa fille qui jouaient au jardin.
Post by Setsuko Maeda, Ind - February 16, 2012 at 6:12 PM
La nuit suivante, après un bain où elle avait préféré pousser des aigrettes perdues sur les vagues comme des bateaux chavirés plutôt que de se laver, elle rejoignit Kenji aux étages.
Elle eut un instant de réflexion, sur le pas de la porte. Lui annoncerait-elle ses tentatives infructueuses, afin de lui offrir un ami? Non... elle avait échoué. Et, orgueilleuse comme elle était, elle préférait ne pas admettre ses échecs.
Au tumulte des meubles que Kenji déplaçait, aux paroles admiratives de la petite, s'ensuivit un chaos de bruit :
Ploink.
Bling.
Bloink.
Ping.
Oui... les deux enfants torturaient de pauvres harpes sans défense. Au dessus de tout, le chant de Kenji, peu mélodieux, s'éleva.
-Il y avait une princeeeeeeeeeeesseuh
-Elle était très belleeeeeeeeeuh
-Un dragooooooooon l'a enlevééééééééée
-Puis il l'a mangéééééééée
*Pour sûr, l'(in)expérience musicale des jeunes Maeda, qui s'exfiltrait par la fenêtre ouverte dans l'air nocturne, ravirait sans doute les voisins de la Haute-Ville...! *
Post by Setsuko Maeda, Ind - February 17, 2012 at 10:56 PM
Mais il....
Il...
IL NEIGE!
C'est au galop que la petite T'sen sortit dans la cour avant, le louveteau sur les talons. Les gros et denses flocons qui tombaient paresseusement couvraient déjà, en partie, l'herbe de la cour.
L'enfant, ravie, observa ces gros flocons, tenta de les attraper dans leur chute, s'amusa des traces laissées par ses getas dans la couche de neige si lisse encore.
Levant son minois vers le ciel, elle tira la langue, tentant de gober un de ces flocons, puis le laissant fondre en sa bouche comme un morceau de glace pilée, s'en abreuvant. La petite songea ensuite qu'il serait bien que ces gros flocons soient aromatisés aux fruits, comme l'était la glace pilée. Son père, le Major, saurait sans doute demander au ciel de faire tomber des flocons aux pêches, aux cerises ou au melon, après tout, son père était capable de tout !
Puis, se tirant de sa rêverie, elle se lança dans la couche de neige sur le dos, remuant les bras et les pieds avant de faire un ange, dans la neige. Il fallait dire, si Systéria souffrait de l'apparition de deux à trois démons par année, les anges, eux, se faisaient rares. Pourrait-on croire que l'un d'eux, ou du moins sa silhouette, avait pu apparaitre dans le jardin du Major Maeda? Ah, les anges apparaissent toujours de manière improbable, et surtout là où on ne les attend pas!
Post by Setsuko Maeda, Ind - April 4, 2012 at 8:08 PM
Loin du Manoir, loin de la haute ville et son faste, l'enfance de la petite T'sen se poursuivait.
La petite chose fatiguée et éprouvée avait été retrouvée des bois, par Axel, qui l'avait ramenée chez elle comme un petit animal perdu et vulnérable.
Axel avait lavé, soigné et changé l'enfant loqueteuse. Elle avait repris un visage normal. Moins gai qu'il ne l'était avant ses mésaventures canines, moins expressif, moins animé... mais normal tout de même. Un peu plus calme de jour, ses nuits étaient entrecoupés de cauchemars d'où elle s'éveillait en larmes, en appelant Kenji.
Petit à petit, jour après jour, elle commença à prendre ses aises au domicile Aerigson-Lidenslavsky... À preuve, Axel la trouverait finalement dans le salon, en compagnie d'un bonbon qui faisait sa taille. Elle avait mangé une petite partie du scorpion géant en gelée, et s'était endormie sur la confiserie géante.
Au moins... elle avait retrouvé l'appétit!
Post by Setsuko Maeda, Ind - April 14, 2012 at 4:31 AM
Elle courait.
Elle venait d'apercevoir son père. Elle se précipita vers lui, comme elle le faisait dans un passé pas si lointain, pour l'étreindre. Ses bras frêles ne s'étaient refermés que sur une évanescente fumée, qui s'était dissipée autour d'elle. Son père, présent et solide comme la montagne autrefois, avait disparu si tôt qu'elle l'avait touché.
Ses yeux d'ébène affichaient une lueur de panique, quand elle embrassa du regard ce qui l'environnait.
Elle aperçut la délicate silhouette de Kenji. Ses lèvres remuaient.
Elle fit quelques pas vers lui, dans l'espoir d'entendre enfin ce qu'il articulait.
"...ne t'abandonnerai jamais... Jamais..."
Lentement, comme un automate, elle s'avança vers son ainé qui souriait. Elle tendit une main. Le visage souriant, le corps infantile, s'évanouit en poussière sombre si tôt qu'elle l'avait atteint.
Au loin, des rires féminins, une odeur florale.
Sa mère, Gaïya...
Elle les chercha, du regard, dans l'étendue brumeuse et changeante qui l'entourait. En vain. Les rires cristallins et l'odeur délicate s'évanouirent aussi vite qu'ils étaient venus.
Elle arpenta un moment ces lieux vides, avant que ses prunelles ne se posent sur une autre silhouette. Une silhouette replète, gonflée par la nouvelle vie qui avait germé en elle. Grande comme un chêne.
Axel.
Hésitante, elle fit quelques pas vers elle. Pour mieux la voir, au gré d'une bourrasque, emportée comme le serait un tas de feuilles.
Deux orbes jaunes, des yeux de prédateurs, la fixaient dans l'obscurité.
En un écho omniprésent, une voix se fit entendre.
"Plus jamais tu ne les retrouveras. Tu as perdu ta meute. Attention, petite petite... le Dranem va te manger s'il te trouve..."
C'est en sursaut, et en larmes, qu'elle s'éveilla. Elle étouffa ses sanglots dans sa nouvelle peluche de dragon, après son réveil brusque. En espérant de tout son coeur qu'Amaihel, qui l'hébergeait alors, ne l'entende pas.
Post by Amaihel, AdC - April 15, 2012 at 2:37 AM
Amaihel ce réveilla cette nuit la, ce demandant ce qui l'avait réveillé. Bien blottie dans les bras de son futur époux, rien ne venais troubler son sommeil normalement. Elle tendit alors l'oreille et entendit les pleurs étouffés dans la pièce à coter. Elle s'extirpa alors des bras de Nathaniel sans le réveiller, passa un peignoir et ce rendit au salon silencieusement.
Tous doucement, elle alla voir la petite qui pleurait et s'assit sur le bord du lit. Caressent ses cheveux doucement, elle lui chantonna une douce berceuse pour la calmer et tenter de la réconforter pour quelle ce rendorme.
Post by Setsuko Maeda, Ind - April 15, 2012 at 4:03 AM
Rassérénée par la berceuse, la petite s'endormit de nouveau.
Le lendemain, le couple Arabimitore-De Sorgrad trouverait une surprise, dans un de leurs livres.
Un dessin de la petite t'sennoise, griffonné pendant qu'ils l'avaient laissé à elle-même.
Comme quoi inciter cette petite à la lecture n'avait pas que du bon... ! Comme quoi la paix ne dure, en vérité, qu'un temps, et qu'elle est chèrement acquise.