un soir comme les autres...
Post by Ivellios - January 18, 2006 at 11:36 PM
Assis au comptoir, humant l'odeur des buck de bière qui passait devant lui et en fumant le restant d'herbe a pipe qu'il avait été cuillir dans le petit boisé qui bornait le camp que Ivellios attendait que le temps passe comme a tout les jours. Comme a l'habitude il était seul et espérait pouvoir relaxer en paix pour le reste de la soirée qui était déja bien entamé. Il portait sa vieille toge munis d'une capuche qui ne laissait voir que le bas de sa bouche et la pointe de ses cheveux. L'ambiance était tranquil. Quelque hommes discutant de leur histoire de chasse et des mendiants espérant tiré un peu d'argent de leur poche en chantant des chansons de leur créations. C'est alors que la porte claqua et un grosse voie dépourvue d'intelligence se fit entendre...De ce médiocre vocabulaire Ivellios comprit: FAIM MOI AVOIR!!! il retourna quelque peu sa tête en vit trois gros orque qui était dans l'entré. Ils avait leur arme en main...du moin se qui semblait etre leur arme, des faux et des lances. Ils avancèrent vers le comptoir prenant le plus de place possible. Ils respiraient très fort...Ivellios sentit ses oreilles érité par le son ideu de leur respiration. Un des orques lui donna un tape sur l'épaule. Ivellios dit: Ne recommence pas! de sa voie Érité. L'orque éclata de rire et lui donna un coup si fort que Ivellios tomba de son siège et les orques prirent la place. Ivellios se relevant regarda les gros orque et dit: Hey gros crapeau vireu! C'est ma place! Il lui donna un coup de poing qui surprit l'orque... Une foit retrouver ses esprits. L'orque le regarda et dit: TOI FALLOIR FAIRE SA A MOI! ARRGGGHHHHHH! il sauta sur Ivellios et commenca a le tabasser au sol...les gens se réunissaient autour pour voir le combat! Ivellios avait le désavantage du poids et de l'expérience...il se faisait dominer...
Post by Tarquin - February 21, 2006 at 6:51 PM
- Molok assis dans un coin, en train de boire une bière rousse, comme à son habitude, entendit les cris des hommes qui réclamais quelque chose qui lui était très commun ... un bon combat ! Déjà debout, la bouteille d'alcool a la main, il rendit sur les lieux ...*
Hey tasez !! Molok vouloir voir !
- Après avoir bousculer quelques personnes, le demi-orc fut heureux de voir qu'il ne s'était pas tromper, sans hésite il frappa l'orc au visage ce qui le fît lâcher prise sur Ivellios, et attira son entention comme l'eu voulu Molok *
HAR HAR !! MOLOK AIMÉ BON COMBAT DE TAVERNE !
Post by Saël El'Idhrin, Mort - February 21, 2006 at 7:37 PM
Saël, qui venait de revenir à Systéria, s'arrêta à la première taverne qu'il trouva afin de se rafraîchir et de manger un peu. Le voyage de retour avait été particulèrement épuisant. Il entra et malgré les odeurs d'alcool et les fumées des pipes qui envahissaient l'air, il avança tout droit vers une table vide, en retrait, où il pourrait se ressourcer en paix. Il remercia la serveur qui prit sa commande et lui apporta rapidement de l'eau et des fruits. Il commença à manger et boire ce qu'on lui avait apporté, demandant à la serveuse de prévenir le palfrenier pour son vieux cheval qui attendait à l'étable.
Il était en train de relire un carnet de voyage qu'il avait rédigé au moment où il avait quitté Systéria, il y a quelques années, quand un bruit le fit sursauter. Il remarqua les gros orcs à l'entrée de la taverne qui criaient leur envie de manger. Il soupira et retourna à sa lecture. Il regarda par la fenêtre et constata que la nuit était tombée. Il referma son livre, voulu partir mais constata qu'une bagare était en train d'éclater au sein de la taverne. Il ferme un instant les yeux, comme pour tenter d'oublier la bêtise des orcs et la violence qui régnait au sein de l'auberge.
Constatant que la sortie était barrée, l'elfe, visiblement ancien, fixa la scène du regard, une lueur étrange dans le regard, une lueur indéfinissable... Eclairé par les flammes de l'âtre qui brûlait non loin, il semblait nimber d'une aura pâle et claire. Il ne souriait pas, son visage ne trahissait aucune expression. Il regardait tout autour de lui, voyant des gens apeurés, d'autres amusés, participant même à la bataille. Il aimait observer sans qu'on ne le remarque, son esprit totalement clos, aucune pensée ne filtrant...