[BG] De là bas en Systeria
Post by Lucius Sombreval - November 13, 2006 at 8:19 PM
Sur la dent du diable montagne entre les terres d'ouest et systéria.
Jour 22 du 4éme mois
Le vent glacial hurle dans les Pics Venteux, le dos courbé, la tête vers l'avant Silvius tente d'avancer pour trouver un abris.
« Il rassemble du bois pour le f eu , le froid me glace les os jusqu'à la moelle qu'il est bon de rester allongé.
19 jours que l'ont tente de traverser cette montagne pour aller où? Je suis sur qu'il l'ignore lui même. »
Des bruits de pas ce font entendre , un torche illumine de sa flamme les parois de la grotte, il deposse un petit fagot de bois au centre.
Ramassant sa chemisse il frotte son visage remplis de sueur, passant sur une barbe mal entretenue, il rassemble ses cheveux a l'arriere pour les attacher.
Son visage est marqué de plusieurx cicatrices est sa peau à trop vus le soleil.
« Il va falloir te montrer patiend, je n'aie pas l'habitude d'allumer un feu avec un bois aussi humide, si nous avons un peu de chance nous ne mangerons pas de viande crue ce soir » .
La lueur des flammes ce refletent dans la grotte, et brillent dans le regard vide de Silvius ,perdus dans quelque souvenirs ,fixant la danse du feu.
Ses souvenirs le méne jusqu'à son village de Brandecoupe, le soleil est haut dans le ciel et brûle de ses rayons les derniers brins d'herbes ce raccrochant à la vie, un légé vent fait lever les poussiéres de terre arride, ce collant contre pantalon de ce jeune homme d'à peine 7 ans.
A sa ceinture le fourreau de cuir d'une épée courte, les mains le long du corps, le soleil dans le dos, sont ombre grandis.
Le faucon est là, son regard caché par la capuche de cuir.
Son grand pére le fixe dans les yeux, Silvus sait que sa lame devra être sortie avant que la bête prennene son envole.
Il sent la sueur lui couler le long de la joue, soudain d'un geste vif Argus enleve la capuche du faucon, qui prends son envole.
L'enfant degaine un quart de secondes trop tot, n'ayant même pas encore compris son echec, le poing de son grand pére vient le frapper, le sang de ses levres arosse la terre de son pays.
Jour 4 du 7 éme mois.
Ils ont quitté les Pics Venteux et traverse les plaines fertiles du sud, les herbes sauvage arrive a hauteur de taille d'homme, et leurs odeurs mélangées à celles des fleurs,vous enivre d'un doux parfums.
Les coquelicots tranche le decor par leur rouge pétales, c'est un beau jour d'été mais même lorsque le soleil brille le froid de la mort peut vous geler le sang, Silvius ce rappellait d'une pareil journée qu'il ne saurait oublier.
Agés de 13 ans à l'epoque, Silvius étais là dans la chambre de ses parents, face a leur grans miroir d'argent , le cheveux lui retombant dans les yeux , habillé d'habit de chasse ,à sa taille un ceinturon qu'il peiné à ajuste et a ses flanc une lame bien trop grande pour lui.
Des bruits de pas ce font entendre, mais Silvius ne les craints pas il les reconnait, le bruit signaficatif des lourd pas de son pére, lui sont assez famillié.
« Tu n'as pas peur de me defier fils, il est bien de ne pas manquer de courage, mais un lame ne fait pas de toi un guerrier ».
Silvius retira la ceinture et tendis la lame à son pére.
« Aujourd'hui tu as porté ma lame en ce triste jour ce sera donc à toi de marquer le chatiement, tu devras assumé tes actes et ne pas demander à autruis de les supporter »
Son pére etait le chef du village, independant a tout adoubement, sa famille avait fait prosperer celui ci dans le respect des anciennes vertues et eux seul rendait justice.
Silvius resta les yeux possaient sur la garde un court instants, dans ses moment de faiblesse il regrettait avoir azssisté à cela.
Il gardait la tête haute lorsqu'il avançait dans le village, déjà la foule s'amoncelait sur la place, aujourd'hui son pére avait accepté son statut d'homme , il ne devait pas flechir il devait ce montrer brave.
Pour cela il puissait dans ses souvenir pour ce rappeller le dernier regarde de Lyliana, ses yeux vide, pendant que l'homme la depouillais des ses organes, les rangeants dans des sacs, comme de la vulgaire saucisse.
La foule s'ecarta et ont pus lire dans leur yeux une légére surpriseen voyany leur chefs de village, laissez seul avancer son fils, venant les rejoindre.
L'homme etait là, le teint toujours aussi livide,maigre comme un chien du dessert, sa grande taille n'impressionais plus personne, sa tête étais couchée sur une souche d'arbre fraichement coupée.
Silvius ce placa face a la foule, face au regard du malheureux.
« Ebelion, vous avez etais jugé coupable d'heressie, d'acte nécromantique et de meurtre.
Refussez vous toujours la clémence de Thaar? »
L'homme crachat à terre.
« Alors que votre âme pourisse dans les Abysse »
D'un geste rapide il sortit sa lame du fourreau, et la tête de ce malheureux roula au sol.
Silvius rengaina sa lame, et pris la pelle qui lui donna son pére, il mit deux heures a finir la sepulture au pied de l'arbre mort, c'etais le 9 eme du village et nombre de ses ancetres n'avait jamais eux à le faire.
12 éme jour du 11 éme mois
La foret est dense, et la haute cime des arbres empechent le soleil de passer, Silvius est tapis dans un coin dérriere un fouret, il jette un regard à son compagnon, au loin un lievre bondis au dessus d'une racine d'arbre, d'un pas if silvius fonce sur lui , Astaroth sur sa gauche attend, le lapin cour ce refugié dans les partie plus sauvage de la foret, alors qu'il bondit, les dent d'astaroth viennent sur sa nuque ce refermer, et deposse le laptin au pied de son maitre.
C'etais leur derniere partie de chasse avant longtemps, demain il sera en Systeria et Astaroth restera dans ces bois.