Échec et math
Post by Anar Al Kazar, AdM - February 23, 2012 at 12:06 PM
C'était un de ces jours pluvieux où Anar avait congé de tortures sur la funeste île prison. Elle était de passage à la caserne de l'Armée où elle prenait une bière avec d'autre mercenaire et où on fêtait un peu trop fort la vie. Elle était assise à une table avec un caporal et ils jouaient au échec tranquillement pendant que d'autre s’égosillaient comme des pourceaux. Du moins c'est ce que notre ténébreuse rôdeuse pensait d'eux. Elle bougea un pion d'une case qui bloqua le pion adverse.
-C'est à ton tour.
-Alors l'Armée bougera dans 7 jours?
-Exacte, le Major à décidé qu'il était temps de nous affirmer.
-Je ne sais pas trop quoi en pensé, sergente. C'est un gros coup pour l'Ordre. Je m'attend à des représailles de l'Empire.
Le caporal bougea une tour suivant ses propos.
-L'Ordre n'a plus aucun droit en basse. C'était peut-être le cas jadis mais désormais nous contrôlons ce quartier.
-Je suis incertain tout de même...
-Vous n'êtes pas payez à pensé, caporal, faites simplement ce qu'on vous dis et ne poser pas de question. Je vous rend service en vous disant cela.
Et par un heureux hasard, ou plutôt par un coup fourré et illégal, Anar vain mettre en échec le roi adverse ce qui mis fin à la partie.
-Ce combat, caporal, sera comme cette partie d'échec.
Elle se leva alors, laissant l'échiquier et le caporal en plan.
-L'Ordre n'est pas prête pour ce jeu, elle ne l'a jamais été et ne le sera jamais. Elle est faible, presque morte. Si détruire une guilde vous rend si mal alaise, dites vous que c'est par compassion que nous les achèverons. Elle paye aujourd'hui pour ses erreurs.
-Qu'elle erreur donc? Peut-être son arrogance?
Anar sourie méchamment et vain tapoter l'épaule du jeune homme avant de s'éloignée vers une belle blonde: sa cervoise fraichement sortie du fut.
-Quelque chose comme ça...
Anar n'en pensait pas moins, la présomption de l'Ordre allait les perdre. Le jeu était en place, les pions aussi. Quel adversaire gagnerait ce match? Les noirs ou les blancs? C'est souvent ce qui permet à de vieux rivales de mettre fin aux hostilités... Ou pas.
Post by Okum AkFrur EkUndil, Ods - February 23, 2012 at 4:54 PM
Pendant que certaines Capes vertes s'amusait au jeux de table. D'autre s'occupaient comme ils le pouvaient.
Le ciel était juché d'un ver cancéreux. La pluie de flamme tombait sur Systeria.
Une poignée de l'ordre du soleil, de la confrérie pourpre et ... une mercenaire....était dans le ver même a déffendre la ville. Les adversaires étaient tous aussi puissant les uns que les autres.
Le poisons, les flammes et les armes revolaient partout dans cette chose de chair. Après plusieurs heures de combat,
nos héros sortirent de cette abomination.
Oui, la Sergente venait surement de faire son échec et math. Les Paladins eux, éteignaient les flammes sur les maisons.
Ils dénombraient les blessés, les aidant aussitôt.
La Magistère Danael et le chevalier Ekundil ont du même faire de la diplomatie avec les Aquals.
Pendant que les mercenaires jouaient, l'Ordre avait d'autre chose a faire que ce soucier de leur jeu.
Post by Asphaar Meliamne, AdM - February 23, 2012 at 7:37 PM
Il était fou de croire que tout les mercenaires étaient en ces temps en train de jouer. Évidement ils étaient au fait des derniers évènements, le capitaine lui même s'était rendu sur les lieux afin de soigner les quelques blessés. On put même le voir avec le soldat Mia s'occuper des blessures de Gardtalang, dont la poignée d'homme de l'ordre avait jugé bon de laisser gisant au sol sans s'en soucier. Asphaar n'aimait pas particulièrement le barbare, c'était bien connu, mais il était certain que ce dernier avait aidé pour cette bataille et ne méritait pas d'être laisser seul noyer dans son sang. Était-ce de la compassion?
Également, puisque le lendemain, les flammes brulaient toujours, on put voir d'avantage de mercenaires venir aider à les éteindre et ce le plus rapidement possible. Rien n'avait été reproché à l'ordre du soleil, seulement un petit coup de pouce dont il avait visiblement besoin pour maitriser la situation. Il n'était plus temps pour la compétition en ces heures sombres. L'entraide seulement était de mise, mais les vieilles querelles étaient difficile à délaisser et les deux guildes souhaitaient toujours prouver que l'une était mieux que l'autre et vice versa. C'est non sans déception que le capitaine de l'armée l'avait remarqué depuis quelques temps. Il n'était pas du genre à se mêler à ces histoires, mais un jour ou l'autre, il faudrait régler les comptes...C'était écrit dans le ciel.
Post by Sid d'Orcastel, OdS - February 24, 2012 at 12:18 AM
La journée fut rude, encore presque la moitié des effectifs de l'Ordre du Soleil revenaient bléssé des derniers évènements advenus en Systéria. Plusieurs batiments et maisons brulaient encore, mais cela n'empêcha point les fiers combattants Thaariens de continuer leur tâche.
Dans le milieur du chaos, une missive, cachetée de l'Armée des Mercenaires fut affichée et bientôt disponible à tous dans les rangs de l'Ordre du Soleil.
Les tâches du maintien de paix et d'ordre en ville se continuèrent par les paladins, pourtant, une infime partie des paladins de l'Ordre semblaient affuter leurs armes, quelques forgerons battaient le fer plus intensément que d'habitude dans la caserne de la Basse-Ville et le nombre de gardes avait presque doublé sans pour autant donner d'attitude bélligérantes aux passants. Ils se préparèrent pour quelque chose de bien particulier ...
Post by Malbruck, OdS - February 27, 2012 at 9:43 AM
Et pour les hommes de foi, qui préféraient que les actions se déroulent réellement il y avait là un hic: une guerre d'écriture ne rendrait en rien de sa superbe ni à l'une ni à l'autre des guildes, que l'on soit attaquant ou défenseur. Que l'on soit un pion vert ou un pion blanc, le mieux pour eux, très certainement, serait de se donner un rendez-vous, pour une partie d'échec géante avec l'adrénaline qui va avec.
L'un d'eux aurait il réellement le courage de fixer une date afin que les deux guildes s'affrontent? Ceux qui parlaient le plus étaient souvent ceux qui en avaient le moins dans le pantalon, à voir si leur mots auraient autant d'impact que leurs actions réelles. Car dans une partie d'échec il existait deux joueurs qui maniaient le plateau de jeu, qui étaient ils ici?
je pense que ce serait préférable que vous vous trouviez une date pour un tel évènement.